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C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée.

Chapitre 3

Hétéro
Jeudi matin, 7h30, le réveil sonne.On est à l’hôtel avec ma jeune copine, et on a passé une nuit bien agitée, entrecoupée de petits sommes (elle m’a vidé trois fois les couilles et je lui ai fait déverser des flots de mouille).
On se prépare pour prendre le petit déjeuner, reprendre des forces avant une dernière baise. On a chacun notre train en début d’après-midi et on peut donc garder la chambre jusqu’à 11 heures, dernier délai. On est de retour dans la chambre et il nous reste deux bonnes heures pour s’aimer sans limites autant dans les actes que dans les mots: je veux la traiter comme ma chienne, mais aussi être son chien, que l’on se soumette l’un à l’autre à tour de rôle.On fornique comme des bêtes, elle est mon objet et moi le sien, j’use et j’abuse à souhait de ses trois orifices, elle se sert à sa guise de mon sexe et de mes deux trous. Le temps passe et on va devoir bientôt terminer. On s’offre un 69 goulu, puis on va finir dans le bac à douche.Je n’ai pas joui, n’ai pas débandé, et j’ai les couilles archi pleines ainsi que la vessie. J’aime les plans pisse et lui ai proposé que l’on s’en fasse un. Elle n’a jamais essayé, mais a accepté ma proposition; du coup on n’a pas encore uriné depuis la veille, et il est temps que l’on se soulage.On est dans le bac et elle se place devant moi:— Penche toi putain, et écarte tes fesses de salope que je te farcisse.— Oh oui, mets me la, encule moi, je la veux ta grosse bite.— T’inquiète, tu vas l’avoir, et pas que ma queue, tu vas avoir mon sperme aussi.— Oh oui, il n’en a jamais pris mon cul. Fais lui goûter ton foutre, vide bien tes couilles jusqu’à la dernière goutte, donne lui des litres de ton jus, il meurt de soif.— Des litres peut-être pas, mais crois moi qu’il va bien prendre. Et s’il a encore soif j’ai ma vessie qui n’en peut plus de se retenir.— Salaud, salaud, tu m’excites. Inonde moi, je suis ta salope.— Oui, ma belle et jeune salope, ma pute, mon vide couilles.— Oui, ta chienne, ton sac à foutre, ton urinoir, ta décharge.Tout en discutant je me suis soulagé et j’ai encore ma queue en elle, qui ramollit lentement. Mon urine s’écoule le long de ses jambes mais pas mon sperme, trop épais pour s’infiltrer. Plus rien ne fuit et je retire mon sexe. Elle écarte ses fesses, je place ma main à la sortie de son orifice béant, et elle recrache toute ma semence. Elle se retourne, s’agenouille, et vient manger dans ma main:— Bouffe, putain de cochonne, régale toi salope, savoure bien mon offrande, et ensuite tu me nettoieras la queue. Elle s’exécute consciencieusement, finit son boulot de pute avec application. Elle se relève, on se roule une pelle, puis je m’agenouille, les miches sur les talons.Elle n’a pas encore pissé, et va le faire avec un grand soulagement. Son jet puissant, chaud et parfumé, s’écrase sur mon torse; je me caresse pour l’étaler sur tout mon corps, m’en imprégner. L’odeur s’atténue, je fixe ma partenaire dans les yeux, et ouvre grand la bouche. Elle relève son jet, et le dirige au fond de ma gorge; je manque m’étrangler mais parviens à me ressaisir pour avaler. Elle stoppe net:— Putain, je n’y crois pas, tu es vraiment dégueulasse. Tu l’aimes ma pisse?— Oui, elle est bonne, sers moi à boire.— Ok, ouvre ta gueule.Elle se remet à uriner, doucement, et stoppe lorsque j’ai la bouche pleine. Elle me demande d’avaler, m’insulte, me dis que je l’excite trop. Le jeu lui plait et elle va un peu plus loin: elle me saisit par les cheveux et me plaque contre elle, le nez écrasé sur son bas ventre, mes lèvres soudées au siennes, ma bouche ouverte s’adaptant parfaitement à sa choune béante. Elle lâche tout, sans retenue, se déverse direct dans ma gorge:— Oh! Oh que c’est bon de se soulager dans un mec. Tu es un vrai chien, un putain d’enculé de sa race, boit salaud, boit ma pisse et dis moi comment elle est bonne...Je m’efforce à tout prendre, tout engloutir, jusqu’à vider ses réserves. Elle me relâche, s’excuse d’avoir été aussi vulgaire, je lui dis que c’était très bien et la lèche pour lui prouver que je ne lui en veux nullement. Elle mouille et m’offre un ultime orgasme fulgurant et abondant, suivi d’un dernier petit pipi. Je savoure tout, c’est fini.On se douche, on s’habille, on quitte l’hôtel.
On se dirige vers la gare, discute de nos horaires et destinations. On est tous les deux du sud-ouest et à moins d’une heure près on aurait pu prendre le même train. Il nous vient alors l’idée de changer nos billets pour voyager ensemble, puis une idée plus coquine pour voyager de nuit. On se dirige vers le guichet et on réserve un wagon-lit pour deux, sous l’œil interrogatif de notre interlocutrice. A midi l’affaire est faite, notre train est à vingt-deux heures, et on pose nos affaires en consigne pour mieux profiter de toutes ces heures devant nous. On déjeune vite fait au snack de la gare et on prend le métro pour voir la Tour Eiffel; elle ne l’avait jamais vue et est toute heureuse, comme une gamine. On joue les touristes, on se tient bien serré l’un contre l’autre, on s’embrasse, se moquant du regard des passants. On se retrouve dans un coin isolé d’un parc et son instinct de chatte en chaleur reprend le dessus. Elle m’attire derrière un arbre multi-centenaire:— Baise moi, j’ai trop envie.— Ici! Maintenant! Tu es folle!— Oui, folle de ta grosse queue. S’il te plait, j’ai la chatte en feu.— J’aimerais trop te faire plaisir ma puce, mais soit raisonnable, ce n’est pas possible.— Et pourquoi? Tu ne baises que dans un lit, papy?— Non, ma petite chérie. Mais ici c’est trop risqué, imagine que l’on nous découvre à poil en train de copuler!— Soit cool, il n’y a personne. Mais si tu préfères je peux juste te tailler une bonne pipe!— Tu me donnes envie moi aussi, petite salope, mais il ne faut pas, pas ici.— Tu connais un autre endroit?— J’ai bien une idée, mais je ne suis pas sûr que ça te plaise.— N’importe où, je m’en fous, pourvu que tu m’offres ta bite et tes couilles.
A suivre...
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