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C'est donc cela le naturisme

Chapitre 5

Intensification

Gay
5- Intensification.
Les deux jolies paires de fesses qui dépassent de l’eau finissent par disparaître derrière l’éperon rocheux. Mon regard s’abaisse sur mon entrejambe pour constater que mon érection est toujours aussi belle. Celle de Monsieur muscle est bien molle. L’autre est à l’horizontale, pleine d’espoir. Du moins, si j’ai la bonne analyse des doigts qui se sont arrêtés dans ma raie et qui asticotent mon anus.Derrière nous, des bruits de voix sonnent de joie. Je tourne la tête. Les trois gars nus s’approchent de nous. Nous nous tournons vers eux. Ils nous rejoignent sur notre rocher plat. Nous nous saluons.Je suis heureux de constater que ce sont tous trois de jolis trentenaires plutôt bien foutus, parfaitement bronzés de partout, preuve que ce sont des habitués. Leurs regards sur nos sexes bandés, amusés autant qu’intéressés, montrent bien qu’ils sont peu farouches.
— Salut Charly, dit l’un en regardant Monsieur muscle. Si je comprends la situation, tu as queuté l’un ou l’autre, ou les deux, de tes copains ?— Raté ! dit mon second peloteur. Mais de peu ! Charly a enculé Gaspard et moi je me suis fait mettre par un autre gars que vous ne connaissez pas. Vous ne ratez rien, il a juté sans se préoccuper de mon plaisir et s’est cassé !— Classique ! Répond le nouveau en rigolant. Avoue que tu les aimes bien comme ça. Un petit coup bien fait, direct et sans blabla, en espérant que deux ou trois se succèdent en toi ! Et toi, beau gosse, tu es donc le petit nouveau super chaud dont tout le monde parle sur la plage ? Me demande-t-il.— Beau gosse... Si ça te fait plaisir...
Il sourit de plus belle, tend sa main et vient caresser mes bourses.
— Beau gosse et bien monté... Je suis sûr que Charly a très envie de se la prendre... Belle et pas trop grosse, tout ce qu’il aime... Ce serait gentil que tu t’occupes de lui !
Les trois gars bandent maintenant autant que nous deux. Seul Charly le trop musclé est à la peine. Les deux autres du trio nouveau se rapprochent et s’embrassent avidement, ce qui leur vaut une remarque salace de leur pote.
— J’ai une idée ! s’exclame le plus bavard. Et si, pour changer, vous faisiez un petit trio, Charly pris par beau gosse et toi, Stéphane, t’occupant du petit cul de beau gosse qui m’a tout l’air de t’exciter à fond ! Cela change, non, un bon sandwich ?
Je regarde mon voisin de droite puis mon voisin de gauche. Notre fou rire communicatif ne peut plus être contenu. Nous éclatons de rire, sans que les trois autres ne comprennent pourquoi.
— Qu’est-ce que j’ai dit ?— Pour changer...
Ils ne comprennent pas plus.
Ils ne cherchent pas d’ailleurs, leurs mains baladeuses s’éveillant de plus en plus sur le corps de l’un ou de l’autre.Charly, redevenu sérieux, me demande :
— Cela te dirait de me défoncer le cul ?— Il y a un trou entre tes muscles ?— Un petit trou serré et délicat... Cette tapette a raison, je n’aime pas me faire prendre par de trop grosses queues. Pas comme Stef qui est toujours prêt à tout accueillir ! — Il est délicat, tu sais, lance un des trois nouveaux. Mais uniquement de l’arrière !— Tu as de la chance qu’il te propose ! Nous on n’a pas le droit. A croire qu’on est mieux monté que toi ! dit un second.— Ce qui n’a pas l’air, objectivement, d’être vrai ! Dit le premier en scrutant mon phallus qui vibre d’excitation.— Et se faire prendre par Stef est une garantie de plaisir ! Ajoute le premier.
Je me marre comme eux. Je regarde l’arrogante anatomie de Charly qui abandonne ma fesse, s’écarte, et tourne sur lui-même pour se faire admirer.
— Il fait tout le temps cela dans la salle de muscu : se mirer dans la glace pour voir combien ses muscles sont saillants, pas son sexe, hein, et s’ébaudir devant tant de virilité ! Lance l’un.— Contrairement à toi, j’ai quelque chose à regarder, moi ! réplique Monsieur muscle sans rire.— Euh... Là, il y a une belle queue à regarder, quand même... Répliqué-je en admirant la bête.— Je te l’accorde !
Ouf ! Musclor n’est pas fâché !
— Je crois bien que je n’ai jamais pénétré de fesses aussi musclées... Jamais sodomisé de gars aussi costaud... Il faut bien tenter de nouvelles expériences quand on est jeune, non ?— Tu as bien raison ! Dit Stéphane, forcément intéressé. Et me laisser jouer avec tes belles fesses, cela te dit ?
Je regarde son phallus. Je le revois, un peu plus mou, pendant que son propriétaire se faisait bourrer le cul. Stéphane m’a l’air d’être un véritable homo assumé, autant actif que passif, chaud comme la braise. Un gars pas con, et pas trop mal foutu. Son seul défaut...
— Le seul truc qui me fait hésiter, c’est que tu es un peu vieux pour moi...
Mes cinq compagnons de grivoiseries partent comme un seul homme dans les tours. C’est à qui m’engueule le plus fort. Ils me promettent une défonce sauvage si je ne retire pas ce que je viens de dire. Ils me traitent de minet à peine dépucelé, de jeune con qui ne sait encore rien de la vie, de sale gosse présomptueux.Des mains se posent sur mon corps. Mon sexe, mes bourses, mes fesses, mes épaules, mes flancs sont parcourus de doigts avides d’anatomie masculine. Je prends un début de franche, mais joyeuse fessée. Ils me certifient que je vais me faire déformer et le cul, et la bouche par deux queues enfoncées simultanément en bas et en haut. Je finis par crier grâce. Et j’ai le plus grand mal à obtenir un retour au calme de la part du groupe survolté.
— Okay les hommes ! Okay ! Je retire. Il n’est pas trop vieux pour moi ! Je peux parfaitement me faire mettre par un quadragénaire !
Les exclamations reprennent de plus belle. A nouveau, mon corps reçoit les coups retenus de mes comparses qui s’amusent à me promettre à nouveau un passage sévère à la casserole. Et à nouveau, je tente de les calmer. Les arrêter une seconde fois ne se fait pas sans mal, d’autant que dès qu’un bref silence s’instaure, l’un des mâles excités surenchérit et en remet une couche. Enfin, le club des cinq se place face à moi, mains sur les hanches, queues raides.
— Je retire ! Stéphane n’est pas trop vieux pour moi. Il n’est pas si vieux que ce que j’ai prétendu. Trente ? Trente-cinq ans ?— Et moi j’ai quel âge ? Demande Charly, pince-sans-rire.
Cinq paires d’yeux scrutent ma réponse, prêtes à se jeter à nouveau sur moi. Je fais semblant de réfléchir. Je regarde attentivement le corps puissant de celui que je me suis engagé à sodomiser. D’un geste de la main, je lui fais signe de tourner sur lui-même.Je déglutis avec emphase. Et je me lance.
— Trente-huit ans !— Pas loin. Trente-sept ! Et les autres ?— Humm... Je dirais que vous, vous avez tous entre trente... Trente et un et trente-cinq ans...— Pas mal ! conclut Stéphane. Je suis le plus vieux avec trente-neuf. Pour les autres, tu as raison, non ?— Ouais ! répondent-ils en chœur.— Mais comme tu as tenté de me flatter obséquieusement, je ne te demande plus ton avis et, comme gage, je t’informe que je vais te défoncer le cul ! ajoute Stéphane.— Ça me va !— Et nous ? demandent les autres. Nous n’avons pas droit à un gage ?— Euh... Si... réponds-je.
Je les regarde. Je souris. Je me penche en avant en tournant le dos à Stef. J’embouche une première queue. Que je suce avec gourmandise. Avant d’en engloutir une autre. Puis la troisième.Pendant ce temps, Stéphane déroule un préservatif sur sa belle queue bien raide et l’enduit de lubrifiant avant d’en faire de même sur mon petit trou frétillant. Charly m’écarte de force les cuisses pour attraper mon sexe et y dérouler une autre capote, prendre le tube de gel et s’en enfourner entre les fesses.
Les trois amis sont apparemment satisfaits de la gâterie offerte. Ils grognent l’un après l’autre de plaisir en me caressant les cheveux tandis que les spectateurs abandonnés me pelotent les fesses.Je termine par Charly dont je mets le sexe mou en bouche pour, après quelques intenses minutes, le rendre à la nature entièrement déployé et tendu.Les regards concupiscents des cinq naturistes sont prometteurs.Je commence à me dire que je m’offrirais bien pour un gang bang sauvage. Ils ont beau être trentenaires, ils sont tous bien montés et je suis excité comme jamais.Charly prend la même pose qu’avait Kevin quelques minutes auparavant, appuyé contre le rocher, jambes écartées, cul en arrière. Le contraste entre le jeune soumis tout mou et le tas de muscles fermes est saisissant. Et excitant. Je me place derrière lui. Pour aussitôt sentir la chaleur de Stéphane dans mon dos ; et son sexe posé à l’entrée de mon conduit.
J’hésite un instant. Dans quel ordre prendre les choses ? Et puis, égoïstement, je lance à Stéphane :
— Vas-y ! Encule-moi !
Il ne se fait pas prier. Son gland passe immédiatement la corolle anale. Une sourde douleur. J’adore ce moment.Mon regard croise celui des trois spectateurs attentifs. Je souffle bruyamment. Et Stéphane s’enfonce à moitié.J’en ai le souffle coupé. La douleur me fait gémir. Et tandis que la chaleur anale vient prendre ses droits, deux des gars engueulent le prof peu pédagogue.
— Doucement mec ! Tu vas nous l’abimer !— C’est un petit jeune. Il est fragile !
J’ai beau grogner dans un souffle un « tu peux y aller », Stéphane interrompt sa poussée pour me laisser m’habituer à être possédé.Chacun des deux gars vient m’entourer et me soutenir. Naturellement, j’attrape les deux phallus et m’agrippe à eux. Stéphane décule légèrement. Puis s’enfonce à nouveau. Un peu plus profondément. Me posséder entièrement lui prend moins d’une minute. Il en fait la remarque aux autres.
— Il ne fallait pas vous affoler les gars, ce petit cul bien souple a l’habitude d’être pris !
Pour remercier mes secouristes, j’honore leur membre en les branlant doucement. Charly en profite pour reculer son séant. M’ayant emmanché jusqu’à la taille, Stéphane donne une poussée vers l’avant.Mon corps se colle à celui de Charly. Le troisième voyeur s’empare de ma queue et vient la placer devant le trou du cul effectivement tout serré. Je pousse. Mon sexe glisse dans la raie. Il la replace. Je pousse à nouveau. Elle s’échappe encore.
Il nous faut plusieurs minutes d’efforts haletants pour qu’enfin, je réussisse à pénétrer l’anus de Charly que l’autre, entre deux poussées ratées, a détendu de l’intérieur d’un doigt habile.La montagne de muscles se met à râler sourdement.Le sexe de Stéphane entièrement en moi déclenche progressivement des vagues de chaleur dans mon conduit rectal. Je ne lâche pas les membres bien durs qui irradient mes mains de leur chaleur virile. C’est comme si la force de leur puissance venait décupler la mienne.
Et petit à petit, je pousse pour pénétrer lentement les chairs trop étroites.Je suis aux trois quarts, enfoncé entre les fesses magnifiquement charpentées quand la main qui tenait et guidait encore mon sexe se retire. Le gars s’écarte de nous et commence souplement à grimper sur le rocher, juste devant Charly penché qui souffle encore bruyamment.
La vision de ces superbes fesses en mouvement déclenche chez mes trois camarades et moi sifflements et commentaires admiratifs. Seul Charly reste sourd à cette beauté, trop concentré sur ses douloureuses sensations rectales.
Le gars nous fait un doigt d’honneur et vient se placer au-dessus de Charly, non sans remuer excessivement du cul. Il se retourne gracieusement pour, sans tomber, s’assoir presque sur la tête de Monsieur muscle. Ce faisant, il approche son ventre de moi. Comprenant ce qu’il veut, je tends le cou alors qu’il avance son beau phallus bien droit. Mes lèvres rencontrent son gland baveux.
Elles le bisoutent joyeusement avant de se refermer dessus pour le suçoter avec une joie extrême.Sa posture est particulièrement acrobatique. A deux reprises, il tente de me pénétrer plus avant la bouche, mais manque de tomber. Heureusement que le cou de taureau de Charly peut, sans difficulté, soutenir les fesses écartées.
La seule manière de mieux le sucer est de finir de m’enfoncer en Charly. Je me concentre alors sur le fion que je suis en train d’enculer et pousse sans plus trop me soucier des réactions de mon passif.
Peu après, je sens les muscles de ses fesses écraser mes poils pubiens : il est enfin entièrement emmanché. Comme moi qui en ai une superbe dans le cul. Et deux autres tout aussi superbes en main. Plus une quatrième dans la bouche. Le rêve !
Stéphane entame des va-et-vient doux et respectueux. Il me lime avec délicatesse, conscient que tout faux-mouvement de ma part pourrait être douloureux et pour le phallus placé entre mes dents, et pour le rectum étrangement délicat de la montagne de muscles.
Alors je branle de plus belle les deux queues en main. Je suis au paradis. J’entrevois le ciel bleu azur, la beauté des roches, le clapotis discret des vagues. Je me fais admirablement mettre. Je suce la bonne queue avec ma bouche toute en révérence. Autant que je palpe les bourses bien pleines et que je masturbe les deux hommes.
Gourmands, ils se penchent à leur tour pour lécher les bourses de leur pote dont la verge butine mes lèvres. Trois langues pour lui, l’acrobate est bien loti ! Bien loti, mais moins que moi avec mes quatre queues...Notre figure acrobatique commence à tanguer sur ses fondations. Le gars qui me butine les lèvres commence à trembler, tout comme Charly qui le retient largement par la nuque. Conscient des risques, l’acrobate décide de se reculer et se coller dos à la paroi, rendant ma bouche orpheline, soulageant le dos de Charly.
Glissant sur une prise, il manque de tomber, mais se retient de justesse. Craignant qu’il ne blesse sa virilité, nous l’enjoignons d’arrêter son équilibrisme et de retrouver la terre ferme. Ce qu’il fait en riant, très fier de sa voltige.Je me sens alors libre de sodomiser plus activement mon tas de muscles. Délaissant un phallus bien dur, je passe ma main sous mon enculé pour le tâter. Sa verge s’est entièrement repliée. Elle est toute molle. Malgré mes efforts, elle ne se déploie pas.
— Attends, j’essaie ! dit l’acrobate en glissant sous les muscles saillants pour avaler le sexe et le sucer bruyamment.
Je n’ai plus qu’à reprendre le phallus en main et tenter d’amortir les coups de boutoir que je prends dans le cul pour ne les répercuter que partiellement dans le fion de Monsieur muscle.Je découvre vite qu’être rafalé analement sans rendre la pareille au conduit que l’on pistonne est chose quasi impossible. Naturellement, mon corps cherche à offrir ce qu’il reçoit dans un identique tempo.
Plus j’accrois l’intensité de mes coups de queue, plus sucer Charly pour l’acrobate devient dangereux. Il se décide finalement à lâcher la verge toujours aussi molle et glisse sur le côté pour admirer l’amoncellement de corps mâles luisant au soleil.
Il s’approche de moi et me roule une pelle en me remerciant de l’avoir bien sucé. Puis, profitant que je suis en recul, il fesse gentiment Charly en se moquant de tout ce qu’il déguste analement. Enfin, il vient peloter le cul de ses deux copains bien pris par moi en main, puis celui de Stéphane qui balance d’avant en arrière sans se soucier du reste.
Pris d’une subite inspiration, alors que je déguste merveilleusement, l’acrobate déroule une capote sur son vit et se jette sans hésiter sur le cul d’un de ses potes. Un pote habitué à ses impulsions puisqu’instinctivement, il se penche en avant contre mon flanc en reculant son séant pour mieux se faire pénétrer.
Le gars s’enfonce en lui d’un coup, progressif, tranquille. Puis le mitraille crescendo avant de se retirer, de dérouler soigneusement la capote pour la poser près de son pote. Il en déroule une autre et vient prendre son deuxième pote, exactement de la même manière, tandis que l’autre le supplie de revenir lui faire du bien. Comprenant son manque, Charly et moi poussons un grognement dans un même élan.
Voir le jeu anal de ces gars alors que je suis moi-même en train d’être sodomisé et de sodomiser m’amuse franchement. Mais pas Charly qui, à force de grognements de plus en plus animaux, finit par se faire déculer brusquement.
— On dirait que notre ami Charly a eu son compte ! Rigole Stéphane, tout en continuant à me besogner.— Ouais ! Tu peux le dire ! Putain, j’ai dégusté ! Merci mec ! Répond-il en se retournant, en saisissant mon visage et en me roulant une pelle.
Notre baiser s’interrompt alors que nous éclatons de rire au moment où un de mes latéraux affirme :
— Et tu peux être fier de toi, jeune bleu bite ! Il ne prend que des vieilles queues habituellement. Alors une toute fraiche, tu comprends qu’il ne tienne pas longtemps !— J’aimerais bien t’y voir ! Glousse Charly, amusé.— Moi aussi j’adorerais m’y voir ! Réplique le comique.
Stéphane en profite pour lancer de sourdes attaques anales en me pilonnant le cul quelques instants ; avant de ralentir la cadence ; et de remettre cela.Je lis une idée perverse dans le regard mystérieux de l’acrobate. Il décide de déculer, générant un flot de reproches de son passif, avant de retirer sa capote, de la poser soigneusement, et d’en dérouler une troisième. Je comprends aussitôt. Stéphane aussi.
— Non ! Laisse-moi ce petit cul ! crie-t-il.— Tu ne veux pas me le laisser ?— Il est à moi ! Tu le prendras après !— Et moi, je n’ai pas mon mot à dire ? lancé-je, juste avant de pousser un cri.
Charly qui s’était penché vers la mer en était revenu, les mains en forme de bol et avait jeté de l’eau sous moi, contre ma queue raide et mon ventre. C’est le contact froid qui m’avait fait hurler. Le contraste entre la température bouillonnante de mon corps et celle de l’eau.
— Qu’est-ce que tu fais ? Lui reproché-je.— Il te lave la queue ! Dit l’un.— Pour te sucer après que tu l’as enculé ! Dit l’autre.
Et effectivement, Charly fait plusieurs aller-retour pour me laver soigneusement le sexe.Il ne l’a pas encore pris en bouche que l’acrobate s’est placé derrière Stéphane qui, malgré ses mouvements d’évitement douloureux pour moi, se fait mettre d’un seul coup.Mon enculeur gémit fortement en inspirant puis en s’agrippant à mon corps. Mais sans déculer de moi. Il n’avait pas compris que c’était lui la cible de l’acrobate.
— A ton tour d’être pris en sandwich, mec ! Dit l’acrobate.— Non... gémit Stéphane. J’en ai déjà trop pris...— Et nous, et nous ? demandent les deux autres qui tentent de se déplacer derrière leur pote.
Pas de chance pour eux, je tiens trop fermement leur sexe en main et bloque douloureusement leur mouvement.Stéphane entièrement enfoncé dans mon cul se fige contre moi. Et je me réjouis de ressentir à travers son corps le bombardement en règle qu’il subit de la part de l’acrobate.Charly finit de me laver la queue qui ne faiblit pas malgré la fraicheur relative de l’eau. Il se penche sous moi et avale mon membre pour le sucer en grognant tendrement.J’ouvre la bouche et en tire lascivement la langue en me tournant vers l’un puis l’autre de mes queutards. Ils comprennent, s’approchent et m’offrent ensemble une pelle sauvage que nos trois langues animent fougueusement.
Enculé, sucé, embrassé ; et par deux bouches ! Deux queues toujours en main. Le bonheur se poursuit...Il ne dure pourtant pas très longtemps. Le pauvre Stéphane ne peut plus résister, lui qui s’est d’abord fait bourrer le cul, puis m’a sodomisé, avant d’être à nouveau enculé. Il jouit bruyamment au fond de moi, déclenchant des coups de boutoir sympathiques avant de se figer.
Solidaire, l’acrobate a cessé le feu en constatant l’orgasme.Nous lui laissons un moment de répit, ce qui n’empêche, ni Charly de continuer à me téter, ni moi de branler les deux braquemarts bien durs et naturellement lubrifiés.Enfin, Stéphane se retire de mon conduit qui crie aussitôt à l’abandon. Je souris en admirant la capote largement pleine qui pend au bout de son sexe. Il me rend mon sourire, m’embrasse, puis fait un pas en arrière pour ôter la protection, la nouer et la jeter au sol en s’adressant à l’acrobate.
— Tu n’es qu’un salaud ! Si tu ne m’avais pas enculé, j’aurais encore tenu un bon moment dans son petit cul bien souple !— Pfft ! Tu étais sur le point de jouir. Je n’ai fait qu’embellir ton orgasme ! Dis-moi plutôt merci d’avoir transformé ton plaisir en apothéose !
Stéphane le regarde, l’air vide, comme pour intégrer et essayer de comprendre ce qu’il vient d’entendre. Il se décide à hocher la tête puis à sourire avant d’avouer :
— Peut-être... Pas tout à fait...
Et, nous laissant en plan, il fait deux pas vers l’eau et plonge d’un seul coup.L’un des deux queutards remarque :
— Ah ? Les oursins seront goûteux cet hiver !
Je le regarde sans comprendre. Puis je regarde les autres pour les interroger du regard. Ils éclatent de rire. C’est Charly qui, libérant ma queue, me donne l’explication.
— Comme tu l’as compris, sur la plage, on fait bronzette, on s’allume, on se drague. Et on vient derrière ce rocher pour baiser. Alors forcément ça jute à fond par ici. Comme on se lave tous la queue dans la mer après l’éjac, l’eau à cet endroit a un taux de sperme supérieur à partout ailleurs...— C’est pourquoi les oursins ici ont la réputation d’avoir un goût plus métallique... Un arrière-goût de sperme, tu vois ?— C’est vrai ? demandé-je bêtement.
Mes quatre comparses plus Stéphane qui, la tête hors de l’eau, avait tout entendu, éclatent de rire. Conscient de ma naïveté, je ris de bon cœur avec eux.
— Je suis con... Désolé...— Mais non ! C’est nous ! On déconne...
L’un de mes queutards pose sa main sur ma joue et m’oblige à tourner la tête vers lui pour le regarder. L’air subitement grave, il m’embrasse. Puis me demande.
— Tu as aimé avec Stéphane et Charly ?
Je comprends aussitôt son intention.
— Et vous deux bien en main ! Et une belle queue d’acrobate en bouche ! Oui ! J’ai adoré !— Et...— Et... Je ne crois pas être rassasié côté fion. Ni côté lèvres. Et encore moins côté queue ! Vous seriez assez gentils pour vous occuper de moi ?
En guise de réponse, Charly me soulève, fait quelques pas avec moi dans ses bras, comme si je ne pesais rien, et vient me poser là où Stéphane s’était fait sodomiser vingt minutes plus tôt. Il me couche dos sur le rocher en me disant :
— Là ça ne fait pas mal.
Les trois autres ont suivi, boîte de capotes en main. Voyant ces beaux trentenaires en rut, je relève spontanément les jambes pour les placer au-dessus de ma tête, laissant mes fesses sans défense. Puis j’écarte les cuisses, laissant mon conduit en offrande.
Le trio est apparemment assez complice et habitué aux parties de sexe en groupe. L’un de mes queutards s’enfile une capote, réenduit de lubrifiant mon anus dilaté et me pénètre dans une curieuse posture de sumo. Cuisses écartées, fesses rebondies, je comprends, tout en l’accueillant en moi, qu’il s’offre à l’un de ses potes.
Effectivement, il se fait mettre peu après par l’acrobate alors que le deuxième queutard se place à ma tête et enfonce sa queue entre mes lèvres qui l’attendaient fébrilement.Quelques gouttes d’eau fraiche tombent sur ma peau alors que le butinage anal démarre. Stéphane se place sur ma droite et attrape une de mes chevilles, laissant l’autre à Charly qui se décale sur la gauche.
Une bonne tige goulue entre les lèvres, tout en me faisant limer, j’admire un joli couple mâle se sodomiser devant moi. Je les trouve somptueux, l’un offrant son cul à son pote, l’autre cherchant sans cesse ses lèvres en avançant sa tête vers l’avant tout en admirant mon corps.
Mes deux soutiens finissent par suivre le regard de l’acrobate. Ils se regardent, se sourient et se décalent. Tout en tenant fermement une de mes chevilles, ils se penchent vers mon bas-ventre pour, ensemble, ou bien l’un après l’autre, sucer et lécher mon sexe ou bien gober mes testicules en les léchant. Et en admirant la tige qui entre et qui sort d’entre mes fesses.
La sensation est exquise. J’élève les bras et attrape leurs deux virilités molles pour les tâter, les palper, les pétrir.Et je me fais enculer.Et je suce avec avidité.Et je me fais dévorer le sexe avec agilité.Et je palpe des virilités.Et j’admire des mâles en train de se sodomiser.Le pied.Le corps à corps dure jusqu’à ce que mon enculeur éjacule en moi. Le voir à son tour se retirer, la capote pendante, me fait exulter.
— Et de deux, les vieux ! A qui le tour ?
C’est l’acrobate qui s’y colle et met toute son énergie à me faire regretter d’avoir traité ces trentenaires de vieux...Les autres se régalent des odeurs corporelles, de la vision de mon corps maltraité, des sensations épidermiques, de la beauté anatomique. Alors que la lave commence à bouillir excessivement dans mes couilles, je leur suis reconnaissant de leur attention à mon état. Chacun suspend son geste pour me laisser reprendre le contrôle de mon plaisir. Puis remettre cela.
L’acrobate jouit à son tour en moi. Nous ne sommes plus que deux à avoir la queue raide. Le dernier queutard est tout heureux de pouvoir passer de mes lèvres à mon anus. Sans emballement, mais avec un emballage, il pénètre à son tour mon cul déformé. Une première salve anale. J’imagine que je vais pareillement déguster.
Tout de suite, je suis rassuré : il sait parfaitement faire.C’est sans compter sur la perversité respectueuse de mon groupe de trentenaires. Surtout de l’acrobate, clairement maître en la matière.Il écarte Stef et Charly et m’enjambe souplement. J’ai aussitôt une vision superbe de ses fesses et surtout de son anus qu’il dévoile de manière totalement impudique tout en s’abaissant sur mon visage.
Contact !Je lui offre un anulingus désespéré alors que je me fais défoncer à un rythme soutenu. Il se décale. Une verge molle tente de pénétrer mes lèvres, mais se retire après un coup de dents évité d’extrême justesse. On ne joue pas à cela quand l’ébat devient sauvage !
Il me présente à nouveau son fessier. Son petit trou est délicieux. Doux, souple, accueillant pour ma langue. Pendant que je le butine, je sens deux mains saisir mon sexe pour y dérouler un préservatif.
L’acrobate, en fin gourmet des plaisirs anaux, reste encore un petit moment à se faire lécher le cul tout en poussant des petits grognements joyeux.Enfin, il se décide, se redresse et aussitôt s’empale sans difficulté, aidé par Stef et Charly, bons princes.Il monte et descend pendant quelques minutes avant qu’un de ses comparses ne réussisse à l’arracher à mon corps. Aussitôt, il prend sa place, sans se soucier (ce n’est pas bien) de changer de capote.Remplacer un conduit détendu par un conduit serré me fait gémir de bonheur. A son tour, l’autre s’empale et se donne du plaisir anal à l’aide de mon phallus au bord de l’explosion.Il a la gentillesse de se retirer pour laisser la place à Stéphane qui, depuis plusieurs minutes, réclamait son tour. Le changement d’équipage me permet de faire refluer mon orgasme et de me reconcentrer.
J’évite de dire que je préférais le conduit plus étroit et moulant précédent que celui d’un Stéphane qui reçoit sa troisième queue en moins d’une heure.Finalement, les quelques minutes passées ensemble à faire l’ascenseur ne provoquent aucun effet sur mon besoin éjaculatoire. Je me concentre sur les coups de queue méthodiques que je prends dans le rectum, mais aussi sur le sexe, gros, mais mou, qui durcit dans ma bouche. Aux commentaires des autres, je comprends que c’est Charly qui rebande entre mes lèvres.
Mon dernier enculeur est un malin qui sait repousser le plaisir de son partenaire. Il prend son temps pour me butiner analement. Tout comme je prends mon temps pour bien sucer ma montagne de muscles. Tout comme l’acrobate qui se venge en évacuant Stéphane et en se réempalant sur moi, cette fois face à moi, trouvant une bonne rythmique avec mon enculeur. C’est quand il s’élève que la bonne queue me pénètre, et quand il s’assoit sur mon ventre que l’autre décule.
Mes mains palpent de plus en plus frénétiquement des couilles et des verges qui ne cessent de grossir à nouveau. Je me prends à espérer qu’elles raidissent tout à fait pour venir m’offrir un second tour de mitraille anale. Mais tout cela est bien trop bon.
C’est en admirant le vert foncé de la végétation qui contraste magnifiquement avec la roche claire et le ciel bleu azur que l’éruption orgasmique me prend par surprise. J’éjacule de tout mon saoul alors que l’acrobate est à moitié sorti de moi et tient la position. Je sens des flots de sperme percuter le réservoir de la capote.
Et c’est moi qui, amplifiant les répliques éjaculatoires, élève mon bassin pour mieux percuter le fion de l’acrobate avant de m’abaisser et d’y retourner en spasmes enculatoires de plus en plus réduits.
Je prends mon temps pour me vider les couilles, bien aidé par mes compagnons de jeu qui savent parfaitement accompagner un orgasme.Enfin, je m’affaisse, vidé de toute énergie. L’acrobate qui se sent merveilleusement bien avec ma queue dans son cul se fait désirer avant d’être arraché par les autres.Mon enculeur déchaîne une ultime salve particulièrement sauvage et âpre entre mes fesses.Des mains ne cessent de caresser ma peau moite de sueur, me cajolent, me réconfortent.Enfin, je sens le dernier des Mohican se retirer de mon conduit qui l’en remercie aussitôt en se refermant. Avec tout ce que j’ai pris, j’ai en effet plus que ma dose. Seules l’excitation et l’adrénaline m’ont permis de résister au bombardement anal.
Je pars aussitôt dans les limbes avant d’être attiré par un doux son que je connais si bien. Mes sens se réveillent les uns après les autres. La douleur rectale est certaine, mais tenable. Peu à peu, je me mets à sourire. D’abord de cette partie de sexe collectif si jouissive. Ensuite de ce que je devine autour de moi.J’ouvre les yeux d’un coup. Le soleil m’éblouit, mais pas assez pour m’empêcher d’admirer cinq phallus que cinq mains astiquent au-dessus de moi. Je les regarde les uns après les autres. Ils sont tous aussi beaux. Je vois des mains peloter des fesses pour s’exciter davantage alors que les yeux exorbités de mes camarades de jeu ne cessent de balayer mon corps si bien traité.
Sans réfléchir, j’ouvre la bouche. J’ai soif. Soif de sperme. Soif de cette saveur métallique dont je suis fou. Soif de ce qu’un homme peut offrir si généreusement. Même si je sais parfaitement qu’il ne faut boire qu’à la source pure d’un régulier ; et jamais d’inconnus.
Le queutard qui était le dernier à me sodomiser éjacule en premier, maculant mon visage d’une bonne liqueur épaisse. Aussitôt, Charly le rejoint dans le plaisir, expédiant de petites giclées claires.J’ai refermé mes lèvres. Et garde les yeux grands ouverts pour les voir, les uns après les autres, me jouir qui sur le sexe, qui sur le visage.L’acrobate est le dernier à venir, aisé par un de ses potes qui s’est placé dans son dos pour lui pincer les tétons et le caresser tandis qu’il se pignole. Son éjaculation n’en est que plus belle !Je reste un petit instant, couvert de semence mâle, à admirer les belles virilités autour de moi, à laisser mes comparses vicieux se remettre de leur plaisir. Quand le dernier semble en état de réagir, je leur lance, d’un ton espiègle :
— Bon, d’accord les hommes. Je retire. Pour des vieux, vous baisez encore sacrément bien !
La bouche de l’acrobate vient me rouler une pelle.Quand il se retire une main, étale le sperme sur mon visage. Une autre me soulève une jambe pour permettre à une main moite de semence de me fesser. Une troisième s’empare de mon sexe qui lui glisse aussitôt d’entre les doigts.Je me relève enfin, en titubant. Mes camarades me soutiennent et m’aident à retrouver l’équilibre. Je vois des visages se rapprocher de mes lèvres avant de reculer, amusés, en raison de mon masque séminal.La main de Stéphane se pose sur ma fesse, y dépose du nectar mâle, approche un doigt de mon anus avant de s’y poser.
— Ça va ton conduit ? Pas trop douloureux ?— Un peu quand même...— Avec tout ce que tu as pris !— Irrité ? Demande Charly.— On peut le dire... Mais je me demande ce que cela fait avec de l’eau salée...— On y va ?— On y va ! Il faut que les oursins pédés soient de qualité !
Les uns après les autres, nous sautons dans l’eau. Chacun se nettoie et s’ébroue pour retrouver la maîtrise de tous ses membres. Je suis courbaturé de partout, mais surtout des cuisses. J’ai dû rester trop longtemps les jambes en l’air.
— Ça c’était une bonne partie de jambes en l’air ! Confirme l’un des queutards, toujours aussi comique, comme s’il lisait dans mes pensées.
Je nage un peu, me lave les fesses, m’enfonce un doigt dans l’anus. Je suis effrayé par la largeur de son diamètre. J’ai beau avoir l’habitude, la dilatation anale après une (ou plusieurs) sodomie, est toujours quelque chose qui me surprend.
Effectivement, le sel de la mer irrite ma peau interne si malmenée. Mais c’en est presque réconfortant et agréable après tout ce que j’ai pris. Les autres m’interrogent. Je confirme que ça va.Alors que nous nous ébrouons joyeusement à quelques-uns, deux de mes enculeurs vont retirer toute trace de notre ébat sauvage sur le rocher plat. Stéphane ramasse toutes les capotes usagées et les exhibe en les tenant à la main, fier de notre groupe. L’acrobate ramasse les étuis qu’il enfourne dans un sac plastique avec le gel anal.
Ils nous rejoignent dans l’eau et tous ensemble, nous nous éloignons du bord pour contourner le rocher et rejoindre la plage.Nous franchissons la pointe où deux jeunes gars s’amusent, l’un masturbant l’autre avec fougue. Décidément, ce bout de rocher où j’ai moi-même sucé, doigté et branlé l’autre gars semble recevoir toute la communauté gay du coin !Nous les saluons sans nous arrêter. Et sans qu’ils ne s’arrêtent eux-mêmes.Inquiet, je regarde Stéphane devant moi (surtout ses jolies fesses). Que va-t-il faire des capotes qu’il tient toujours à la main ? Il ne va quand même pas...Eh bien si. Arrivé sur le sable, il s’empresse d’exhiber son trophée en rigolant. Plusieurs hommes, amusés, se lèvent et viennent vers nous.
— Planque ça, merde ! Tu ne vas quand même pas les compter devant eux ?— Et pourquoi pas ?— Putain, mais parce que cela ne se fait pas ! Ce n’est pas ça le naturisme !— Le naturisme non, les ébats sportifs des invertis, si !
Son air facétieux me fait moyennement rire. D’autant que les hommes présents sont deux fois plus nombreux qu’une heure avant, quand je suis parti nager. Plus nombreux, et d’âges très divers. D’âges et de corpulence aussi, les bien enveloppés étant plus nombreux que les beaux gosses. Je suis quand même surpris de voir un noir présenter sa queue à un gars qui le suce aussitôt, sans déranger celui qui bronze juste à côté.Le jour filant, la plage m’a l’air de s’échauffer...Un brin boudeur, je file vers ma serviette.Mon petit couple est toujours là à nous regarder avec intérêt. Passant devant eux, ils me demandent :
— Alors ?— Pour des vieux, ils baisent encore correctement... J’ai dégusté. C’était bien. Très bien, même...— On est contents pour toi ! s’écrie Kevin. Tu le mérites bien.— Merci. Mais là, je ne rêve que d’un bon gros dodo !— Dans les bras d’un beau garçon ?— Dans les bras de personne, si ce n’est Morphée.
Ils rigolent, et aussitôt s’embrassent langoureusement.écidément je les trouve vraiment mignons...Je poursuis jusqu’à ma serviette pour, harassé, m’allonger dessus. J’entends du brouhaha tout autour de moi. Stéphane puis Charly viennent me dire au revoir. Nous nous remercions mutuellement en nous promettant de remettre cela. Si je repasse par là.Et je m’assoupis.Je suis dans un état second, entendant distinctement le brouhaha autour de moi, le bruit des vagues, sans pouvoir ouvrir les yeux. Je suis bien trop occupé à faire défiler dans ma tête des images de copulation sauvage en pleine nature.
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