Escorte Isabelle, Bonjour.Hello, Nico de l’agence d’escorte Isabelle, êtes-vous encore là.Il se passe encore une bonne vingtaine de secondes durant lesquelles j’entends respirer au bout du fil et juste comme je viens pour fermer mon cellulaire, une voix de femme me dit. Puis-je parler à Isabelle. Isabelle m’a vendue son agence d’escorte et je suis en pleine période de recrutement pour de nouvelles escortes, te recherches-tu de l’ouvrage, ma belle. Je la sens hésiter et je sais que je dois me dépêcher de lui parler si je ne veux pas qu’elle me coupe la ligne au nez. As-tu de l’expérience comme escorte.Ma question l’a déstabilise, car, je l’entends respirer fort et je me doute qu’elle n’a jamais fait cela. Je m’empresse de lui dire.Mon agence paye le gros prix même pour celles qui n’ont aucune expérience. Comment ça. C’est simple, c’est moi qui vais te donner tout l’entraînement dont tu auras besoin et ainsi, je vais savoir jusqu’où tu seras prête à aller. Tu peux même venir me rencontrer cet avant midi pour l’entrevue. Combien ça paye.
?a va dépendre de toi, de ton attitude, de ton physique aussi et surtout de tout ce à quoi tu es prête à faire comme escorte.Serais-tu prête à commencer aujourd’hui, j’ai des contrats pour la soirée. O.K., je ne travaille pas présentement, car, je suis une femme au foyer. Tu es mariée. As-tu des enfants. Oui, deux. Ton mari est-il au courant de ton appel. Elle commence à m’intéresser lorsqu’elle me répond. Pas encore.Je lui dis.Tout d’abord avant d’aller plus loin, je vais te poser quelques questions pas mal directes qui vont peut-être te choquer. C’est quoi tes questions. Premièrement, je me doute que c’est la première fois que tu oses appeler une agence pour un emploi d’escorte. Tu as deviné juste, mais, je suis très intéressée. Le mieux serait que tu viennes discuter de ça en personne.As-tu quelqu’un pour garder tes enfants, car, à part du transport, prévoies au moins deux heures. Je la sens hésiter, car, elle ne dit rien pour quelques secondes. Je devine que si je lui offre un montant d’argent, elle va mordre à l’hameçon. Est-ce que ça paye ton dérangement, ta gardienne et le taxi, si je te donne un cent. Es-tu sérieux pour ce montant. L’argent est déjà sur mon bureau et il n’attend que toi. Je vais avoir ce montant juste pour aller passer une entrevue. Je suis toujours sérieux lorsque je parle d’affaire et j’aime bien regarder mes nouvelles recrues dans le blanc des yeux et voir toutes leurs réactions pendant qu’on discute affaire. Autrement dit, tu veux me voir toute nue et je me doute que tu veux me sauter avant de m’offrir la job. Je ne peux rien te cacher, c’est sur que si tu acceptes, je bien l’intention de te sauter, puis, directement sur mon bureau. Au moins, toi, tu es franc.Ce matin, j’ai vraiment de besoin de cash et le cent que tu m’as offert, ce n’est pas une pogne. Ma belle, je suis en affaire pour faire de l’argent et ainsi que pour me payer du bon temps, si je veux que mes modèles continuent à travailler pour moi, il ne faut pas que je les fourre à la première occasion. Sans ça, ce ne sera pas long qu’elles vont ficher le camp pour une autre agence. Et, pour la première fois, je l’entends rire au bout du fil. Ce n’est pas de même que j’interprète ça, tu es pas mal vite, car, tu me dis que tu vas me sauter avant même de m’avoir demander mon prénom. Si tu veux te faire sauter, n’importe quel prénom peut faire l’affaire. Pendant que je l’entends rire à nouveau, j’enchaîne.Je vais te parler un peu de moi.Je suis marié, dans la soixantaine et présentement, je suis seul à la maison. À ces mots, elle me dit.Qu’est-ce qui me garanti que tu ne vas pas abuser de moi et me sauter aussitôt que je vais être rendue chez toi en oubliant de me payer pour mes services. Je suis en charge d’une agence d’escorte et toi-même, tu as trouvé mon numéro de cellulaire dans le journal régional.Penses-tu ma belle, que je payerais des annonces si c’était pour abuser de mes escortes même si la plupart d’entres elles n’hésitent pas à faire la pute pour se ramasser encore plus d’argent.Si tu viens pour l’entrevue, tu peux même faire attendre le taxi, comme ça, une fois que tu m’auras vu, si tu sens que tu n’as pas confiance en moi, tu t’en retournes avec lui.Je sais que premièrement, ça te tentes et que deuxièmement, je me doute que tu n’as aucune expérience. C’est vrai, mais, comme ton annonce était dans la rubrique ’agence d’escorte’, je savais que si je t’appelais, j’étais pour travailler dans un milieu de prostitution. Elle hésite quelques secondes avant de rajouter.C’est o.k., j’y vais pour l’entrevue, car, j’ai surtout besoin d’argent et tout de suite. Si tu sens que tu n’as pas confiance en moi, tu ramasses le cash, puis, tu te sauves et on oublie tout.C’est à toi de décider. Astheure que je t’ai dis o.k., je dois te faire confiance. Sais-tu au moins à quoi t’attendre comme job d’escorte. Un peu, je me doute que le client paie pour du sexe. C’est toujours toi qui décides, si tu vois que ça ne marchera pas avec un client, tu le flush, mais, si tu restes avec lui, c’est sur qu’il s’attend à en avoir pour son argent. O.K., toi Nico, tu me trouves le cash, mais, moi, c’est à mon cul qu’on demande de faire la job. Après lui avoir donner mon adresse, je lui demande.Dans combien de temps crois-tu être au bureau. Laisse-moi le temps de placer les jeunes chez la gardienne, de me maquiller un peu et d’appeler un taxi.Disons, une heure, une heure et demie. O.k., je t’attends, mais, à brûle-pourpoint, c’est quoi la scène la plus sexée qui te reviens en mémoire. Elle hésite quelques secondes avant de me dire.J’en ai beaucoup, mais, celle que j’ai en mémoire présentement, c’est sûrement la scène dans le bureau pour l’entrevue dans le film Basic Instinct, Sharon Stone et les enquêteurs. Dis moi, ma belle, es-tu le genre de femme à te promener nue sous ta robe en public. Non, jamais. Mais, tu en as toujours rêvé.O.K., je double le montant et il est à toi si tu oses venir me voir sans ta petite culotte. Et, je lui ferme la ligne au nez sans même lui avoir demander ni son prénom ni son âge.
chez la petite dame Mon bébé de sept mois et ma fille de trois ans pleurent tous les deux et j’en fais tout autant. Si ce n’était de mes deux anges, je mettrais fin à mes misères, aujourd’hui même. Parce qu’en plus, ça fait dix jours aujourd’hui que j’ai sacré mon mari à la porte le jour même que j’ai su qu’il me trompait depuis au moins six mois avec une de mes cousines qui venait juste d’avoir dix-huit ans. Et, lorsque Marc est revenu cherché ses affaires dimanche matin, je l’ai engueulé et j’ai encore crié après pour me vider le c?ur. Il m’a simplement dit. Elle, au moins, elle prend le temps de s’intéresser à moi. Et, avant qu’il ne parte, je lui ai demandé un peu d’argent. Il m’a répondu. Je n’en n’ai pas, puis, c’est toi qui m’a fichu à la porte, ça fait que, arranges-toi avec tes troubles. Ta petite pute te coûte donc cher pour se faire aller le cul.Mon maudit maquereau, tu bandes pour une petite jeune en chaleur parce que Maryse a de gros seins et un beau cul.Puis toi, maudit salaud, pour une jeune plotte en chaleur, tu christes ta femme et tes enfants dans la misère. J’en suis-tu rendue à devoir me servir de mon cul pour survivre. Mes deux anges voient ma détresse et ils pleurent de plus bel. Il n’y a pas de doute, il faut que je fasse de quoi et vite. Je peux même me ramasser deux cents dollars vite fait et m’en revenir aussitôt à la maison, car, le gars de l’agence ne m’a même pas demandé mon nom, mais, la semaine prochaine tout sera encore à recommencer. C’est peut-être juste un vieux maniaque qui veut me sauter. Et, rendu chez lui pour avoir la job, s’il veut une petite vite, je vais lui dire oui, mais, il va s’apercevoir que je vais sentir la sueur parce que je n’ai même pas pris une douche depuis les trois jours que Marc m’a christsé-là pour de bon et je n’ai même pas envie d’en prendre une, point. Et, de toute façon, le bonhomme dit qu’il aime ça cochon, mais, s’il pense que je vais être à poil sous ma robe, il peut continuer à rêver et à se passer le poignet tant qu’à moi. En tous les cas, lui, il a les moyens de se payer ses caprices, mon petit vieux. Deux heures. ?a lui prend donc bien du temps à venir le bonhomme.Quand je pense que Marc, avec lui, c’était toujours rapide. En dedans de dix minutes, il avait déchargé et je n’avais pas le temps de me virer de bord qu’il ronflait déjà. O.K., j’appelle le taxi, puis le maudit, il est mieux de ne pas me poser de questions. Mais, avant, il faut que j’appelle Marie qui me doit une semaine complète de gardiennage et elle va m’en remettre une partie aujourd’hui même. Le bonhomme me veut en robe, mais, pour aller chez Marie, je vais garder ma blouse et mes jeans, car, je ne veux pas qu’elle se doute de quelque chose. Marie me sait déprimer et elle a été bien fine de m’avoir consoler pendant que je pleurais sur son épaule depuis que Marc est parti. C’est elle et mes copines de filles qui m’ont ouvert les yeux, car, je n’avais pas vu venir cela. O.K., j’avais viré Marc de bord pas mal sec les derniers mois que j’étais enceinte et même après l’accouchement, j’étais contente que Marc n’insiste pas trop parce que j’ai toujours trouvé une bonne raison pour lui dire non. J’aurais bien dû me douter de quelque chose. Le maudit salaud, comme m’a dit Marie hier. Marc, s’en fichait pas mal de ne pas avoir de sexe avec toi, parce qu’il prenait son lunch ailleurs. Maudit que j’ai été innocente, mais, là, ça va changer. À partir d’aujourd’hui, je vais me faire du cash et je suis assez intelligente pour en profiter pour me faire un peu de fun, moi aussi. Bon, les enfants sont chez Marie et le taxi sera ici dans une dizaine de minutes. Comme m’a dit Marie tout à l’heure parce que encore une fois, je n’ai pas pu garder un secret. Mets, ta petite robe bleue. De toute manière, c’est la seule dans laquelle tu seras présentable pour ce genre d’entrevue. Elle est si courte que le monde voit ta petite culotte lorsque tu te penches, puis avec le profond décolleté, on voit bien la chair pulpeuse de tes seins et avec les bretelles spaghetti, c’est juste si elle te couvre les mamelons, même que pour l’avoir remarqué moi-même, lorsque tu bouges tes épaules, l’on peut entrevoir le brun plus foncé de tes auréoles. Et, ton petit vieux, lui, qui te veut toute nue en dessous. C’est franchement scandaleux, mais, je pense que si un jour j’ose être bi, Samantha, tu serais mon genre sans aucune hésitation. Nous sommes crampées de rire suite à son commentaire pas mal coquin, avant que je lui dise.Nue sous cette robe, je n’aurais même pas osée la porter ainsi dans ma chambre à coucher.D’un autre côté, comme je connais Marc, il me l’aurait enlevé tout de suite pour me sauter, mais, j’aurais peut-être encore un mari. Je me souris en me regardant dans le miroir de la chambre pendant que j’essaie la robe sur mon corps nu lorsque j’entends le maudit taxi qui est un bon cinq minutes en avance.Je ne suis pas à l’aise dans cette robe même si je la trouve très sexée, mais, il me semble que si je la porte, je vais trop ressembler à une pute de luxe. Et, ce matin, je n’ai même pas envie d’être provocante, je veux juste être habillée pour qu’il sache que je veux et que je ferai tout pour enfin décrocher cet emploi très lucratif. Je me dépêche d’enlever ma robe et je cours jusqu’à ma garde-robe, où, je décroche mon peignoir en satin blanc. Je n’ai même plus le temps de mettre du maquillage que je ramasse mes clefs de maison avant d’ouvrir un tiroir pour me chercher au moins un string, mais, le taxi klaxonne en même temps et je me dis. Pourquoi pas et en plus ça me fera plus de cash.Mais, avant de sortir de la maison, je me camoufle sous mon imperméable en suivant à la lettre le conseil de Marie et je cours jusqu’au taxi avant de changer d’idées. dans mon bureau. Je fais les cent pas dans mon bureau en regardant à toutes les deux minutes l’horloge murale égrener le temps. Je viens de finir mon deuxième café lorsque je vois une jeune femme d’une vingtaine d’année qui sort d’un taxi. Elle prend un profond respire avant de marcher très lentement vers ma demeure pendant que je remarque que le chauffeur du taxi prend le temps de la regarder de la tête aux pieds, lui aussi. Elle est beaucoup plus jolie et plus sexée que je croyais. Elle me fait patienter encore une bonne minute avant qu’elle n’ose ouvrir la porte du bureau. La jeune femme me regarde au travers de ses lunettes de soleil sans que je ne voies aucune expression sur son visage, mais, je remarque que ces mains tremblent nerveusement et elle regarde le plancher comme un enfant pris en défaut avant de s’avancer lentement jusqu’au bureau. Je lui dis.Tu es vraiment très jolie et j’aime, tu es très sexée sans aucun maquillage. La jeune femme se mord les lèvres et elle semble scruter mes pensées sans que nous osions dire un seul mot tous les deux. Le taxi klaxonne ce qui nous fait sursauter, elle se retourne la tête pour regarder en direction de la porte une fraction de secondes avant de m’envisager à nouveau en se mordant les lèvres. La jeune femme semble indécise. C’est le taxi qui met fin au suspense en klaxonnant de nouveau et mon fantasme prend fin brusquement lorsqu’elle s’avance jusqu’à mon bureau pour ramasser un seul billet de cent et aussitôt elle marche vite en direction de la porte d’entrée sans même me dire au revoir. L’instant d’après, elle est déjà ressorti de mon bureau. Mon c?ur bat la chamade et le temps c’est comme arrêté. Ouf que je suis soulagé lorsque je vois le taxi s’en retourné sans elle. Presque en même temps cette belle jeune femme entre à nouveau dans le bureau et pour la première fois, elle me sourit. Je lâche un profond soupir en me passant la main sur le front ce qui nous fait sourire tous les deux. Veux-tu boire quelque chose, moi, ça me prends un bon verre de fort.Toi, aimerais-tu mieux du café ou du jus. Non.Je n’ai de besoin que d’un verre d’eau, car, le c?ur me bat à tout rompre.J’ai eu trop d’émotions depuis la fin de semaine, mais, lorsque je serais calme, un petit coup de fort ne me fera pas de tort.C’est des grosses décisions à prendre.En tous les cas, c’est trop pour moi en même temps. Nous parlons ainsi trois-quatre minutes.Elle se mord les lèvres et elle retient son imperméable sur le haut de son corps ou sur ses genoux à toutes les fois qu’elle remarque que mes yeux louchent vers son corsage ou à la hauteur de ses cuisses, car, son imperméable lui vient au-dessus des genoux. Son visage devient tout rouge et elle se mordille un doigt lorsque je lui dis.On parles-tu affaire.Je sais que tu es nerveuse, mais, certainement pas autant que moi, car, moi aussi, c’est ma première entrevue pour employer une escorte. Quoi, tu ne connais pas la job. Depuis que Samantha m’a appelé pour la première fois, ce matin, à toutes les fois que je dois parler de l’agence Isabelle avec elle, je dois lui raconter un nouveau mensonge. Je n’ose pas lui dire que l’agence Isabelle n’a existée que dans ma tête, car, je crois encore que c’est plus facile de me recruter des escortes si je leur laisse accroire que c’est à une femme qu’elles auront à faire. ?a fait que je continue mes petits mensonges. Bien sur que oui, mais, jusqu’à date, je la connaissais comme client et depuis les trois derniers mois comme réceptionniste pour l’agence. C’est ma toute première semaine en tant que gérant d’escortes et je veux travailler qu’avec de nouvelles recrues, car, je veux changer un peu l’orientation de l’agence pour devenir une agence beaucoup plus haute classe. Et, à l’avenir, je veux que des escortes distinguées comme toi.Toi, ma belle, si tu me dis o.k., tu seras la toute première que je vais engagée. As-tu des clients, au moins. Les clients, c’est la chose la plus facile à trouver et avec une belle femme aussi sexée que toi, je suis convaincu que tu peux demander le gros prix pour chacun de tes services Je me suis préparé une bonne série de questions à te poser. Es-tu prête à commencer à me parler de toi. Moi, c’est Nico. C’est quoi ton prénom. Elle hésite avant de me dire en cherchant ces mots. Sand...r??a, Samantha Tu vois, c’est facile, mais je sais que ce n’est pas ton vrai prénom. Samantha entre la tête dans ses épaules comme pour me faire signe, devine. Je lui fais un autre clin d’?il pendant qu’elle me sourit en entrant un doigt dans la bouche. Elle rougit un peu, mais, me fait une moue qui me séduit. Question numéro deux, celle qui vaut beaucoup d’argent.Qu’elle âge as-tu. Elle ri de ma question avant de me dire. Vingt trois ans. Tu es sur que tu n’en mets pas un peu trop.Cette fois, elle amène sa main droite à la hauteur de sa tête, elle enlève ces lunettes à soleil et c’est elle qui me fait un clin d’?il avant de rajouter. O.K., je suis adulte et vaccinée. C’est toujours ton attitude qui compte si tu veux avoir des clients sur la ligne d’attente. La plupart des clients reviennent vers une escorte qui lui adonnée du bon service et surtout si elle lui a souri et qu’elle a ri avec lui.Mais, ce sera à toi de gérer ça.Ce n’est pas un métier compliqué, tu peux même le faire à ton rythme, puis, tu n’as pas à avoir un horaire rigide.C’est toujours toi qui décides quand et avec quel genre de client que tu veux travailler.?a dépend toujours de ta disponibilité et surtout de combien tu veux te faire par semaine. C’est quoi un salaire normal. Beaucoup, beaucoup d’argent.Et, plus que tu as de clients par jour, plus, tu te fais d’argent.Moi, durant mes trois mois comme réceptionniste à l’agence, je sais par expérience que les escortes qui ont trois clients par jour, trois-quatre jours semaine se font facilement, cinq cents, mille et même quinze cents tout dépendant de ce qu’elles offrent comme service. Moi, je n’ai jamais gagnée ça, cinq cents par semaine. Tu m’as mal comprise, Samantha, c’est cinq cents par jour, puis, pour tes trois clients différents ou tes trois heures de services, ce n’est pas juste trois heures de couchette, car, la plupart de mes clients potentiels me disent tous qu’ils aimeraient se pavaner en ville avec à leur bras une femme sexée, car, ces hommes vont être fiers de laisser deviner à leurs connaissances qu’ils vont te sauter.?a flatte beaucoup leur égo d’hommes d’affaire. Pour mille ou quinze cents, c’est quoi la job. ?a dépend de toi.As-tu déjà eu du sexe devant une ou plusieurs personnes. Oui, une fois avec mon mari, nous avons fait l’amour au motel pendant qu’un couple de nos amis le faisait eux aussi dans l’autre lit. Tu m’as mal compris, je voulais dire toi toute seule, Samantha, avec deux homme pour te gâter. Elle devient toute rouge de honte et elle me dit en me regardant dans les yeux. J’ai tu bien comprise, tu veux dire me faire fourrer par deux hommes à la fois. Je lui fais signe qu’elle a bien compris.Elle se pogne la tête à deux mains et elle se dit plus à elle-même qu’à moi. Maman vient chercher ta fille. Avant qu’elle ne panique et qu’elle décide de tout laisser tomber, je rajoute.Plus que tu as de partenaires, plus que ça paye, mas, tu as besoin plus souvent de break parce que si tu es comme la plupart des filles, tu vas te pacter pas mal plus, surtout lorsque tu sais à l’avance que tu vas faire ça avec trois hommes ou plus. Elle se mordille encore une fois les doigts avant de me dire toute d’une traite. Premièrement, je ne me pacte jamais et deuxièmement, je croyais que le sexe de groupe, ça n’existait seulement que dans les films pornos. Tu sais de nos jours, ça existe aussi dans la vraie vie surtout lors d’un stag pour enterrement de vie de garçon.Mais, dans ces cas-là, les hommes sont tellement excités et ils sont si fiers de montrer à leurs copains qu’ils sont bien virils qu’ils ne durent jamais aussi longtemps que dans les films pornos.Ce n’est jamais quinze ou vingt minutes de pistonnage comme tu as sûrement dû en voir dans les films de cul.Disons, en moyenne moins de cinq minutes et ton client est tout heureux de décharger en toi. Le reste du temps, tes clients seront tous fiers d’être voyeurs. Encore le visage tout rouge de honte, elle me regarde droit dans les yeux tout le temps que je lui parle et comme je constate qu’elle est pas mal déstabilisée par ce que je viens de lui dire et que malgré tout, elle semble en même temps curieuse, j’enchaîne. Aimes-tu ça, toi Samantha, te caresser. Elle soutient mon regard avant de me répondre. Oui. Quoi, juste un petit oui.Racontes-moi tout Samantha, dis-moi comment tu fais pour te faire jouir. Cela la fait rougir encore plus et elle baisse son regard à la hauteur de sa poitrine avant de me dire. Ben, je me caresse avec un doigt. Je dois lui dire d’enchaîner. Elle n’ose toujours pas me regarder et après quelques secondes où je la vois se mordiller les lèvres et prendre de profondes respirations, elle fini par me dire. Depuis mon deuxième accouchement, je me caresse plus souvent qu’avant.C’est vrai que mon mari m’a négligé pas mal ces derniers temps. Racontes-moi la dernière fois que tu t’es mouillée le doigt en te caressant intimement. Elle rougit de plus bel avant de me dire en prenant pour la première fois une voix de petite fille. C’est ce matin après avoir fait déjeuner les enfants et jeter encore un regard à l’annonce que tu as dans le journal. Je me suis imaginée dans une chambre de motel où j’avais rendez-vous avec un client et il m’a demandé de me déshabiller.Je filai toute drôle et j’avais des picotements dans le bas du ventre pendant que je pensais à ce qui se passerait après. Tu veux dire que ça t’excitait parce que tu avais envie de faire l’amour avec un client et tes pensées t’ont amené à te fouiller intimement en te caressant la chatte avec tes doigts.Elle rougit encore, mais cette fois, elle soutient mon regard pendant qu’avec mes mains et en lui faisant un clin d’?il, je lui fais signe de continuer. J’ai fermé ma porte de chambre et j’ai laissé tomber ma robe de chambre par terre. Je me suis regardée dans le miroir et j’aimais bien la femme que je voyais. J’ai de beaux seins, pas trop gros mais bien fermes et j’aime bien les regards des hommes sur ma poitrine. Et, je suis toujours surprise lorsque une femme me regarde la poitrine. Je suis une femme génée, mais, j’ai toujours aimé les regards tant des hommes que des femmes sur mon ventre. Ils ou elles sont toujours fascinés lorsque je leurs dévoilent mon nombril encore plus depuis que j’ai un piercing. J’aime tous ces regards sur mes hanches et mes cuisses. Je devine aussi que lorsque je marche devant eux, que les hommes et je me doute qu’il y a aussi quelques femmes qui aiment bien regarder mon cul parce que j’ai un beau petit cul. Pour revenir à ce matin, je me suis mouillée deux doigts et je les ai descendu lentement sur mon corps en les frôlant de la basse de mon cou jusqu’à mes seins. J’ai même agacé et pincé mes mamelons avant d’amener mes mains sur mon bas ventre. Je me suis remouillée les doigts de la main droite et je les ai frotté sur ma touffe de poils et à la grandeur de ma chatte avant d’entrer un doigt en elle. Je me suis masturbée de plus en plus vite, car, j’avais vraiment besoin de me faire venir et je voulais aussi que se soit le plus tôt possible, car, en plus, il arrive souvent que ma petite fille vienne voir dans ma chambre ce que je fais si elle trouve que je prend trop de temps. ?a fait que j’ai bougé mon doigt de plus en plus vite dans ma chatte en frottant en même temps toute ma main sur mon mont de Vénus. J’étais toute excitée, car, plus que je mouillais, plus que mon doigt faisait un drôle de bruit de succion comme lorsque mon mari me pistonne en profondeur lorsque nous faisons l’amour en me fourrant de plus en plus vite pendant qu’il aime me soulever le derrière et me soutenir sous les deux fesses pour pouvoir me fourrer à fond comme il aime tant à me dire. Je lui envoie un baiser du bout des doigts et la laisse reprendre un peu son souffle avant de la surprendre à nouveau lorsque je lui demande. Dis-moi, Samantha, avec quel doigt aimes-tu le plus te caresser la chatte. Elle rougie, me sourie et elle se lèche les lèvres tout en s’empressant de me monter lequel. Je commence toujours avec celui où j’ai ma bague de mariée, car, je prends toujours plus de plaisir avec lui en regardant souvent vers ma bague et à chaque fois, je me dis que je me donne du plaisir défendu. Je frotte mon jonc contre mes lèvres pendant qu’avec un doigt j’agace mon clitoris. D’une fois a l’autre, je me sens plus salope et ça me fait jouir toujours plus intensément et plus vite ainsi. Maintenant que je sais que tu es exhibitionniste, qu’est ce que tu attends, ma belle, pour enlever ton imperméable. J’attendais juste que tu me le demandes, mais, je ne suis pas pressée et je voulais te connaître un peu plus avant d’aller plus loin. Et, maintenant, dis-moi si ça te gêne si je te demande d’être nue devant moi. Je baisse la tête et je n’ose pas le regarder.Je n’ai jamais été nue devant un étranger. Alors dis-moi, comment penses-tu que tu vas réagir devant des clients.Ils vont me payer eux. Il rajoute. En parlant d’argent, la première chose que tu dois savoir Samantha en faisant ce métier c’est de ramasser le cash.Envoie, décides-toi et viens ramasser les deux billets de cinquante qui traînent sur le bureau et enlève ton imperméable, car, je sais que tu es nue sous ta robe. Comment as-tu deviné. C’est facile, car, tu viens de me dire que tu es ici pour l’argent.Monnaie, monnaie, monnaie.Tu vois, moi aussi, je commence à te connaître. Je lui souris et je me lève en prenant tout mon temps avant de faire glisser mon imperméable par terre. Et, je crois que je surprends vraiment Nico, car, il siffle avant de me dire. J’aime.Tu me surprends vraiment, tu sais Samantha que tu es sautable et j’aime te savoir nue sous cette chemise. À ces mots d’encouragements, ma respiration devient plus rapide. Je regarde ma poitrine se soulever à chacun de mes battements de c?ur et je suis fière que mes mamelons se pointent fiers comme des soldats au garde à vous comme à toutes les fois qu’ils le font lorsque je porte ce peignoir en satin. J’ose enfin regarder Nico qui s’en lèche les lèvres pour me laisser savoir son appréciation et ses yeux ne quittent pas ma poitrine d’une seule seconde. Moi, qui en partant de chez moi, je ne voulais pas faire aucune séduction, je réagis comme une chatte en chaleur en voyant ce mâle qui me désire et je le provoque davantage en glissant ma main gauche à l’intérieur de mes cuisses. Tournes-toi Samantha et penches-toi le plus possible en prenant tout ton temps pour ramasser ton imperméable. Il veut jouer un jeu avec moi, mais, je vais le jouer à ma façon. J’ouvre les cuisses, j’entre encore un doigt dans ma bouche et je lui dis en prenant ma voix de petite fille.Tu sais que je ne suis pas une pute. Tu dois te douter que ça me gêne, mais, tu veux quand même que je te montre mon petit cul, sans aucun autre préliminaire. Je rajoute.Puis, combien que ça va me payer, si tu es un vrai client. Pour un cent, attends toi à ce que le client désire au moins te voir faire l’exhibitionniste et que ce sois toi qui prenne l’initiative en te dépêchant d’être toute nue devant lui. Puis, pour le même service, tu connais les hommes, ton client va vouloir toucher tout de suite à la marchandise tout en espérant que tu vas lui faire une bonne pipe et il va souhaiter pour le prix qu’il te paye comme escorte que tu oses avaler son sperme en le regardant dans les yeux. Et, il s’attend aussi à ce que ce soit toi qui l’invites à te manger la chatte.Le client s’attend aussi à ce que ce soit toi qui prennes l’initiative de lui installer le condom que tu dois toujours lui mettre s’il y a pénétration. Et, lorsqu’il va venir et s’il insiste pour te décharger dans la face ou sur la poitrine, c’est un autre cinquante de plus. Mais, n’oublies jamais Samantha que tu négocies tous tes services et tu te fais payer avant de commencer, sinon, tu prends de gros risques de juste t’être fait fourrer pour rien, car, un client une fois débandé ne pense plus qu’à s’en retourner au plus vite, surtout, s’il a déjà eu le service et que tu as été trop nounoune pour lui avoir fait cracher le cash. Bon astheure que tu connais les tarifs, la ramasses-tu ton imperméable. Seulement si tu es mon client et que tu me craches le cash. Tu apprends vite, toi, Samantha.Si je te dis o.k., dis-moi, c’est quoi tes services. Elle rougit et elle hésite quelques secondes avant de me dire d’une voix presque inaudible. Pour trois cents dollars, tu as le service complet et tu pourras même me rentrer un doigt dans le cul si ça te tente. Aimes-tu le sexe anal. Je ne peux pas dire, je n’ai jamais été pénétrée dans l’anus. Mais, tu n’es pas contre d’essayer.Peut-être, mais, faudrait que ça paye pas mal plus qu’une simple pénétration. Tu coûtes cher, Samantha, mais, si je te dis o.k., prends-tu un chèque. Seulement s’il est bon. Là, je vais te donner un conseil d’ami.Tu ne prends jamais de chèque, jamais, jamais, jamais, même si ton client est ministre, juge ou la plus grosse vedette de télévision, puis, encore moins, si c’est le réceptionniste d’une agence de rencontre. Elle ri pendant que je rajoute.Retiens bien ça, ça te prend toujours du cash, juste du cash. Nico ouvre un tiroir de son bureau, Je le regarde sortir des billets de vingt dollars. Il compte trois cent dollars à haute voix et il vient pour me les donner, mais, il les dépose sur le bureau en me disant. Ce matin, ça me tente de te magasiner à la carte. Comment ça. Moi, de cette façon, je m’assure que tu vas bien te forcer pour gagner tout cet argent.Et, pour commencer, je veux t’entendre m’offrir tes services. À ces mots, son visage devient encore plus rouge tellement elle semble gênée. Je baise la tête et je regarde ma poitrine se soulever à un rythme accéléré et même sans le voir, je sens son regarder sur mes seins. Je me lève lentement. Je détache les cordons de mon peignoir avant de me décider à lui dire. C’est quoi tes préférences. Je sais que tu es gênée et ce sera plus facile pour toi si tu te tournes dos à moi, mais, j’aimerais bien que tu te penches pour que je puisse te voir les fesses et je veux te voir te caresser la chatte, mais, j’aimerais que tu gardes encore ta chemise.Je suis voyeur et je vais te regarder ainsi jusqu’à temps que tu vas te faire jouir.Et, comme client, ce serait gentil d’entendre le bruit de succion de tes doigts qui vont barbottés dans ton jus de plotte et de voir couler ta mouille sur tes cuisses pendant que tu vas te masturber comme une salope en mal de sexe.Après Samantha, tu vas te tourner pour être face à moi et tu vas te lécher les doigts un par un en prenant tout ton temps.Relèves la tête et dépêches-toi à venir ramasser le cash en me regardant dans les yeux. Je suis une femme gênée, mais, j’aime bien ça que tu me dises quoi faire et tu vas voir que je suis une femme qui apprend vite. Je le sais que tu es gênée, mais, je n’aurai pas besoin de te dire quoi faire, car, je sais par expérience que les femmes gênées sont les plus cochonnes. Quoi, tu me trouves cochonne. Oui et j’aime. Et, jusqu’à date, j’aime bien toutes tes réactions de jeune femme gênée, car, je me doute que tu en trembles autant parce que ça te gêne que parce que tu en as envie de te masturber devant moi, sans ça tu ne serais pas rendue ici.Continues à me regarder et glisses tes mains sous ta chemise, car, j’aime savoir que tu te caresser les seins. Après, si tu veux, ouvres un peu les cuisses et dis-toi que je suis prêt à te regarder entrer un doigt dans ta chatte. Je me lève de la chaise et m’avance vers lui. Je me penche le haut du corps et j’ouvre un peu mon imperméable et du même geste je glisse ma main sous le peignoir pour lui donner une vue en gros plan sur ma poitrine. L’instant d’après, je remonte les deux mains sur mon peignoir et les glisse lentement de mon ventre à mes seins. Je veux lui en mettre un peu , car, je veux le décrocher cet emploi très payant. J’entre mes deux mains sous le peignoir et en le regardant droit dans les yeux, chacune d’elles soulève la basse de mes seins. Je les serre fort l’un contre l’autre en les pointant dans sa direction tandis que je lui cache encore une bonne partie de mes seins, car, mes doigts couvrent partiellement mes mamelons que je pince avant de les lui dévoiler l’espace d’un clin d’?il. Nico en bave déjà pour moi, car, ces deux mains ne sont plus sur son bureau et je me doute qu’il se pogne la verge avec. Après avoir refermer chastement mon peignoir sur ma poitrine, je mets un doigt dans la bouche et avec un doigt de mon autre main, je lui fais signe de rester sage, puis, je me retourne pour être dos à lui et je commence lentement à me caresser les fesses en remontant à chaque fois un peu plus le tissu de mon peignoir sur le haut de mes cuisses. Maintenant avec mes deux mains, je les frotte à l’intérieur de mes cuisses en les rapprochant toujours un peu plus de la chaleur de ma chatte. Et, lorsque j’entre un premier doigt dans ma chatte, j’oublie tout pour me donner du plaisir. C’est Nico qui me ramène à la réalité de ce petit studio, lorsqu’il me dit. Je me doute, ma belle, que tu as commencée à pénétrer ton doigt dans ta chatte, car, ta respiration devient de plus en plus saccagée. Je veux lui faire plaisir, j’ouvre les cuisses, je me penche et je relève mon peignoir sur mes hanches, car, je veux qu’il puisse bien me voir les fesses et qu’il puisse ne rien manqué de mon doigt qui pénètre ma chatte à un rythme de plus en plus accéléré. Dis, tu aimes mon cul et tu aimes me voir me masturber. Oui, j’adore et j’avais raison, car, comme je l’avais deviné, tu aimes faire ta salope.Tu as un maudit beau cul, Samantha, j’en bande.Et, ton mari est un homme gâté. J’entre un deuxième doigt dans ma chatte et je les bouge tous les deux de plus en plus vite avant d’y entrer un troisième doigt et le plaisir que je me donne me fait haleter de plus en plus fort. C’est ça ne te retiens pas.Si tu savais comme j’aimerais ça Samantha t’entendre te faire jouir.Les bruits de succion, sont bandants.Samantha, tu es de plus en plus sautable.Et, j’ai hâte de te voir toute nue et de te regarder la chatte d’encore plus proche.Si tu savais, ma salope, comme j’ai hâte de la sentir ta belle chatte de femme en chaleur, de te la manger et de m’enivrer à tes odeurs et de me barbouiller toute la face de ton jus de plotte.Les clients aussi vont aimer et tu vas avoir plus de pourboire si tu fais ta salope devant eux. Tous ces mots m’amène à l’orgasme. Nico le sait lui aussi et il me dit. Tu aimes ça lorsque je te parle de cul.Dis-moi que ça te fait jouir. Et, je veux t’entendre crier que tu viens lorsque tu seras rendue à l’orgasme.Envoies, fouilles-toi et laisses-toi aller en criant si tu veux, jusqu’à la délivrance. Je ne peux plus me retenir et de me faire parler cochon ainsi, c’est plus fort que moi et même si ma première intention était de simuler l’orgasme, le délire de Nico me fait jouir et je crie.Je jouie. Je vis un orgasme et il est tellement fort, surtout de me masturber ça devant cet homme qui était voilà encore moins de vingt minutes un pur étranger pour moi que je continue à crier ma folie. Je jouie, je jouie.Et, ça m’excite tant que pour la première fois de ma vie, je me mets à bégayer. Je la veux cette job et je sais que je dois lui en mettre plein la vue si bien que je fais encore plus ma cochonne et je me lèche les doigts un à un. Je les retourne une deuxième fois à ma chatte pour les tremper à nouveau dans ma mouille en faisant exprès pour faire tout un bruit de succion avec mes doigts que je trempe dans ma mouille avant de les lécher à nouveau en le regardant dans les yeux en ayant mon air de petite fille pris en défaut. Samantha, tu sais qu tu t’en viens pas mal salope.J’aime. Après m’être fouillée ainsi au moins une couple d’autres fois ou peut-être plus, car, j’ai vécu des orgasmes torrides à chaque fois, si bien que j’en ai perdu le compte, lorsque je reprends une respiration un peu plus normal, je lui demande de ma voix la plus sensuelle en m’assoyant et en faisant exprès pour relever une jambe pour avoir le pied sur la chaise pendant que je me retiens quasiment couchée sur cette chaise pour qu’il puisse me voir l’intérieur des cuisses et ma chatte que je lui dévoile avec mes grandes lèvres bien ouvertes. Mes grandes lèvres sont tellement bandées et rendues d’une couleur plus rouge que rose qu’elles dépassent de ma chatte comme à chacune des fois que me masturbe. Nico les regarde comme s’il serait hypnotisé par elles pendant que du jus de ma mouille me coule encore sur le haut des cuisses et il m’en entre même dans la raie des fesses. J’ose enfin lui demander. Nico, est ce que je mérite un bon pourboire. Oui, Samantha, mais, ce sera une surprise. De ma voix de petite fille, je lui demande. Nico, dis-moi, c’est quoi. Aurais-tu le temps de magasiner avec moi, cet après-midi. Pourquoi. Pour t’acheter toutes sortes de belles choses. En faisant ma gênée, je lui dis.J’aimerais bien mais je ne suis pas du tout habillée pour aller magasiner. Au contraire, tu es sexée et très provocante nue sous cette chemise qui met ton corps en valeur.Et, ça va faire plaisir à mon égo de mâle de pouvoir m’afficher en ville avec une belle plotte provocante comme toi à mon bras. Je l’interromps en le laissant rêver son fantasme de mâle pour lui dire. Il me reste un autre deux cents à gagner et moi, je n’ai pas moyen de perdre tout cet argent. Je n’ai pas dis qu’on irait en ville tout de suite.Après le show que tu viens de me faire, tu dois te douter que pour le moment, j’ai bien plus envie de te sauter que d’aller magasiner.Avance jusqu’ici et viens voir par toi-même comme tu me fais bander. Je sens que je rougie encore et je n’ose pas bouger de ma chaise en sachant très bien que lorsque je fais ainsi ma petite fille gênée, c’est ma meilleur carte avec Nico. Je n’ai jamais osé toucher à aucun autre pénis que celui de mon mari. Je m’en doutais, mais, tu aimes le cash et j’aime bien croire qu’au fond de toi, tu désires faire ta cochonne.Et, pour me le prouver, tu vas commencer tout de suite par te lever et venir jusqu’à mon bureau qu’il me dit en faisant encore bouger la série de billets de vingt dollars au bout de ses doigts. Et, il continue en me disant. Puis, c’est toi qui vas détacher la ceinture de mon pantalon.Tu vas descendre le zipper et tu vas me demander de me lever pour que tu puisses retirer mon pantalon et mon caleçon. C’est à moi de jouer. Je veux lui faire plaisir et je l’aurais fait de toute façon. Pour le moment je ne pense plus au cash, car, c’est du sexe dont j’ai besoin. Je lui dis en ayant du troubles pour bien articuler, car, je recommence à bégayer tellement que je suis excitée en espérant qu’il va enfin se lever pour venir me sauter d’une minute à l’autre. Moi aussi Nico, j’ai très envie de me faire caresser partout sur le corps. Mais, avant je veux te regarder dans les yeux le temps que je vais te sucer et j’espère que ça ne te prendras pas trop de temps avant de me venir dans ma bouche, car, j’ai de plus en plus envie de me faire fourrer par ta queue et de me faire bourrer la chatte par ton sperme que tu vas décharger en moi. Dans mon impatience, je veux aussi me faire plaisir, car, pour la première fois de ma vie, je vais me laisser aller à avaler tout son sperme parce jamais jusqu’à date je n’avais voulu le faire avec mon mari même s’il insistait souvent. Aujourd’hui, je suis une autre femme et je me lâche, car, pour une rare fois dans ma vie, je suis ouverte à toutes les expériences. Mais, ça ne se passe pas du tout comme je l’avais prévu, car, lorsque je m’avance jusqu’à lui, Nico me surprend en me soulevant dans ses bras et il m’assoit nu fesses directement sur son bureau. Je n’ai même pas eu le temps de réagir qu’il a retroussé mon peignoir jusqu’à mon nombril. Nico m’a ouvert les cuisses et s’est avancé la tête entre elles en me mordillant l’entrejambe et dans une espace de temps moins long qu’il ne faut pour l’écrire, sa bouche Nico me lape la chatte. Cet homme d’une soixante d’année me broute la chatte comme s’il n’y aurait plus de lendemain pour lui et avec sa bouche, sa langue et en même temps avec une de ses mains qu’il promène indiscrètement à l’intérieur de mes cuisses, sur mon mont de Vénus et en la frottant sur ma touffe de poils pendant qu’avec son autre main, il me pogne les fesses. Cette main entre de plus en plus souvent dans la craque de mes fesses pendant qu’avec son pouce, Nico ne se gêne pas pour me titiller l’anus et en même temps Nico m’entre deux doigts qui me fouillent la chatte, tout ça fait que j’ai orgasmes par dessus orgasmes, je jouie comme une obsédée et je crie à tue-tête ma jouissance lorsque soudain le téléphone sonne.À la troisième sonnerie, Nico se retire la tête de mon sexe pour me dire. Décroches le téléphone et passes-le moi.
Le client Le téléphone a encore le temps de sonner deux autres coups avant que moi, je ne réagisse. Et, lorsque je me soulève l’épaule droite pour prendre le récepteur, Nico me surprend encore, car, pour un homme de cette âge, il est assez rapide et la première chose que je sais, il a glissé sa main sous mon peignoir et il me dévoile complètement les seins. L’instant d’après sa bouche me gobe le sein droit au complet pendant qu’il remonte sa main pour qu’elle m’encercle le sein gauche. Et, pendant qu’il rapproche le téléphone de son oreille et que je suis encore toute surprise de ce qui se passe en le regardant la bouche grande ouverte, Nico en profite pour me donner un baiser à pleine bouche, baiser qu’il fait durer quelques secondes. J’en suis toute renversée de goûter ainsi à ma mouille qu’il fait exprès pour ramener dans ma bouche. Je devine que je suis rouge de honte, pendant que sa langue se livre à toutes les indiscrétions dans ma bouche, mais, c’est plus fort que ma volonté, je réponds moi aussi passionnément à son baiser. Lorsque Nico se décide enfin à dire bonjour à la personne qui l’appelle, je prends le temps de bien goûter l’intérieur de ma bouche et j’y trouve un certain petit goût lorsque Nico se soulève le corps en mettant tout son poids sur mon ventre pour une fraction de seconde. Je viens bien prêt de perdre le souffle et je dois avaler de nombreuses fois, si je veux finir par respirer à nouveau normalement. Nico me regarde faire et il en ri en me faisant un clin d’?il avant de dire à son client. ?a coûte cher ce que tu me demandes-là, mais, c’est toi le client et c’est toi qui paye. Pendant qu’il parle ainsi avec son client, je me regarde étendue sur ce bureau et je vois une femme couchée impudiquement en face d’un homme qui moins de quinze minutes plutôt était un parfait inconnu. Mon peignoir est grand ouvert dévoilant mes seins, mon ventre et tout le bas de mon corps pendant que j’ai autant les cuisses que la chatte ouverte au maximum. Ma poitrine bat la chamaille à chacun de mes battements de c?ur, mes seins se soulèvent sans arrêt et mes mamelons qui eux comme pour me narguer durcissent encore plus pendant que je suis toute échevelée et que je reste ainsi sans réagir comme une marionnette désarticulée pendant que cet étranger parle au téléphone en ayant le visage à quelques pouces au dessus de mon corps et qu’une de ces mains me tripote les seins. O.K., tu me dis que vous allez être cinq hommes pour la soirée. La personne au bout du fil doit lui avoir dit autre chose car Nico enchaîne.Je peux te trouver ça facilement, mais, ce n’est pas la politique de mon agence et je ne laisserai jamais une femme seule aller à un rendez-vous avec cinq hommes.L’autre semble l’avoir interrompu pour quelques secondes avant que Nico ne lui dise. O.k., je sais que ça va te coûter pas mal plus cher mais d’un autre manière, ce serait un plus pour ton party si je t’envoie deux filles, mais, c’est toi le client, c’est à toi de décider. Je panique en réalisant que Nico veut m’envoyer pour ma toute première sortie dans un party privé avec cinq hommes. J’essaie de me soulever en pensant sérieusement à ficher le camp de l’agence, mais, Nico, interrompt sa conversation en disant à son client qu’il a fait patienté une de ces escortes sur l’autre ligne et qu’il va lui revenir dans quelques secondes. Nico se dépêche de me chuchoter. Du calme, la grande, ce n’est pas ce que tu crois.Le client veut deux femmes pour un show de lesbienne.Il rajoute comme pour lui-même.Ils se disent des hommes d’affaire et des décideurs, mais, la gang d’hypocrites, ils n’ont même pas les couilles pour vous sauter devant d’autres membres de leur bureau de direction Ouf, je n’ai jamais été si soulagé même si je réalise qu’il faudra que je fasse l’amour à une autre femme pour la première fois de ma vie et en plus devant une audience de cinq hommes et tous des étrangers, mais, je commence à croire que je vais bien aimer être une escorte. Nico demande à son client s’il peut le rappeler dans deux minutes.
Premier contrat Pense vite, car, le client aime mieux attendre sur la ligne. ?a te convient-tu, pour ce soir, Samantha. Soulagée de ne pas avoir à faire l’amour avec cinq hommes, je suis prête à accepter n’importe quoi. Je me mords encore le doigt et je lui fais juste signe avec ma tête que c’est O.K.en ne sachant pas dans quoi je m’embarque. Nico doit le réaliser lui aussi, car, il me fait un clin d’oeil avant de me dire.Peux-tu me trouver une autre femme avec qui tu aimerais faire ça.Fais toi aller les méningues, en as-tu déjà parlé, comment que ce ne serait juste en avoir fait allusion avec une de tes amies ou copines.Tu sais ce que je veux dire, des conversations de filles, parfois, il y en a qui se vante.Est-ce qu’une copine t’a déjà parlée de bi sexualité.Je lui fais signe que oui. Accouche, c’est qui. J’hésite une fraction de seconde avant de lui dire.Mon amie Marie. Qu’est ce que tu attends pour l’appeler. Tout de suite, sans autre préambule. On n’a pas le choix et ça va être très, très, très payant pour vous deux en plus d’un très bon bonus pour toi si tu me recrute une nouvelle escorte.Il me dit d’y réfléchir et il reprend le téléphone pour dire à son client. J’ai une nouvelle recrue et elle vient de me dire sur l’autre ligne qu’elle est bien d’accord pour ce soir.L’autre lui pose d’autres questions et Nico me surprend en lui disant d’attendre encore une couple de minutes au téléphone. Nico glisse ses mains sous mes cuisses et il les ramène sur ma poitrine. Le salaud pendant qu’il me retient ainsi, me fouille avec son nez et sa bouche avant de me laper encore une fois la chatte en me passant la langue à la grandeur de mon sexe. Nico me lèche même la raie de cul en m’écartant les fesses et en dardant plusieurs fois sa langue contre l’ouverture de mon anus. Le téléphone tombe sur le bureau et durant quelques secondes j’entends très bien le client qui s’impatiente au bout du fil pendant que je dois me retenir pour ne pas crier parce que Nico m’a amené une autre fois à l’orgasme. Justement, il me chuchote à l’oreille. Pense fort à ce que tu vas dire à ta copine pour la convaincre pendant que je vais parler avec notre client.Il me pince un mamelon pendant qu’il me fait un autre clin d’?il. Nico reprend son téléphone pour dire à son client. Laisses-moi, ton numéro de téléphone et je te rappelle d’ici quinze minutes.De toute façon, avec mon agence, c’est sur que j’aurais deux escortes pour ce soir et crois-en mon expérience, même si c’est deux jeunes recrues, avec le show qu’elles vont vous faire,vous allez en avoir pour votre argent. L’autre lui parle encore un petit bout de temps pendant que Nico me fait signe que ce n’est seulement que du blabla, ce qui nous fait sourire tous les deux. Fais moi confiance, je n’envoie jamais d’escortes si je ne les aurais pas vu faire leur show avant. J’en connais déjà une, celle-là, elle peut te faire bander juste avec son sourire. La salope, elle d’abord qu’elle se fait manger la chatte, elle jouie et elle est très démonstrative. Elle vaut le coût du show juste pour la voir se démener comme une salope en chaleur. Puis, j’ai toute l’après-midi pour vérifier leur show de lesbienne et pour pouvoir leur donner des conseils, s’il le faut. Nico écoute son interlocuteur. Si je les saute. Devine. Je ne suis pas rendu en charge de mon agence d’escorte pour rien. Et, c’est moi personnellement qui leur fais passer tous les testes. Ce soir je vais t’envoyer que de la classe. Tu me connais, j’en mets mon honneur en jeu de toujours satisfaire le client. Mais, si tu veux que ce soit prêt pour ce soir, tu me laisses une quinzaine de minutes, car, je dois faire un ou deux téléphones pour savoir qui sera disponible. Puis, casses-toi pas la tête, comme je vais leur dire que c’est très payant, celle que j’ai en tête pour ce genre de show, va même modifier son horaire pour se faire plus de cash en allant à ton party. Bye, à bientôt. Il raccroche, il prend le temps de me mordiller un sein avant de me dire en me mettant le téléphone dans les mains. Appelles ton amie Marie. Marie Je n’ai jamais été si nerveuse lorsque Nico me met le téléphone dans les mains. J’ai bien peur de faire la plus grosse folie de la journée. Tant que ça ne concernait que moi, j’étais capable de gérer ça, mais, d’embarquer dans la danse, ma seule vraie amie, ça me revire tout à l’envers.Nico me donne une tappe sur l’épaule pour m’encourager et il me dit. Plus que tu vas attendre, plus que tu vas être nerveuse. Pendant qu’il parlait à son client, je me remémorait ce qu’on c’était dit ce matin, Marie et moi lorsque je lui avais dis que j’allais passée une entrevue pour la job d’escorte. Elle n’avait même pas été surprise de ma démarche parce qu’hier elle s’était aperçue que je louchais souvent vers cette petite annonce lorsque nous recherchions ensemble des emploies qui pourraient me convenir. Puis, ce matin, elle m’a même dit en farce.Vas voir et si tu me dis que c’est vraiment payant. Moi aussi, ça va me tenter, mais, elle a aussitôt rajoutée. Je ne me vois pas faire l’amour avec de purs étrangers, mais, maudit que j’aimerais ça, moi aussi, faire une vraie ’run de cash’ comme disent mes trois frères lorsqu’ils partent dans le grand nord pour leur ’run de diamond drill’. Hello Marie, c’est moi.Je crois que je suis après faire la plus grosse folie de toute ma vie et j’ai bien peur que si je te dis c’est quoi, tu vas me fermer la ligne au nez et que tu ne voudras plus jamais me parler. Comment ça, je suis ton amie et je vais te soutenir dans tout ce que tu entreprends. Contes-moi ,ce qui se passe. C’était quoi, ce genre d’entrevue pour que tu sois si bourleverée.Tu ne t’es pas fais violée au moins.Puis, dis-moi tout de suite où est-ce que tu es et je vais aller te chercher. Tu n’es pas blessée au moins. Non, non, Marie, mais, c’est pire que ça, ça te concernes. Comment, ça, ça me concerne, expliques toi. C’est là que ça va faire mal. J’ai même peur de te le dire et je ne sais pas encore comment te le dire. Accouche. O.K., mais avant, tu me jure que tu vas restée, mon amie. La grande, je serais toujours ton amie, même si tu me disais que tu as tiré sur quelqu’un. Ben, je ne suis pas si folle que ça, mais, ça reste encore à avoir avec ce que j’ai à te demander. Puis, là, ça va me prendre un grand respire avant de me décider à te dire que j’ai besoin de toi. Comment ça.Parles, tu es après me faire prendre les nerfs.Dis-moi, de quelle manière que je peux t’aider et je serais-là le temps de le dire. Tu viens de le dire, je veux que tu sois avec moi. Expliques toi. Je prends un bon respire et j’en renifle un bon coup avant de me lâcher pour de bon. Marie, écoute-moi et jure moi que tu ne vas pas m’interrompre avant que je ne t’ai tout dis.Marie, je veux que tu me le jures sur notre amitié. Tu sais bien que je te fais confiance. Alors, jure-le moi, si tu veux en savoir plus.O.K., je te le jure, mais, dépêches toi de me dire ce qui te bouleverses tant. Marie, tu devrais me voir, j’en tremble et je m’en mords les doigts juste à penser à ce que je te demande. Envoies, accouches.Laisse-moi reprendre ma respiration. Accouches. Marie, j’ai fais le grand sot.C’est quoi, encore ça. Marie, ne me juge pas trop vite. Tu sais dans quel trouble je suis depuis une semaine. Tu sais ce que je veux dire, le loyer, la nourriture et tout le reste. Marie, j’ai dis o.k. pour la job d’escorte, puis, j’ai un contrat ce soir même.Le gros trouble, c’est qu’il faut que je me trouve une autre femme pour travailler avec moi parce qu’ils vont être cinq clients et après ce que tu me disais ce matin en pensant à un coup d’argent, j’ai pensé à toi, Marie. Je lui ai dis ça toute d’une traite et je dois m’arrêter de parler pour pouvoir reprendre mon souffle. J’entends Marie qui respire fort au bout du fil et comme je la connais, je sais qu’elle réfléchie à pleine vitesse et sa réponse va me rebondir dans la face d’une seconde à l’autre, car, Marie est encore plus impulsive que moi. Puis, avant qu’elle ne me chante des bêtises et qu’elle ne me ferme la ligne au nez, j’enchaîne toute d’une traite.Le contrat, c’est pour un show de lesbienne. Et côté monnaie, tu as les même taux que moi. Ouf, je t’ai tout dis Marie. Maudit que tu dois me trouver folle, mais, s’il vous plait ne raccroches pas tout de suite. J’en tremble de tous mes membres lorsque j’entends la voix de Marie qui semble fâchée et qui me dis.Ton hostie de maquereau doit avoir une maudite belle langue pour t’avoir convaincue à dire oui si vite parce tu ne t’es pas garder grand temps pour réfléchir.Je n’en reviens pas, toi, ma meilleure amie, une escorte. Puis, tu penses que je vais embarquer de même dans ton jeu.Moi, il me faut du temps pour réfléchir et analyser le pour et le contre, mais, tu sais que je suis encore plus impulsive que toi et si toi, une femme réfléchie, tu es capable de faire ça sur un coup de tête et simplement pour du cash. Tu me connais et tu sais que je suis aussi folle que toi et même plus avec ce que je m’apprête à te dire parce qu’avant de changer d’idée, je vais te dire O.K.,o.k, je suis prête à te dire oui, mais, tu me dis comment ça paye. Je me mets à pleurer et c’est encore Marie qui me console en me disant.Arrêtes de pleurer et maintenant, racontes moi toute ton entrevue. Comme je ne suis pas encore capable de dire un mot, Nico m’enlève le téléphone des mains et il lui dit. Marie, c’est Nico de l’agence d’escorte Isabelle, peux-tu t’organiser pour venir nous retrouver à mon bureau. Je paye le taxi et la gardienne. Nous allons discuter tous les trois, Samantha, toi et moi. Passes la moi, j’ai encore des choses à lui dire avant de changer d’idée. Tu t’appelles Samantha, maintenant. C’est quoi comme joke. Mon nom d’escorte. Puis, moi, il sait que je suis Marie.Moi aussi ça va me prendre un nom d’artiste. Il a dû se faire aller la langue pas mal pour te convaincre si vite.Oui, Marie, puis dans les deux sens. Tu sais ce que je veux dire. Tu sais nous deux quand on dit qu’un homme sait se faire aller la langue, puis, qu’on ri comme deux folles. Quoi, tu t’es déjà fais manger, ma salope. Oui, et j’ai jouis comme une salope tout le temps qu’il m’a mangé la chatte et qu’il m’a caressé partout sur le corps avec ses mains. Nico m’arrache le téléphone et il dit à Marie. J’ai commencé à lui faire passer tes tests et celui-là, c’était le deuxième. Passe moi Chantal, je veux dire Samantha. Marie, je suis là.Ta petite robe sexée a fait effet, tu ne l’as pas eu longtemps sur le dos à ce que je vois. C’est tout le contraire, à la dernière seconde, j’ai décidé d’y aller habillée simplement de mon nouveau peignoir en satin blanc. Mais, il faut que je te dise qu’il ne recouvre plus grand-chose. Marie, toi, qui est si ricaneuse, tu rirais comme une folle de me voir. Je suis grimpé nu fesses sur le bureau de Nico pendant qu’il se tient debout entre mes cuisses grandes ouvertes et en plus, j’ai les seins à l’air, mais, comme je suis encore un peu pudique, car, j’ai encore mon peignoir sur les dos. Marie, pour te conter comment ça s’est passé, lorsque l’on s’est entendu Nico et moi pour que je sois escorte, Nico a commencé par me demander de me caresser la chatte parce que c’est vrai un mâle et comme tous les mâles, il aime bien être voyeur. Marie, faut que je te dise que je l’ai fait avec enthousiaste et comme une grande en me retournant et en me penchant devant lui pour qu’il me voie me masturber. Puis lorsque je me suis rapprochée de son bureau en ayant en tête de lui faire une pipe royale, Nico m’a couchée sur le bureau et l’animal m’a ouvert les cuisses et il m’a fait l’amour oral comme un expert. J’ai jouis et pour la première fois de ma vie, je me suis laissée aller à crier comme une folle pendant qu’il m’a fait jouir à répétition en me mangeant la chatte. Après qu’il m
