Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 75 J'aime
  • 3 Commentaires

L'espionne qu'on aimait trop

Chapitre 2

Lesbienne
— Excusez-moi un instant, Cynthia. Pourriez-vous venir avec moi deux petites minutes ?— J’arrive, Mme Petrova.
Cynthia suit sa supérieure en dehors de l’espace de travail, se demandant si cela avait quelque chose à voir avec sa mission. Maryia l’emmène dans un bureau désert à l’étage supérieur.
Sitôt la porte fermée, elle se jette sur son assistante, qui ne peut que se laisser emporter vers le canapé qui meuble la petite pièce. Le bruit de succion des lèvres qui l’embrassent est tout simplement orgasmique. « J’attends toute la matinée de pouvoir te toucher et j’avais repéré que ce bureau était tout le temps désert à cette heure. Tu as apporté ce que j’ai demandé ?
— Bien sûr, Madame...
Cynthia abaisse lentement la fermeture éclair de son tailleur, pour révéler des collants sombres à motifs brodés, puis une sublime culotte en dentelle. La Russe est comme hypnotisée, puis colle son nez sur la dentelle.
— J’avais tellement envie de renifler ta belle chatte ! — Que vous êtres vulgaire, Madame ! — Et alors ?— Alors, ça m’excite !
De fait, entendre ce langage parlé avec le délicieux accent russe de la conseillère suffisait à émoustiller le plus rigoriste des prêtres. Même sous couverture, Cynthia ne boudait pas son plaisir de sentir son minou fouillé par la langue de sa supérieure, cette Russe entre deux âges aux instincts pervers. La langue qui tourne autour de son clitoris, les doigts qui parcourent lentement les fleurs brodées sur les collants...Elle pense une seconde au jugement de son agent traitant si elle lui disait qu’elle prenait plaisir à plonger à ce point dans la perversité, à jouer à ce jeu avec plaisir. Elle eut un flash du visage masculin de sa véritable supérieure, ses cheveux roux coupés courts, les taches de rousseurs sur ses joues...
La Russe interrompt ses pensées en venant l’embrasser goulûment.
— Quelle sauvage vous êtes avec moi ! — Ca fait longtemps que j’attends de pouvoir m’éclater comme je me l’entends ici ! Tu sais depuis combien de temps il n’y a pas eu de gouine ici ? Tu es une perle rare, ma belle. J’entends bien profiter de toi...
La main de Maryia vient appuyer ses paroles et pince délicatement les fesses de notre espionne...
—... Comme je l’entends ! — vous me flattez...— Surtout que tu as un goût certain en matière de lingerie...— en fait, ce qui vous plaît c’est de vous taper une Parisienne ! — peut-être... mais toutes les Parisiennes n’ont pas d’aussi jolies fesses... tourne-toi, veux-tu ?
Avec amusement, Cynthia pivote lentement, laissant ses fesses libres d’être caressées. Maryia descend encore, pour cette fois mettre le nez sur la dentelle, dans la raie des fesses creusée par le tissu... c’est un de ces moments où Cynthia perd petit à petit le contrôle, où elle oublie petit à petit ce qu’elle est et ou elle perd le contrôle... s’offrir de cette façon, sentir la langue de la Russe jouer avec sa raie des fesses, tout ceci la rend folle, folle de décadence...
Un bruit se fait entendre dans le couloir.
Les deux femmes se regardent un instant, sans faire de bruit, avant de se rhabiller en vitesse. Quand elles sortent du bureau, plus personne. Elles regagnent tout de même leurs bureaux, l’air de rien, juste avant la pause déjeuner. Les deux femmes sortent pour aller manger, mais Cynthia se souvient avoir oublié un bijou dans le bureau où, quelques instants auparavant, elle prenait du plaisir. Elle laisse sa supérieure sortir et retourne dans l’ambassade.
Elle remonte les escaliers, mais au lieu de remonter vers le bureau en question, elle bifurque vers les espaces de travail. Elle sort son téléphone et appelle Marine, son agent traitant à la DGSI : » Chef, j’ai une fenêtre d’opportunité. Je passe à l’action, je vais installer le logiciel espion sur l’ordinateur de la cible.
— Cynthia, ne fais rien ! C’est trop tôt pour agir, tiens-t’en au plan ! — Négatif. J’ai éloigné tout le monde, c’est maintenant ou jamais. Si je ne le fais pas maintenant, je n’aurais pas un moment sans avoir la cible sur le dos avant longtemps.— Cynthia, reste...— Chef, je raccroche.— Merd...
Cynthia coupe le juron de sa supérieure. Elle a conscience de briser les règles, mais quand la DGSI aura un accès direct aux communications de l’ambassade, ils auront qui est l’agent soviétique infiltré en France et elle sera chaudement félicitée. Elle détestait désobéir à sa belle supérieure, mais le jeu en valait la chandelle.
L’agente s’installe devant l’ordinateur et branche la clé contenant le malware. En quelques minutes, le logiciel est sur le point d’être installé et Cynthia se prépare à lever le camp, quand tout d’un coup, l’écran s’éteint directement. Elle tente de le redémarrer, mais plus aucun courant ne semble alimenter l’appareil. Elle rage intérieurement et se lève pour chercher le problème quand elle voit Mariya dans l’encadrement de la porte, un pistolet à la main.
— Pas la peine d’insister, j’ai coupé l’électricité.— Maryia ! Mais comment...— Je surveille mes arrières, tout bêtement. Je sais instantanément quand mon ordinateur s’allume. Vous n’avez pas cela chez vous ? De quelle agence tu viens, d’ailleurs ? Tu es française ? Israélienne ?
Pas de réponse de l’espionne, qui serre sa clé USB dans le poing.
— Bon, ça ne fera pas de différence, de toute façon. Hors de question que parte maintenant de France. Par contre, toi...
Le corps de la Russe convulse soudain, comme frappé par une décharge électrique. Elle s’effondre à terre, inconsciente, et le pistolet atterrit aux pieds de Cynthia. La silhouette de Marine, l’officière de Cynthia, apparaît là où la Russe se tenait un instant auparavant, un taser à la main.
— Marine ! — Les ordres sont faits pour être suivis, Cynthia.— Je... je suis...— Désolé, oui, je sais. Je sais aussi que si je n’étais pas postée en surveillance devant l’ambassade, tu serais à la merci des Russes en ce moment même. C’est ta petite séance de baise avec elle qui t’a rendue si imprudente ?
Cynthia ne peut même pas esquisser une réponse.
Marine ferme la porte, ligote le corps inerte de la Russe et marche directement vers Cynthia, puis se fige devant elle.
— Je t’ai posé une question.
Les deux femmes restent quelques instants face à face, les yeux dans les yeux.
La bouillante rousse, les yeux durs et froids, met fin à l’ambigüité de sa tirade en embrassant Cynthia à pleine bouche. La décharge d’énergie est immédiate : elle passe quelques instants les bras en l’air, ses mains ne sachant que faire, avant de lentement les redescendre vers les courbes masculines de sa supérieure. Plus que sa simple supérieure, son agente de liaison... qui était en train de la peloter à fond, sa main ferme frottait même l’entrejambe de son tailleur. C’est tout bonnement trop chaud...
— Alors ? C’est assez pervers pour toi ?— Vous êtes folle, si jamais quelqu’un appr...— Tais-toi ! Tu as besoin d’être dressée, comme toute bonne agente doit l’être. Et je vais personnellement m’en occuper, ma petite salope... je sens déjà que ta petite chatte est bien humide...
Et elle avait raison, l’assaut coordonné avait réduit les défenses de Diane à néant. Prise par surprise, elle arrête de réfléchir et cède petit à petit à sa supérieure, qui plongeait le visage dans le chemisier garni de Cynthia. Seconde par seconde, ses dernières résolutions s’effondrent. C’est trop pour l’esprit mal tourné de la pauvre espionne... elle sent les doigts passer sous son tailleur, aller directement titiller sa culotte en dentelle...
Marine arrête soudainement d’embrasser ses seins, la regarde un instant dans les yeux :
— en mission, tu dois te fermer à tout, tout le monde, y a que moi qui ait le droit de faire vraiment jouir...— Oui, Marine, oui... allez-y, je vous appartiens...— tu aimes que je mette mes doigts en toi.— c’est... ah... C’est trop bon...— Tu auras le droit à la manière forte, je te le garantis...— oui... oui... oh oui, allez-y plus fort...— je dois te punir...— Oui... oui... ah ! ah !
Même la perversité bestiale de Maryia ne l’avait pas préparé à ça. Marine glisse trois doigts dans son vagin, les remue par à-coups brutaux. La pauvre Cynthia, peu habituée à ce traitement de choc, prend tout de même vite la mesure de cette stimulation et des vagues de jouissance affluent en elle.
Regardant sa supérieure, elle détaille sa figure androgyne, ses lèvres fines, ses yeux bleus clairs... toujours sous l’effet du doigtage hard, elle passe une main dans les cheveux roux de sa patronne...
— vous... vous êtres vraiment belle, vous savez...— silence, petite salope...
Cynthia pousse alors de petits cris de jouissance, pendant de longues secondes. Secouée de spasmes multiples, elle sent à peine les mains de Marine courir le long de ses fesses.
Cette dernière cueille un baiser sur les lèvres de la brune, avant de coller sa bouche à l’oreille et de murmurer :
— et maintenant, si tu es vraiment aussi obéissante que tu le prétends, fais-moi jouir...
L’esprit de Cynthia se mit en marche, comme déclenché par un interrupteur. Elle se met à genoux et, en moins de temps qu’il faut pour dire "gouine", elle baisse d’un coup le pantalon noir, la culotte sportive que sa supérieure portait et se met à donner de grands coups de langue sur les lèvres extérieures de l’organe humide qui lui faisait face. Marine tient entre ses mains ses longs cheveux bruns, la fait lécher les poils roux qui entourent sa chatte.
Marine jouit dans un râle contenu, laissant de longes traînées de cyprine couler le long de son apprentie. Ce qui n’empêche pas les deux femmes de se lancer dans un long baiser humide.
—-----------
Maryia Petrova vit ses lettres d’accréditation devenir caduques et elle fut sommée de quitter le territoire français. Quant à Cynthia, elle resta postée dans l’ambassade, à l’affût de la moindre information susceptible de profiter à la DGSI... Mais, grâce aux visites régulières de Marine, elle se rappelait que sa perversité était mise à noble profit...
Diffuse en direct !
Regarder son live