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C'est donc cela le naturisme

Chapitre 7

Incubation

Gay
7- Incubation.
Je marche le long du port, d’abord en fantasmant tout en mangeant ma banane, puis en croquant dans ma pomme.De grands éclats de rire derrière moi. Deux couples hétéros se marrent comme des baleines. Ils m’ont l’air un peu bourrés. Un peu excités aussi. Cela va gémir chez eux cette nuit ! Le sommier va grincer !
Je jette mon trognon dans une poubelle. Je regarde autour de moi, cherchant inconsciemment un visage que je pourrais connaître. Mais je ne connais personne ici. Personne ; à part Octave.Je regarde ma montre. Onze heures moins cinq. Octave... Rendre ce qu’on m’a donné... Jouir encore... Et surtout être nu ! Être nu avec un autre garçon nu !Oui. J’ai envie de coucher avec Octave. Pour être nus ensemble. On verra bien ce qu’on fera. Peut-être rien. Peut-être une simple gâterie. Peut-être un plaisir plus profond. Je m’en fous. Je veux juste être nu avec lui. Le regarder, l’admirer. Le laisser me regarder, m’admirer. Et le caresser. Et me faire caresser...
Onze heures moins deux. Trouver l’adresse. Enfin, mon GPS m’indique où est son restaurant. Je prends mes jambes à mon cou. Je fais trente mètres. Merde, je suis parti dans le mauvais sens. Mais comment fait-on avec un GPS pour trouver immédiatement la bonne direction ?
Je repars dans l’autre sens. Je bifurque à droite ; puis la seconde à gauche. Je vois une place au loin. J’y débouche en soufflant bruyamment. Rien. Pas de restau. Si, juste derrière moi, sur ma gauche.
Restaurant « les barcasses ». C’est bien cela. C’est là qu’il m’a dit qu’il bossait. Je regarde ma montre. Onze heures huit. Aïe. Pourvu qu’il ne soit pas parti !Je regarde par la vitrine à l’intérieur. Il ne reste qu’une demi-douzaine de tables d’occupées. Ils ont soit fini, soit en sont au dessert. Un serveur. Une femme derrière le bar. C’est tout. Le restaurant a quand même l’air grand. Cinquante tables ?
Je passe et repasse devant. Je vois une petite porte ouverte. Du bruit au fond. Sans doute le couloir donne-t-il accès à la cuisine. Je suis tenté d’y pénétrer. Mais je n’ose pas. Si je tombe sur quelqu’un, que pourrais-je dire ? « Je cherche Octave. Est-il là ? ». Mais ce serait risquer de le griller. A cette heure-là, avec mon look, un type perspicace pourrait deviner ce que nous comptons faire ensemble.
Combien de temps s’écoule-t-il ? Dix minutes ? Un quart d’heure ?Je suis trop con. A rester là d’abord. Sans oser entrer. A espérer. Juste une pipe d’un jour. Que crois-tu ? Qu’il est tombé amoureux de toi ?Une voix enjouée dans mon dos me fait sursauter.
— Tu es super mignon à tourner autour de mon restau ! C’est gentil d’être venu...
Je me retourne. Octave est là. Plus petit que je ne l’imaginais. L’air fatigué aussi. Brun. Très brun. Poilu. Très poilu.

— Oui, je...— Tu as perdu ta langue en plus ? Dommage ! Elle est très habile ! Je te regarde tourner autour du restau depuis un petit moment. J’avais peur que tu ne partes avant que je ne puisse sortir. C’est super sympa de m’avoir attendu ! Mais viens, ne restons pas là.
Je crois que je rougis. Je lui souris. Je lui emboîte le pas. Nous nous dirigeons vers le port.Tout en cheminant, il me fait raconter mon après-midi. Même sans rentrer dans les détails, je lui raconte tout. Il n’arrête pas de rigoler, hésitant à me croire. Mais les détails donnés lui font comprendre que je dis la vérité.
— Alors là, putain, toi tu es un vrai chaud ! Remarque, j’aurais dû m’en douter, toi qui suces un inconnu au milieu d’un chemin...— Chaud, chaud, toi aussi ! A te branler, nu, au milieu d’un chemin...— Tu as raison... Un partout... J’étais excité. Tu m’as super bien soulagé. Merci encore.— De rien, c’était une super bonne sucette !— Et tu t’es soulagé aussi... Ouah... Je savais que c’était chaud sur cette plage, mais à ce point-là !— Tu n’as jamais participé ? Proposé ta queue aux bouches gourmandes dans la partie chaude de la plage ?— Je n’ai jamais osé y aller... Ne te fous pas de ma gueule...— Ce n’est pas mon genre ! Moi qui me suis foutu à poil pour la première fois de ma vie !— Et alors, tu as trouvé cela comment ?— Divin !— Je comprends. J’adore aussi.— Seul ? Avec une fille ? Devant un mec ?— Seul... C’est triste. Les filles, je ne sais plus trop... Devant toi, j’ai trouvé cela super !— Moi aussi ! Même si je ne savais pas que c’était cela le naturisme ! La baise à tous les coins de rue !— Alors non, ce n’est pas cela le naturisme... J’ai fréquenté plusieurs plages ; la plupart sont sages ; il n’y a que celle-là que je connais où c’est plus... chaud.— J’ai choisi la bonne !— Cela m’a permis de te connaître ! Et de recevoir la meilleure pipe de toute ma vie !— Tu dis cela pour me faire plaisir... Et pour te faire sucer à nouveau !— Non ! C’est vrai que j’ai très envie que tu me suces encore... Très envie qu’on se retrouve tous les deux, nus, la queue bien raide... Mais c’est vrai. Tu es le meilleur suceur que j’ai rencontré ! En fait, je te dis tout, je ne me suis pas fait sucer si souvent que cela... Une dizaine de fois...— C’est déjà pas mal !— Et toujours par des types plus âgés, genre pervers-pépères...— Parce qu’ils ont essayé d’aller plus loin avec toi ?— Non. Mais ils étaient vieux... Des mecs de trente ans, de quarante, de cinquante... Tu es le mec le plus jeune à avoir joué avec ma queue !— Tu sais, j’ai compris un truc aujourd’hui : tu peux être trentenaire et ne pas être vieux...— Peut-être...— C’est vrai que tu serais prêt à aller plus loin avec un mec ?— Serais?— avec un mec?
Non. Avec toi, je crois bien que oui...

Nous nous regardons. Son émotion le fait rougir. Sa rougeur est contagieuse. Nous regardons autour de nous. Il me désigne une ruelle sombre. Nous marchons d’un pas vif vers elle. Je crois qu’on va s’arrêter de suite, mais non, il s’enfonce jusqu’à une grande porte cochère qu’il pousse. Sommes-nous chez lui ?Nous entrons dans une cour. La porte se referme. Il se rapproche de moi. Se fige. Ne sais plus trop quoi faire. Je prends l’initiative de lui demander :
— Tu as déjà embrassé ?— Oui, toi, cet après-midi... Tu as déjà oublié ?— Je veux dire, pas quand on fait l’amour... Avant... Des baisers... D’amoureux... Pas de copuleux...— Ah ? Oui, des filles.— Pas de mec ?— Non. Pas comme cela.— Alors, laisse-toi faire. C’est pareil !
Je lui roule une pelle en serrant mon corps contre le sien. Notre baiser est tendre, délicat, tout en retenue. Franc et volontaire, aussi.Nous ne nous quittons pas des yeux tout en jouant des lèvres et de la langue dans nos bouches. Nos yeux éclatent de bonheur dans la pénombre. Ses mains se posent sur mes fesses, me pelotent à travers le tissu de mon short. Puis glissent en dessous. Il suspend le baiser.
— Tu n’as pas de slip ?— Je t’espérais. Alors non... Et puis ma verge a découvert qu’être à l’air, qu’être libre, est un bonheur...— Je comprends. J’approuve... Tes fesses sont super douces... Comme tes lèvres.— Elles sont toutes à toi.— Merci.
Il reprend, les reprend, mes lèvres. Et mes fesses. Cette fois en passant des doigts dans ma raie. En insistant sur mon anus. Le tout en scrutant les réactions de mon visage. Je lui souris.
— Tu sais, je suis complètement pédé. Tu peux tout me faire. Sans hésiter. Sans ménagement.— Ça, je crois que j’ai compris... Tu es un vrai gay. Jusqu’au bout des ongles. Moi ce n’est pas mon cas...— Ça, je crois que j’ai compris, moi aussi. Je n’ai pas envie de me faire un pédé. J’ai juste envie qu’on soit tous les deux ensemble, sans rien sur nous, dans le même lit. Après, c’est toi qui décides. Tout. Rien. Un peu. Ce que tu veux. Rien que ce que tu veux...— Ne me dis pas cela !— Pourquoi ?— Encanaille-moi ! Guide-moi ! Apprends-moi ! Je suis prêt à tout avec toi !— Tu es sûr ?— Oui !— Vraiment ? Okay. On y va ?— Attends encore un peu ! Tes lèvres. Tes fesses...— Humm... C’est vrai que tu as l’air de bien l’aimer mon petit cul... Mon petit trou... Cet après-midi en pleine nature, maintenant... Coquin... Dégrafe le bouton de mon short !— Le... Il va tomber ! Tu vas être le cul à l’air !— Oui !— Si quelqu’un arrive ?— Je m’en fous ! — Pas moi.— Tu habites là ?— Non. En dehors de la ville.— Alors pourquoi ici ?— J’ai embrassé et troussé une fille ici, il y a quelques années. C’était tranquille. Il n’y a que des vieux... Un bon moment...— Alors, enlève-moi ce short et trousse-moi !— Si je veux !— Tu le veux !— Cela se voit donc tant que cela ?— Arrête de parler ! Embrasse-moi ! Trousse-moi ! C’est moi qui aurais la honte si on nous surprend. Pas toi.
Il me scrute. Un petit souffle pervers passe dans ses yeux. Il finit par s’exécuter. Mon short s’affaisse au sol. Mon sexe tendu est enfin libre. Mes fesses aussi, que ses mains s’empressent de pétrir vigoureusement.Je me laisse faire pendant de très longues minutes de plus en plus hardies. Il est de plus en plus excité. Ses appréhensions s’évaporent. Je l’incite à me prendre sur place. Mais il ne veut toujours pas. Peur pour lui-même ? Pudeur ?Je n’arrête pourtant pas de lui présenter mes petites fesses que son doigt a pénétrées depuis un moment. Je remue du cul comme une petite pute en chaleur. Il résiste. Il finit par s’écarter, hors d’haleine, sortant son doigt de mon anus.
— Pas ici...— Pourquoi ? Il n’y a personne !— Non !
Il a l’air sérieux et décidé. Je réentends les bruits de la ville tout autour de nous. Je sais bien qu’il a raison. Même si je suis fou de joie d’être à moitié nu devant lui.
— D’accord. On ne s’énerve pas. On va chez toi ? A mon hôtel ?— Chez toi. Si tu veux bien. J’habite trop loin.— Oh que oui que je le veux !
Il se baisse pour rattraper mon short dont je me suis dégagé en l’écartant d’un coup de pied. Alors qu’il me le tend, je ne fais pas un geste pour le prendre. Je lui demande :
— Tu as déjà caressé le sexe d’un homme ?— ...— Mes fesses, oui. Tu adores visiblement les caresser. En as-tu caressé d’autres avant ?— Un peu...— Et un sexe ? Une bite ? Des couilles ?— Je...— Cela veut dire non... Alors, vas-y, caresse mon sexe !— Non...— Oh que si ! Caresse mon sexe putain !
Mon short s’échappe de ses mains et retombe au sol. Il avance un bras. Ses doigts se referment sur mes bourses. Un terrible frisson parcourt mon corps. Et le sien aussi, probablement.
— C’est bon, hein ?— Oh putain oui ! J’en rêvais !— Alors, caresse ma queue !
Il ne se fait pas prier. Je sens des doigts malhabiles se refermer sur ma hampe, mon gland, mes bourses. Il me branle doucement, hésitant continuellement, comme s’il avait peur de me faire mal. Je le laisse découvrir ma virilité. Le moment est grave, beau, pur.J’enlève mon haut. Enfin nu, je me décide à parler.
— Ne me dis pas que ce n’est pas bon, hein ? — Oh non... C’est encore meilleur que je n’espérais !
Je souris intérieurement en entendant ces mots.
— Je n’espérais...
C’est donc bien un timide qui demande à être un peu bousculé...
— Tu embrasses bien, tu sais... Tu caresses bien... Mes fesses... Mon sexe...
Mon sexe qu’il lâche pour caresser mes lèvres du bout d’un doigt.
— Toi aussi... J’aime tes lèvres...
Il reprend mon sexe en main et m’embrasse. Je le laisse en profiter avant de reprendre :
— Mes lèvres, tu les as embrassées ; tu les as caressées... Tu as caressé mon sexe. Tu as caressé mes fesses. Je veux comme pour mes lèvres...
Je lui laisse quelques secondes pour comprendre où je veux en venir. Puis je pose ma main derrière sa nuque. Je lui roule une pelle rapide puis je fais pression pour qu’il abaisse son visage vers mon entrejambe.Il résiste vaguement. Je sens son corps trembler. Mais pas se rebeller. Sa tête s’abaisse. Elle se fige juste au-dessus de mon sexe tendu vers le ciel. Je l’entends respirer sourdement. Puis ses lèvres se posent sur mon gland recouvert d’impatiences séminales.
— Embrasse-le bien !
Ses lèvres appuient. Il repousse ma main et se redresse. Je vois sa langue passer sur ses lèvres. Je l’attrape par la nuque et l’embrasse. La saveur séminale est délicieuse. Nous la partageons goulûment. Je lis de la reconnaissance dans ses yeux.Mais je n’en ai pas fini avec lui.
— J’ai senti ta langue dans ma bouche. Je veux sentir ta langue, pas uniquement tes lèvres, sur mon sexe, sur mes fesses !
Un court moment de panique déforme son visage. Suis-je allé trop loin ?Non. Sans que je ne l’y oblige, il s’abaisse à nouveau.Il embrasse mon gland une seconde fois. Puis il ouvre sa bouche, se baisse encore, fait pénétrer mon vit entre ses lèvres.C’est par un grognement sourd que je réalise qu’il est en train de me sucer. Il me suçote le gland, il le lèche, il le nettoie entièrement de toute ma saveur mâle. Puis il tente de me pomper. Il donne un coup de dents qui me fait sursauter. Il s’excuse. Il poursuit ses va-et-vient.C’est lui qui m’embrasse fougueusement quand il se redresse après une courte sucette plus excitante qu’agréable. Et qui susurre :
— Ma première pipe...— Prometteur ! Pas mal pour un début... Recommence...
Il recommence. C’est un peu moins mal. Il va lui falloir du temps pour savoir faire de bonnes fellations. Cela tombe bien, je suis tout à fait prêt à être patient avec lui. Il se redresse une seconde fois, fourre sa langue dans ma bouche, partage sa récolte. Et ordonne :
— Retourne-toi !
Je m’exécute.
Je me place face à la porte cochère, jambes écartées, cul lascivement rebondi vers l’arrière. Immédiatement, je rêve qu’il me penne à sec. Mon corps le supplie de me trousser. Je me retiens. Il doit d’abord découvrir la douceur extrême d’un anus. Ses mains se remettent à me peloter le fessier avec insistance. C’est clair, il en rêve depuis longtemps de peloter un cul de mec !Je ne l’entends pas s’abaisser. Mais je sens parfaitement sa langue passer dans ma raie en appuyant franchement. Je lâche un petit gémissement aigu. Il suspend son coup de langue. A peine me dis-je que c’est trop peu que sa langue replonge entre mes fesses et se déchaîne. C’est une bête débridée qui vient me lécher le cul avec frénésie. Et qui peu à peu vient se concentrer sur mon anus.
Je suis prêt à tout ! A tout, et surtout à ce qu’il me sodomise sur-le-champ ! Malheureusement, il finit par s’arrêter. Moi je reste encore un moment dans ma position de soumis, de lopette, de chienne qui n’attend rien d’autre qu’être pénétrée. Mais rien ne se passe. Alors à mon tour, je me redresse et me retourne. Il est face à moi, le visage brillant d’une incroyable intensité. Il a sorti son sexe de sa braguette. C’était trop dur de la contenir sous ses vêtements.Nous nous regardons. Je tends la main et attrape son membre au moment où il attrape le mien. Nous nous rapprochons. Nos lèvres se frôlent. Il murmure :
— C’est fou ! Te lécher le cul... Te sucer...— Je voulais que tu connaisses cela. Et tant d’autres choses encore ! C’est tellement bon...— Pas ici. Dans ta chambre d’hôtel ! Toute la nuit. Je veux te faire l’amour. Je veux me laisser guider ! Baise-moi...— Tu sais l’essentiel de ce qu’il y a à savoir. Laisse parler tes sens ! Ne les retiens plus ! Je sens que tu vas me faire jouir comme jamais on ne m’a fait jouir ! Et je vais t’offrir tout ce que tu voudras bien recevoir !— Vantard !— Non. C’est fou... Il est en train de se passer un truc entre nous. Un truc unique...— Tu crois ?— Je n’ai jamais rien ressenti de pareil ! Et pourtant, côté copulation entre mecs... J’ai de l’expérience...— J’ai hâte ! Fais-moi tout ce que tu voudras !— Même...— Même ! Tout !— En une nuit, c’est trop court... Je sens que je vais devoir revenir par ici... « Approfondir » tes découvertes...— Alors, dépêchons-nous ! On débande et on y va !
Sans pouvoir me maîtriser, j’éclate de rire.
— On débande...
C’est impossible, mec ! Regarde-nous ! Allez, on y va comme cela !
Ses yeux scannent mon anatomie, conscient de l’énormité de son propos. Comme si deux jeunes mâles en rut, la vie pleine de promesses jouissives, pouvaient calmer leur vit en claquant dans les doigts.Il s’excuse. Il ramasse mon short et mon teeshirt. Il m’écarte. Il ouvre la porte cochère. Il sort.Il sort la queue à l’air et mes vêtements à la main. J’ai un moment de surprise. Mais je suis tellement excité que je n’ai qu’une envie : le suivre. Je me précipite derrière lui. Nu. Dans la ville.La ruelle est toujours aussi sombre. J’ai le sentiment que le brouhaha du port s’est apaisé. Mais il est toujours présent, en bruit de fond.Je remonte à son niveau. Il dépose un baiser sur mes lèvres et repart.Nous faisons la moitié du chemin quand résonnent des bruits de voix.C’est comme un signal qui lui fait prendre conscience de l’énormité de notre tenue. Il se place immédiatement entre le bout de la rue et moi puis me tends mon short en me disant :
— Rhabille-toi !
Tout en enfilant mon short, j’entends des bruits de pas lourds qui se rapprochent. A peine ai-je casé ma hampe dedans et l’ai-je reboutonné que je vois apparaître deux types dans son dos. Par réflexe, il entame une rotation vers eux. Il a juste oublié que son phallus est sorti de la braguette. J’ai juste le temps de l’attraper par le bras et de lui faire faire demi-tour dans l’autre sens. Les deux types nous doublent en marmonnant un truc incompréhensible. Ils sont bourrés. Tant mieux. Ils n’ont pas vu le sexe d’Octave. Ni ma braguette ouverte.L’incident fait dégonfler nos ardeurs qui se pelotonnent sagement sous nos vêtements. Nous finissons de nous rhabiller et reprenons notre marche. Nous nous arrêtons juste avant de déboucher sur le port. Pour nous embrasser. Nous reprenons notre marche, plus active, vers mon hôtel.
La fille à la réception ne bouge même pas un sourcil en me voyant revenir avec un garçon. Nous montons dans la chambre. La porte claque derrière nous. Immédiatement, des bras arrachent mes vêtements pour me déshabiller dans un grand éclat de rire commun. C’est avec bonheur que je me retrouve à nouveau nu devant lui, mon sexe s’élevant rapidement. Il me repousse sur le lit, se précipite entre mes jambes, écarte mes cuisses, avance son visage et referme ses lèvres sur ma verge qu’il finit de faire durcir par un mélange de léchage et de va-et-vient.Un enfant qui découvre un nouveau jouet. Il est plus émouvant encore que précédemment. Car il est moins tendu, plus gourmand, rassuré de pouvoir se délecter d’un phallus sans aucun jugement de ma part ; à part une caresse dans ses cheveux pour lui confirmer qu’il a le champ libre.
Je ne vois pas le temps passer. Je tente de le guider, de l’inspirer, de l’inciter à alterner va-et-vient et léchage-gobage de mes boules. Mais aussi de pousser plus loin sous les bourses. Jusqu’au puits anal. La moitié de ma hampe fermement enfoncée dans sa bouche, il relève la tête vers moi. Je lis comme une prière, une demande, une permission à je ne sais quoi. Il grogne. J’ignore ce qu’il veut. Mais je suis sûr que c’est délicieusement cochon.Alors je caresse sa joue que mon sexe déforme et je susurre :
— Tout ce que tu veux... Prends tout... N’hésite pas !
Un éclat dans ses yeux. Il entrouvre ses lèvres, laisse mon sexe s’échapper, se redresse, s’empare de mes cuisses et me retourne comme une crêpe. Je ne sais toujours pas ce qu’il veut quand il m’attrape par les chevilles pour me tirer légèrement en arrière, le ventre contre le rebord du matelas. Il revient entre mes cuisses, les écarte avec les épaules et se fige devant mes fesses que son corps a écartées.
Là, je comprends.C’est son nez que je sens passer dans mon sillon avant que sa langue ne vienne le lécher goulûment. Il passe et repasse dans ma raie. Un délice sauvage. Jusqu’à ce qu’il se concentre sur mon anus et le pilonne à coups de langue tendue et enroulée.
Avec ce que j’ai pris cet après-midi, après sa découverte de l’anulingus quinze minutes plus tôt, mon excitation étant extrême, mon conduit se détend rapidement et sa langue pénètre mes chairs intimes.
Ce sont des grognements de bête qui accompagnent ce butinage anal. Il me dévore littéralement le cul comme un affamé. Il grogne. Je gémis. La sublime sensation me fait exulter. J’ai beau avoir l’habitude, sa hardiesse extrême dépasse tout ce que j’ai ressenti jusqu’à présent.
Combien de temps sommes-nous restés ainsi, lui à se régaler de mes fesses, moi à déguster l’explosion sensuelle ?Il ralentit progressivement la cadence. Mon sexe est prêt à exploser. Le sien aussi, j’imagine. Quand son visage se décolle de mon fessier, je me retourne lentement, hagard, pour accueillir ses lèvres contre les miennes. Je pivote sur le dos. Il se couche sur moi. Notre baiser est à la fois tendre et farouche, puissant et impatient.
Mes mains se posent sur son pantalon et le pelotent à travers le tissu. Il gesticule, s’élève légèrement, bouge le bassin. Ensemble, nous défaisons le bouton du pantalon et abaissons vêtement et sous-vêtement cruels et inutiles pour enfin nous retrouver bas-ventre contre bas-ventre, hampe contre hampe, lèvres contre lèvres.
Toucher ses fesses pour les pétrir au rythme de nos jeux de langues est merveilleux. Sentir la chaleur virile de son corps est délicieux. Pantalon et slip arrêtés à mi-cuisse ne nous gênent plus. J’imagine l’impudente vision de ce garçon, à moitié habillé, les fesses à l’air, à la merci de deux mains déchaînées, couché sur un corps nu dont les jambes débordent sous lui.Il m’arrête pourtant quand je commence à jouer avec sa rondelle du bout d’un doigt. Je me méprends sur ses raisons.
— Tu ne veux pas ?— Oh que si ! Mais je ne suis pas propre...— Ce n’est pas forcément grave...— Pour que tu me lèches à ton tour le cul, si...— C’est cela que tu veux ?— Oui ! Avant de sentir tes doigts me fourrer l’anus...— Hum, hum ! Et ?— J’ai très peur d’avoir mal... Mais je veux que tu essaies de me prendre... Tu feras cela en douceur ?— Peut-être... Si après t’avoir léché et doigté, je sens que tu es prêt à m’accueillir... Sinon, ceinture ! Pas ce soir !— Oh si...— Tsstt tsstt... Oui à la pénétration ; sans précipitation... Pas d’affliction... A la douche ? Je te lave ?— Tout partout ?— Tu es un vrai cochon refoulé, toi ! D’abord, tu rêves depuis toujours de lécher le cul poilu des mecs. Me trompé-je ?— Non.— Puis tu rêves de présenter tes fesses à un mec...— ... à un beau garçon comme toi !— ... pour le laisser te laver intimement en bon petit soumis... Pas vrai ?— Totalement exact...— Et tu en as d’autres des fantasmes comme cela ?— Plein ! Et plus nous sommes ensemble, plus ils se multiplient !— Tout un programme ! Allez, à la douche !
Je lui arrache son haut alors qu’il se relève. C’est moi, le nez sur son entrejambe, qui lui retire complètement son pantalon et son slip ringard blanc que j’observe et je hume avec délice.
— Vicieux...— Ton slip sent l’homme... Une belle tache jaunâtre... Et là une plus sombre, plus récente... Humm, quelle bonne odeur de sperme ! Oh, quelle saveur ! Déclaré-je en mâchonnant la partie trempée de semence.
Il m’arrache le slip des mains en éclatant de rire, me tire vers lui pour me relever, m’enlace après que nos éperons se soient heurtés. Il m’embrasse tendrement. Je lis dans ses yeux qu’il apprécie autant que moi le partage de sa saveur mâle. Désinhibé, il me demande :
— Toi aussi tu dégustes ton sperme après t’être branlé ?— Comme tous les mecs !— Moi, avant d’assumer mes pulsions homos, je n’osais pas.— C’était avant que tu ne commences à te balader à poil sur des plages naturistes ?— Je n’ai osé faire du naturisme que quand j’ai cessé de refuser mon orientation sexuelle... J’ai longtemps rêvé de mecs...— ... En te branlant devant des films X gays !— Exactement ! Jusqu’à ce que ce soit plus fort que moi. Besoin d’être nu, de voir des hommes nus...— Et tu as tout de suite offert ta queue à des bouches gourmandes de garçons ?— Oh que non ! C’est ma troisième saison de naturisme. La première où je laisse les gars me sucer...— Et bien davantage maintenant... C’est curieux la vie, non ? Moi cela fait des années que je m’envoie en l’air avec des gars. La première fois aujourd’hui que j’ose marcher et nager nu devant des hommes qui se lèchent les babines en me regardant passer... Des chemins exactement inverses...— Qui nous conduisent à nous trouver...— Sous la douche ?— Sous la douche. Puis dans le lit ! Cela va être chaud ! On y va ?
Il se laisse totalement faire, beau gars soumis qui offre son anatomie au jet de la douche dirigée sur sa peau. Nous urinons l’un sur l’autre en riant. Je le savonne soigneusement. Ses mains ne résistent pas longtemps au plaisir de s’emparer de ma virilité et de caresser ma peau. Je le rince et me mouille au passage. Mais alors qu’il croit que c’est fini et qu’il se précipite, amant impétueux, pour qu’on se sèche et qu’on reprenne notre corps à corps, je l’arrête.
Intrigué, il me voit prendre ma poire anale cachée dans ma trousse de toilette. Je le fais mettre en position de soumission totale, jambes écartées, buste baissé, pour me présenter ses belles fesses poilues.
Le sentant nerveux, je commence par lui masser la corolle anale. Il se détend rapidement. Il pousse un petit cri quand ma langue entre en contact avec son anus. Puis il gémit alors que je le léchouille subtilement. C’est qu’il mérite un anulingus de haut vol ! A mon tour, je me délecte de son petit trou bien serré, mais extrêmement doux.
Je peux enfin enfoncer mon majeur humecté de salive dans son anus. Je l’enfonce progressivement, sans difficulté jusqu’au bout. Une fois le doigt dans la place, je le masse de l’intérieur alors qu’il souffle bruyamment comme pour résister aux ondes de plaisir.
Il comprend l’usage de ma poire quand je la remplis d’eau chaude. Il veut me la prendre des mains et se faire un lavage intime tout seul. Je l’en empêche, affirmant que c’est à moi de le faire. Il ne sait pas que c’est bien la première fois que je fais ça avec un amant... Je ne sais pas pourquoi, mais j’y tiens particulièrement.
J’exécute le lavement rectal en trois pressions successives. Je ne peux que constater qu’il est tout propre. Et prêt à tout.
Le séchage est plus que succinct. Nous nous jetons d’un seul élan sur le lit. Je me mets tête-bêche et lui fais découvrir la beauté animale du soixante-neuvième rugissant. Nous nous suçons avec gourmandise tout en nous caressant frénétiquement l’épiderme.
Quand ma bouche abandonne son sexe pour sucer ses testicules, il en fait immédiatement autant. Puis quand j’abandonne les testicules pour lui bouffer le cul, il retourne déguster ce qu’il a tant aimé chez moi il y a peu. J’ai beau me dire que c’est un obsédé de la rondelle, je suis exactement comme lui, hors de moi à lui lécher l’anus.
C’est un concert de grognements qui résonne dans la chambre. La posture est physiquement éprouvante ; la dégustation est merveilleusement bestiale. Tout occupés à nous bouffer mutuellement le cul, nous perdons plusieurs fois l’équilibre pour nous remettre immédiatement en position.
Comme je l’avais imaginé, il se décide brusquement à s’arracher à ma dévoration, à bondir et à se mettre en levrette, ses superbes fesses écartées offrant un joli trou baveux entrouvert.Je lui offre ma queue à sucer pour me laisser le loisir de le fesser et de le doigter analement afin de détendre encore ses chairs.Ce sont ses supplications qui me font arrêter. Je sais bien qu’il n’est pas prêt à me recevoir dans son conduit étriqué. Mais il tient tellement à essayer !Je me place derrière lui pour frotter ma hampe le long de sa raie. La sensation du membre dur et chaud contre ce qu’il a de plus intime le surexcite. En bonne lopette (cela m’arrive aussi), il astique abondamment mon sexe avec sa raie surchauffée. Je sais combien c’est bon, surtout quand on est en manque de pénétration. Tout amateur de sodomie a besoin de ce contact frénétique.
Les meilleures choses ont pourtant une fin. J’enduis abondamment son anus de gel. J’enfile un préservatif, le lubrifie et me mets en position. Il faut une bonne poussée pour que mon gland passe le pas de sa corolle. Son corps frémit douloureusement. Il grimace. Je lui laisse le temps d’habituer à la présence d’un corps étranger en lui en l’embrassant, en le branlant, en le caressant partout.
Je suis content de constater qu’il ne débande pas trop. Je pousse encore un peu. Il se crispe carrément. Après plus de cinq minutes d’efforts, je n’ai fait pénétrer qu’un tiers de ma verge en lui. Son corps est secoué de soubresauts douloureux. Il jette son bassin en arrière pour s’empaler, mais la douleur arrête chacune de ses gestuelles passives.Je le change de position en le couchant sur le dos pour tenter une pénétration sous un autre angle.
Le résultat est le même : je ne vois que grimaces douloureuses sur son visage. Il a beau se masturber pour mieux m’accepter en lui, il est trop étroit pour apprécier. C’est moi qui décide de me retirer. Il me supplie de continuer, de lui laisser le temps, de persévérer.Je me contente de relever son visage et de lui rouler une pelle en disant sèchement « non ! ». Notre baiser accompagné de caresses intimes calme peu à peu sa frustration. Il finit par sourire.
— C’est chiant les puceaux ex-hétéros, non ? Trop étroits ! Tu dois préférer les homos au conduit bien plus souple !— Pour l’instant, la seule chose qui m’importe, c’est que tu prennes du plaisir. C’est toi que je préfère. Et toi seul.— Une déclaration ? — De quoi as-tu envie ?— Humm... Cela te ferait plaisir qu’on inverse les rôles ? Tu aimerais être enculé ?— J’adore être enculé. Et par toi, ce serait un bonheur absolu ! Mais tu n’es pas obligé...— Je n’ai pas baisé avec tant de filles que cela, tu sais... Une sodomie, jamais. S’il y a quelqu’un avec qui j’ai envie d’essayer, c’est bien toi ! Tu veux bien ?— A deux conditions : d’abord, je voudrais que tu me prennes à cru. J’ai confiance sur le fait que tu es sain... La seconde, c’est que j’aimerais être pris debout, contre la cloison, comme si on était tous les deux contre un rocher, sur une plage nudiste, et que tu me tournes autour devant des mecs excités, que tu me prennes et me reprennes, qu’on se roule des pelles, qu’on se caresse partout, en bons nudistes...
Son sourire étincelant me prouve que j’ai vu juste quand j’ai imaginé que nous partagions ce fantasme. Nous nous relevons. Je m’abaisse pour le sucer. Non pas qu’il ait une verge mollassonne ; au contraire, il est à nouveau bien raide. Mais j’ai très envie de ce contact labial ; et de sa saveur d’homme.
Avec une autorité qui me réjouit, il m’oblige rapidement à me relever pour me coller contre la cloison. Commence alors une enculade d’une incroyable sensualité qui nous voit nous enfoncer tard dans la nuit. Il me pelote, me branle, me caresse, me lèche le cul, me pénètre, me besogne, ressort, recommence. Dix fois. Vingt fois.
Il revient sans cesse en moi ; sans plus aucun ménagement. Et il ressort, profite de mon corps, me fesse, me doigte, me pétrit les chairs. Nous sommes deux corps surexcités qui résistent à l’appel de l’éruption. Nus tous les deux à se jouer de nos corps dans le halo d’une faible lumière. Comme si nous étions de nuit, sous la lune, dehors, à jouer avec nos anatomies mâles.
Nous exultons de nous voir nus, bandants, à nous tourner l’un autour de l’autre, sensuels quand nous nous caressons ou nous embrassons, sexuels quand il me pénètre et me bourre à tous les tempos possibles, toujours debout, toujours à admirer nos nudités crues.
Nous osons nous dire nos fantasmes, ceux d’Adam et Adam dans le jardin d’Eden, mâles nus aux corps surchauffés, les yeux révulsés devant tant de beautés anatomiques.Ses doigts effleurent ma peau avant que ses mains ne me pétrissent les chairs puis que son champignon proéminent force ma corolle ; que je sois debout face au mur, penché sur le bureau, à quatre pattes en levrette, couché sur le dos jambes relevées. J’admire sa morphologie mâle par en-dessous, de côté, de devant ou de derrière.
Alors que la ville dort depuis longtemps, il explose enfin sur mon visage, dans ma bouche, sur mon torse. Son sperme est abondant. Il coule partout sur ma peau. C’est si bon !Et il me lèche à nouveau, me nettoie avec la langue, partage en bouche sa semence, me fait encore bouillir.
C’est lui qui m’allonge sur le lit et vient me masturber. J’aurais souhaité qu’il joue avec mon sexe toute la nuit. Mais c’en est trop pour moi. Il fait jaillir l’étincelle jouissive de mon plaisir par une somptueuse éjaculation qu’il admire, les yeux aussi exorbités que les miens. Je le laisse lécher mon sperme et l’offrir à mes lèvres. J’ai récemment fait un test. Je sais que moi aussi je suis sain. Tout cela est sans risque. Et surtout délicieux...C’est lové contre moi, le sillon de ses fesses calant mon sexe encore gonflé, que nous nous endormons, épuisés.
Le réveil est difficile. Nous sommes en manque de sommeil. Mais pas de gaule. Une rapide douche et nous sautons à nouveau tête-bêche sur le lit. Nous nous suçons avidement en guise de petit-déjeuner. Et dégustons l’un après l’autre le bon sperme éjaculé en bouche. Je n’ai pas le temps de prendre un petit-déjeuner. Nous échangeons nos coordonnées. Il me supplie de revenir l’enculer. Je le lui promets.
Être habillé. Être séparé de lui. Tout m’est douloureux. Je me connais. Des promesses faites à des garçons, j’en ai fait de nombreuses. Pas toutes suivies d’effet. Je me laisse deux jours pour décider. Ai-je envie de le revoir ? En tout cas, je suis sûr d’une chose : je veux retourner sur une plage naturiste, être nu au milieu d’hommes nus, me savoir reluqué par des yeux désireux de mon corps, copuler en pleine nature... Avec Octave. Oui, avec Octave, ce serait super. Je crois bien que je vais le rappeler.Non. C’est sûr, je vais le rappeler, je vais revenir, je vais partager bien d’autres moments jouissifs avec lui. De préférence nus sur une plage naturiste. Car pour moi, oui, c’est cela naturisme.Fin.
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