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C'est donc cela le naturisme

Chapitre 4

Intercalation

Gay
4- Intercalation.
Amusé autant qu’excité, je reste allongé sur le dos dix petites minutes à attendre que mon érection s’apaise. Peine perdue. Je viens quand même de sucer un mec et d’en branler un autre qui m’a caressé en tous sens. Alors ma gaule, elle n’est pas près de s’en aller ! A part peut-être l’eau froide…Je regarde autour de moi. Mon petit couple jette des regards furtifs sur mon sexe érigé. Ils sont dans le même état à se bécoter et se caresser gentiment. Ils en sont presqu’attendrissants. Les regards des autres mecs sont aussi dirigés vers moi. Je commence à croire que je n’ai que l’embarras du choix. Brusquement je me décide. Je me relève, retire casquette et lunettes et me dirige vers l’eau, la queue bien tendue. Tournant la tête vers mon petit couple et les voyant toujours dans le même état érectile, je fais un crochet pour aller les saluer. En bon exhibitionniste je me campe devant eux et leur demande :
— Vous qui avez l’habitude, comment fait-on ici pour débander ?
Ils rigolent, me montrent qu’ils apprécient la vision de mon sexe bandé.
— Tu es un chaud, toi ! le petit noiraud tout à l’heure, le beau gosse maintenant. Ce n’est que son sperme qu’on voit accroché dans tes poils ou bien les deux vôtres ?— Si j’avais joui, je pense que j’arriverais à débander !
Le dominé éclate de rire. Il déclare en se marrant :
— En général ce qui stresse les mecs c’est de réussir à bander. Avec toi c’est l’inverse !
Je me rends à son argument en rigolant de bon cœur. C’est vrai que je ne suis pas près de débander, surtout devant leurs beaux membres à eux, bien érigés.
— Tu n’as que deux solutions : aller nager, mais ce n’est que provisoire, ou te farcir un mec quelque part sur cette plage. Ajoute-t-il.— C’est bien ce que je pensais… Dis-je en tournant les talons pour aller vers l’eau.
Entre temps le tas de muscles et un autre mec avancent vers l’endroit où je me dirige. Vont-ils me bloquer ? Nous nous retrouvons les uns en face des autres. Si je bande à bloc, les deux autres ont aussi la verge gonflée, sans toutefois être rigide.
— Belle bête ! Fait l’un en désignant ma queue.— On dirait que tu t’es bien amusé tout à l’heure ! Fait l’autre.
— Certes ! Réponds-je en passant entre eux pour me jeter dans l’eau. Malgré la sensation de froid, avec deux excités derrière moi, je plonge immédiatement. Et je découvre que c’est un peu douloureux de percuter l’eau avec une verge bandée…
Je nage tranquillement vers le large. Comme prévu ma verge s’apaise lentement. J’ai un moment cru que j’étais bloqué en position érection ! Cette fois je ne m’éloigne pas trop, préférant rester du côté de ma crique en nageant pour contourner le piton rocheux. Arrivé à son extrémité, je me retourne pour constater que personne ne me voit plus. Je suis tranquille. Je pourrais en profiter pour m’offrir une petite branlette. C’est tentant, même si on ne sait jamais de quoi l’avenir sera fait.
Je vois un rocher assez plat qui semble tomber dans l’eau en escalier. Je m’approche et me hisse dessus en faisant attention à ne pas glisser. Je me mets debout, les pieds au sec, et regarde autour de moi. La grande bleu étincelle de tous ses feux. L’endroit est magique.
Une envie d’uriner me prend d’un coup. Sans doute mon érection avait-elle bloqué mon besoin. Et le contact de l’eau l’affole-t-il. Je me rapproche du bord, me décalotte, et commence à libérer un flot d’urine dans la mer. Une voix s’élève immédiatement sur ma gauche :
— Ah, ce n’est que cela ! J’avais peur que tu gâches du bon sperme en allant de donner un petit plaisir solitaire ! Ici on est plutôt dans le solidaire, tu sais ?
Je rigole à la saillie et vois le gars de tout à l’heure, pas le tas de muscles, l’autre, nager vers moi. Il avance jusque sous mon jet d’urine que je tente de décaler pour ne pas le toucher.
— Oh ne te gêne pas pour ça, j’aime bien les jeux uro. Pas toi ?— Un peu. Dans certaines circonstances…— Et là, elles ne sont pas rassemblées ?— Non, pas trop.
Le mec est plus jeune que je ne le croyais vu de loin. Sans doute sa morphologie est-elle légèrement flasque. Mais il a un beau sourire.
— Je vois que tu as un peu débandé. Dommage. Quoi que le spectacle soit très agréable à regarder.— Merci.— Je me disais que si tu n’arrivais pas à te calmer, je pourrais peut-être t’aider. Tu sais bien, la solidarité entre mecs qui aiment les mecs…— Je vois…
Le type sort de l’eau pour se hisser sur le rocher plat à côté de moi. Son sexe est presqu’entièrement érigé. Comment a-t-il fait pour bander de plus en plus tout en nageant ?
— Et comment tu voudrais m’aider ?— Au choix. Mes lèvres ou mes fesses. Pour les jeux de main, tu as déjà donné je crois.— Cela s’est vu tant que ça ?— Difficile à rater ! Tes petites fesses s’agitaient tellement qu’on se doutait bien que vos mains n’étaient pas demeurées inactives !— Pris sur le fait. Je vois…— Et moi je vois que tu te remets à bander ! Je ne peux pas te laisser comme cela !
Il n’attend pas de réponse et se jette à mes pieds. Je tente de lui échapper mais le contact de ses mains sur ma peau me freine.
— Allez, tu en as trop envie.
Difficile à nier quand votre sexe retrouve sa taille maximale. Je me tourne alors vers lui pour le laisser attraper et lécher ma queue. Il ne tarde pas à emboucher ma queue. Immédiatement il se met à me pomper en grognant. Le gars semble aimer cela. Ce n’est pas le meilleur suceur que ‘ai connu mais il se défend. Je vois son sexe qui frémit dans l’air. Il l’attrape d’une main et commence à se masturber tout en poursuivant sa fellation. Je sursaute quand j’aperçois le gars super musclé s’approcher en nageant. Il s’arrête et nous regarde. Mais beau joueur il nous jette un :
— Tant pis ! Trop tard !
Puis il poursuit sa nage sans plus se soucier de nous. Mon suceur a l’air davantage déchainé dans sa branlette que dans sa sucette. Comme il n’est ni cador en pompeur ni canon sur le plan morphologique, ses efforts ne me font qu’un assez vague effet. La vision de son sexe, pourtant, me rappelant celui d’Octave, mais aussi la saveur de celui de mon gendre idéal, réveille en moi un puissant besoin. J’ai comme lui besoin de sucer une belle tige.
J’arrête le type, je lui demande de se coucher sur le rocher. Il est plat, mais pas complètement lisse, alors autant que ce soit lui qui se casse le dos ! Je me place tête bêche et me couche sur lui. Nous avalons nos glands simultanément en homos sans tabou. Ses mains se posent sur mes fesses et commencent à me peloter. C’est l’avantage d’être au-dessus ! Je les écarte bien pour qu’il ait l’idée de jouer avec ma rondelle. Mais cela doit être trop pour lui. Il n’y pense même pas.
Comme il est entièrement rasé, je joue à lui lécher le bout, la hampe, la racine, le pubis, les couilles. Il relève instinctivement les jambes. Alors je fais ce qu’il m’invite à faire, je fonds sur sa rondelle et lui offre un anulingus tranquille.
Le premier effet est que ses lèvres lâchent mon sexe tellement il halète de plaisir. Le second est qu’il tente de frotter son sexe contre mon torse en tapant douloureusement contre mon cou. Le troisième est que je sens une gluance de plus en plus prononcée sur ma peau. Le gars est hyper excité.
Je décide d’abandonner son anus. Du moins de la langue car j’y enfonce un doigt délicat qui est vite surpris par sa dilatation. Ne pas perdre de temps. Le gars est excité du cul. J’y fais pénétrer deux doigts et je commence à le masser de l’intérieur. Il gémit de plus belle. Mon instinct me dit de le sucer tout en le doigtant, mais je ne le connais pas ce gars. Est-il sain ? Alors ma raison me dit de me contenter de le branler. Tout en le doigtant. Dans l’eau, près de nous, mon petit couple passe en nageant. Et encore une fois les deux lèvent un pouce en signe de félicitation. Je les salue de la main et retourne à mon ouvrage, ma queue par moment entre ses lèvres qui tentent sporadiquement de pomper, tandis que je le masturbe et la doigte analement avec force. Pas très résistant le gars. Il gémit sourdement en soulevant sans cesse son bassin pour faciliter la pénétration tactile. De toute évidence il apprécie les jeux anaux. Je le soupçonne d’être très gourmand de ce côté-là. Son conduit est particulièrement souple et accueillant. Plus que le branlage, c’est le doigtage qui le met dans tous ses états.
Il jouit brusquement après quelques courtes minutes. J’ai beau écarter la tête, je reçois des giclées de son sperme sur le cou et dans les cheveux. Je ne sais pas pourquoi, mais je n’ai aucune envie de goûter sa semence. Je me relève d’un coup et me campe au-dessus de lui en disant :
— Bien joué mec ! Belle éjac ! Bravo ! Superbe !
Je dois être suffisamment convainquant, et lui encore largement dans les limbes, car il me remercie à son tour, élève la main pour me caresser couilles et queue avant de tenter de passer sur mes fesses. Mais je n’ai pas l’intention de m’attarder. Je me dégage, je fais deux pas vers le bord et je plonge d’un coup.
La douleur est intense. Non seulement j’ai fait un plat, mais en plus le choc sur mon phallus me fait crier. J’avais oublié ce détail qui n’en est pas un : il faut prendre particulièrement soin de son sexe bandé car il est fragile et sensible.
Je ne sais pas si le type a remarqué ma douleur, et je m’en moque. Je nageote quelques instants en revenant souvent me tenir sur le bord. J’avais lu qu’il y avait plein d’oursins sur cette côte, je me méfie.
Quand passe la douleur, je décide de nager pour calmer mon érection. Je rigole intérieurement car ma queue raide, tel une dérive, me stabilise et me freine en même temps. La sentir bouger souplement dans la l’eau est réjouissant. Je n’ai qu’une envie, prolonger ce doux moment.
Je décide d’aller voir ce qu’il y a de l’autre côté de l’éperon rocheux qui, se jetant dans l’eau, fait une barrière naturelle à notre crique. Après tout c’est par-là que sont partis et le petit couple, et le tas de muscles.
Je fais bien attention de passer au large de peur de heurter un rocher. Sans masque, je ne peux pas éviter les pièges du bord de mer. Une dernière brassée et je sors la tête de l’eau. Ce que je vois devant moi est surprenant. Une crique minuscule se cache derrière la nôtre. Une crique de rochers qui ont l’air assez plat. Il n’y a quasiment pas de sable.
Mais le plus étonnant est ce que je vois sur les rochers. Sur le bord, à ma droite, mon petit couple est debout, le dominé face à la roche sur laquelle il se tient alors que son pote est en train de le limer par l’arrière. Ça y est, les amoureux sont en train de s’enculer. Et ils s’en donnent à cœur joie.
Mais ce n’est pas tout. Au milieu, à cinq à dix mètres d’eux, je vois une imposant paire de fesses que dominent deux jambes. Le gars que je vois de dos est en train d’en lutiner un autre, couché devant lui, tellement soumis qu’il tient ses jambes grandes écartées. Je fais encore une brassée et je vois un enculé qui a vraiment l’air de se régaler. Je ne sais pas qui est qui, mais ça besogne sec !
C’est apparemment un véritable baisodrome car un peu plus loin c’est un gars à quatre pattes qui se fait prendre en levrette. Lui a la tête tournée vers la mer, se retient comme il peut sous les coups de boutoir.
Je reconnais la puissante musculature de son enculeur. Trois couples ! Trois couples en train de se queuter sans complexe, et sans se soucier de la présence des autres. J’ai déjà vu lors de mes discrètes parties collectives de jambe en l’air, mais jamais en extérieur.
Je reste statique pour garder la position en faisant de petits mouvements de pieds et de bras. C’est donc cela le naturisme : se foutre à poil, s’exciter les uns les autres puis aller dans un endroit plus discret pour s’envoyer en l’air…
C’est bien ce que je viens de faire d’ailleurs avec le type. Mais nous, c’était plus discret. Quoique… Ils sont quand même trois à nous avoir vu baiser en nageant devant notre rocher plat…L’envie de participer est immédiate. Mais l’appréhension est là. Je ne connais aucun des quatre gars qui défoncent ou se font défoncer le cul. A part le costaud, tentant, mais qui bourrine avec une puissance redoutable. Remarque, j’aime cela aussi, mais pas en préliminaire. En apothéose plutôt.
Je touche ma queue. Elle est toujours bandée même si elle n’est pas très dure. Je sais que j’ai envie. Mais oserai-je ? C’est le dominant sec du petit couple qui fait tout basculer. Son enculé m’a repéré en train de nager. Il tourne la tête vers moi, dit quelque-chose à son besogneur qui me regarde avant de me faire des grands signes pour m’inviter à les rejoindre.
Je tâte encore ma queue. Mes bourses sont remontées. Après-tout, pourquoi pas … Je reprends ma nage et m’approche d’eux.
— Tu veux te joindre à nous ? Me demande le dominant.— C’est gentil de proposer mais je ne voudrais pas déranger. Vous m’avez l’air de parfaitement savoir vous débrouiller tout seuls…— C’est à cause de toi… Non, grâce à toi, qu’on en est là ! Dit l’enculé.— Ah bon, pourquoi ?— A voir comment vous vous êtes amusés tout à l’heure, cela donne envie. Tu comprends notre dernier câlin date de ce matin !— Ah oui, c’est long ! C’est dur de tenir aussi longtemps !— Si au moins tu n’étais pas venu exhiber ta petite queue bien dure devant nous ! C’est que cela donne des idées ! Ajoute le plus sec.— Euh… Les gars… Il ne faudrait pas se moquer ! C’est quand même vous qui avez agité vos queues raides bien avant moi, alors que j’étais seul et allongé…— C’est bien ce qu’on pensait : tu ne serais pas un peu voyeur par hasard ?
Instinctivement je regarde les deux autres couples dont ma présence ne semble pas freiner l’ardeur. Le gars super musclé me fait un petit signe amical de la main tout en dansant méthodiquement du bassin. Son passif est trop concentré sur son plaisir anal pour me remarquer. Je l’entends d’avance me demander : « je finis celui-là et tu viens prendre la suite ? ». Tout à fait le genre… Alors, ne pas trop tourner la tête vers lui…
— Voyeur, voyeur… Et vous donc qui nous matiez pendant que je soulageais mon pote de branle !— Très jolies petites fesses, je dois dire ! J’aurais adoré vous voir de plus près en train de vous astiquer…— C’est ce que dis. En guise de voyeurs, vous êtes au top tous les deux !— Parce que, là, tu ne serais pas en train de nous mater en pleine baise ?— C’est vous qui m’avez dit d’approcher !— Et cela ne te dérange pas de regarder des mecs en train de copuler ?— Sauvagement… Copuler sauvagement… Eh bien non ! Pas du tout. J’aime bien cela, mater des mecs se bourrer le cul…— Je vois le genre : Monsieur adore se masturber en matant des films de cul gay, de préférence de sexe en groupe…— Entre autres… Pas que… J’aime y participer aussi… Plein de bons souvenirs…
Le couple se marre ; sans freiner leur sodomie, le passif ayant une franche tendance à aller chercher la queue qui le bourrine en reculant sèchement son bassin, comme s’il avait peur que l’autre ne se retire. Et l’actif flatte sa croupe et ses flancs à coups de petites claques complices.
— J’en étais sûr ! Tu es un chaud, toi ! Tu veux bien sortir encore un peu de l’eau pour qu’on mate à nouveau ta jolie petite queue ?— A part cela, vous n’êtes pas du tout voyeurs…
J’ai complètement rebandé. Les voir copuler m’excite. Les voir eux, mais aussi les deux autres couples. Des queues qui s’enfoncent, des fesses écartelées, des mouvements souples du bassin… Humm, comment résister ? Je sors gauchement de l’eau pour ne pas m’abimer les pieds et retrouver mon équilibre. Dès que je me redresse, et leur présente ma virilité en grâce, une mitraille enculatoire se déchaine dans le cul souple du passif. Il semble que je fais de l’effet…
— Met-toi devant pour que je te suce ! Fait le dominé besogné.
Je regarde son ami qui me donne l’autorisation d’un clignement d’yeux amusé. Je me décale pour m’adosser contre la paroi rocheuse. Les deux corps liés de la meilleure des manières se décalent légèrement et la bouche du passif avale mon sexe. Je n’ai pas de doute : il est clairement un bon gourmand de la queue, un as de la fellation !
— Tu ne veux pas venir dans mon dos et me prendre ? Demande le dominant tout à son ouvrage, alors que l’autre me dévore la queue.— Pourquoi ? Vous ne voulez pas changer les rôles ?— C’est que… Moi je suis autant actif que passif. Mais Kevin n’est que passif.— Ah ? C’est dommage. Et cela fait longtemps que vous êtes ensemble ?— Plus d’un an.— Et il ne peut pas faire des petits efforts de temps en temps ? Pour son homme ; pour son chéri…
Le Kevin grogne je ne sais quoi sans abandonner ma hampe.
— Il en fait ! Il trouve régulièrement un troisième à mettre dans notre lit. Il est très généreux pour cela !— C’est particulièrement gentil de sa part, mais il pourrait aussi donner de sa personne, non ?
Cette fois la fellation s’arrête. Le passif se fige, mon sexe largement enfoncé dans sa bouche. L’actif ralentit ses va et vient au point de les arrêter complètement, telle une machine à vapeur qui s’arrête. Subitement sérieux, il me jette un regard grave.
— Si je te dis qu’il est uniquement passif…— …— Bon, tu veux savoir ? Il a été abusé, ado. Sévèrement. Pendant longtemps. Alors il ne peut pas. Il ne peut pas pénétrer qui que ce soit. Fille ou garçon. Fille, il a essayé mais n’a jamais réussi. Et moi, à chaque fois qu’on a essayé, il a débandé instantanément. Impossible de rester raide pour s’enfoncer. Le simple contact d’un anus ou d’une chatte contre son gland le tétanise et fait refluer le sang dans sa verge…— Merde… Désolé…— Tu n’y est pour rien… C’est un vrai handicap, tu sais. Pour la vie de couple. Mais moi je l’aime comme cela. Il a plein d’autres atouts ! Il suce comme pas deux…— Je confirme !— … Il te masse comme un as ! Il adore me montrer ses jolies fesses, m’exciter comme un fou… Et se faire prendre longuement…— Désolé de vous avoir obligé à me raconter cela… Pardon… Mais c’est vrai que tu suces comme un dieu !
Je pose ma main sous son menton et le relève pour lui rouler une pelle. Je lis de la tendresse, une vraie gentillesse, de la générosité dans ses yeux qui ne jouent plus. Notre baiser est interrompu par le réveil de la machine à vapeur enculatoire. Le dominant tient à nous faire savoir que c’est son homme à lui et qu’il ne faut quand même pas abuser de la situation. Nous rigolons, évacuant ainsi la tension. Kevin s’accroche à mes épaules et encaisse une salve puissante dans son conduit. Secoué comme un épi qu’on égraine, il réussit à me demander :
— Alors ? Tu veux bien enculer Joël ?— Mais oui « ma petite lopette » ! Pardon ! « Sa » petite lopette ! Je vais le mettre, et bien profond, ton Jojo !— Comment sais-tu que je l’appelle « mon Jojo » ?
J’éclate de rire et me dégage. Kevin, profitant d’une accalmie sodomite, reprend son assise contre la paroi. Joël m’intercepte en me saisissant par la nuque pour me rouler une pelle alors qu’il nique encore.
Son baiser est si agréable que j’ai envie de lui faire plaisir. Ma main s’avance et tate sa belle queue bien bandée malgré ce qu’il prend entre les fesses. Alors j’abandonne ses lèvres et me baisse pour mettre son sexe baveux en bouche. Pour autant Joël ne freine pas sa sodomie. C’en est d’autant plus amusant de le sucer ainsi.
C’est juste un gâterie rapide. Je lâche vite son sexe bien dur et l’embouche à nouveau. Nos lèvres ne sont pas encore décollées que je le vois se contorsionner pour aller chercher quelque chose à ses pieds. Je me recule et regarde ce qu’il fait. Je n’avais pas vu mais il a une pochette étanche attachée à sa cheville, le genre que les coureurs portent au bras pour y mettre leur téléphone portable. Il réussit à l’ouvrir et une poignée de préservatifs s’y échappent.
— Waouh ! je vois que vous aviez tout prévu !— On avait très envie de queuter avec toi ! Et puis, ici, il y a souvent de bonnes occases…— C’est moi la bonne occase ?— Toi, c’est la cerise sur le gâteau !— Sympa… Tiens Kevin, tu ne veux pas me la dérouler cette capote ?— Avec joie ! D’abord te sucer encore un peu…— Gourmand…
La fellation est erratique. Joël s’accroche à ses flancs et le bourrine toujours aussi activement. Nous rigolons de bon cœur. Et quand la sucette se termine, il déroule très adroitement le préservatif sur ma hampe.
Je n’ai plus qu’à le remercier en l’embrassant à nouveau. C’est de bonne guerre. Et à me placer derrière le dominant qui se doute qu’il va en prendre une experte ! Au passage nos lèvres se retrouvent et je lui roule à lui aussi un palot intense. Avant de passer derrière, de cracher sur mes doigts et de les passer dans sa raie.
Instantanément il écarte les jambes, arque les cuisses, s’offre à moi. Il a vraiment de jolies fesses bien musclées, quoiqu’un peu plates à mon goût. Son anus s’ouvre immédiatement pour se laisser pénétrer par une phalange. Cela s’annonce bien !
Je sens un mouvement dans mon dos. Je me retourne pour apercevoir mon tas de muscle qui nous scrute avec intérêt ; de même que le gars qu’il est encore en train de sodomiser, un chauve un peu bedonnant ; et les deux autres qui ne ratent pas une miette du spectacle qu’en dépit de notre plein gré nous donnons tous les trois.
Ils veulent du spectacle ? Autant leur en donner ! Je commence par fesser brusquement Joël le dominant. C’est toujours intéressant de voir la réaction des dominants quand ils se retrouvent dans une position de dominé. Il n’y a que deux solutions : ou bien ils se révoltent, s’emparent de vous et se vengent hardiment, ce qui m’est arrivé plusieurs fois car je ne suis pas assez costaud pour résister ; et surtout que j’aime cela, subir la vengeance sexuelle d’un dominant survolté… Ou bien le dominant se laisse entièrement prendre par le dominé qui sommeille en lui et en redemande.
C’est cette deuxième hypothèse que j’imaginais, estimant que Joël surjoue son rôle de mâle dominant et que Kevin surjoue celui de tapette soumise. Bingo ! Il s’accroche au corps de son petit ami et me supplie de continuer.
Je le fesse gentiment. Il râle de bonheur, m’offrant son fessier de manière la plus impudique possible. Je passe la main entre ses cuisses, enfonce un bout de mon pouce dans sa rondelle et soupèse ses couilles. Elles sont vraiment bien pleines.
Je vérifie au passage que sa queue est toujours enfoncée en Kevin et je le fesse à nouveau en regardant mon public qui semble vraiment apprécier. Au point que leur enculade à chacun d’eux reprend de plus belle, accompagnée de coups de cravache sans cravache sur les flancs des deux chevauchés.
Je m’amuse à écarter les fesses de mon dominant dominé pour lubrifier à gros jets de salive sa belle rondelle. Ses fesses rougissent. Bientôt fesses et anus auront la même teinte sombre et rougeâtre. Il sera alors prêt à me recevoir.
J’ai envie de le prendre d’un coup mais me demande pourquoi s’arrêter en si bon chemin. Encore un peu d’indignes sensations… Après une série de claques plus forte je me penche derrière lui et donne brusquement de brutaux coups de langue sur son petit trou.
Un cri aigu et continu sort de sa gorge. Il halète sourdement entre deux coups de langue tout en exprimant son intense plaisir par son râle. Une curieuse stéréo que je m’emploie à activer en tâchant de le pénétrer du bout de la langue.
En amoureux des anulingus, j’alterne léchages circulaires, passages large tout au long du sillon fessier, picorements de la corolle anale, pénétration du conduit. Son petit ami, solidaire, tourne la tête et tente de l’embrasser pour le soutenir dans l’intensité des sensations. Je le soupçonne de savoir ce que c’est, les imaginant très bien, Kevin allongé sur le ventre la tête accrochée à un oreiller et Joël la tête dans ses fesses, le léchant très longuement…
La tête calée entre les fesses… J’adore ! Et j’y plonge avec délectation. Cette rondelle-là est délicieuse. Son petit cul sec et musclé est un régal pour les yeux. Je prends autant mon pied que lui. J’entends un râle sourd dans mon dos. Puis un second. Je suspends ma gourmandise et regarde derrière moi. Le passif sous mon tas de muscle a joui. Le tas de muscles aussi. Très vite le second enculeur les rejoint en me regardant. Décidément, me voir par derrière en train de lécher un cul sonne l’hallali pour tous ces couples. Il est vrai que j’en ai joué, remuant mon petit cul tout en léchant celui de Joël. Je les comprends parfaitement, je suis comme eux, assister à un anulingus me surexcite.
Je les laisse à leur retour sur terre et reprends mon léchage en règle. La pause lui a fait le plus grand bien. C’est comme si sa rondelle avait profité de ces quelques secondes pour se détendre. Ma langue entre entièrement dans le conduit. Je n’ai plus qu’à le butiner de l’intérieur, accompagné de ses petits cris tous mignons.
Si j’adore faire des anulingus, ce n’est quand même pas une fin en soi. La langue de plus en plus rêche, je commence à me lasser. Je maintiens mon jeu lingual encore un instant avant de me décider à rendre mes lèvres orphelines de son anus ouvert.
Je me redresse. Il comprend et me hurle un « Vas-y ! Prends-moi ! ». Puisqu’il le veut, qu’il en soit ainsi…Je tapote ma queue contre sa raie pour s’assurer qu’elle est bien dure. Je sais bien qu’elle est totalement bandée. Mais j’aime bien faire cela. C’est comme un rite qui dit « ces fesses m’appartiennent maintenant, tu es à moi ». Je sais que c’est nul comme pensée. Mais c’est ainsi.
Entre deux il s’est remis à envoyer quelques coups de queue dans le cul de son petit ami. Je dois le retenir pour poser mon gland contre sa rondelle. Instantanément il recule et s’empale sur mon gland qui est irrésistiblement attiré dans son conduit.
Je m’enfonce sans grande résistance bien que son conduit soit jouissivement étroit. Il est parfaitement lubrifié. Je peux donc entamer mes premiers va et vient. Toujours très lents, très progressifs ; je suis un actif attentif !
C’est lui qui casse mon rythme en libérant une salve enculatoire dans son ami. Ce faisant, mon sexe entre et sort aléatoirement d’entre ses fesses. Il grogne. Je comprends que c’est assez douloureux pour lui. Mais c’est lui qui le provoque. C‘est lui qui aime cela.
Je sais bien que la magie de la sodomie tient dans le lien indéfectible entre plaisir et douleur. Tout est une question de mesure. Pour la douleur. Jamais pour le plaisir. Et puis la magie de la sodomie passe aussi dans la transformation de la souffrance due au frottement et à l’écartement, en douce chaleur qui vient irradier le conduit rectal d’abord, tout le corps ensuite. C’est ce qui se produit assez vite avec Joël. Les râles de souffrance sourde deviennent des râles sourds de plaisir. Par mimétisme Kevin joint ses cordes vocales à celles de son amant. Et moi je me surprends à gémir dans une même harmonie. C’est une symphonie qui sort de nos gorges, la symphonie en rut majeur pour une double enculade.
Peu à peu nous trouvons notre cadence. Le rythme devient régulier. C’est ce que viennent vérifier mon tas de muscles, son passif et un troisième gars que je n’avais pas repéré. Ils viennent l’un après l’autre autour de nous et scrutent chaque pénétration, chaque entrée et sortie de phallus d’un cul à l’autre.
Si mon tas de muscles se plait à me caresser la croupe, si l’inconnu, mignon au demeurant, nous encourage et nous guide, le troisième plie les gaules et saute lourdement dans l’eau avant de s’éloigner en nageant.
Joël murmure régulièrement des « putain que c’est bon ! ». Les deux gars comme moi, qui le savons bien, le lui confirmons. Il n’y a rien de meilleur que d’être sodomisé tout en sodomisant. C’est bien cela que je viens chercher dans mes partouzes gays : cette sensation que nous formons une chaine de plaisir. Le plaisir coïtal se sublimant avec le plaisir anal.
Les deux voyeurs sont plus attirés par mon petit couple que par moi. Je m’en vexe quelques secondes (ne serais-je qu’une queue à disposition ?) avant de reconnaître qu’ils ont bien raison. C’est pour Joël d’abord que c’est génial. Pour Kevin ensuite dont je sais maintenant qu’il exulte, d’une part de son propre plaisir charnel, d’autre part de savoir que son cher et tendre prend un plaisir anal magistral.
Les mains des gars caressent de plus en plus franchement les corps de mon petit couple. Parfois, d’un regard et d’un geste complice, mon tas de muscle pose sa main sur ma fesse d’un air de dire « C’est bien mec ! Continue comme cela. C’est parfait ! ».
Pourtant le rythme sodomite commence à perdre de sa régularité. Je tente de contrôler mon orchestre avec plus ou moins de succès. Je sais bien que le bouillonnement du plaisir monte crescendo. Mes petits minets devant moi se rapprochent de l’explosion.
Je me sens malgré tout prêt à faire durer ce trio sodomite. Je maitrise encore mon plaisir. Mes testicules bouillonnent. Mais résistent. Alors je fais tout ce que je peux pour maîtriser notre corps à corps. J’y arrive encore un petit moment, calmant l’un, ralentissant l’autre. Tout en sachant que c’est vain.
C’est Kevin qui le premier crie son plaisir en éjaculant abondamment sur le rocher. Tout de suite Joël lâche ses coups de boutoir et pilonne le cul de son chéri. Pendant près d’une minute il redouble d’énergie, avant de s’abandonner à son tour à l’orgasme. Les deux gars qui retenaient le corps malmené de Kevin s’emparent en parallèle de celui de Joël pour l’empêcher de tomber.
Je n’avais pas pensé à cela. Nous sommes au bord de l’eau. Notre rocher plat n’est pas si grand. Une courte perte de conscience au moment de toucher le septième ciel pourrait nous faire tomber et nous blesser sérieusement. Par chance, la solidarité gay s’est exprimée. Deux hommes nous retiennent.
Kevin décule en s’avançant tout en se redressant puis en se retenant contre la paroi. Il se tourne vers son petit ami pour s’emparer de son visage et lui rouler une pelle intense. Je les trouve super mignons, amoureux fous l’un de l’autre. Les deux voyeurs aussi, qui semblent fondre devant la beauté simple de ce baiser amoureux.
J’ai toujours mon sexe enfoncé jusqu’à la garde. Joël n’a pas l’air de vouloir s’en défaire. Un simple mouvement de sa part et je me retire. Mais non. Il repousse le visage extatique de son petit copain, il s’abaisse pour l’attraper par les fesses, il attire le bas-ventre vers son visage. Je me penche pour constater avec quelle gourmandise il referme ses lèvres sur le sexe recouvert de sperme de son ami. Un ami qui guide son sexe nappé de crème dans la bouche gourmande.
Les deux autres et moi nous nous sourions, complices, heureux de voir la gourmandise de l’enculeur enculé. D’autant plus qu’un filet de sperme s’écoule encore sous son menton. Sucer son pote, surtout une queue baveuse, l’enthousiasme joliment. Nous attendons qu’il ait fini.
Quand Kevin décide de s’écarter tout en nous souriant, tous les regards se posent sur moi. Kevin exhibe sa queue raide et rouge, toute propre. Il tourne sur lui-même pour montrer à son régulier le sperme qui s’écoule de son conduit. Cela doit être un jeu entre eux. Il va même jusqu’à se pencher en avant et écarter ses fesses pour dévoiler un anus grand ouvert et trempé de semence.
Joël lance un « yes ! », prend son sexe en main et replonge dedans avant de le ressortir. Les trois voyeurs vicieux que nous sommes se régalent de voir le sperme maculer la jolie rondelle. Joël n’en a pas fini avec : il passe sa main dans la raie ravagée. Surpris, nous le voyons enfoncer deux doigts dans le conduit pour masser le tube en enduisant partout à l’intérieur la liqueur mâle. Kevin grogne de joie. Il se laisse doigter en poussant des petits gémissements animaux. Ce que nous voyons est à la fois assez dégueu, très intime, particulièrement tendre. De quel droit pourrions-nous juger de l’intimité post-coïtal d’un couple d’amoureux ?
De l’intimité pré-coïtale comme de l’intimité coïtale aussi, d’ailleurs…La main de Monsieur muscle a abandonné ma croupe pour flatter celle de Kevin. L’autre gars me regarde et m’incite silencieusement à pistonner le fion d’un Joël aux anges. Mais je m’y refuse. On ne casse pas le charme d’une telle intimité.
Finalement Joël arrête son indigne et tendre massage anal pour se redresser légèrement, tourner la tête vers moi et me demander :
— As-tu joui ?— Non.— C’est con ! C’était divin ! Tu m’as magnifiquement baisé !— Vrai ! Clame Monsieur muscle.— Cela faisait longtemps qu’on ne m’avait pas pris comme ça ! J’ai adoré !— Moi aussi ! lance Kevin en jetant ses lèvres sur les miennes. Oh merci ! Merci ! Merci ! C’est super gentil de l’avoir aussi bien niqué !— Et maintenant ? Demande le troisième.
Joël me regarde et me demande :
— Tu veux m’enculer encore ?— Tu aimerais ?— Elle est toujours en moi… Très agréable ! Allez, vas-y. Reprends ton queutage. Kiki ! Viens me tenir !— Kiki ? Demande-je.— Oui, c’est mon surnom. Lui c’est Jojo, moi c’est Kiki… Mais que dans l’intimité. Quand on baise…— C’est vrai que là, on l’a un peu partagée votre intimité ! Promis les hommes, je n’utiliserai jamais vos surnoms ! Ils vous appartiennent ! Dit le troisième.— Vous vous connaissez ?— Depuis le temps qu’on se croise sur cette plage…— Ah… Des habitués… Conclus-je.
Il est temps de remettre le couvert. Je me recule. Joël grimace. Ses chairs ont commencé à se refermer. Monsieur muscle réagit le premier. Voyant que ma queue est presqu’entièrement sortie de son conduit, il se jette quasiment dessus pour laisser couler un long jet de salive. Sentir ses doigts l’étaler sur ma hampe est tout à fait agréable. Je me renfonce en Jojo. Un spasme douloureux. Je fais deux ou trois va et vient. Monsieur muscle me fait signe de sortir entièrement. Il crache sur ses doigts et vient plusieurs fois lubrifier l’intérieur du conduit déformé. Moi je crache sur mon sexe bien emballé. Et je retourne en lui. Après quelques minutes de coups de bourre, nous constatons tous que Joël en prend douloureusement plein le cul. Je connais bien ce moment où toute sodomie devient souffrance. Si abondance de bien ne nuit pas, l’abus de bien, lui, nuit… Je stoppe mon enculade.
— Tu peux continuer ! Vas-y ! Finis-toi ! Jouis !— Non. Tu es gentil. Ce n’est pas grave. On va arrêter…— Je ne peux pas te laisser comme ça !— Tu me laisses dans le même état où tu m’as trouvé ! Non, rassure-toi, te baiser a été un délice ! Humm, ta rondelle… Et vous voir tous les deux en pleine bourre, c’était un régal ! Pas vrai les gars ?— Oui mec. Il est temps d’arrêter. Si tu continues il va t’arracher le cul et tu ne pourras plus recevoir de mec avant longtemps ! Ce serait dommage, non ? Comme dit le proverbe : “L’abus marche souvent auprès de la puissance.” Dit le troisième. Il ne faut pas abuser d’une bonne queue bien puissante !— C’est de qui, ça ? Lao-Tseu ? Demande-je.
Tout le monde se marre.
— Non. Un gars qui s’appelle Antoine-François Le Bailly. Un fabuliste. Nettement moins connu que Jean de la Fontaine, mais à mon avis du même niveau.
Interloqués nous nous regardons tous. Avant d’éclater à nouveau de rire.
— On est en pleine baise sauvage, je suis encore en train d’enculer un beau garçon et on fait de la littérature ! C’est donc cela le naturisme ?
Nous rigolons de plus belle, ce qui facilite mon retrait du fion d’un Joël tout heureux de pouvoir enfin se redresser et s’ébrouer. Kevin s’approche de lui. Ils s’enlacent. Et notre petit couple amoureux se réconforte joyeusement, oubliant que nous sommes là à les regarder. C’est Monsieur muscle qui a l’air le plus ému. Je lui demande :
— Tu as un petit ami ?— Non. Réplique-t-il brusquement, sortant de sa rêverie.— Et tu en as déjà eu un ?— Non. Je n’ai pas eu cette chance.
La conversation s’arrête là. L’essentiel est dit. Nos deux mignons se bécotent toujours. Monsieur muscle tend la main vers mon sexe. Je me recule par réflexe. Il sourit.
— C’est juste pour retirer la capote… N’aie pas peur. Il ne faut jamais fourrer un deuxième trou avec la même capote.— Oh pardon ! Tu as raison.
Je le laisse retirer le préservatif usagé. Bien qu’elle soit vide, mais sûrement par habitude, il la noue et retourne là où il a copulé pour la poser au sol. Je regarde l’autre gars.
— Moi c’est Stéphane. Je suis prof de français.— Ah ? D’où le François Le Bailly…— Oui. Il a écrit de belles choses. Mais j’avoue avoir un faible pour la littérature érotique.— Ah ? Jamais lu.— Tu as tort ! C’est bandant !
Comme une évidence il pose sa main sur le bout de mon phallus toujours érigé et le caresse doucement.
— Elle est super belle, tu sais ? Et tu l’as super bien niqué !
A ce moment Joël se tourne vers nous.
— Je confirme ! Mais toi aussi tu en as pris une bonne !— Ouais. Mais un peu courte. Il a joui avant moi. Et pas moi…— Tu n’as pas l’air trop excité, pourtant ! Déclame Kevin en regardant la verge gonflée mais flasque du prof.— Laisse-moi le temps de me remettre ! En fait il m’a sérieusement défoncé le cul !
Nous rions franchement. Joël ajoute :
— Comme moi !— Et moi donc ! Estime devoir ajouter Kevin.— C’est vraiment le club des enculés ici ! Et vous êtes fiers de vous ? Vous vous êtes tous les trois faits mettre sauvagement et vous crânez devant nous, les queutards ?— Oui Môsieur ! Clament-ils en chœur avant que le fou rire ne nous embarque à nouveau.
Monsieur muscle nous rejoint, s’interrogeant sur la raison de notre hilarité. Il se place sur ma droite alors que Stéphane est à ma gauche. Joël fait de la provocation :
— Le jeune homme qui est là se moque de nous parce que nous venons tous les trois d’être enculés comme des bêtes ! N’est-ce pas méprisable ?— Ce n’est pas gentil de dire cela ! Répond Monsieur muscle en posant sa main à plat sur ma fesse, laissant des doigts glisser dans ma raie.— C’est vrai ça ! Confirme Stéphane en posant sa main sur mon autre fesse.
J’exulte. Je sens que je vais passer à mon tour à la casserole. Je ne demande que cela. Joël vient flatter mes bourses et caresser mon vit. Il sourit.
— Cela vous dérange si on vous quitte ? Tu nous as épuisés ! Il faut qu’on retourne faire une petite sieste sur la plage…— Une sieste crapuleuse j’espère !
Kevin s’interpose entre son ami et moi. Il dépose un chaste baiser sur mes lèvres.
— Ce que veut dire Jojo c’est que tu es en très bonne compagnie. Et qu’il n’a pas très envie de voir ça…
Son regard est figé derrière moi. Je tourne la tête. Trois gars viennent de passer les rochers qui séparent notre plage de cette crique et se dirigent vers nous.
— Et puis il est temps qu’on se lave…
Je passe ma main sur sa fesse.
— Tu n’as pas peur que l’eau salée te pique le conduit rectal ? N’est-ce pas plus sage de passer à pieds plutôt que de nager ?— J’adore ça ! Cela m’excite d’avoir des picotements dans le cul !
Joël repousse son petit ami et dépose à son tour un baiser sur mes lèvres. Les deux autres me pelotent les fesses.
— Merci encore mec ! C’était génial. Quand tu veux on remet ça !
Prudemment les deux amoureux entrent dans l’eau. Vu leur réaction face à la température de l’eau, il est clair que leur corps a chauffé…Ils se jettent entièrement à l’eau. Je demande à Kevin s’il n’a pas trop mal aux fesses.
— Si ! C’est cela qui est super !
Joël se jette sur lui en lui enfonçant la tête dans l’eau. Nous les regardons s’ébrouer et se bagarrer en rigolant. Je reste statique un moment, goûtant au plaisir de me faire peloter les fesses. Finalement les minets entament leur nage vers le large et filent contourner l’éperon rocheux en nous laissant admirer leurs petites fesses qui ressortent. Les deux mains continuent à pétrir allègement mon fessier. Je conclue pourtant la séance en disant :
— Ne sont-ils pas tout mignons !
Mes deux camarades hochent la tête en signe d’approbation. Nous nous retournons. La vision de tous ces hommes nus réveille en moi une puissante envie de me remettre à sucer une belle queue…
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