Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 10 J'aime
  • 0 Commentaire

C'est dans un spectacle que je l'ai rencontrée.

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
On vient de passer une après-midi de folie avec ma petite copine. Elle s’est faite défoncer durant des heures, par de nombreuses queues y compris celle d’un chien, et a engloutit du foutre jusqu’à plus soif.On est près de la gare, on prend un verre, un autre, on dine en attendant notre train de nuit. Elle a bu juste de la bière à midi, j’ai vu où ça l’a conduite, et je la fait boire encore un peu pour la rendre encore plus coquine, plus chaude, plus salace. On discute, on fait mieux connaissance, et je sais enfin son prénom: Elodie.Notre train est à quai quinze minutes avant le départ, et on y monte pour être sûr de ne pas le manquer. Notre compartiment est fermé à clé, et on poireaute dans le couloir en attendant le contrôleur. Il n’y a que nous et ma bouche se soude à la sienne pour une pelle vorace, tandis que ma main glisse sous sa jupe sans rien dessous. Elle m’offre sa langue, savoure la mienne, nos salives se mélangent, et sa main se plaque sur ma braguette. Elle m’excite une fois de plus:— Salope, tu es toute mouillée. Ce n’est pas possible de dégouliner autant, c’est une vraie fontaine sans fin que tu as. — Oui, mais toi aussi tu bandes en permanence mon salaud, et j’imagine tes couilles encore bien pleines.— Elle te plait ma queue, salope, tu as envie que je te ramone la chatte.— Oui, la chatte et le cul, je la veux partout ta bite et qu’elle finisse dans ma bouche. Qu’est-ce qu’il fout ce con de contrôleur, je n’en peux plus d’attendre.— Patience, ça va venir. Le meilleur c’est l’attente.— C’est ce que l’on dit, mais demande à mon cul, il pense autrement.On cesse de parler, on se bouffe la poire, je fouille sa fente et elle a descendu ma fermeture pour glisser sa main dans mon slip. Enfin le contrôleur arrive, un black, la cinquantaine, bien bâti. Je veux me dégager mais elle me maintient contre elle afin qu’il n’ait aucun doute sur ce que nous faisons. Il est tout près de nous, nous demande nos billets, et nous ouvre la porte. Il nous souhaite une bonne nuit avec un sourire entendu, et nous précise que l’on est les seuls dans la wagon et que l’on n’a donc pas à se préoccuper des voisins. Puis il rajoute que si on a besoin de lui, il a sa cabine à quelques mètres, au bout du wagon.
La porte refermée, on se déshabille, et on s’allonge sur un lit, en 69. Je lui bouffe la chatte et le cul, tandis qu’elle me pompe le nœud et me broute les couilles. Puis se souvenant de ma séance avec le mec du chien, elle me fouille le cul et me le dévore. Je me tiens une trique béton, et de son côté elle a les deux orifices ouverts et huilés à merveille. On décide de passer aux choses sérieuses.Elle est debout et je la prend en levrette, en alternant sa fente et son petit trou, qu’il n’y ait pas de jaloux. Elle gueule des obscénités pour m’encourager à la monter comme une chienne, elle jouit, crie, hurle, et je me demande si elle ne simule pas par moment tellement ses orgasmes sont rapprochés, continus:— Ne gueule pas si fort, on dirait une hystérique!— C’est ta queue qui me rend folle, j’aime trop la bite. Et puis on s’en fout, il n’y a personne.— Et le contrôleur, tu l’oublies!— Non, mais s’il veut venir ce n’est pas un problème.La salope, c’est pour l’attirer qu’elle gueule si fort.Elle ne pensait pas si bien dire. On frappe à la porte:— Contrôle.— Oui.— Tout va bien monsieur dame?— Oui, pas de soucis.— Excusez moi, mais j’ai entendu des cris et je dois voir si tout va bien. Vous pouvez m’ouvrir?
J’ouvre aussitôt et me montre à lui, à poil, la bite à l’équerre. Il jette un bref coup d’œil sur mon anatomie, et se penche pour voir celle plus intéressant d’Elodie. Elle est nue elle aussi, penchée en avant, elle écarte ses fesses pour exhiber ses deux orifices luisants et béants.— Tout va bien Madame?— Oui, merci de vous inquiétez, mais ça va.— Excusez moi à nouveau, mais dans le doute je suis obligé de faire ces contrôles. Bonne continuation.— Non, attendez, ne partez pas.— Je peux quelque chose pour vous?— Oui, je pense. Mon ami risque avoir du mal à me satisfaire toute la nuit, alors je me dis que vous pourriez l’aider.— Vous êtes sérieuse? Vous voulez que...— Que vous me baisiez, oui. Il y a longtemps que je rêve d’une grosse bite noire, et si vous voulez m’offrir la votre, vous ne le regretterez pas.Il me regarde, interrogatif, attendant mon avis. Je lui dis que c’est ok pour moi, et il nous dit qu’il revient dans deux minutes, le temps d’aller fermer sa cabine. Je recadre ma copine:— Salope, tu aurais pu me prévenir!— Je ne savais pas qu’il viendrait, mais dans ma position je n’ai pu m’empêcher de l’imaginer me prendre. — Et tu m’as fait passer pour un con, un impuissant. — Mais non, tu es mon meilleur amant, et puis tu sais que j’ai de la place pour vous deux. Tu es fâché?Je lui roule une pelle appuyée pour réponse, au moment même où le contrôleur revient.
On est tous les trois debout entre les deux lits, peu de place mais suffisant pour s’occuper de notre petite pute. Elle fait face au nouveau venu, et s’accroupit, impatience de découvrir ce qu’il a entre les cuisses; j’en profite pour me reposer un peu. Elle défait son pantalon, le baisse, et il ôte ses chaussures pour finir de l’enlever. Il porte un caleçon et elle pose sa main dessus pour estimer le contenu. Elle le caresse tandis qu’il se débarrasse du haut, cravate et chemise. Elle le fait bander peu à peu, plaque le tissu le long de sa verge grandissante pour en dessiner le contour:— Ouah! Cet engin! Elle a l’air trop belle ta queue! — Tu n’as jamais vu une bite de black?— Non, sur internet mais pas en vrai. J’en ai vu des énormes, on dirait que c’est truqué.— Non, ça ne l’est pas, fais moi bien bander et tu vas voir ce que c’est une grosse queue.Elle ouvre sa braguette et glisse sa main. Elle frotte tendrement ce beau boudin, le fait encore s’épanouir et durcir:— Hum, c’est bon, elle est chaude ta queue, elle est douce, mais surtout elle doit être magnifique, il me tarde de la voir.— Enlève mon caleçon, et je vais me faire un plaisir de te la présenter.— Je me doute, mais je veux faire durer la découverte, ça m’excite trop.Elle continue ses caresses puis se décide à demander à son partenaire de défaire le dernier bouton pour libérer l’objet de son désir. Le dessous tombe aux chevilles, il dégage ses pieds et se retrouve à poil comme nous.Elodie retire ses mains et le sexe qu’elle a bien agacé se dresse devant elle. Elle reste bouche bée, les yeux hagards, laissant son compagnon interrogatif:— Quelque chose qui ne va pas? Elle ne te plait pas?— Oh non, au contraire, elle est superbe. C’est juste que je n’en ai jamais vu d’aussi impressionnante.— Elle te fait peur?— Non, elle aurait de quoi mais j’en ai trop envie pour y penser. Je la veux ta queue, toute entière.— Ok salope, tu vas l’avoir, et pour commencer tu vas me faire une bonne pipe.Elle n’hésite pas une seconde et embouche un morceau, vite stoppée pas la largeur. Je bande toujours et j’ai envie moi aussi de glisser ma queue dans un trou bien chaud. Je plaque ma main sur son huître et la relève. Elle dégouline cette cochonne, j’ai sa mouille plein les doigts, et je les suce pour m’en délecter. Puis je frotte mon gland entre ses lèvres glissantes et m’enfonce sans effort tellement elle est accueillante. Elle suce toujours le black, se recule de temps en temps pour respirer et admirer l’embellie de sa queue. Son gland est maintenant décalotté et gros comme un œuf:— Oh putain, ce n’est pas possible, elle va grossir encore?— Non, ne t’inquiètes pas, elle est au maxi. Et c’est rare que je trique autant, tu suces vraiment bien.— Merci, mais ce serait encore mieux si j’arrivais à la prendre entière.— Ne t’en fais pas, personne n’y arrive.— Moi je veux, mais il faudrait que tu m’aides. Baise moi la bouche, mets me là jusqu’aux couilles, prends moi de force, viole moi.— Tu es folle, je ne veux pas d’emmerdes.— Tu ne crains puisque c’est moi qui te le demande. S’il te plait, je veux ton gland profond dans ma gorge, je veux être ta pute, ta salope, et que tu sois fier de moi. Et si tu me satisfais, tu auras droit à me défoncer la chatte.Il me regarde comme pour me demander mon avis. Je lui dit d’y aller sans retenue, puisqu’elle le veut cette chienne, et qu’il sera toujours temps d’arrêter si elle revient sur sa décision. Il n’hésite plus, enfonce la moitié de son membre dans cette bouche qui ne peut en gober davantage, et hésite à enfouir l’autre moitié.Je le fais reculer contre la porte, et je pousse Elodie avec mon bas ventre pour qu’elle le suive, sa queue toujours en bouche. Je la baise en levrette, de plus en plus virilement, et la fais s’empaler la gueule un peu plus loin à chaque fois. Elle plaque ses mains sur la porte, pousse de toutes ses forces, et finit par se dégager:— Aïe, doucement salaud, ça fait mal. Vas-y mollo.— Oui, et dans huit jours on y est encore. Alors écoute moi bien putain: soit tu veux être une grosse salope qui n’a peur d’aucun calibre, et tu nous laisses faire sans te plaindre; soit tu veux rester coincée du cul, alors on stoppe tout et tu vas jouer toute seule à touche-pipi.— Enfoirés, vous savez que j’ai trop envie d’une grosse bite, vous ne me laissez pas le choix!— Salope, j’en étais sûr, laisse nous faire et tu vas en redemander!Le contrôleur la saisit par les cheveux et remet son sexe dans sa bouche. Aussitôt je la pilonne sauvagement, jusqu’à écraser son nez sur le bas ventre du black. Son énorme chibre est tout en elle, et elle semble y prendre goût. Je la baise maintenant en douceur, et c’est son autre partenaire qui maintient sa tête pour la faire coulisser sur son membre. Elle s’abandonne, gémit, et lorsqu’il relâche son étreinte c’est d’elle même qu’elle se jette sur cet énorme phallus pour l’engloutir entièrement. Je sens la sève qui monte, mais je ne veux pas jouir de suite. Je me retire:— C’est bon salope, tu as assez pompé,
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live