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C'est donc cela le naturisme

Chapitre 3

Libation

Gay
3- Libation.

Le sentier descend légèrement pour enfin arriver en haut d’un escalier coulé dans la roche. J’observe les lieux. Sur ma gauche, une grande plage sur laquelle je vois une vingtaine d’hommes et de femmes, certains bronzant, d’autres nageant, plusieurs discutant face à face, sans se soucier de leur nudité.
Saurais-je faire cela, papoter à poil devant un mec (ou une nana) en étant à l’aise ? Et surtout sans mater sans cesse son sexe que j’imagine ne pas être complètement au repos... Sur ma droite, je ne vois qu’une demi-douzaine de corps nus, tous masculins. Le petit couple est arrivé en bas des marches et se dirige vers eux. C’est donc là qu’il me faut aller. Là que se rassemblent les hommes. A priori les hommes attirés par les hommes. La plage est plus petite, davantage encombrée de roches, mais tout aussi sympa et ensoleillée. Elle est surtout face à l’océan bleu à l’infini. L’envie de me baigner est la plus forte.
Je descends trois marches puis m’arrête. Okay, en bas, on est entre nudistes. De la mer, à part les poissons, personne ne doit venir déranger. Mais du haut, de la falaise ? N’importe qui peut se pencher et mater. Plus on est proche de l’eau, plus on est visible. Je m’aperçois que si j’ai débandé, ma verge reste bien gonflée.
Je regarde à droite, à gauche ; je ne vois personne. Encore une fois, je me réprimande. Qu’est-ce que cela peut faire que des voyeurs à cent ou deux-cents mètres de moi me matent ? S’ils le font, c’est qu’ils viennent pour cela. Alors, autant leur donner ce qu’ils sont venus chercher, non ? Celui qui ne veut pas voir tourne la tête après avoir aperçu les corps nus ; et poursuit son chemin.
Je reprends ma descente d’un pas plus assuré. Ma verge et mes testicules pendants ballotent à chaque marche descendue. Je saute sur la plage, la dernière marche ayant dû être emportée par une marée hivernale. Quelques visages sur ma gauche se tournent vers moi. Que des vieux. Qui reprennent vite leur occupation, sans marquer le moindre intérêt pour mes petites fesses. Tant pis pour eux. Je pique à droite.
Le petit couple s’ébat joyeusement dans l’eau. Un premier espace de sable entre les roches m’a l’air bien encombré par quatre types, entre quarante et soixante ans, chacun seul sur sa serviette. Leurs regards se tournent vers moi. Je me sens gibier repéré par des fauves. Mais deux fauves sont bedonnants. Un autre est vraiment moche. Seul le dernier est potable. Peu importe, je ne vois pas les sacs ou les serviettes de mon petit couple. C’est donc qu’ils sont plus loin.
Je fais mine de rien, saluant à peine les faux fauves qui me suivent du regard, et grimpe sur un rocher. A moitié penché, je m’arrête. D’abord pour regarder ce qu’il y a de l’autre côté. Ensuite pour les laisser mater mon petit cul. Autant être sociable...
Je passe l’éperon rocheux et saute sur une nouvelle petite plage de gros sable rugueux. Un type, trente à quarante ans, pas moche, lève le nez de son livre pour me regarder puis lever une main pour me saluer. Je lui rends son salut. Un autre, allongé, semble dormir sur sa serviette. Juste après, je repère les sacs et les serviettes du petit couple. Tout au fond de l’espèce de crique, un homme allongé me regarde. Je le salue à son tour de la main. Il me répond par un large sourire. Le type est beau, la quarantaine, sportive, brun, très poilu. Cela doit être une marque de fabrique par ici : une pilosité brune abondante.
J’hésite. Je pourrais me rapprocher de la mer, mais le sable m’a l’air humide. Alors je me décide et remonte pour me poser entre le beau quadra et le petit couple. Avec une quinzaine de mètres entre chacun, cela devrait aller.
Alors que je pose mon sac puis en sors ma serviette, le type me lance un « salut ! » chaleureux. Je lui réponds de la même manière avec un sourire en prime, c’est toujours plus agréable. Vu de plus près, il est vraiment bien foutu, du style gendre idéal sûr de lui.
J’étale ma serviette et jette dessus mon flacon de lotion solaire. Je retire mes chaussures en lui tournant le dos, histoire que lui aussi puisse admirer mes fesses. J’enlève mes lunettes de soleil, ma casquette puis mon débardeur. Je place le tout en tête de ma serviette. Je sais bien que le type n’a rien raté de chacun de mes mouvements. Tant mieux pour lui.
Je me tourne vers la mer. Les deux mignons se sont éloignés en nageant. Je demande au type :
— Elle est bonne ?— Super ! Je viens de me baigner. Elle est très agréable.
Je le remercie d’un hochement de tête. Les pieds légèrement écartés, les mains sur les hanches, je regarde la mer. C’est donc cela le naturisme... Sympa. Je me sens bien, nu sur cette plage, entouré de mecs à poil. Evidemment cela m’est arrivé plus d’une fois d’être nu au milieu de mecs nus. Mais c’était toujours dans le cadre d’une soirée de sexe en groupe, tous excités, rassemblés pour copuler comme des bêtes. Jamais dehors, devant la beauté de la nature.
Je vois mon petit couple qui nage. C’est curieux, je n’avais jamais remarqué que quand on nage, on a les fesses qui ressortent légèrement de l’eau. Recouvertes d’un maillot de bain, il n’y a rien d’excitant. Mais de jolies fesses nues qui dansent sur la surface de l’eau, c’est bandant !
Je sens ma verge légèrement grossir. Je revois ce beau sexe poilu que j’avais en bouche un quart d’heure plus tôt. C’était vraiment agréable de le sucer. Mais il faut que je chasse cette pensée sinon je vais rebander comme un âne.
Allez, j’y vais. Je sais que plusieurs regards me suivent alors que je me rapproche de l’eau. Matez les gars, c’est gratuit ! Un pied dans la mer. Elle est à peu près bonne. Un peu fraiche peut-être, mais rien à voir avec l’océan en Bretagne. Je m’enfonce dans l’eau. Ma verge se rétracte quand mes couilles entrent en contact avec la mer. Je recule un peu, puis me réenfonce jusqu’à la taille. Un courant froid passe sur mes pieds. Il faut que je m’habitue. Mais bon, je suis là pour me baigner, des mecs me regardent, je ne vais pas faire ma chochotte. Je plonge d’un coup, espérant que mes fesses ressortent suffisamment pour satisfaire les voyeurs.
Je nage activement quelques mètres avant que mon corps s’habitue. Elle est vraiment bonne. Alors je file vers le large, vaguement dans la direction du petit couple. J’aurais dû prendre un masque ou des lunettes de piscine. Je n’y ai pas pensé. Alors que je m’arrête et passe ma main sur mon visage avant de rouvrir les yeux, je m’aperçois que je suis tout près des deux gars. C’est le soumis qui me prévient :
— Fais gaffe il y a un courant par ici qui t’entraîne de biais vers le large et la plage mixte. Il vaut mieux forcer et rester du côté des rochers.— Ah ? D’accord. Merci.— Fais gaffe aussi, dit le dominant, toute la plage te mate !— Oh ça, j’ai remarqué ! Mais je ne suis pas là pour cela !— On est toujours là pour un petit plaisir ! Ne rien gâcher mec ! Toutes les occasions sont bonnes à prendre...— Mouais... Il faut quand même les sélectionner un peu, les occasions...
Ils rigolent. Et s’éloignent en se chamaillant, chacun cherchant à s’emparer du corps de l’autre. Je décide alors de vraiment nager en alignant des longueurs, histoire de me défouler. Très vite, je trouve la bonne position en crawl pour que mes fesses ressortent le plus possible. Surtout, je découvre le bonheur de sentir ma petite verge recroquevillée, mes testicules, mais aussi mes poils pubiens balloter au gré du courant. La sensation de l’eau s’écoulant entre mes fesses est divine. Pourquoi ai-je attendu vingt-neuf ans pour découvrir cela ? Merci les filles du restaurant ! Je vous dois beaucoup !
Je nage pendant vingt bonnes minutes. Effectivement, le courant est assez fort dans un sens. Mes allers, que je pousse toujours plus loin vers la plage mixte pour regarder ce qui s’y passe, sont deux fois plus courts que mes retours.
Enfin, je me décide à remonter sur la plage. J’ai vu mon petit couple sortir de l’eau depuis cinq minutes. Ils sont debout devant leur serviette, flacon de lotion solaire en main. Je les avais perdus de vue pendant ma nage. Sans doute sont-ils allés se cacher derrière le gros rocher du bout de notre crique pour s’amuser un peu. Je les imagine bien s’offrir de gentilles turluttes l’un l’autre...
Je remarque un gars de plus sur notre plage. Celui-là, s’il m’adresse la parole, je vais lui répondre gentiment : des bras et des cuisses monstrueux, un torse de taureau ; de toute évidence, il a un boulot physique. Un coup de paluche et il me défonce la mâchoire...
Au moment où je sors de l’eau, je vois le dominé en train d’enduire le dos de son copain. Je fais quelques mètres de plus ; il s’est attaqué aux fesses. J’hallucine : le mec est en train d’enduire le fessier de son pote, debout devant tout le monde, mine de rien. Mieux, quand il a fini il met de la lotion dans sa paume et s’empare de la verge molle pour l’enduire à son tour !
Je regarde les autres gars de la plage. Il n’y a visiblement que moi qui suis surpris par ça. Pour eux, tout est tranquille et normal ici. Il ne se passe rien de spécial. Pas plus quand ils inversent les rôles et que le dominant enduit pénis, bourses et fesses de son pote.
Quand j’arrive à deux mètres de ma serviette, j’entends une claque sonore. Pour marquer la fin de son opération de protection solaire, le dominant a fessé son ami qui recule en s’exclamant. Le type de l’autre côté sourit. Tout comme le petit costaud. Apparemment, c’est normal de s’occuper en public du corps de son petit copain. Je jette à nouveau un œil vers le gendre idéal. Curieux, il me semble que sa serviette s’est rapprochée de la mienne. Il me sourit, couché vers moi, une grosse verge pendant vers le bas. Elle ne me semblait pas aussi grosse et longue tout à l’heure.
Je m’allonge sur le ventre. Je décide de laisser le soleil me sécher la peau. Je repasse en boucle dans ma tête tout ce que j’ai vu et vécu depuis une heure. Ma turlutte, la promenade, nu sur le sentier, le regard des plagistes, les mains amantes enduisant l’intimité de l’autre... Evidemment, mon excitation se réveille.
Au bout de cinq minutes, je sens la morsure des rayons sur ma peau sèche et salée. La tête tournée vers le petit couple, je m’aperçois qu’ils bandent tous les deux. Le dominant à bloc ; le dominé a, lui, un sexe déployé, bien gros, mais encore mou. Ils font la sieste tout en se caressant l’un l’autre sensuellement. Parfois, leurs doigts effleurent le sexe de l’autre, comme pour vérifier leur état d’amour.
Je les trouve super mignons. Mais se câliner comme cela en public... Ils n’ont peur de rien ! Je décide enfin de me tourner. Je bandouille largement. Le mec d’à côté me sourit encore, les yeux sur mon entrejambe. J’ai l’impression qu’il s’est encore rapproché. Et que son sexe a encore grossi. Je me mets sur le dos, replace mon sexe sur mon aine, passe les bras sous ma nuque et je ferme les yeux.
J’entends du bruit tout près de moi. Un type un peu rond est campé devant moi, sexe à moitié bandé, et me regarde. Je referme les yeux, ne sachant que faire. Je les rouvre vite, espérant qu’il ne les voit pas derrière mes lunettes de soleil. Il doit s’agir du gars qui dormait tout à l’heure. Il attrape son sexe d’une main et commence à l’astiquer.
Je referme les yeux. Comme méthode de drague, on a vu mieux. C’est tellement direct que c’en est vulgaire. Je reste vaguement inquiet : ces mecs ne vont-ils pas essayer de me violer ? Mais j’entends des bruits de pas qui s’éloignent. Le gars, déçu de son échec, repart vers sa serviette. Je le vois s’arrêter, se retourner. Il bande complètement, d’un sexe court, mais épais qu’il astique encore. Une dernière vérification et il constate que je n’accroche pas.
Peu après, l’autre gars qui m’a salué vient marcher devant moi en me regardant. C’est plus discret, il ne se pignole pas en bavant devant de la chair fraiche, mais je sens bien qu’il espère un geste de ma part.
Un aller et retour, mais je ne bouge toujours pas. Quelques minutes plus tard, j’entends une voix me dire :
— Tu devrais mettre de la crème solaire : tu vas vite devenir rouge écarlate ici !
Je me tourne vers la voix. C’est mon beau quadra bien foutu qui me parle. Il a encore rapproché sa serviette de la mienne. Décidément, je suis le gibier ici ! Mais celui-là, je veux bien qu’il me prenne en cible. Et quand je dis « qu’il me prenne... »
— Ah c’est vrai, vous avez raison.— Il n’y a pas de vouvoiement sur une plage naturiste. Tu as de la crème solaire ?— Oui. Merci. J’ai tout ce qu’il faut.— Sinon n’hésite pas à demander !— C’est gentil, merci.
Tandis que je commence à m’enduire les bras, le torse et le ventre, il me dit :
— Tu as bien fait de ne pas bouger. Tu excites les mecs, tu sais ? Enfin, une certaine catégorie de mecs...— Cela oui, je crois que je... Lui réponds-je en me tournant vers lui pour constater que son énorme sexe s’est encore déployé.— Je... Je sais... Je le constate régulièrement...— Heureux homme ! Heureux homme qui fait bander les hommes !
J’en ai fini avec mes bras et mes jambes. Je me redresse pour attaquer l’arrière des cuisses. Une fois fait, j’hésite. Je regarde le type. Il me regarde encore, maintenant en souriant. Il comprend mes interrogations intérieures.
— Si tu ne veux pas douiller, mets-en sur tes fesses et ton sexe. Tu n’as pas le choix... On fait tous cela.— Un peu de prévention ne nuit pas...
Je me lance, enduisant par l’arrière mes fesses de crème solaire. Je suis tourné de trois quarts. Il doit avoir une belle vue. Qu’il en profite. Il est bien foutu et sympa, autant lui montrer ce qu’il veut voir. Je me tourne vers lui et m’enduis sexe et bourses. Je ne suspends que quelques secondes mon geste en constatant qu’il bande complètement. Un superbe phallus bien large d’au moins vingt centimètres de long. Et entièrement décalotté. Waouh, quel beau morceau ! Je hoche la tête et lâche un léger sifflement d’admiration. Il sourit de plus belle, flatté que j’apprécie ce que je vois. C’est impossible de le cacher puisque je ne cesse de regarder son épieu et que mon sexe se met à durcir et à s’élever complètement.
— Fais gaffe à ne pas en mettre sur ton gland. Cela peut être irritant...— Monsieur est expert en enduisage de sexe ?— Cela fait plusieurs années que j’expérimente... Tu es très bien monté aussi, tu sais ?— Moins que v... toi !— Je suis plus grand, c’est normal. Toi tu es super bien proportionné !— Merci...— Un conseil, rassieds-toi sans te retourner pour que les autres gars ne voient pas ton superbe membre. Sinon ils vont tous se précipiter !— Tu dis cela pour garder l’exclusivité ?— Je doute fort que je sois exclusif !— Pas faux, effectivement... Cela ne gêne personne de bander en public, ici ?— C’est une plage naturiste. Fréquentée par des homos. Alors non, cela ne gêne personne. D’abord parce que cela nous arrive à tous de bander de manière plus ou moins contrôlée. Ensuite parce qu’on vient tous pour voir cela, non ? Pas toi ?— Difficile à nier...
Je me recouche sur le ventre pour quand même cacher mon érection.
— Fais attention à ton dos, tu devrais mettre de la crème là aussi.— Et comment je fais ? Je ne suis pas Shiva !— Je peux t’en mettre, si tu veux.— Ah, ah... C’est donc bien cela que tu espères... Tu peux m’en mettre ou me mettre ?— Jeune homme... Ce langage...— Quoi ? Ce n’est pas ce que les homos font ensemble ?— Qu’est-ce qui te dit que je suis homo ?— Ta queue ! Tu bandes à bloc devant un petit gars nu ! Je doute qu’un hétéro se mette dans cet état-là ! Regarde ton sexe ! Un superbe sexe, cela dit en passant...
Il rigole.
— Un hétéro, non. Mais tu sais, il y a aussi des bis, pas que des homos. Et les bis sont plus soft dans leurs rapports. La sodomie n’est pas obligatoire. Même si on apprécie de voir et toucher un beau corps masculin...— Toucher ? Comment ?— De toutes les manières possibles, beau jeune homme. Mais pour ce qui me concerne, les lèvres, c’est en privé.— Parce qu’il y a des caresses buccales publiques ici ?— Bien sûr !— Peur de rien les mecs !
Badiner avec lui m’amuse. Nous joutons verbalement encore un moment. Histoire de laisser monter l’envie de juter ensemble... Le mec est vraiment sympa, subtil, délicat. Il finit par me redemander :
— Tu ne veux vraiment pas que je t’enduise le dos ?
Je lui souris en grand.
— Allez, si, vas-y !
Le visage de l’homme s’illumine. Il se lève, sans se soucier le moins du monde de la pine de cheval qui se dresse entre ses cuisses et que toute la plage peut admirer. Tranquillement, il attrape sa serviette et vient la coller contre la mienne. Le temps qu’il retourne chercher ses affaires, je tourne la tête vers mon petit couple qui nous regarde, hilare. Le dominé lève le pouce tout en mimant une branlette sur la taille gargantuesque du sexe du gars. L’autre me fait signe de la main d’y aller. Je me marre à mon tour et me retourne vers mon gendre idéal. Tout de suite, il s’agenouille et saisit mon flacon. Il s’en met dans la paume d’une main et avance encore un peu vers moi. Immanquablement, son braquemart vient toucher mon flanc et déclenche un frisson sur ma peau.
— Oh pardon ! Dit-il hypocritement.— Tu ne l’as pas fait exprès, bien sûr !— Bien sûr que non, répond-il d’un ton qui dit l’inverse.— C’est pour cela que tu ne te recules pas... Ton gland frotte sur ma peau ! T’en rends-tu compte ?— Ben oui. Mais tu vois, j’ai un problème de taille avec mon membre. Si je recule, mes bras seront trop courts pour toucher tes épaules...— Ben voyons...
Il avance au contraire jusqu’à ce que ses genoux touchent mon flanc. Ce faisant, il pose ses bourses et la racine de son sexe sur le bas de mon dos.
— C’est quoi ces lourdes boules de pétanque que je sens sur mon dos ?— Boules de pétanque...
C’est flatteur...
— Non, ce n’est qu’une question de proportion. Comme tu es monté comme un cheval, c’est normal que tes bourses soient aussi grosses ! Et comme elles m’ont l’air bien pleines, j’en sens le poids ! Répliqué-je pour le flatter.— Tu es expert en bourses pleines ?— Expert, pas tout à fait. Je n’ai pas ton âge et ton expérience. Disons que j’ai une habitude certaine de les vider...— Ah ? Et comment fais-tu en général ? S’intéresse-t-il tout en me massant plus que m’enduisant le dos.— De toutes les manières possibles. A la main, à la bouche, à l’anus, si je peux dire ainsi...— C’est bien plus élégant que de dire « en m’en prenant une bien grosse dans le cul ! »— Oh, que de grossièreté ! Je suis choqué !— Je vois cela... Et tu t’en es pris souvent des grosses comme la mienne ?— En bouche ? Dans mes fesses ? Quelquefois... Je fais toujours attention aux mecs, comme toi, trop bien montés. Il faut me préparer progressivement ! Je ne suis pas adepte des douleurs SM !— Pas de fist-fucking ?— Jamais ! Trop peu pour moi !— Il faut savoir, trop gros ou trop peu pour toi ?— Oh... C’est une manière de parler... Non, j’ai des pratiques... Raisonnables...— Cela ne m’étonne pas de toi !— Pourquoi ?— Parce que tu m’as l’air d’être un garçon équilibré. Physiquement autant qu’intellectuellement ou que socialement. Tu es aussi agréable à regarder qu’à écouter...— C’est gentil de le dire. Je le dirai à mes copains de sexe au milieu d’une partouze...
Ses mains sont maintenant dans le creux de mes reins. Des doigts effleurent mes fesses. Mon érection devient douloureuse.
— Ah ? Tu aimes le sexe en groupe ?— Parfois. Je trouve cela sympa.— Cela veut dire quoi, « sympa » ?— Je ne sais pas. Le côté sauvage, totalement débridé, où tout est permis...— Tu es gourmand, je vois...— Pour le sexe, oui. Ma jeunesse file à toute vitesse, je veux en profiter avant d’être vieux !— Ah, parce que moi je suis vieux ?— Euh... Pardon...— Pas grave, tu as raison. La crème est mal étalée sur tes fesses. Je peux égaliser tout cela ?— Je ne peux rien vérifier. Je dois donc te faire confiance...— Tu peux.
Ses mains se mettent à me masser délicieusement le fessier. Le type est doué, vraiment doué. Je dois plusieurs fois relever mon bassin pour replacer mon sexe raide et douloureux. Il s’en amuse.
— Terriblement excité...— Il y a de quoi, non ? Tes mains sont expertes !— J’essaie, effectivement... Tes épaules aussi sont mal protégées...
Cette fois, il ne me demande pas l’autorisation. Il s’assoit sur mes fesses en calant son gros braquemart contre ma raie. Aussitôt, j’écarte les jambes. Il rit.
— Tu aimes te faire sodomiser ?— J’adore.— Même avec une aussi grosse que la mienne ?— Tu veux m’enfiler ? D’accord !— Non... Ce n’est pas mon truc. Désolé si je te crée un faux-espoir. Pardon...— Ce n’est pas un problème. Cela fait longtemps que je me suis résolu à me contenter avec joie de ce qu’on m’offre.— Belle sagesse intérieure !— Quand elle est très intérieure et très profonde, je préfère, remarque...
Nous éclatons de rire. Un fou rire qui nous secoue, attirant l’attention des autres hommes de la plage. Au point d’excitation où j’en suis, je m’en moque. Lui aussi, apparemment. Il se couche sur moi, dans mon dos. Je tourne la tête sur le côté. Nous nous regardons. Nos lèvres amusées se rapprochent. Nous nous embrassons tout en retenue, délicatement, comme des bons amis. Son corps puissant allongé sur le mien est un régal.
Mais d’un mouvement souple du corps, il reprend sa position, agenouillée contre mon flanc. Et frotte son sexe contre ma peau tout en passant mon anatomie en revue, de la nuque aux chevilles pour vérifier que je suis bien protégé du soleil.
Je n’y résiste pas. Mon bras allongé le long de mon corps s’écarte. Je tourne ma paume vers le ciel. Je caresse sa cuisse. Je relève le bras. Mes doigts touchent ses grosses couilles qui pendent, s’en emparent, les massent.
Il lâche un léger gémissement de plaisir. Il écarte davantage les cuisses pour me faciliter le contact. Et revient me peloter le fessier. Ses couilles sont merveilleusement grosses et lourdes. Et son sexe ?
Ma main s’élève, mes doigts se referment sur la racine de sa hampe. Son sexe est bouillant, dur, incroyablement gros.
— Si tu continues comme cela, je ne vais pas tenir longtemps... Souffle-t-il.— Ce sont mes petites fesses qui t’excitent ou bien les mouvements de ma main ?— Les deux, bien sûr... Plus l’idée que sous toi se cache un sexe magnifique...— Tu voudrais le tenir en main ?— J’adorerais !— Cela tombe bien, car la position pour moi est fort peu agréable. Allongé comme cela, j’ai beaucoup de mal à refermer mes doigts autour de ton gros sexe !— Alors, mettons-nous face à face !
Il se couche aussitôt contre moi, à moitié sur sa serviette et à moitié sur la mienne. Je me tourne sur le flanc, vers lui. Nos sexes se heurtent. Ma queue est vraiment ridiculement petite par rapport à la sienne ! Il n’en a cure. Tout de suite, il la prend en main et commence à me branlotter. C’est délicieux. Nous mettons tous deux un bras derrière la nuque pour relever nos têtes placées l’une en face de l’autre. Sa main libre alterne entre mon sexe, mon flanc qu’il caresse, mes fesses qu’il pelote en s’approchant de moi. J’en profite pour déposer des baisers sur ses lèvres. Je réalise que nous sommes en train de nous caresser en public sur une plage. Curieusement, cela décuple mon excitation plutôt que de m’inhiber ou de me faire honte. Il explore mes tétons, mes couilles, mon ventre, mon pubis poilu. Et revient sur mon sexe et mes fesses.
— Tu es magnifique ! Putain que tu es beau ! Tu me rends fou !
Je vois son sexe qui vibre dans l’air en se tendant frénétiquement.
— Tu veux que je te caresse ? Que je te branle ?— Oh que oui ! Vas-y, joue avec mon sexe !
Je ne me le fais pas dire deux fois. Je referme ma main sur son gland baveux et commence à l’astiquer. Il grogne de bonheur, me rend la pareille. Nous nous branlons mutuellement, tournés l’un vers l’autre, échangeant de rapides baisers. Je me demande bien ce que mon petit couple peut voir derrière moi. Se doute-t-il qu’on se donne du plaisir ? Probablement... Voit-il quelque chose ? Probablement pas... Mon beau quadra super bien monté ouvre de plus en plus souvent la bouche. Il est somptueux dans le plaisir. Une idée me traverse l’esprit.
— Tu veux me sucer ?— Non, tu es gentil, je ne suce pas.— Tu n’encules pas, tu ne suces pas, quel drôle d’homo tu fais !
Il me sourit tristement, sans cesser de me pignoler.
— Je suis bi, pas homo.
Je lâche sa hampe pour poser deux doigts sur l’alliance de sa main active.
— Marié ?— Oui.— Des enfants ?— Deux. Mais ce n’est pas le moment, mec.— Tu aimes les femmes ?— J’adore. Et j’ai tout ce qu’il me faut à la maison.— Alors les hommes, c’est platonique ?
Il glousse nerveusement.
— Te branler et me laisser branler, tu appelles cela « platonique » ? J’adore mater des beaux mecs, c’est vrai. Surtout des jolis petits jeunes comme toi. Humm, super mignon ! Des petits mecs tous nus...— Qui bandent ?— Ou pas. Cela m’excite tout autant. C’est pour cela que j’ai arrêté les sports collectifs : trop d’accidents sous les douches collectives... Mais j’aime aussi tenir un mâle dans mes bras, le déshabiller, le caresser, le laver, le masser, le branler, le faire jouir...— Coquin !— Et abandonner mon corps de la même manière !— Comme maintenant...— Oui. Ou bien me coller dans le dos d’un beau gosse, frotter mon sexe contre sa raie tout en le branlant...— C’est sympa aussi...
Je reprends son braquemart en main. Nous continuons silencieusement à nous caresser le chibre. Son phallus est incroyablement bon à caresser ; chaud, dur, enduit de semence qui s’écoule continuellement. Alors je me laisse emporter par ma pulsion. Je glisse brusquement vers le bas, plaçant mon visage en face de son bas-ventre, lui arrachant mon sexe de la main. Aussitôt mes lèvres se referment sur son gland sirupeux. Je passe un large coup de langue de l’intérieur de ma bouche avant de commencer à le pomper. Il sursaute, il grogne, il gémit, il attrape mes cheveux de sa main libre. Je crois qu’il va m’obliger à lui faire une gorge profonde. Un vent de panique me traverse : avec une taille de sexe pareille, c’est impossible ! Il va m’étouffer ou me perforer la glotte ! Mais non. Progressivement, sa main se referme sur mes cheveux et tire ma tête en arrière de plus en plus fort. Je cède. Dans la douleur. Je remonte et reprends ma position.
— Pas cela...— Pourquoi ? Tu aimes !— Justement. J’adore. Mais pas avec les mecs. C’est réservé. Non, branle-moi ! Fais-moi jouir !
Je reconnais ma défaite. Ma main reprend son membre et l’astique à nouveau. Entre sa semence abondante et ma salive, il est parfaitement lubrifié. Je le branle férocement tandis que lui me caresse la peau, la tige, les couilles... Le tout sporadiquement. Le jeu ultime ne dure pas bien longtemps. Il éjacule en criant à moitié, aspergeant mon ventre et mon sexe d’une prolifique mitraille séminale. J’ai rarement vu une telle quantité de sperme dans une éjac. Je vide consciencieusement ses couilles en le regardant intérioriser son orgasme. Quand les dernières giclées sont sorties, j’approche mes lèvres des siennes. Pour la première fois, il les entrouvre. Nous nous embrassons comme deux amants, nos langues se chamaillant dans nos bouches. Quand le baiser prend fin, il me sourit. Mais d’un sourire gêné.
— Oh toi... Tu m’as rendu fou !— De plaisir ! Tant mieux.— Tu sais faire fondre un homme, toi ! Putain, c’était splendide !
Ses yeux sont injectés de sang, nerveux. Il regarde mon ventre maculé de sperme, mon sexe toujours raide qui vibre encore.
— Tu veux que je te finisse ?— Tu n’en as pas vraiment envie, je me trompe ?— Cela se voit tant que cela ?— Tu n’as pas à avoir honte, tu sais. Nous n’avons fait que de nous donner du plaisir !— Je sais bien. Et c’était divin ! Mais tu vois, si je ne suis pas devenu homo, c’est probablement parce que je ressens toujours un petit moment de malaise après avoir joui avec un mec... Rassure-toi, dans une heure ce sera oublié et je n’aurais de cesse que de recommencer !— Dur destin ! Et avec une femme, cela te fait pareil ?— Jamais ! Bien au contraire. Après avoir joui, j’ai d’autant plus envie de la cajoler...— Curieux, effectivement...
Je ne sais plus trop quoi dire. Lui non plus. Il sort de son sac un mouchoir en papier et s’essuie le bout. Puis il farfouille dans son sac. Je comprends qu’il veut partir. Il se tourne quand même vers moi, agenouillé, son beau sexe toujours gonflé faisant une courbe d’une grâce infinie.
— Tu viens souvent par ici ?— Je suis de passage. C’est la première et probablement la dernière fois.— Dommage.
Il se lève. Je me couche sur le dos, tout content de sentir son sperme sur ma peau et dans mes poils. Et d’exhiber ma queue toujours raide et tendue. Je jette un œil autour de moi. Tout le monde nous regarde : les trois types seuls et mon petit couple qui me fait un signe amical de la main. Ils ont tout vu. Ou tout deviné. C’est selon leur angle de vue... Mais ils ont respecté. Ils nous ont laissé jouer ensemble sans intervenir. C‘est sympa. Le gendre idéal enfile juste un short. Ses affaires emballées, il passe devant moi, s’arrête, me regarde. Il a un rictus curieux devant sa semence étalée sur ma peau. Mais il se lance.
— Salut. Et merci. C’était super.— Pour moi aussi, rassure-toi.— Même si... Tu n’as pas joui ?— Ne t’inquiète pas pour ça ! Cela viendra bien en temps ! En tout cas je trouve cela génial.— Quoi donc ?— De pouvoir s’amuser comme ça, à poil, sur une plage pleine de mecs.— Ah !— Et de savoir que ce soir, cette nuit, demain, tu vas te masturber comme une bête en rêvant de me tenir à nouveau dans tes bras pour me caresser et me branler !
Il est d’abord abasourdi parce que je viens de dire. Avant d’éclater de rire ; ce qui évacue d’un coup son embarras. Il me quitte en me montrant du doigt et en disant :
— Toi ! Putain, toi !
Et il se marre à nouveau en passant devant le petit couple qui ne comprend rien à ce qui se passe.
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