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Essayages

Chapitre 2

Erotique
Le lendemain, une nouvelle carrière se dessinait pour moi, et je sentais que j’allais découvrir des choses nouvelles. J’étais bien.Vanessa m’expliqua un peu le métier, puis vinrent les séances photo. Cela dura deux heures durant lesquelles je posai en jupe, tailleur, robes diverses et chemisiers, quelques maillots aussi, mais rien de plus intime. Comme les deux autres filles qui posaient avec moi ce jour là, toutes de mon âge et de ma taille, je me déshabillais et me rhabillais sur place, paraissant en slip et soutien gorge. A la fin, je ne ressentais plus aucune gêne malgré la présence de plusieurs hommes.L’exposition finie, Laurent nous demanda si on voulait faire quelques photos pour un catalogue par correspondance. Les deux filles répondirent oui en cœur. — Et toi, Vanessa ?— Heu, oui, peut être. C’est quoi ?— Slips, culottes, bodys, porte jartelles et bas.— Hein ?— Quoi … tu ne veux pas ? Je croyais que tu me faisais confiance ! Bon. Comme tu veux, c’est çà de moins à gagner. Je te préviens que c’est bien payé.— C’est pas çà, mais … c’est que …— Quoi ? Bon, je comprends. Viens, suis moi.Les deux filles me regardèrent avec un air entendu. Je suivis mon patron, confuse et rouge jusqu’aux oreilles. Nous entrâmes, comme la veille, dans la salle de déshabillage et il ferma la porte. Il me fit face et me prit par les épaules, yeux dans les yeux.— Bon, je vois ce que c’est. Je comprends. C’est la première fois et c’est naturel. Je vais t’aider et çà va aller mieux, à condition que tu acceptes de me faire confiance.— Ben … oui, d’accord.— Tu m’as fait confiance hier. Tu as vu, il ne t’est rien arrivé de grave ? Tu n’as pas eu à le regretter, si?— Ben, non.— Bon, tu me fais confiance ?— Oui, d’accord.— Bien laisse moi faire. Ou plutôt, laisse toi faire, çà va aller !
Je ne répondis rien. Légèrement angoissée, me remémorant la séance de la veille, je me laissai aller entre ses mains, comme la première fois. Et comme la première fois qu’il m’avait touchée, je n’arrivais toujours pas à en comprendre le processus. Toujours est-il que me trouvant en jupe et maillot, je le laissai me déshabiller. Il aurait très bien pu me demander de le faire, et je l’aurais fait, mais non, c’est lui qui soulevait mon maillot et me l’enlevait. C’est lui qui dégrafait ma jupe et me la retirait. J’étais toute chose dans ses mains, sans volonté. Une torpeur étrange m’envahissait.— Tourne toi.Sans répondre, je lui tournai le dos. Ses doigts dans mon dos firent sauter l’agrafe de mon soutien gorge. Dégrafée, il me retourna face à lui. Il me prit par les épaules et laissa glisser ses mains dessus, emportant les bretelles au passage. Je le laissai me retirer mon soutien gorge. Torse nu devant lui, je ne réagis pas quand à nouveau, ses mains se portèrent sur mes seins. Comme la veille, il me les prit dans ses mains, incrustant ses doigts, jouant avec mes mamelons sans que je ne songe à le repousser. Il prit chaque bout entre deux doigts et les fit rouler. Je frémis et émis un léger râle, pour la première fois. Mes bouts devinrent très durs.— Laisse toi aller Vanessa. Tu es très belle tu sais.— Merci … — Maintenant, fais moi confiance. Retire ta culotte.
— Ouf ! Je … je sais pas …— Vas- y, montre toi. Montre ton corps. Ne cache rien. Tu es belle, tu as un corps parfait. Ne le cache pas. Regarde toi. Regarde tes seins. Sens les durcir sous mes doigts. Tu aimes cette sensation n’est-ce pas ?— Ouf ! Oh !Il me faisait rouler mes tétons, me donnait des frissons. Je ne savais plus où j’en étais. — Tu n’y arrives pas encore, et c’est normal. Ne t’en fais pas, je vais t’aider, ce sera plus facile.Je ne répondis pas, me contentant de faire oui de la tête. Ses mains glissèrent sur mon ventre, doucement, puis sur mes hanches. Deux doigts crochetèrent l’élastique de mon slip, à la ceinture. J’étais prise de tremblements. Mon patron était entrain de me déculotter, et je ne réagissais toujours pas. — Là … laisse toi aller … laisse toi faire … Laisse moi retirer ta culotte … te mettre nue … te faire sentir mes doigts … jouer avec ton corps …Je m’entendis répondre "oui". Un oui plaintif, sortant d’on ne sait où, un oui pleuré, comme s’il n’était pas de moi, tandis que mon slip glissait sur mes hanches. Lentement, il baissa ma culotte sans que je ne réagisse, ma touffe apparut, puis mes lèvres. Il ne pouvait ignorer mon état, il ne pouvait ignorer mes tremblements et mes frissons. Il fit glisser ma culotte sur mes cuisses et j’écartai machinalement les jambes pour la laisser tomber. Ma respiration était saccadée, mon cœur palpitait. J’étais à présent, nue devant lui, tremblante et troublée.— Tu es belle Vanessa. Tu es très belle. Tu es troublée ?— Oui !— C’est normal. Çà va passer. Tu me fais toujours confiance ?— Oui ! (Toujours ces oui plaintifs sortant de ma poitrine)— Alors laisse toi aller. Laisse moi faire. Maintenant, tu vas sentir mes doigts sur ta peau, sur ton corps. C’est nécessaire si tu veux y arriver. Ensuite, tout ira mieux.— Oui !
Je répondais comme un automate, mais déjà, je sentis ses doigts parcourir mes cuisses, mes hanches, puis il revint sur mes seins. Il me caressa les épaules, puis le dos, descendant sur mes reins, faisant courir ses doigts. Il continua à descendre et ses mains se posèrent sur mes fesses. Je me contractai aussitôt, respirant violemment.— Laisse toi aller, ne te contracte pas, çà va aller.Je laissai mes fesses se relâcher, il joua avec un instant, incrustant ses doigts, malaxant mes chairs, puis un doigt se mit à glisser doucement dans ma raie. Je ne bougeai pas, je ne resserrai pas les fesses et il ne chercha pas à me les écarter. Il passait simplement son doigt entre elles. Personne ne m’avait jamais fait çà, de cette façon. J’en avais la chair de poule. Puis vint le moment que je redoutais, et que j’attendais, paradoxalement, inéluctable. Il était clair qu’il n’allait pas s’arrêter là, et je savais désormais que mon sexe était la prochaine étape, qu’il allait me toucher en cet endroit, y mettre ses doigts. J’étais résignée à me laisser faire, ce n’était plus qu’une question de secondes avant de sentir ses doigts sur mon sexe. Une main passa sur ma hanche puis glissa sur mon ventre, les doigts jouèrent avec mes poils. L’autre main était toujours sur mes fesses. Le dos de sa main caressa mes poils, puis descendit plus bas, appuyant plus fermement. Ses doigts, puis sa main, prirent possession de mon sexe, plaquant toute sa main sur mon pubis, refermant les doigts sur ma touffe, entre les jambes. Quelle sensation ! Une chaleur incroyable envahit mon ventre. Il resta un instant sans bouger, me jugeant de son regard. Probablement tranquillisé par mon inertie, il fit bouger ses doigts entre mes jambes, massant ma fente. Je mouillais à présent énormément et je redoutais qu’il s’en aperçoive. J’étais dans un état second, sans réaction, sans volonté. Il pouvait me faire ce qu’il voulait, il en avait d’ailleurs conscience, car il me demanda ma participation.— Là … c’est bien … tu sens mes doigts … tu les sens sur toi Vanessa, ils te caressent. Maintenant ouvre toi. Vas y Vanessa, fais le … ouvre toi.— Oh ! Oufchhh…Sans bien comprendre, j’obéis, écartant mes jambes et mes cuisses, le laissant progresser sous moi. Je sentais ses doigts glisser le long de ma fente, chercher à me l’écarter sans y parvenir. Il me demanda à nouveau de me laisser aller.— Oui, vas-y … n’aie pas peur Vanessa, tu y arrives, c’est bien. Laisse moi passer … ouvre toi, vas-y.Vaincue par le ton doux de sa voix, c’est sans répondre que j’ouvris les cuisses, posant mes mains sur ses épaules, m’accrochant à lui. Mon cœur fit un bond, ses doigts venaient de glisser dans ma fente, écartant mes grandes lèvres. Le majeur chercha aussitôt mon clitoris et se posa dessus. Je refermai mes doigts sur ses épaules, incrustant mes ongles quand son doigt vint débusquer mon bouton et le fit rouler. J’émis un puissant râle de chatte en chaleur et finis par me laisser branler par mon patron. Il ne pouvait plus ignorer mon état, mon physique parlait pour moi. Il ne pouvait ignorer les contractions que je ressentais dans mon vagin, ni la liqueur qui s’en échappait. Il glissa d’autorité un pied entre mes jambes et me força à écarter les cuisses plus largement. Son doigt glissa jusqu’à mon orifice et je m’accrochai à son cou dans un nouveau râle en le laissant pénétrer mon vagin. Il s’enfonça profondément dans mon ventre et sa bouche chercha mes lèvres. J’ouvris la bouche et répondis à son baiser, laissant sa langue se mêler à la mienne, tournoyer dans mon palais, tandis que son doigt, puis deux, plongeaient dans mon ventre. Je trompais mon mari pour la première fois, sans en avoir conscience. Certes, il ne m’avait pas fait l’amour … avec son sexe j’entends, mais cela n’avait plus d’importance, et ne faisait guère de différence à cet instant. Je trompais bel et bien mon mari en me laissant ainsi fouiller la chatte, un pouce posé sur mon clitoris. Laurent m’amena rapidement à la jouissance, plaquée contre lui, râlant, poussant des soupirs. Je m’effondrai sur lui, accrochée à son cou, empalée sur ses doigts. Il me donna un nouveau baiser auquel je répondis, je n’avais plus rien à lui refuser. Je suis sure qu’il en était conscient. Au train où allaient les choses, si je n’y prenais garde, il finirait par me posséder. Je ne lui avais opposé que peu de résistance, et il risquait maintenant de revenir à la charge. La prochaine fois, ce ne sont pas ses doigts, mais son sexe qu’il risquait de glisser dans ma fente. Il avait obtenu ce qu’il voulait sous prétexte de m’aider à m’affranchir de certaines pudeurs. Je dois dire qu’il y avait réussi au-delà de tout espoir. Revenant un peu sur terre, je me laissai glisser. Laurent me regarda, s’écartant de moi.— C’est très bien ma chérie. Tu as été très bien et c’est exactement ce que j’attendais de toi. Il fallait que tu y arrives, tu comprends ? Cà va ?— Oui !— Tu as même joui, tu sais ! Tu n’étais pas obligée.— C’était … c’était bon.— J’en suis content pour toi. Et maintenant … on y va ?— Oui.— Allez viens … sors comme çà !— Comme çà ? Toute nue ?— Oui, pourquoi pas ? Tu sais, elles ont l’habitude.— Bon … il y a des hommes …— Tu as peur ?— Non.
Un peu décontenancée par ce retour brusque à la réalité, je suivis Laurent. Les filles me regardèrent à nouveau, cherchant à lire en moi. En fait, je devais être comme un livre ouvert. Un léger sourire m’apprit qu’elles comprenaient, et j’eus la certitude qu’elles devaient être passées par le même stade. Elles ne posèrent aucune question et nous fîmes les photos, dans des tenues déshabillées, frisant l’érotisme. Je ne sais pas pour quel catalogue, mais c’était limite car Laurent ne voulut pas qu’on mette la protection couleur peau dans les slips, si bien que pour certaines culottes, on voyait nos touffes de brunes ou de rousse, et même la raie de nos fesses, et que dire de nos mamelons dardés sous des dentelles plus fines les unes que les autres. Il y eut même un déshabillé transparent que fabienne, la rousse, enfila sans culotte ni soutien gorge. Je ne faisais presque plus attention à ceux qui m’entouraient, aux regards des hommes présents. J’étais consciente qu’étant nouvelle, ils avaient tendance à plus détailler mon corps que celui des autres femmes, mais je prenais de plus en plus d’assurance et ne cherchai pas à me cacher d’eux. Nue, sexe visible, je m’étonnais moi-même de prendre plaisir à être regardée de la sorte, même lorsqu’un des techniciens s’approcha, visage à quelques centimètres de mon sexe, pour régler un éclairage placé au sol. J’étais en train de mettre un soutien gorge, je n’avais pas encore enfilé la culotte assortie. J’ai surpris son regard intense posé sur ma chatte et çà m’a fait quelque chose, je l’ai laissé regarder pendant que j’enfilais le soutien gorge en faisant traîner plus que de besoin. J’étais très excitée de voir un homme, un inconnu, regarder mon sexe, excitée et émue à la fois. Je fis alors une chose incroyable, impensable quelques minutes plus tôt: sans en avoir l’air, je me tournai vers lui, posté légèrement sur ma gauche, pour qu’il me voit de face. Je fis ce mouvement en laissant mon pied droit bien en place, ce qui eut pour effet de faire saillir mon ventre vers l’avant. Je sentis les lèvres de mon sexe se séparer, encore humides de ma jouissance. L’homme, surpris, leva les yeux et accrocha mon regard. J’eus tout de suite honte de ce que je venais de faire et me tournai vivement sur le côté, comme si une mouche venait de me piquer. L’homme se releva et retourna à son éclairage, je respirais fortement, le rouge m’était monté aux joues. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait.
Je ne dis rien à mon mari, bien entendu, et il ne me posa pas de question sur ma journée, ce qui m’arrangeait bien. Nous fîmes l’amour et je jouis rapidement en me remémorant cet après midi en ayant l’impression de ressentir les doigts de Laurent fouillant mon vagin.
Le lendemain, je commençai les séances photo comme si de rien n’était. Laurent me regardait et me photographiait dans diverses poses, avec divers vêtements. Il y avait plusieurs filles, mais j’avais l’impression que mon patron me regardait autrement que les autres.A la fin de la séance, il demanda des volontaires pour des tenues sexy. Ne voulant pas paraître gourde une nouvelle fois, je décidai d’être volontaire. Je savais que ces prises de vues, sans être érotiques, étaient assez osées, mais le salaire en valait la peine. Les photos se succédaient, nous étions deux à rester, en petites culottes, soutien gorges et autres tenues sexy, plus provocantes et transparentes les unes que les autres. J’avais de plus en plus chaud et je m’excitais de plus en plus, d’autant que Laurent ne se gênait pas pour nous photographier de près, de temps en temps, approchant son objectif de nos seins ou de nos ventres chaque foi que les sous vêtements lui donnaient l’occasion d’accrocher une image de nos parties intimes. A la fin, Laurent nous informa qu’il avait une commande spéciale et nous demanda si nous voulions rester, ajoutant que la prime était doublée. La prime importante me tentait. Je me doutais bien du genre de vêtements que nous allions devoir porter, mais j’attendais de voir ce qu’allait dire Carole, ma collègue. En un tournemain, elle fut complètement à poil devant nous, affirmant qu’elle était prête. Laurent me regarda, les yeux brillants.
— Et toi, Vanessa ?— Heu … oui … C’est quoi une commande spéciale ?— Déshabille toi, tu verras bien !
Je regrettai aussitôt ma question, le rouge me montait aux joues. Je retirai sur place les sous vêtements de la collection et me retrouvai comme Carole, à poil, mais je n’en avais cure, cela avait été comme çà toute la séance d’essayage.Laurent nous donna un carton chacune en nous demandant de nous vêtir avec les effets s’y trouvant pendant qu’il photographiait. La première habillée fut Carole, naturellement. Elle avait revêtu une guêpière totalement transparente dont les seins sortaient, et fendue entre les jambes. Laurent la mitrailla tandis qu’elle prenait des poses. Laurent lui commandait les poses à effectuer, lui demandant tour à tour d’être vicieuse, puis sensuelle, provocante. Carole faisait tout ce qu’il lui demandait et j’étais fascinée par la facilité déconcertante qu’elle affichait, écartant les cuisses, présentant ses fesses ou son sexe allant même jusqu’à l’ouvrir avec ses doigts tandis que Laurent le prenait en gros plan. Après diverses photos avec d’autres tenues, il se tourna vers moi. Je savais que cela allait arriver. Une boule montait au creux de mon estomac. Comment avais-je pu accepter de faire cette séance ? Trop tard pour reculer, je regardai Laurent s’approcher.
— Alors Vanessa, çà ira ?— Heu … oui … je, je crois …— Tu as vu comment elle fait ! Ce n’est pas trop compliqué. Je veux que tu fasses exactement ce que je te demanderai. Carole t’aidera au besoin. Çà ira, t’es sure ?— Heu … oui … oui.
Sa dernière phrase "T’es sure" m’interdisait pratiquement d’avouer ma panique. Je fouillai dans le carton et sortis une culotte rouge fendue de l’avant à l’arrière et un soutien gorge dont l’emplacement des tétons était absent. Le rouge aux joues, j’enfilai l’ensemble en pensant aux poses que j’allais devoir effectuer avec cet accoutrement. Je remarquai un autre objet dans le carton, un gode en latex rose. Mon cœur fit un bond et je me demandai s’il était là par hasard où si Laurent avait l’intention de s’en servir. Je fis semblant de ne pas le voir et me tournai vers Laurent, lequel commença à me prendre dans diverses poses. Chaque fois que j’ouvrais les cuisses, le slip s’écartait et laissait voir entièrement mon sexe ou la raie profonde de mes fesses. Il me fit asseoir sur un tabouret haut, écarter les cuisses, soulever une jambe. Je sentais mon sexe s’ouvrir et s’humidifier de plus en plus, cela m’excitait, puis je dus prendre mes seins dans mes mains, pincer mes tétons. J’étais toute chose, j’obéissais, excitée par la situation. Il prenait ma chatte en gros plan et je finis par écarter ma vulve avec mes mains, le laissant photographier jusqu’au plus profond de mes parties secrètes, puis il me fit mettre à quatre pattes. Carole s’approcha de moi et je sentis ses doigts sur ma peau. Je faillis me redresser mais je restai offerte, je ne sais pas pourquoi. La chaleur de ses mains sur mes fesses me faisait du bien. Elle m’écarta les fesses sans que je ne proteste et Laurent prit une photo. Puis il lui parla. Je ne compris pas bien mais je sentis aussitôt ses doigts descendre plus bas, sur ma vulve. Avant que je ne réagisse, elle m’écartait la chatte avec ses doigts. Laurent me mitrailla de son appareil et Carole osa un doigt sur mon clito. Je sursautai à l’attouchement mais la laissai faire, je me sentais toute bizarre. C’était la première fois qu’une fille me touchait. Je ne savais plus très bien où j’en étais, j’entendais Laurent parler, me demander d’écarter les cuisses et j’obéissais. Je l’entendis dire à Carole de me le mettre, sans bien comprendre. Dans la seconde, elle me pénétra la chatte d’un doigt long et fin. J’en eus la chair de poule et accusai cette pénétration en émettant un léger râle, soulevant mes fesses sans même le vouloir. Je fus prise en photo ainsi, tandis que Carole m’enfilait deux doigts bien profonds tout en me branlant, puis elle se retira de moi. Je restai à genoux un instant, tentant de reprendre mes esprits. Des flashs crépitaient et je vis Carole assise sur le tabouret, cuisses écartées sur une culotte fendue de haut en bas, s’écartant la chatte d’une main, tenant le gode dans l’autre. Laurent me demanda d’aller l’aider. Je ne comprenais pas … où je fis semblant de ne pas comprendre ce qu’il voulait, prenant un air étonné. Je m’approchai de la fille. Carole me tendit le gode. Je rougis en me saisissant du lesbos. C’était également une première pour moi. Elle me sourit, s’écarta la chatte et me demanda de l’enfiler. Je restai incrédule, regardant Laurent.— Hé bien … vas y, enfile lui, qu’est-ce que tu attends ?— Que … quoi … comme çà ?— Ben oui ! Çà parait dans un magazine spécialisé, et on nous demande de montrer ce genre de photo. Vas-y, enfile lui !— Bon, ben … prête ?— Mais oui, t’inquiète pas … vas-y … enfile moi d’un seul coup, fais le !
La voix de Carole avait changé. Elle était beaucoup plus grave, sous le coup d’une émotion forte, sa chatte mouillait beaucoup. J’étais fascinée, j’allais enfiler une fille ! Je fis glisser le gode entre ses lèvres, le faisant tourner pour le lubrifier. Carole ferma les yeux. Je fis descendre le lesbos devant son orifice et la pénétrai d’un seul coup, profondément, comme elle me l’avait demandé. Elle émit un puissant râle et je compris qu’elle y prenait plaisir. Laurent me demanda de le retirer lentement puis de l’enfoncer à nouveau en elle, très lentement. Pendant ce temps, il prenait divers clichés. Carole commençait à haleter, quant à moi, sans me l’avouer, je prenais plaisir à enfiler cette belle jeune fille et c’est sans presque m’en rendre compte que je commençai à la prendre de plus en lus vite, tandis qu’elle se branlait sans gêne le clitoris. Je fus presque fière de l’amener à la jouissance. Carole gémissait, criait, gesticulait, remuant les fesses. Mes sens étaient à fleur de peau, ma chatte me démangeait et je fus presque heureuse de sentir les doigts de Laurent entre mes fesses. Il m’écarta la chatte tandis que Carole finissait de jouir et son doigt me pénétra. Instant de bonheur. Je me laissai investir, écartant les cuisses à mon tour. Il me fit mettre à quatre pattes et se plaça derrière moi, le doigt toujours fiché dans mon vagin. Il me lima consciencieusement, m’arrachant des râles de plaisir. Je ne cherchais même pas à me soustraire, au contraire, je m’ouvrais de plus en plus, bientôt comblée de sentir un deuxième doigt s’enfoncer dans mon ventre. Carole avait repris ses esprits et avait entrepris de peloter mes seins, accroupie à côté de moi. Je perdais la tête, tout cela était fabuleux, c’était trop pour moi. Je fondais entre leurs mains, fermant les yeux. Je ne réagis pas quand ils me relevèrent pour me placer assise sur le bord du bureau. Je compris que j’allais me faire baiser, j’en étais consciente et je crois que c’est ce que j’attendais. Carole m’écarta les cuisses et Laurent approcha le gode de mon sexe. Me fixant dans les yeux, il m’assura qu’il allait me faire beaucoup de bien:— Laisse toi faire, Vanessa, ouvre toi. Je vais te l’enfiler. Ouvre toi ma chérie, prends le en toi, donne toi bien !— Ohhh!
Sans autre réponse, j’ouvris mes cuisses, laissant Carole m’écarter la chatte de ses doigts. Je fermai les yeux à nouveau, leur offrant mon ventre sans état d’âme. Je fus pénétrée profondément, d’un seul coup. Le gode fiché au fond de mon vagin, j’émis un râle profond, émue par ce qui m’arrivait, battant des cuisses, surprise par cette pénétration, je n’avais jamais été enfilée de la sorte par personne. — Ohhh ! Ohhh oui … — C’est bon ?— Oui … oh oui … continue …— Oui Vanessa. Tiens … prends le … profond … Encore … Tiens !— Oh ! Oh oui … mets le !— Oui Vanessa ! Tiens … c’est bon ? Tu aimes ? T’en veux encore ?— Oh … oui … continue …— T’inquiètes pas … Tiens, prends le! Profond. Tu vas jouir ma chérie, hein ? Tu vas jouir. Je vais te prendre et te faire jouir.— Oui … oh oui …— Tu vas t’ouvrir, tu vas me donner ta petite chatte !— Oui … encore …
Je sentis des mouvements autour de moi puis le gode quitta mon ventre. On m’allongea sur le bureau. Çà y était cette fois, j’allais être prise par un autre homme, j’allais me donner à mon patron. Carole me pelotait les seins, les suçant tour à tour. Laurent m’écarta à nouveau les cuisses et je sentis qu’il se plaçait entre elles. Il venait me prendre. Totalement sous leur emprise, je me laissai faire tout ce qu’ils voulaient. Je sentis quelque chose de doux et chaud glisser entre les lèvres de mon sexe. J’ouvris les yeux pour apercevoir Laurent, la bite à la main, prêt à me l’enfiler. Je regardai sa verge, longue et grosse, gonflée de sang, le bout violet. J’eus un sursaut en sentant sa queue m’enfiler mais je n’émis qu’une vague protestation, sans conviction, sa queue m’embrocha sur le bureau.— Oh … Laurent … non … Ohhh! Ohhh! …J’accusai le coup, soulevant néanmoins mon bassin en sentant la verge pénétrer mon corps. Ce fut fabuleux ! Cette grosse queue qui prenait mon ventre et ma chatte me faisait du bien, je me préparai à jouir, fichée par un autre homme. Je trompais définitivement mon mari, m’offrant et m’ouvrant le plus possible. Je fus baisée longuement, retournée, prise en levrette, puis à nouveau enfilée par le gode. Je jouis deux fois de suite, puis Laurent me fit mettre à quatre pattes sur le sol et se plaça derrière moi. Je ne m’occupais même plus de la présence de Carole tant le plaisir était grand. Laurent me pénétra à nouveau et s’enfonça en moi. Je le reçus avec bonheur. Il me lima un moment puis je sentis son sexe se raidir dans mon vagin et je pris peur. Il allait éjaculer, me mettre sa semence. Je ne voulais pas qu’il le fasse en moi, surtout pas, car je ne prenais plus la pilule depuis longtemps, mon mari et moi essayions d’avoir un enfant, mais sans succès jusqu’ici ! Je criai pour le retenir:— Non …Laurent, pas çà … pas dedans …— Alors … je t’encule !— Oh ! Non !
Avant que je n’aie le temps de réagir, il se retira. Je sentis le gland forcer mon œillet tandis que ses mains se crispèrent sur mes hanches. Carole me pressait les seins. Laurent poussa violemment et pénétra mon cul d’une seule poussée. Mon cri dut s’entendre de la rue. Il était entré en moi et me limait rapidement. Il semblait avoir repris de la vigueur. Je sentis quelque chose m’ouvrir le sexe et se propulser dans mon ventre Carole avait repris le gode et me l’enfilait dans la chatte. J’étais doublement enfilée. Çà aussi, c’était une première pour moi. Je ne pus tenir plus longtemps. La jouissance m’arracha des cris de plaisir.— Oh … Oh … Je viens … Je viens … Oui … Plus fort … Encore !
Laurent partit aussitôt. Je sentis son sexe se contracter à nouveau, puis ce fut l’explosion. Il déchargea dans mon cul un flot de semence que je reçus cette fois avec bonheur et je hurlai mon plaisir, baisée et enculée à la fois, le laissant se répandre en moi.— Oh oui ! Oh oui ! Vas y … oui … encore …
Je criai encore, accompagnée par les râles de Laurent, puis je retombai à plat ventre, Laurent fiché dans mon cul, le gode enfoncé dans ma chatte. J’étais en nage. Je repris peu à peu mes esprits. Ils m’aidèrent à me relever. J’essayais d’éviter leurs regards. Je venais de me donner à un autre homme, je ne savais plus quoi penser. J’avais du mal à rassembler mes esprits. Carole me prit par l’épaule et me caressa gentiment la joue. Laurent quant à lui me caressait le dos et les fesses. Mon ventre et mon cul étaient en feu. Leurs caresses me faisaient du bien. De même que Carole, je me rhabillai et Laurent me raccompagna sur la porte. En me disant au revoir, il se colla à moi et prit mes lèvres. Je répondis à nouveau à son baiser tandis que ses mains parcouraient mes fesses et ma chatte. Je réalisai alors que je n’avais pas remis de culotte. Probablement pour tester ma réaction et mon état d’esprit après cette séance, il tenta d’introduire son doigt dans ma chatte. Docilement, j’écartai les cuisses comme si je lui appartenais et me laissai pénétrer. Il parut satisfait, certainement rassuré de voir que je continuais à être réceptive à ses caresses.
À suivre ---------------
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