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C'est donc cela le naturisme

Chapitre 2

Dégustation

Gay
J’expédie mon rendez-vous. Mon interlocuteur a l’air aussi pressé que moi de quitter son boulot. Tout se passe bien. Mon GPS me guide. Il semble trouver les indications du site. Je passe une première fois devant le chemin qu’il fallait prendre. Faire demi-tour sur ces routes est difficile. C’est tellement beau que je continue. Une manière de repousser le moment. Suis-je vraiment sûr de vouloir le faire ? Cela fait deux jours et demi que je n’ai pas joui. Je me sais excité. Vais-je maîtriser mon érection ?
Un carrefour. J’y vais ou je n’y vais pas ? J’y vais ! Merde, je ne vais pas rater cette occasion ! Pas de voiture. Demi-tour. Quelques kilomètres plus loin, je manque de rater le chemin. Une courte marche arrière. Je tourne. Je m’y engage. Le chemin de terre est carrossable. Cent mètres et je tombe sur un parking. Discret. Magnifique pinède. Déjà du monde. Je compte. Vingt-deux autos et trois motos. Mais bon, rien ne dit qu’ils sont tous allés sur la plage naturiste...
Je sors de ma voiture. Il fait chaud. Je suis toujours en jean. Mon joli jean moulant qui est moite de sueur. Je ne vais pas aller marcher avec cela. Pas plus qu’avec ma chemise de ville.J’ouvre mon coffre. Mon sac est là. J’avais prévu un short au cas où je serais libre. Je suis libre ! Libre d’aller exhiber mon petit cul et mon sexe devant qui voudra les regarder ! Libre d’aller mater des mecs à poil ! Libre de vivre cette expérience qui m’a chatouillé le bas-ventre toute l’après-midi.
Cette idée m’excite à fond. Le soleil va venir bronzer mes couilles et mon pénis tout blanc. Le pied !Mon petit sac à dos. Avec serviette, maillot, casquette, crème solaire. Et boîte de capotes ainsi que tube de gel anal, bien sûr. Parfait. Teeshirt ou débardeur ? Débardeur, tant qu’à faire. Je regarde à droite et à gauche. Il faut que je me change. Avec ma serviette autour des reins comme sur la plage ? Trop stupide... Dans ma voiture à me contorsionner comme quand je m’arrête de courir après une journée de boulot ? Inutile. Un dernier coup d’œil alentour. Il n’y a personne. Je dégrafe mon jean, baisse la braguette, tire vers le bas. Mon slip vient avec. Je tente de le retenir. Et puis zut, quelle importance, je retire les deux ensemble.
Cela y est, j’ai les fesses à l’air ! Génial ! Un souffle chaud passe dans ma raie. Humm, sympa... Mon bras se jette vers mon short. Vite me rhabiller ! Mais mon esprit l’arrête. Pourquoi se dépêcher ? Ne suis-je pas là pour être à poil ? Rester les fesses à l’air... Prendre son temps... S’obliger à prendre son temps. Se faire violence.
Et si je préparais mon sac ? J’y ajoute une bouteille d’eau. Je le referme. Pourquoi garder ma chemise ? Je tourne sur moi-même pour défaire un à un les boutons, révélant peu à peu mon sexe et ma touffe poilue. J’imagine un voyeur caché un peu plus loin. Régale-toi mec ! Je me déshabille pour toi ! Pour tes yeux... Et tout ton corps, si tu es bien foutu et que tu aimes cela...
Je suis nu. Totalement nu, à part mes baskets aux pieds. Je fais le tour de ma voiture. Grisant... Je m’éloigne un peu. Je reviens, apeuré. Je me sermonne. Allons mec, courage ! Je repars, m’éloigne davantage, fais semblant de chercher le début du chemin. En réalité, je sais parfaitement où il est : derrière le panneau de prévention des incendies. Mais c’est si bon d’être nu !
Je reviens vers ma voiture au coffre grand ouvert. Une intuition. Je me campe au milieu du parking. Je regarde autour de moi. Personne. Alors, solidement posé sur mes pieds, je prends mon pénis en main et je libère un flot d’urine tout en tournant. Pisser autour de son territoire ! Je ne trace guère qu’un simili cercle d’un mètre de diamètre. Mais c’est super agréable à faire. Un peu primaire, certes, mais amusant. Surtout s’il y a un mec qui, quelque part, me mate. Surtout s’il y a l’ours pédé quelque part, à l’affut des minets...
Pour sûr, il ne reste plus aucune goutte après avoir longuement secoué mon pénis ! Un pénis qui se gonfle légèrement. Mais rien d’indigne. L’excitation se heurte au stress de cette première fois.De retour à la voiture. Mon petit sac à dos. Vérifier encore une fois. Je l’ouvre pour évacuer le stress. Et je suis toujours nu !Rien d’anormal, je le referme. Non. Il y a un truc qui cloche. Je le rouvre. J’en sors mon maillot de bain. Faut-il le prendre ? Au cas où ? « Non matelot ! Jetez les canots à la mer ! Il n’y a plus d’alternative possible ! »
Je le jette au fond du coffre. Je referme mon sac à dos. Et maintenant ? A quel moment se met-on à poil ? Maintenant ? Ou bien quand on arrive sur la plage ? Marcher à poil a l’air d’être une sensation divine. Mais n’y a-t-il que des naturistes par ici ?

Alea jacta est ! J’enfourne mon short et mon débardeur dans le sac à dos, je referme le coffre puis la voiture, et, l’air faussement sûr de moi, je me dirige, tout nu, vers le chemin.Je ne fais pas cent mètres que je me fige. J’ai l’impression de voir quelqu’un au loin. Des bruits de conversation. Une tache colorée qui bouge. Aïe, un groupe de personnes habillées. Vite, je m’écarte du chemin. J’enfile mon short et mon débardeur.
Je repars, rassuré. Mon sentier est parallèle au leur. Je les entrevois à trente mètres. Un couple qui ne me repère pas. Normal, eux n’ont aucune inquiétude quant à la présence ou non d’autres personnes.
J’avance le cœur battant, nerveux. Un croisement de sentiers. Faut-il partir à droite ou à gauche ? Je choisis la gauche. J’avance encore.La végétation est plus épaisse. Je devine la mer devant moi en contrebas d’une falaise. Un virage. Je me fige.Là, devant moi à vingt mètres, un mec. Un mec nu. Un gars un peu plus jeune que moi, râblé, cheveux noirs, poilu. Très poilu. Un gars tourné vers moi, mais qui a les yeux fermés. Derrière lui, enfin, le bleu du ciel et de la mer se rejoint en contraste de la végétation plus claire.
Le seul hic est que le gars est en train de se masturber.Bien campé sur ses deux pieds, bassin légèrement avancé et genoux fléchis, sa main gauche astique frénétiquement son sexe, décalottant et recalottant son gland.Une vague de chaleur traverse mon ventre pour s’engouffrer dans ma verge. La vision est somptueuse. Le gars est magnifique. Sa nudité sauvage se fond merveilleusement dans le paysage sublime. Est-ce sa pilosité qui le rend en harmonie avec la nature ? Mes yeux se fixent sur sa main gauche. Que c’est beau ! Surtout qu’il danse imperceptiblement du bassin. Il est émergé dans son plaisir. Mon sexe se gonfle.
Que faire ? Je suis de trop ici. On ne dérange pas un homme qui se masturbe ! Une femme non plus, d’ailleurs... Je pense à lui. Ne pas l’importuner. Reculer. Le laisser...Je n’ai pas fait un pas qu’il ouvre ses yeux. Il me voit. Sa main ralentit lentement pour s’arrêter après encore une demi-douzaine de pignolades. Aucun de nous deux n’ose bouger. Je ne sais pas quoi faire. Mes yeux restent fixés sur sa main. Quelque chose en moi me dit qu’elle devrait être posée sur son bout, pour le protéger, pour le cacher de ma vue. Mais non. Elle s’est arrêtée à la base de sa hampe, tirant la peau du prépuce, exhibant son superbe gland luisant.
Ses petits yeux passent et repassent sur mon corps. Le gars me scrute. Sans doute se demande-t-il si je suis ami ou ennemi. Mec solidaire ou connard offusqué. Homo ou hétéro. Alors je lève un bras en signe de paix. Et je fais un pas en arrière en commençant à pivoter.
Il m’arrête.
— Le seul chemin est par là !
Je tourne la tête. Il me désigne le sentier devant lui. J’hésite.
— Tu vas à la plage ?— Oui.— Alors c’est par-là. Tu n’as pas le choix. Dit-il en reculant pour libérer le passage sur le sentier.— Ah...
Je n’ai plus le choix. Si je suis un homme, un vrai, je dois avancer. Réflexion stupide qui passe, vite remplacée par le désir de voir le beau gars de plus près. J’avance alors lentement vers lui.Est-ce normal de se diriger vers un homme nu en pleine branlette ? Est-ce que dans une situation « normale » un homme pris sur le fait n’aurait pas tendance à vite débander ? Lui reste parfaitement tendu. Et continue à me scruter attentivement.A deux mètres de lui, mes yeux ne résistent pas et plongent sur son bas-ventre. Il répond par un sourire timide et surtout par un lent va-et-vient. Je relève la tête et lui rends son sourire. Avant de m’arrêter face à lui, à un mètre. Par bonheur, il entame la conversation.
— Tu viens souvent par ici ?— C’est la première fois.— La vue est superbe dans le coin !
Instinctivement, mes yeux s’abaissent vers son sexe.Sa main caresse encore tranquillement son chibre.
— Pas seulement celle-là ! Dit-il en gloussant et en désignant du menton l’infini bleu.— Oui, mais tout est beau par ici !— Toi y compris ! Je suis bien d’accord !— C’est gentil...— C’est normal la bosse dans ton short ? réplique-t-il, amusé.
Mes yeux quittent sa main toujours délicatement active pour regarder mon entrejambe. C’est vrai que sans slip, le moindre début d’érection pousse sur le tissu synthétique du short et le déforme peu discrètement.
— C’est l’émotion. Devant tant de beauté...
Il se marre. Et se lance.
— Tu veux sucer ? Cela te dirait ?— Il est des choses qui ne se refusent pas !
La réponse est sortie immédiatement, sans réserve. Nos esprits inquiets et à l’affût se détendent instantanément. Du moins psychologiquement, car physiquement, chacun de nous ressent une brusque tension dans sa verge. Paradoxe du désir...J’avance mon corps vers lui et ma main vient se poser sous ses bourses que je soupèse doucement.
— Elles sont bien pleines...— Sûr ! Mais personne en bas pour les soulager... C’est toujours comme cela, je m’en vais quand les beaux gosses arrivent...— Tu n’as qu’à rester !— Je ne peux pas. Le boulot. Je suis cuistot. Je prends mon service dans une heure...— Aïe, c’est con !— Pour la baise, oui. Pour le reste, j’adore.— Tant mieux.
Sa main s’est posée sur mon épaule et me caresse alors que je masse ses testicules. Nous nous regardons. C’est évident, nous nous plaisons. Il n’y a plus qu’à !J’abandonne à regret ses couilles et me recule pour abaisser mon short et faire jaillir mon sexe bandé. Alors qu’il jette un « belle bête ! » je manque de tomber en arrière. Trop de précipitation. Il me retient et son sexe raide heurte le mien.Il me tient par le bras et je finis de retirer ce vêtement encombrant qui a du mal à passer mes baskets. Il en rigole en frottant son sexe décalotté et gluant contre le mien encore encapuchonné.Enfin, je peux me redresser, phallus fièrement dressé, face à lui. Nos sexes continuent à se frotter l’un contre l’autre comme pour faire connaissance. Sa main revient sur mon épaule, passe sous le débardeur, vient saluer un téton.
— Tu es super mignon comme cela...— Merci. Toi, à poil, tu n’es pas mal non plus...— Moi j’aime bien quand on garde le haut. Cela désigne le sexe comme centre d’intérêt...— Vu comme cela... Mais une vue d’ensemble est appétissante aussi !— Appétissante...
Tout est dit. Je m’abaisse lentement devant lui en caressant ses flancs, ses cuisses, puis en refermant mes lèvres sur son gland baveux. La saveur est exquise ! Il a un merveilleux goût d’homme mélangé à un relent salé. Je déguste tout. Puis lève les yeux vers lui, libère son sexe et demande, tout en m’agenouillant plus confortablement :
— Ce petit goût salé, c’est la mer ou la sueur ?— Sans doute les deux...— J’adore !
Ma fellation commence alors. J’enfonce son sexe dans ma bouche. Un sexe un peu plus gros et un peu moins long que le mien. Un bon sexe de petit mâle musclé et viril. J’en grogne de bonheur, pour moi comme pour lui, pour qu’il sache combien j’apprécie. C’est en le sortant pour la troisième fois d’entre mes lèvres que je réalise que son gland est légèrement plus large que sa tige. J’adore ce genre de queue, trop rare. Un beau champignon. Délicieux en bouche, à frotter plus fortement contre ses lèvres. Super jouissif dans les fesses quand le champignon fait pression contre l’anus pour passer et que la corolle anale se referme après le passage, gardant le membre emprisonné dans son conduit... Humm ; j’en frémis d’envie !
Je le pompe activement, je le tète férocement, je le fais bouillir en abandonnant la queue pour aller lécher ses bourses qui remontent immédiatement, la racine rêche, car poilue, la hampe, avant de ravaler le membre pour déchaîner mes va-et-vient buccaux.
Très vite, il s’accroche à ma chevelure. Moi j’ai ses abondants poils pubiens sous les yeux ; et sur la langue. J’adore vivre ce passage où le gars a besoin d’un point d’appui tellement il s’envole vers des sommets de plaisir. Il écarte les jambes pour une meilleure assise.
Je le suce, les yeux levés vers lui, attentif à chacune des réactions de son corps. J’ai assez d’expérience de sucé ou de suceur pour savoir que le gars qui suce les yeux fixés sur le sexe est plein d’égoïsme : seul son propre plaisir fellatoire est important ; celui du sucé, il s’en fout.
Moi j’aime cette communion des regards où, entre deux accès de plaisir, tout se dit silencieusement dans le regard, dans un élan amoureux, aussi bref soit-il.Cela ne fait que deux à trois minutes que je le suce et je sens déjà ce petit goût métallique que j’aime tant. Le gars est si excité que cela ne va pas durer longtemps. Depuis combien de temps se branlait-il ?
Je serre davantage les lèvres et accélère mes mouvements de succion. Pour garder l’équilibre, je pose mes mains sur ses fesses, les écarte, les pétris. Elles sont subtilement velues, à la fois douces et bandées. Je laisse des doigts effleurer son anus. Son sexe entièrement dans ma bouche en une gorge profonde, je tente d’enfoncer une phalange entre ses fesses musclées et toutes chaudes. Il est incroyablement étroit, ses muscles anaux m’empêchent de passer.
Sa main vient se poser sur la mienne, l’attrape, la prend et la repose sur sa fesse. Zone interdite pour l’anus. Tant pis. Mais libre jeu pour son fessier et pour sa queue !Son précum commence à couler. Il halète de plus en plus fortement. J’ai envie de son sperme. Non, j’ai besoin de sa liqueur ! Mais je ne le connais pas. Il a l’air parfaitement safe. Mais je ne sais rien de lui. Il veut retirer son sexe d’entre mes lèvres pour se finir à la main. Je grogne en jetant ma bouche ouverte contre son ventre, ravalant le membre délicieux.
Les ultimes va-et-vient. C’est entre mes lèvres qu’il va finir de faire monter la pression. Le précum liquide laisse place à une perle séminale plus épaisse. Je me retire juste à temps. Il m’éjacule en pleine face, un sperme bien épais et odorant qui vient percuter mes lèvres, mes paupières, mon nez, ma joue. Une grosse giclée suivie d’une demi-douzaine de petites répliques.
Il n’a pas fini de jouir que déjà, ma langue passe sur mes lèvres pour déguster son nectar mâle qui coule rapidement dans ma gorge. Moi qui avais lâchement abandonné ses yeux, je les regarde à nouveau. J’attends qu’il les ouvre après l’orgasme. Ma langue sait me faire patienter en retenant les coulures séminales pour les déglutir lentement.
Enfin, ses yeux se rouvrent. Je n’avais pas remarqué, mais ils sont presque noirs. Il a d’abord l’air étonné de me voir à ses pieds, le visage maculé de son sperme et tourné vers lui. Puis il sourit. Ça y est. Je peux le nettoyer ! Mes lèvres se referment sur son gland nappé de bonne semence et se remettent à le sucer, plus délicatement maintenant.
Je suçote son gland savoureux pendant quelques minutes tout en massant ses deux fesses qui se détendent. Je prends bien garde à ne pas m’égarer vers son anus, il n’a pas l’air d’apprécier.Enfin, son sexe est tout propre. Moi je sens les coulures de sperme s’égarer dans mon cou. C’est dans un même élan que nous convenons de la fin de la fellation. Car pour moi, une fellation terminée, c’est uniquement quand le sexe sucé et vidé est parfaitement nettoyé.
Je me relève. Il attrape mon visage et me roule une pelle. Puis il vient lécher son égarement séminal sur mes paupières, ma joue, mon cou. Si au départ, il l’avale égoïstement en grommelant son bonheur gustatif, très vite, c’est moi qui l’embouche pour l’embrasser et partager son fruit. Cela fait longtemps que j’ai un faible pour ces baisers gourmands où le mélange de salive et de sperme réjouit nos papilles.
Bien évidemment, nos mains se réjouissent des douceurs de nos fessiers qu’un rayon de soleil passant à travers la végétation vient échauffer. Lui ne se gêne pas pour venir saluer mon anus et constater qu’on peut facilement le pénétrer.
Après un long moment très agréable, il se recule et, avec un magnifique sourire, me lance :
— Putain, toi tu es un vrai gourmand !— Parle pour toi ! Tu m’as l’air d’aimer autant le sperme que moi !— C’est vrai, mais le mien. Je ne suce pas. Et, désolé, mais on ne m’encule pas.— Tant mieux !— Comment cela « tant mieux ! » ?— Eh bien tant mieux, si c’est ce que tu aimes ! On n’est pas tous obligés d’aimer les mêmes choses ! Ce serait dramatiquement triste si c’était le cas ! C’est bien la différence entre les mecs qui nous poussent à multiplier les rencontres, non ? — Alors là, toi ! Tu... Tu sais que la plupart des mecs me le reprochent ? Tu es bien le premier à ne pas argumenter pendant des heures pour m’expliquer que sucer c’est génial, qu’enculer ou se faire enculer c’est divin... C’en est lassant à la fin !— Parce que tu n’encules pas non plus ? Je comprends bien qu’on n’ait pas envie d’en prendre une dans le cul, mais se farcir un joli petit fessier, non ?— Non plus... Jamais fait... Mais ça, ce n’est peut-être pas irrémédiable... — Une allusion à mon petit cul ?— Va savoir...— En tout cas merci, te sucer a été un délice ! Sans compter ton sperme !— Merci à toi surtout ! C’était quand même meilleur qu’une petite branlette !— Tant mieux si c’était génial pour chacun de nous deux !— Tu es vachement plus cool que la plupart des mecs en dessous de nous, là. Fait-il en désignant la plage que je devine sous la falaise. Il y a plein de mecs, des habitués, qui me font la gueule parce que je ne suce pas et que je ne baise pas. Heureusement, il y a suffisamment de vieux trop content de sucer une jeune queue !— Ha ? Il y a surtout des vieux en bas ?— En journée, oui. Mais les jeunes arrivent à partir de maintenant. Tu vas pouvoir t’amuser... Moi il faut que je file, je vais finir par être en retard...
Alors que je commence à renfiler mon short, il m’arrête.
— Tu peux rester comme cela, tu es top mignon ! Il n’y a que des naturistes sur ces chemins. Tu ne vas choquer personne si tu rencontres un type.— Ha ? D’accord... A part que je bande encore...— Oh, tu n’es pas le seul dans le coin ! Ne t’inquiète pas pour cela. Tu sais bien ce que c’est, sur une plage naturiste...
L’envie de lui dire « non, justement, je ne sais pas. » reste accrochée au fond de ma gorge. Tel un abruti, je n’ai pas le courage de lui dire que c’est ma première fois. Je me contente de hocher la tête, ce qui ne veut rien dire.
— Bon, eh bien, c’est par-là la plage ? lui demandé-je.— Par là d’où tu viens, presque tous les chemins y vont !— Mais... Tout à l’heure... Tu m’as dit...— Il fallait bien t’attirer dans mes filets, beau garçon ! Et surtout, super suceur !— Salaud ! Tu m’as bien eu !— Tu le regrettes ?— Oh que non !
Il me roule une pelle comme pour se faire pardonner. Je pelote ses fesses, lui les miennes ; je titille son anus quelques secondes pour me venger ; il me rend la pareille. Nous éclatons de rire.
— Tu me raccompagnes ?— D’accord, réponds-je, trop heureux de reculer encore un peu le moment où je vais me retrouver nu au milieu d’hommes nus.— Tu es nouveau par ici ou bien tu es juste de passage ? Me demande-t-il alors que nous marchons lentement côte à côte.— Juste de passage. Aujourd’hui. Pour le boulot.— Ah ! Et tu dors où ?— A « l’hôtel héron », en ville, près du port, je crois.— Oui, c’est juste derrière. On n’est pas loin, moi je bosse au restaurant « les barcasses ». C’est à cinq-dix minutes à pieds de ton hôtel.— On y mange bien ?— Evidemment puisque je suis aux fourneaux ! C’est plutôt moyen haut de gamme. Je termine mon service à onze heures...— Ah... D’accord...— Si tu veux...— Je ne sais pas trop... Mais okay, j’en prends note.— On peut se retrouver à ton hôtel si tu veux.
Il s’arrête, me laisse faire un mètre. Je tourne la tête. Il rigole en regardant mes fesses.
— Je pourrais me laisser tenter par ton joli petit cul...— Ah, si tu me prends par les sentiments...
Nous entendons des voix au loin. Il tourne la tête vers les binômes qui s’approche. Nous sommes presque au carrefour de chemins où j’avais précédemment hésité. Il se tourne vers moi, sentant ma nervosité. Il me rassure.
— Ce sont des copains. Pas de problème.
Nous voyons deux types avancer. A peu près de mon âge. Un tout fin et athlétique. Un plus grand et plus empâté.Ils sourient en nous voyant, s’arrêtent devant nous.
— Salut, ça va ? Y a-t-il du monde en bas ?— Comme d’habitude. Cela va commencer à arriver maintenant...— Super !
Le plus fin me déshabille sans complexe du regard. Il semble apprécier ce qu’il voit. Il me sourit puis se tourne vers son ami.
— Tu as vu, ma petite lopette ? C’est ça un beau mec ! Regarde comme il est bien roulé !— Mais non, il n’y a que toi comme beau mec. Je ne dis pas que vous êtes moches, les gars, mais je préfère mon homme à moi.— Il te parle d’aventure, tu as bien raison ! réplique le pote que je viens de sucer.
Les deux rigolent. Puisqu’ils me matent sans scrupule, je peux en faire autant. Le plus fin est vraiment athlétique et sec. Bien foutu, c’est sûr. L’autre se laisse aller avec un petit bedon et des manières un peu efféminées. Il ne faut pas être grand clair pour voir que dans leur couple, il y a un dominant et un dominé. Ce qui ne veut rien dire en matière de sodomie. Cela, c’est l’expérience qui me l’a dit. Un dominant peut aimer se faire prendre et un dominé peut aimer sodomiser. C’est un code entre eux, généralement surjoué, mais pas forcément au lit.Le dominant, à force de nous regarder nus ou à moitié, finit par dire à son ami de se déshabiller. Les deux retirent leurs vêtements sous nos yeux amusés et les enfournent dans leur sac. Je suis alors le plus habillé de tous, avec mon débardeur.A force de me voir les regarder, le dominant vient se mettre entre son ami et moi, comme pour dire « touche pas, il m’est réservé ». Je lui souris puis lui lance un clin d’œil.
— Aucun risque avec moi, je ne suis pas un briseur de couple. Il y a assez de mecs disponibles sans avoir à séparer ceux qui se sont trouvés.
Il semble surpris de ma réponse. Il me rend un sourire, moins carnassier, plus sincère. Il attrape une fesse de son pote, le fait pivoter vers lui, l’embrasse. Puis il lui dit :
— Allez hop ma petite lopette ! On y va ! Je veux voir tes jolies fesses de soumis nager dans la mer !
Nous les saluons alors qu’ils repartent vers la plage en roulant excessivement du cul. Ils font quelques mètres quand « la lopette » tourne la tête et nous lance :
— Bonne bourre les gars !
Tout le monde éclate de rire. Tout juste, réponds-je :
— C’est déjà fait, mec !
Deux bras se dressent en levant le pouce tout en continuant à avancer sur le sentier sans se retourner. Et en roulant toujours autant du bassin.Mon coup d’un jour se tourne vers moi et me sourit.
— Il joue les kakous mais en fait, il est gentil. C’est un petit couple sans histoire, tout mignon.
Spontanément, nos visages se rapprochent et nous nous embrassons. Un long baiser tendre et profond qui voit nos bas-ventres se coller l’un à l’autre, puis nos mains jouer encore avec nos fessiers.Quand il se décolle pour laisser nos verges mi-dures s’élever, il me dit :
— Moi c’est Octave, et toi ?— Quentin. C’est sympa Octave comme prénom...— C’est vrai que c’est devenu rare, mais il y en a encore quelques-uns dans le coin. Tradition régionale...— Ah ? Okay. On avance vers le parking ?— Le mieux c’est de se séparer ici. Je vais me rhabiller là, on pourrait maintenant croiser des « textiles ». Va donc exposer ton joli corps sur la plage, tu vas faire des heureux... Et...— J’ai bien entendu pour ce soir. Je ne te fais pas de promesse.— C’est si tu veux !
Octave enfile un horrible slip blanc ouvert taille haute. Il se redresse pour me regarder sans se rendre compte du ringard de sa tenue. Très vite, il la cache derrière un short et un teeshirt. Bien que cela me démange, je ne trouve pas les mots pour m’en étonner sans le vexer. Alors je me tais. Une fois habillé, il me roule une ultime pelle avant de me repousser vers la plage.
— Allez, va te détendre !— Comme ça ? demandé-je en tirant sur mon débardeur.— Mais oui ! Tu es hyper-mignon comme cela. Ton débardeur met en valeur ton petit cul ! Tu vas exciter tous les gars du bas. Pas d’hésitation ! Vas-y !
Je lui souris. Je tourne les talons après un dernier échange de regards plein de promesses. Je sens bien qu’il mate mes petites fesses. Tant mieux, si cela peut lui donner envie de découvrir la sodomie active ! J’ai bien aimé le sucer. J’ai bien aimé le garçon. Faut-il pour autant coucher avec lui ce soir ?En tout cas, j’ai très envie de remettre une bonne queue en bouche, nu, en pleine nature, sur une plage couverte d’hommes nus... Sucer Octave n’a été pour moi qu’un apéritif.
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