Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 196 J'aime
  • 1 Commentaire

Essayages

Chapitre 1

Erotique
Grâce à une amie, je venais de trouver du travail dans une petite agence de mannequins. Oh, pas une agence de mode, avec mannequins vedettes et tout, non, une simple agence comme il y en a beaucoup, spécialisées dans les photos pour catalogues de magasins. Des mannequins comme madame tout le monde, des jeunes filles, jolies pour la plupart, mais aussi des femmes plus mûres et même des femmes plus fortes, de quoi satisfaire toutes les clientes potentielles des rayons "prêt-à-porter" de supermarchés. Les photos étaient alors publiées sur les catalogues ou prospectus distribués par divers magasins dans les boîtes aux lettres.Personnellement, j’étais embauchée, non pour faire des photos, mais pour l’administratif. Je côtoyais bien entendu toute la journée les mannequins de l’agence. Les filles et les femmes venaient en petits groupes de deux à quatre, selon les collections à présenter, et selon les plannings établis la veille. Cela pouvait aller de la paire de pantoufles au tablier de la ménagère, en passant par les sous vêtements et même certains dessous coquins.Mon travail me plaisait, je ne gagnais pas beaucoup, le SMIG, mais comme disait Lucien, mon mari, çà mettait toujours du beurre dans les épinards. L’équipe était agréable, l’ambiance joyeuse, et je me plaisais de plus en plus dans ce milieu. J’étais cependant fascinée par ces jeunes femmes et jeunes filles, leur prestance et leur assurance, surtout lorsqu’il s’agissait de présenter des sous vêtements. Elles se changeaient au milieu des autres, hommes ou femmes, techniciens et photographes, dans une indifférence qui m’émerveillait. Moi, je n’aurais jamais pu me déshabiller comme çà, devant des inconnus. Je les enviais un peu. J’enviais leur assurance, mais aussi leur salaire, trois fois le mien! Et plus c’était déshabillé, mieux c’était payé, naturellement.Pendant quelques mois, je me contentais de regarder, amusée et émerveillée, rêvassant quelques fois, me voyant poser parmi elles. Plusieurs mois plus tard, j’observai un changement dans le comportement de mon patron, vis-à-vis de moi. Il me regardait longuement, semblait m’observer de plus en plus souvent. Je ne savais que penser mais n’osais pas lui demander, apparemment mon travail le satisfaisait, alors … Puis un jour il m’aborda franchement.— Dites moi, Vanessa, votre travail vous plaît?— Heu … oui Monsieur.— Appelez moi Laurent s’il vous plaît, comme tout le monde ici. Je vous l’ai déjà dit, non?— Oui Monsieur … heu … Laurent, c’est que … c’est difficile.— Faites un effort. Combien gagnez vous … le SMIG, si je ne m’abuse?— Oui M… Laurent!— Çà vous dirait de gagner plus?— Oh oui, sûrement. Vous savez, on a du mal à joindre les deux bouts, avec la maison, les enfants, et tout çà …— Vous avez 32 ans, c’est çà?— Oui.— Vous avez un physique agréable, un corps bien fait, j’oserai même dire très bien fait. Vous pourriez faire de la photo. Vous n’y avez jamais pensé?— De … de la photo? Mais, je ne sais pas.— Oh, vous savez, c’est pas difficile. Il suffit de prendre la pose que je vous indique, je ne suis pas difficile, nous ne faisons pas de défilé de mannequins. Vous savez, avec l’habitude, çà vient tout seul. Et puis … c’est bien payé. J’ai une secrétaire en trop et … je songe à supprimer un poste administratif, alors … — Mouais, je vois!
Je me mis à gamberger dur et à trembler. S’il supprimait un poste administratif, c’était forcément le mien, dernière arrivée à l’agence! Cependant, il ne me laissa pas le temps de trop réfléchir et reprit:— Çà vous dirait d’essayer? Pour voir!— Ben … je sais pas … oui, peut être. Il faut que j’en parle à Lucien … mon mari.— En parler avec votre mari? Pourquoi? N’êtes vous pas libre de décider seule? Pour vous, c’est une promotion, vous savez. Vous n’aurez jamais une autre chance comme celle ci. Je ne vois pas en quoi votre emploi regarde votre mari! Et s’il dit non, alors? Que ferez vous? Vous obéirez? Au risque de perdre un emploi sur et bien payé?
— Ben … non … mais …— Quoi, mais? Vous avez peur de quoi? Je vous offre de commencer une carrière de modèle, à 32 ans, sans formation, et bien payée en plus. Je ne vois pas ce qu’il vous faut de plus! Bon, soit, disons que je n’ai rien dit, je pensais vous faire plaisir. Çà me chagrine un peu pour vous, je crois que vous faites une grosse bêtise, vous le regretterez certainement, mais … tant pis!— Non, c’est pas çà, vous m’avez prise de court, et … je sais pas quoi répondre, c’est si … soudain.— Alors … c’est d’accord?— Bon, ben … oui, je veux bien essayer.— Ok! Sabine est prévenue. Demain, vous passerez la voir. Elle vous expliquera le travail, vous ferez quelques essais, et elle vous donnera votre emploi du temps. — Bon, je sais pas quoi dire … merci!— Ne me remerciez pas, si je vous offre cette chance, ce n’est pas anodin. Vous avez un corps parfait pour certains modèles. Vous êtes un type de femme recherché et vos formes, si je peux me permettre, correspondent aux jeunes femmes sportives qu’on voit sur les plages. Bien que je n’aie pas encore eu le plaisir de comparer votre silhouette de visu, j’ai l’habitude de juger et vous correspondez à ce que je recherche. — Ah! Bon! C’est pour faire des modèles … de vêtements?— Oui, bien sur! De vêtements et sous vêtements, il va sans dire!— Je … je vais devoir … me déshabiller? Mais … je n’y arriverai jamais! Je pensais que c’était juste des vêtements.— Mais si, vous y arriverez, comme les autres. Vous savez, quand elles arrivent, la plupart n’ont jamais posé, sont très pudiques, et n’osent pas. C’est une question de confiance, c’est tout! Vous avez confiance en moi?— Heu oui … oui!— C’est sur? — Oui, bien sur.— Alors je vais vous prouver que ce n’est pas difficile, que c’est une question de confiance et vous, vous allez me prouver que vous me faites confiance, d’accord? Allez, chiche! Vous me faites confiance ou pas?— Heu … oui. Oh là, là, çà va trop vite pour moi … bon, d’accord.— Très bien Vanessa, suivez moi!— Que … quoi, maintenant?— Oui, maintenant! Si vous n’essayez pas maintenant, le temps que vous en avez la volonté, vous ne le ferez plus, il ne faut pas réfléchir, lancez vous! Allez! Vous avez confiance ou pas?— Oui!— Alors, venez!
Complètement déboussolée, je le suivis comme un automate. Au passage, il demanda à Sabine de le suivre en lui expliquant la situation. Aussitôt, la jeune femme me prit pas le bras. Je me suis sentie plus rassurée. Traversant la salle des maquillages au milieu de plusieurs femmes et jeunes filles plus ou moins vêtues, nous arrivâmes dans un petit bureau, un salon d’essayage qui ne servait que lorsque les filles ne pouvaient se déshabiller devant les autres (petits désagréments périodiques féminins). Une foi dans la pièce, Sabine me prit en charge, m’expliqua ce que je devais faire. Elle me rassura surtout, et me conseilla de faire simplement comme si j’étais à la plage, en faisant abstraction à tout le reste.Effectivement, elle avait raison, à la plage, on en montre souvent plus. Laurent m’avait prise par les épaules, me faisait tourner sur moi-même, m’inspectait. Je n’osais rien dire, me laissant aller entre leurs mains. Puis Vanessa me tendit une robe de mousseline.— Tiens, essaye çà! Tu retires la tienne et tu mets celle là. C’est pas difficile tu sais. Tu portes des sous vêtements?— Heu … oui.— Alors, vas y! Dis toi que tu es à la plage et mets toi en slip de bain! Tu vas voire, çà va aller tout seul. — Bon.
Rougissante, je commençai à déboutonner mon chemisier. Au moment de le retirer je me retournai de dos. Laurent m’interpella.— Restes face à nous, Vanessa. Ne te retourne pas. Tu ne pourras pas le faire en temps normal, alors essayes de te comporter comme en condition de travail. A la plage, tu es bien obligée de faire face aux gens, non?— Ben … oui.
De plus en plus rouge, je me retournai face à eux. Laurent faisait semblant de regarder des papiers, ce qui me donna confiance. Je retirai mon chemisier et apparus en soutien gorge pigeonnant. Le pire était à venir, car j’avais revêtu une petite culotte brésilienne absolument transparente. Je dégrafai ma jupe et la laissai tomber au sol. Cette fois ci, je me retrouvai en slip et soutien gorge, une bouffée de chaleur me montant au visage. Je me baissai pour ramasser le vêtement et le plaçai sur le valet. Puis, debout devant eux, je laissai mes mains croisées afin de cacher mon pubis parfaitement visible sous la culotte transparente. J’étais très gênée et devais certainement avoir l’air un peu empruntée.Laurent releva la tête et me regarda attentivement, ajoutant à mon trouble. Il s’approcha de moi et me tendit la robe. Sabine m’aida à l’enfiler et me l’ajusta. Ses mains expertes se promenaient sur mon corps, le plus naturellement du monde. Je sentais ses doigts courir sur ma peau, sur mes hanches, mes épaules, elle ajustait le vêtement, l’ourlet, et même le bustier, ce qui me fit rougir à nouveau car elle écarta légèrement le décolleté d’une main pour attraper l’un de mes seins de l’autre afin de le placer plus précisément dans le bustier de la robe. Sentir la main de cette fille se refermer sur mon sein me fit frissonner. Laurent me fit un petit sourire, il me regardait de la tête aux pieds et n’avait rien manqué de mon habillage et profité de la vision transparente de mon entre jambes. Voilà, j’étais prête!— Hé bien, voilà! C’est pas si difficile, non? Alors?— Oui … çà va.— Ben vous voyez! On fait des photos pour voir?— Oui, si vous voulez.
Le photographe, c’était Laurent. Il prit son appareil et commença à me bombarder de flash sous tous les angles. On m’indiqua les poses, on m’apprit à sourire, à avoir l’air naturel. Je ne vis pas le temps passer et je me prenais au jeu quand Laurent reposa son appareil.— Bon, très bien Vanessa. Tu as été parfaite. On va se tutoyer, comme les autres ici, d’accord? Ce sera plus facile pour travailler ensemble. Çà va?— Ouais!— Contente?— Oui, assez, je croyais que cela allait être plus difficile, mais çà va. — Donc, tu me fais confiance alors.— Oui, bien sur.— Très bien, alors, déshabille toi et remets tes affaires, c’est très bien.Rougissante encore cette fois, je ne fis pas la timide. Sabine m’aida à retirer la robe et repartit avec, me laissant en slip et soutien gorge, seule avec Laurent. A nouveau, je cachai mon pubis en mettant une main devant.Au moment où je prenais ma jupe, il m’interpella à nouveau.— Attends une petite seconde Vanessa. Je n’ai pas l’impression que tu me fais réellement confiance, je me trompe? Et j’ai besoin d’en être sur au contraire, tu comprends?— Heu, oui, n’ayez aucune crainte, çà va maintenant.— Je veux une totale confiance afin de pouvoir travailler dans de bonnes conditions. Je ne veux pas être obligé de te reprendre pendant une séance, ni risquer de perdre des heures de travail.— Oui, je comprends. Vous n’avez rien à craindre, je vous assure que j’ai confiance.— Alors je vais te tester tout de suite, comme çà on sera fixé!— Comment çà, me tester?— C’est simple. Si tu as confiance, tu fais ce que je te demande et tu ne poses pas de question. Reste comme çà.Je me demandais où il voulait en venir, j’étais toujours devant lui en sous vêtements, seule dans la pièce, et Sabine n’avait pas l’air de vouloir revenir. Je me jetai à l’eau, après tout, c’était mon patron et je devais lui faire confiance, les autres le faisaient bien, sinon, c’était pas la peine de vouloir faire ce métier.— Bon, d’accord. Hem!— Ok, alors pour commencer, retire ta main. Allez, retire la!— Mais … je …c’est transparent … je suis toute nue!— Mais non, tu n’es pas nue. Tu as une culotte, non? Je sais bien qu’elle est transparente, et alors, je l’ai vu, malgré ta main. Rassure toi, je ne vais pas te sauter dessus. Tu sais, il faudra bien que tu en essayes, et il te faudra te changer, alors … allez, un peu de courage!— Hem … bon … ouf, là là. Voilà!— Hé bien voilà, tu vois, c’était pas si difficile que çà. Effectivement, c’est transparent, mais je l’avais vu et c’est pour çà que je voulais que tu le fasses, c’était la meilleure solution pour te décider définitivement: soit, tu refusais, et je ne t’en aurais pas voulu, soit, tu y allais. Et là, c’est très bien, tu as fait le choix qu’il fallait. Tu sais, des filles nues, j’en vois à longueur de journée, alors tu n’as pas à t’en faire.— Je … je sais, mais c’est difficile … c’est la première fois.— Tu n’as jamais fait de nu? Sur la plage par exemple?— Non, jamais!— Même pas de seins nus?— Oh, si, un peu, des fois.— Hé bien voilà! Alors çà ne te gêne pas de te montrer, pourquoi cette réaction, on est des professionnels non?— Oui … je sais bien, mais … c’est pas pareil, comme sur une plage. C’est différent. Et puis … ce n’est pas pour ma … poitrine, çà, çà ne me gêne pas trop, mais …— C’est quoi alors? C’est parce qu’on voit ton sexe? C’est çà?— Hem … oui … — Tu sais, on ne voit pas grand-chose, c’est juste transparent. Tu n’as pas à t’en faire. Et puis j’ai l’habitude.— Je sais. — Je vais faire des photos comme çà. Ne bouge pas!Il reprit son appareil et recommença de me bombarder sur toutes les coutures, seulement, cette fois, j’étais en slip et soutien gorge. Après quelques minutes passées à tourner, prendre des poses, je commençai à me tranquilliser. L’émotion de me trouver ainsi retombait et je me sentais mieux. Je commençais à prendre plus d’assurance sur les poses demandées. Laurent me reprit une fois:— Ne sois pas coincée, aie l’air naturel, oui, voilà. Tourne toi, c’est bien … penche toi en avant, légèrement, oui, avance une jambe et mets ta main en appui sur le genou. Voilà, très bien.Penchée légèrement, il faisait crépiter le flash dans mon dos. J’avais la main droite en appui sur ma jambe droite, elle même avancée devant moi, et je tournais la tête vers la gauche. La position faisait ressortir mes fesses en arrière, et j’en étais consciente, mais je me prenais à l’ambiance. Il revint en face, me plaça un tabouret bas et me fit mettre la jambe droite dessus, le coude droit sur mon genou, ma tête reposant dans ma main. Dans cette position, je me trouvais jambes faisant un grand écart, buste baissé et certainement seins complètement visibles dans ce soutien gorge à balconnet si petit qu’il cachait à peine mes bourgeons. Mes aréoles étaient bien visibles. Il me photographia de nouveau, se plaçant sur le côté, devant, de face, puis baissé, ce qui me fit rougir car je voyais bien qu’il pointait l’objectif entre mes jambes. J’ai failli me redresser, mais j’ai su résister, le laissant photographier ma culotte. Il se remit debout, appareil face à moi, en vue plongeante, je compris qu’il prenait mon buste, et donc mes seins vus dans le soutien gorge. Il me demanda de soutenir mes seins avec mes mains, en les plaçant sous mon sous vêtement. Comme je ne bougeai pas, il me reprit:— Allez, fais le! Fais ce que je te demande, tu verras, tu seras libérée, tout sera plus facile, fais moi confiance. Je ne sais pas encore pourquoi, ni comment, mais j’ai commencé à faire ce qu’il me demandait. J’ai pris mes seins dans mes mains et les ai légèrement soulevés, les rapprochant l’un de l’autre. Je me sentais soudain émue, étrangement excitée. Je soulevais mes seins et il me photographiait. Je sentais mes bouts durcis sortir des bonnets mais, étrangement, je me sentais bien. Il me disait " C’est bien Vanessa, oui, c’est çà, continue … encore … oui, tu vois, tu y arrives, c’est bien. Tu es très belle Vanessa, vas y, montres toi … oui, presses les, presses tes seins, montres moi, montres les, tu est très belle, vas y". Ses paroles me saoulaient, une musique roulait dans ma tête, les flashs m’éblouissaient, tout tournait autour de moi. Je pressais mes seins, j’obéissais sans savoir pourquoi, j’étais euphorique, je faisais tout ce qu’il me demandait, m’enhardissant à chaque seconde, à chaque parole, me penchant plus en avant, présentant mes seins dans mes mains, allant même jusqu’à baisser les bonnets avec mes deux pouces. Je ne trouvai rien à redire quand il me demanda de le retirer tout en mitraillant. Mains dans le dos, je fis sauter l’agrafe et ôtai mon soutien gorge puis je repris la pose. J’étais consciente qu’il ne prenait plus que mes seins en photo, mais j’en étais presque fière, c’était comme si je venais de gagner une victoire, une victoire sur moi-même, à tel point que je ne bougeai pas d’un pouce quand il baissa son appareil en s’approchant de moi. Je le vis mouiller ses doigts. — Attends … reste comme çà, oui tu es parfaite, ne bouge pas!Je le vis poser sa main son mon sein droit puis attraper mon bourgeon. Il le fit tourner légèrement dans ses doigts en le pressant un peu. Puis il mouilla à nouveau ses doigts dans sa bouche, prit mon sein gauche dans sa main comme pour le soupeser. J’étais comme anesthésiée, je ne bougeai pas d’avantage. Il prit mon bout, le pressa légèrement et le fit rouler dans ses doigts. Mes tétons étaient complètement durcis. Un frisson incroyable me parcourut, de la tête aux pieds, tout le long de l’échine. J’en avais la chair de poule. Voyant mon état de dépendance momentané, il reprit mon sein droit dans sa main et le malaxa quelques secondes en faisant des commentaires sur mon corps et sur ma poitrine. Ses paroles me plaisaient, étrangement, me flattaient.— Ouais … c’est bien … tu es belle Vanessa, très belle. Tu as une poitrine magnifique, un corps parfait. Tu es faite pour la photo, la vraie photo. Ton corps est celui d’un modèle. Là … oui, laisse toi aller. Laisse moi durcir ton sein, la photo va être parfaite!Absente totalement, je le laissai refermer ses doigts sur mon sein. Je le sentais sur ma peau. Il me comprimait les chairs, les malaxait sous ses doigts. Je me laissai peloter sous prétexte de faire durcir mes seins. Je fermai les yeux sous l’effet d’un trouble incroyable et sentis ses doigts sur mon autre sein. Cette fois, plus de doute, j’étais l’objet d’un pelotage en règle. Il me caressait la poitrine sans faux semblant et n’avait mis que quelques minutes pour me faire capituler. Je m’étais rendue presque sans combattre. Il me pelota soigneusement et copieusement la poitrine et fit encore rouler mes bouts. Je restais les yeux fermés, bouche ouverte sans protester, sans tenter de le repousser. Je n’ai jamais compris pourquoi.Enfin, il cessa, se recula un peu, ses yeux scrutant mon regard. J’étais cramoisie, un peu honteuse mais étrangement excitée et troublée. C’était le premier homme à oser me regarder presque nue, à part le médecin, et le premier à me toucher depuis que je connaissais Lucien. C’était surtout le premier à qui je permettais de me caresser les seins. Je me sentais toute moite. J’étais trempée entre les jambes.Il reprit son appareil et fit quelques photos supplémentaires, puis parut satisfait.
— Bien Vanessa. C’est très bien. Alors, tu vois, c’était pas difficile!— Non … Ouf … çà va. — Maintenant, je sais que tu es prête. Bon, demain, tu vois Sabine pour les modalités. Et un conseil, reste naturelle, comme tu es, tu es magnifique!— Merci. — Non, c’est vrai. A demain.— Heu … pour les photos …— Oui?— Ben … celles où je suis … sans vêtement …— Ah, oui! Non, tu n’as rien à craindre. Rassure toi, elles ne paraîtront nulle part. C’était juste pour t’obliger à me faire confiance, et tu y as très bien réussi. — Oui, mais … je voudrais pas que …— Quoi? Vas y, dis moi! N’aie pas peur.— Ben … que mon mari … soit au courant … pour çà.— Mais bien entendu ma petite Vanessa. Mais j’espère que tu vas continuer dans cette voie, et continuer à me faire confiance. — Heu … oui, oui, bien sur.— Alors, à demain.— A demain monsieur … heu, Laurent.
Je ne compris pas tout de suite le sens de sa phrase. C’est le cœur léger que je rentrai chez moi. Je sautai aussitôt au cou de Lucien et lui annonçai la nouvelle. Il fut très flatté, et très heureux.— Dis donc, t’as du pot! C’est une sacrée chance, çà.— Ouais!— Et c’est si bien payé?— Trois ou quatre fois ce que je gagne!— Ouah! C’est merveilleux çà. Ecoute, si çà marche, quand tu as ta première paie, j’espère que tu vas payer le champagne!— Çà, c’est sur! On va faire la fête, je te le promets mon chéri. — Mais … et … sur les magasines, t’es habillée quand même, t’es pas …— Toute nue? Mais non, gros bête. T’as déjà vu les catalogues de magasins, non.— Ben, oui, justement … il y a des filles souvent déshabillées dessus.— Mais t’en fais pas, c’est pour des vêtements prêt-à-porter, pour madame tout le monde, pour les supermarchés et les ventes par correspondance, genre jupes, chemisiers, robes, chaussures, quelques fois des maillots de bain, selon l’époque, voilà, t’es content?— Ouais … d’accord. Oui, mais … les culottes et les soutiens-gorge et tout çà, t’en fais aussi?— Pourquoi? T’es jaloux? Non ne me dis pas que t’es jaloux de çà quand même. Rassure toi, on se change dans une salle (là, je mentais effrontément) et sous la culotte, on ne voit rien, on a une peau couleur chair, exprès, c’est pas un catalogue porno. T’as déjà vu quelque chose sur celui du supermarché?— Non, mais … quelqu’un pourrait te reconnaître!— Et alors? La belle affaire! On n’est pas à poil, et puis, vu ce qu’on est payé, qu’est-ce que çà peut bien faire.— Bon … si çà ne te dérange pas de poser presque nue … c’est toi qui vois, mais çà ne me plait pas plus que çà! Enfin …— Fais moi confiance!
Le soir, Lucien me fit l’amour, comme presque chaque soir. Je me sentais étrange. En sentant ses lèvres sur mes tétons, je frissonnai. Les images de mon patron touchant mon corps, pelotant mes seins me revenaient. Je fermai les yeux et j’eus l’impression de sentir ses lèvres à la place de celles de mon mari. Un spasme traversa mon corps. Je réclamai à Lucien de me prendre. Je jouis pratiquement en sentant son sexe pénétrer le mien.

À suivre-----------------------
Diffuse en direct !
Regarder son live