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L'espionne captive

Chapitre 1

Capturée pendant une mission, une espionne devient l'esclave sexuelle de celui dont elle devait obtenir des renseignements.

SM / Fétichisme
J’ai été piégée trop facilement, je m’en rends compte maintenant qu’il est déjà en train de me caresser les fesses. Mes mains sont retenues au-dessus de ma tête, je ne peux même pas bouger mes pieds, qui sont maintenus à égale distance par une sorte de planche épaisse à laquelle mes pieds sont attachés, comme un pilori. C’est très élaboré pour quelqu’un qui n’était pas censé s’attendre à ma visite. J’aurais dû faire vite, juste voler ce pour quoi j’étais engagée et me barrer. Mais je me retrouve à être le jouet d’une farce sexuelle élaborée, je n’aime pas vraiment les scénarios aussi travaillés dans ma vie intime, qui de toute façon n’est pas ma priorité. J’essaie d’agiter mes mains, je cherche encore un moyen de m’échapper mais je commence visiblement à énerver mon ravisseur car il me claque les fesses violemment et m’attrape par le cou en me murmurant “Reste tranquille ou je révèle ton identité à mon patron.” Je me glace, il sait. Je dois faire tout ce qu’il désire ou non seulement je meurs, mais aussi tous les autres agents. “Oui en effet, il n’y a pas à réfléchir plus longtemps, tu vas devoir te plier à mes ordres.” continue-t-il en me caressant les fesses, cette fois en baissant ma culotte. Il la fait glisser sur mes cuisses, j’entends un bruit de ciseaux et le tissu tombe :”Tu seras plus à l’aise pour la suite, tu verras...” Il va dans une autre pièce, me laissant tremblante et déjà mouillée au milieu de la pièce. Je l’entends fouiller dans des tiroirs, je frissonne à l’idée de ce qu’il va me faire car je ne connais pas grand-chose au sexe, comme je l’ai dit j’ai préféré me consacrer à ma carrière. Je vais tenter de penser à autre chose quand il s’occupera de moi, comme avec la plupart des hommes avec qui j’ai couché, puisque c’était souvent un moyen de leur faire cracher le morceau. Je suis bonne à ce que je fais, mais ce soir peut-être que j’ai tiré sur la corde pour me lancer ce défi (échapper à un pervers SM ? Il y avait peut-être d’autres étapes avant, je ris intérieurement). Ah il revient, je ne vois pas ce qu’il transporte mais il s’y reprend à plusieurs fois : ce mec a combien de jouets ?! (même si encore une fois je ne suis pas vraiment en position d’y échapper, ni même de me moquer de lui.) Il fait couler un gel froid sur le haut de mon cul - oh non, il commence par là - et le masse sur mon anus, pour l’instant fermé. “Je veux que tu comprennes que tu ne décideras de rien tant que tu seras ici” chuchote-t-il en enfonçant d’abord un doigt, puis deux dans mon fondement - je commençais à gémir car contre toute attente il était doué - lentement, en remettant du gel ; je commençais tout juste à aimer ça quand il poussa sa verge entière en moi, me faisant hurler. Il ressortit, pas complètement mais assez pour ne pas me faire pleurer, puis recommença son intrusion mais doucement en me pinçant les tétons. Je pouvais sentir la mouille couler de mon vagin, mais on s’occupait juste de mon cul, qui venait d’ailleurs de se faire dépuceler.
Après dix bonnes minutes, mon tortionnaire arrêta tout d’un coup et me dit “J’adore dépuceler des beaux petits culs comme le tien, c’est si doux et étroit” - il est fort s’il a vraiment remarqué comme ça... - et sortit de mon cul pour se diriger vers mon vagin. “Je savais bien que tu appréciais le traitement que tu subissais” dit-il en me serrant la gorge, “Je vais te garder un peu avec moi.” J’eus un sursaut quand il prononça cette phrase et il rit, ce qui me glaça encore un peu plus : il me fit me pencher en avant, me prenant presque en levrette, et me finit comme ça. J’ai honte d’avouer qu’après tout ça j’ai joui, plusieurs fois même, mais ce sont des sensations que je ne connaissais pas, en plus avec un inconnu pour qui je n’éprouve vraiment rien.
Il me libéra les pieds et me descendit les mains, mais laissa ces dernières attachées - devant moi cette fois. “On va aller se nettoyer, surtout toi” dit-il en riant, me regardant avidement mais de sa manière froide de jauger d’un bon investissement (heureusement je lui servais plus vivante que morte, sinon je serais déjà dans son jardin une balle dans la tête). Il me porta jusqu’à sa baignoire, assez large pour deux, et me fit asseoir dedans, les mains toujours attachées. Il commença à faire couler l’eau, restant à l’extérieur, il prit du savon et commença à me laver le vagin “ça sera plus pratique si tu te mets à genoux”, je m’exécutais et il me prit par la taille pour avoir une meilleure prise j’imagine. Il commença à me caresser le clitoris et l’anus, enfonçant même parfois son majeur dedans “c’est encore dilaté, je ne peux pas résister...” mais j’aimais bien, même si je ne voudrais jamais l’avouer. “Mets-toi à quatre pattes” mais comment est-ce qu’il peut bander encore ? Me dis-je avant de sentir qu’il m’enfonçait un gode de bonne taille dans le vagin. On aurait pu penser, moi la première, que j’en avais eu assez toute à l’heure mais non, je mouillais de nouveau et il pouvait l’enfoncer assez loin dans ma cavité. Je gémissais, il me caressait le visage, puis le voyant sourire, il me fit tourner la tête vers son pénis dressé : j’ouvrais ma bouche aussi grand que je pouvais, car entre mes mains toujours attachées et le fait de me faire baiser par un gode, j’avais du mal à me concentrer. Il me tira les cheveux pour me faire pencher la tête en arrière, je commençais à m’étouffer et crachoter un peu, il me regarda encore une fois en riant cruellement et mit fin à mon supplice en me faisant asseoir dans l’eau chaude, où j’eus enfin un peu de répit.
"Je ne détacherais pas avant d’avoir décidé si je peux te laisser partir, on verra ce que tu sais après une petite séance spéciale demain." J’allais rester ainsi combien de temps, qu’est-ce que j’allais subir, comment j’allais manger et dormir, est-ce que j’allais me faire baiser plusieurs fois par jour (même si cette dernière pensée était excitante) : toutes ces questions se bousculaient mais déjà il avait repris ses caresses, en s’asseyant derrière moi et prenant autant qu’il pouvait mes deux seins, et mes tétons, dans ses mains. "J’arrive pas à savoir si je veux que tu meures ou que tu cries mon nom..." - je ne veux pas savoir non plus, prends-moi, voilà ce que je voulais lui dire, mais je devais rester fidèle à mon job - J’ai dit en frissonnant "Je ne dirai rien, jamais... Mais vous pouvez essayer de me faire parler" car pourquoi ne pas profiter de ce jeu qui pouvait m’apprendre tellement.
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