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L'espionne qu'on aimait trop

Chapitre 1

Lesbienne
C’est le premier jour de travail de Cynthia à l’ambassade de Russie en France. Fraîchement embauchée pour assister une conseillère diplomatique, elle prend rapidement ses marques dans ce bâtiment du XVIème arrondissement, fait rapidement connaissance avec le reste de l’équipe.
Une semaine après, elle correspond au modèle de l’employée-type : comme tout le personnel de l’ambassade, elle passe une partie de sa pause déjeuner dans le Bois situé en face. Comme tous le personnel, elle a appris à être rapide, efficace, discrète. Seulement, contrairement au reste du personnel, la fidélité de Cynthia ne va pas à la Fédération de Russie mais à la République française, plus particulièrement à la Direction Générale des Services Intérieurs : Cynthia est ce qu’on appelle communément une espionne.
Le choix de la DGSI n’a évidemment pas été laissé au hasard : de par une ascendance familiale issue de Minsk, Cynthia parle plutôt bien russe. Elle bénéficie également d’un physique discret : le visage fin, les cheveux noirs et soyeux constamment coiffée en queue-de-cheval, ce n’est pas une des James Bond girl qu’on ne voit que trop fréquemment dans les œuvres de fiction ; mais plutôt une femme mignonne, au charme discret, ni trop jeune pour attirer les soupçons, ni trop âgée, évoquant la femme trentenaire classique travaillant (efficacement) à la conservation de ses charmes. Charmes dont elle aurait besoin pour exploiter la faille de l’ambassade russe.
Bien que conséquents, ses charmes n’ont cependant pas les moyens à eux seuls de garantir le succès de sa mission. Fort heureusement, aujourd’hui, quel service de sécurité n’a pas les moyens de pirater vos appareils ? De tout savoir de votre vie privée ou publique, connaître vos vertus et surtout vos vices ? Et vice il y a, en la personne de Maryia Petrova. Précisément la conseillère diplomatique à laquelle Cynthia est attachée. Sous ses dehors réservés, cette femme d’un âge avancé conservait pour elle des cheveux blonds toujours chatoyants, et, surtout, une attirance sexuelle constante pour les femmes désirables. Un penchant qui n’a aucun secret pour les techniciens de la DGSI, qui ont sans peine craqué son téléphone au préalable et déniché toutes les informations qui les intéressaient : les visites de cette femme sur les sites pornographiques sont d’une aide précieuse pour explorer ses vices, ses désirs, ses fantasmes vicieux...
Avec ces atouts en poche, Cynthia est d’une efficacité redoutable : grâce à une habile mise en valeur de ses cheveux, elle attire le regard sensuel de la conseillère, qui lui demande vite si « la splendide couleur » de ses cheveux est naturelle.
Il n’en faut pas beaucoup plus pour que les deux femmes se voient en-dehors du travail. Dès la troisième semaine de Cynthia à l’ambassade, elles tombent l’une dans les bras de l’autre à la sortie d’un bar. Elles filent ensuite allés à l’appartement de la conseillère, où l’espionne met à profit ses connaissances sur les goûts de sa supérieure en matière de sexualité... et de perversité.
Cynthia prend un malin plaisir à ouvrir ses jambes pour y laisser entrer la langue de sa cible, la sentir explorer son intimité... Maryia s’avère être une experte en godes plus fantasques les uns que les autres, dévoilant un goût pour la débauche qui fait très « Russie des tsars ». Un challenge auquel Cynthia s’était évidemment préparé...______Quelques jour après avoir couché avec sa patronne, Cynthia descend le boulevard des Invalides, dans le 7ème arrondissement. Elle s’installe à l’intérieur d’un café, seule à une table d’où elle peut embrasser l’entièreté de la pièce. Rassurée, elle déplie un journal et attend une bonne vingtaine de minutes.
Une femme au visage austère, les cheveux roux coupés courts, vient la rejoindre. Vêtue d’un haut noir qui dévoile sa fine taille, elle s’assied avec autorité à la table de l’agente, commande un café noir et engage la discussion : — Salut. Tout se passe comme prévu ?— Sans problème. A mon avis, elle ne se doute de rien et je commence à avoir les coudées franches.— Bon, très bien. On a reçu de nouvelles informations sur ce qu’on cherche. Apparemment, l’espion russe en France communique avec ses officiers via une messagerie cryptée, ce qui signifie qu’on ne peut pas la pirater. On va devoir accéder directement à un ordinateur, mais la division informatique est sur le coup. On va te filer un logiciel espion et on pourra enfin choper cet enfoiré. Compris ? — Compris.— Et surtout, continue de la travailler au corps, si tu vois ce que je veux dire. Comment elle est, au lit ?-...— Pas de chichis avec moi. Tu es en mission, je suis ton officier traitant et faire en sorte que cette gouine t’ait à la bonne, c’est notre job à tous les deux. Alors mets-y les formes quand vous êtes en pleine action. Je veux que tu la fasses jouir comme jamais dans sa vie, que tu puisses continuer à fouiller tranquillement.— Oui, Marine.— On connaît même les modèles de lingerie qui lui font envie. Tiens » dit-elle en lui tendant une feuille A4, « je te laisse le choix. Tu vas être belle comme un cœur, là-dedans.— Compris. Merci.— Si tout est clair, alors allons-y. Pars en première, histoire que je puisse vérifier que tu n’es pas suivie.
Cynthia est étrangement émoustillée d’avoir parlée de sexe avec son officier traitante. Bien sûr, cela fait partie de la mission, mais jamais elle n’avait parlé comme ça, sans détour, de ce qu’il se passait concrètement dans le lit où elle concluait sa séduction. Sans être mal à l’aise, elle ressent une pointe de gêne, comme quand Maryia lui a mis une main au fesse la veille...
Les deux femmes font comme convenu et Cynthia se lève de table avant sa supérieure. En partant, un miroir du café lui renvoie le regard de Marine, braqué sur sa démarche. Après un court instant, l’espionne pense qu’elle se fait des idées et sort de l’établissement._________Le soir même, Cynthia se retrouve dans la chambre de sa cible, exhibant fièrement un magnifique body en dentelle qui trace des motifs sexy sur son corps. Alors que Maryia admire les dessins formés sur la peau par le tissu, son amante se retourne pour mieux dévoiler ses arrières, surtout le bas du body qui se refermait dans la raie des fesses, laissant les deux globes bien peu couverts par la dentelle...— Ce sont de magnifiques fesses que tu as là...— Elles sont toutes à vous, Madame la conseillère...
La russe ne peut se retenir d’embrasser la belle espionne, les deux femmes finissent vite sur le lit et mélangent leur fluide d’une manière... sauvage, pour le moins. Maryia est irrésistiblement attirée par le body, elle passe les mains comme elle le peu sous le tissu, tentant de caresser la peau de la française. Mais son attirance pour des jeux plus pervers prend le dessus et elle sort vite un long jouet d’une commode, un jouet que toutes les deux s’enfoncent en elles. Pour Cynthia, tous ces jeux sont une nouveauté, mais ces défis-là ne lui font pas peur. Elle est convaincue qu’elle peut toujours plus s’enfoncer dans l’univers dans sa cible, rentrer complètement dans son esprit, être l’espionne parfaite.
A force de jouer des reins, elles arrivent à se baiser mutuellement avec le gode, chatte contre chatte, fesse contre fesse. La russe, plus âgée, montre son expérience, mais la française ne se démonte pas et fait connaître à sa partenaire une extase perverse.
Alors, dans un dernier râle, Maryia lui confesse qu’elle est la gouine la plus cochonne qu’elle ait connu depuis longtemps. Alors, en dissimulant un sourire, l’espionne se félicite de suivre aussi bien les ordres.
La partie ne fait que commencer.
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