Nous sommes deux professionnels très sportifs dans le début de la trentaine. Nous sommes en couple depuis quelques années maintenant. Voici une histoire que j’ai écrite à ma copine sur un club qui existe vraiment. * * * Quand j’ai vu l’article dans le journal sur l’ouverture de ce nouveau club, j’ai hésité à t’en parler. Ce n’est pas à proprement parler un club d’échangisme, mais très proche. Il s’agit d’un club pour personnes averties où la nudité est permise dans la majorité des salles. Aussi, il y a des chambres à l’arrière du club où les ébats sont permis entre personnes consentantes. Ça regroupe donc des éléments d’échangisme, mais aussi de voyeurisme et d’exhibitionnisme. L’article me restait en tête et j’ai finalement décidé de t’en glisser un mot. Comme couple, nous n’avons jamais été intéressés à l’échangisme. Par contre, nous ne sommes pas contre des expériences pour rajouter un peu de piquant dans nos vies. Je n’ai donc pas été très surpris que tu acceptes d’aller y faire une visite. On pensait initialement faire une première visite de « reconnaissance » d’une trentaine de minutes maximum. Par contre, pendant qu’on se prépare, on se sent de plus en plus intrigué par l’idée. Je mets une chemise propre bleu marine pour aller avec mes yeux bleus. Par contre, je la trouve à la limite d’être trop serrée. Tu me dis de la garder, car elle met bien en valeur mon torse et mes bras musclés. Je vois que tu choisis avec soins tes vêtements pour cette soirée. Tu décides enfin d’y aller avec une jolie robe noire très moulante et des talons hauts. On rentre dans le bar avec une certaine anxiété. C’est sûr que c’est très excitant, mais en même temps, c’est plutôt gênant de franchir les portes d’un club où l’exhibitionnisme est considéré comme la norme. On laisse nos manteaux au vestiaire et on rentre dans la première pièce. Jusqu’à maintenant, ça ressemble plutôt à n’importe quel club. Peut-être que les personnes sont habillées un peu plus sexy, mais ça reste assez pudique pour l’instant. On va au bar et je t’offre un verre. Déjà plusieurs personnes nous dévisagent, autant des hommes que des femmes. On est un peu mal à l’aise et je t’enserre la taille. C’est un message peu subtil, mais on est un couple et on n’a pas l’intention de se partager avec qui que ce soit d’autre. La majorité du monde arrête de nous dévorer du regard. Deux ou trois personnes semblent avoir trouvé mon geste un peu amusant. On boit tranquillement nos verres et on commence enfin à apprécier un peu plus la situation. On a quand même du culot de venir ici ! On a terminé notre premier verre et on regarde un peu ce qui se passe autour de nous. Il y a quelques d’éléments qui nous laissent croire qu’on n’est pas dans un bar habituel. Une fille avec des bas collants transparents trouver n’importe quelle excuse pour s’exhiber. Là elle vient de se pencher pour soit disant ramasser quelque chose par terre, mais c’est évident qu’elle veut juste montrer son g-string noir à tout le monde. Tu admets que son g-string et ses fesses sont plutôt jolies. Un gars avec une camisole un peu trop serré se promène avec une érection à peine cachée par son pantalon. Il reluque tous les gars, de la tête au pied, et il n’essaye même pas de s’en cacher. Il me regarde avec un petit sourire en coin et là, c’est à ton tour de m’enlacer très fort. Le message passe, le gars s’en va, mais seulement après m’avoir pratiquement violé du regard. On croise un jeune couple qui en rentré en même temps que nous. Les deux semblent un peu gênés. Ça n’empêche la fille dans le couple de ne pas avoir de brassière et c’est évident qu’elle est sur les « hautes ». Le gars lui donne une petite fessée. Bon, ce n’est pas si pire, je t’ai déjà fait ça à l’épicerie. Nos esprits commencent à s’échauffer. On est assis sur un haut cabaret au bar. Ma main glisse sur ta cuisse, mes lèvres se posent sur ton cou. Tu glisses ta main dans mon dos et tu descends dans mes pantalons. Tu touches le rebord supérieur de mes fesses pour t’assurer que j’ai bien respecté notre entente : aucun sous-vêtement. Je me lève devant toi. Je t’embrasse langoureusement, mes mains sur ta taille. Après un baiser qui dure au moins une minute, on décide qu’il faut passer aux choses sérieuses. On va dans la pièce d’à côté, beaucoup plus grande. C’est la piste de danse avec un DJ et un autre bar. Il doit y avoir entre 150 et 200 personnes dans la salle. Juste en rentrant dans cette pièce, je remarque qu’il y a beaucoup trop d’hommes à mon goût qui te regarde. En même temps, je ne devrais pas être surpris. Tu es sublime avec ta petite robe noire et tes talons hauts. Assez rapidement on se rend compte qu’on est parmi les personnes les plus habillées. La majorité des gars ont ôté leur chandail ou ils ont détaché leur chemise. Quelques-uns dansent même en boxers. Plusieurs filles dansent seulement avec une brassière comme haut. Tu te tournes vers moi et tu joues sensuellement avec trois de mes boutons de chemise. Tu glisses ta main sur mon torse. Maintenant, il y a peut-être un peu trop de boutons de détachés sur ma chemise pour que ça soit décent.
Ce n’est pas une ambiance d’orgie comme telle. Ça ressemble plus à du flirtage intense. Le monde se rapproche, se touche sur la piste de danse puis se sépare. Tu as l’air fascinée par la piste de danse. J’en profite pour me mettre derrière toi et t’enlacer. Je t’embrasse dans le cou et je remonte jusqu’à ton oreille. Je sais que ça te rend folle, donc je fais la même chose de l’autre côté. Mes mains sont sur tes hanches. Toujours dos à moi, tu glisses tes mains sur mon entrejambe et tu commences à me frotter. Je porte mes pantalons propres avec ma plus belle chemise. Le tissu des pantalons n’est pas très épais et je ne porte aucun boxer. On dirait que tu stimules directement ma queue. J’avais auparavant une demi-érection, probablement par gêne. Maintenant, mon érection est complète et très dure. La piste de danse principale est pleine. Ce n’est pas que du flirtage, mais bien du frottage intense que ce soit par en-arrière ou par en-avant. Au travers de la foule, on aperçoit de temps en temps une queue en érection, une paire de fesse ou une paire de seins qui bougent au rythme de la musique. Un homme danse seulement avec un string de cuir. Une fille porte un corset comme haut et nous ne sommes pas certains qu’elle porte quoi que ce soit d’autre. On commande un deuxième verre qu’on termine assez rapidement. Nos mains restent très baladeuses. Tu me lances un défi et je suis beaucoup trop excité pour refuser. On va dans un coin plus sombre, mais presque collé sur la piste de danse. Tu descends le zipper de mon pantalon. Je garde ma ceinture pour que mon pantalon reste autour de ma taille. En moins de deux secondes, ma grosse queue dure est à l’extérieur et à la vue de tous. Tu commences à me branler devant tout le monde.En toute honnêteté, on n’a pas l’impression que qui ce soit nous regarde. Les autres danseurs et exhibitionnistes sont beaucoup trop occupées de leur côté. Il y a une deuxième piste de danse, plus petite et surélevée. Elle est illuminée par des blacklights. Sur cette scène, il y a deux filles qui portent uniquement un g-string blanc et qui dansent comme si elles étaient dans un rave. Les deux filles sont couvertes de peintures avec des motifs qui allument dans le noir avec les blacklights. Tu te penches rapidement et tu mets ta bouche sur mon sexe. Tu la suce de long en large. Tu continues pendant 10 secondes, puis tu remontes. Tu continues à me masturber et on regarde tout les deux un gars qui est clairement en train de masturber une fille sur la piste de danse. Il doit avoir au moins trois doigts dans son sexe et la fille l’agrippe pour qu’il continue. Tu sens que mon gland commence à être vraiment mouillé et qu’il est temps de passer à autre chose. En toute honnêteté, ta chatte aussi doit être mouillée parce que je n’ai pas arrêté de caresser tes seins sous ta robe. Je rentre ma queue dans mes pantalons, mais ça ne sert pas à grand-chose, car elle parait quand même. On passe dans la dernière section du bar. Là, ça ressemble plus à un mélange des bars pornos à Montréal. Il y a de tout : tu mets ensemble le bar de danseuse Chez Paré, le cabaret à Mado mélangé à un bar gai du Village. Il y a des isoloirs, plusieurs rideaux assez transparents et beaucoup de lits à la vue de tous. On voit des hétéros qui baisent, des couples gais et lesbiennes sans gêne. On s’installe dans un coin un peu plus tranquille, mais où on a quand même une vue intéressante de « l’action ». Je m’assois sur un divan bas en cuir. Je n’enlève pas mes pantalons, je fais juste détacher ma ceinture pour tu te donner un accès plus facile. J’enfile rapidement un condom : tu ne veux pas avoir à courir aux toilettes quand je vais venir entre tes cuisses. Finalement, le moment que j’attends depuis trop longtemps. Tu soulèves doucement ta jupe et tu descends t’assoir sur moi, ton dos contre ma poitrine. Dans cette position, on peut tous les deux regarder les autres couples qui nous entourent. Bien entendu, tu prends bien soin de rentrer langoureusement ma queue dans ta chatte en descendant sur moi. Je ne me rappelle la dernière fois que ta chatte était aussi mouillée. J’ai l’impression que juste en t’installant sur moi, tu as mouillé mes pantalons. On est dans une position assez avantageuse : ta jupe couvre nos ébats et on a quand même accès au spectacle. Je commence doucement à te prendre par les hanches et à te soulever, puis à te redescendre. Je t’embrasse dans le cou. Tu me murmures à quel point ce qu’on est en train de faire c’est pervers. C’était mon idée, donc j’admets sans détour être un pervers qui aime te baiser dans n’importe quelles circonstances. En plein centre de la pièce, on a le trois à un spectacle digne du Village gai. Il y a trois gars qui sont en train de s’adonner au sexe sans aucune gêne. Le gars au centre est complètement nu à part ses souliers propres. En arrière de lui, un grand gars musclé est en train de le pénétrer. Celui-là a gardé son chandail et a seulement descendu ses jeans juste assez bas. Tout comme nous, il est venu sans sous-vêtement. On voit ses fesses et sa grosse queue qui défonce son partenaire. Ses coups de hanche n’ont rien de doux, mais l’autre gars n’a pas du tout l’air de s’en plaindre. En face du gars qui se fait enculer, il y a un type à genou qui est en train de lui faire une fellation. De notre angle, on ne le voit pas très bien, mais il semble complètement habillé. Je pense même qu’il est en veston cravate. Il a mis ses deux mains sur les hanches de « l’enculé » pendant que sa bouche englobe son sexe et le suce continuellement. On remarque que la majorité des personnes dans la pièce sont des couples. On voit une fille complètement habillé couché sur un divan comme le nôtre. Elle porte une jupe. Il y a clairement quelqu’un qui a sa tête entre ses deux jambes, mais c’est difficile de voir si c’est une fille ou un gars. En tout cas, cette personne-là semble savoir ce qu’elle fait : la fille n’arrête pas de bouger son bassin et c’est clair qu’elle va venir bientôt. Je sens que mon orgasme s’en vient. Je prends tes hanches plus solidement et je te fais aller sur ma queue encore plus vite. Tu glisses ta main entre ta jupe et tu commences à te frotter le clito : pas question que je vienne avant toi ! Sur une espèce de scène avec un poteau de danseuse, il y a un grand noir musclé complètement nu qui se déhanche. Il y a trois filles assises juste en face de lui. Il leur fait un show et il essaye de les convaincre de venir le rejoindre sur scène. Sa grosse queue noire est en érection et il l’exhibe sans aucune pudeur. Les filles semblent bien s’amuser, mais elles ne veulent pas le rejoindre pour l’instant. Il y a un au moins une d’entre elles qui a sa main dans ses culottes et qui regarde directement le sexe du gars. Je continue ma pénétration, plus profonde et plus rapide. Tu te frottes frénétiquement le clitoris en faisant des petits cercles. Après un certain temps, on entend le threesome d’homosexuel qui commence à être assez vocal. Les trois hommes sont décidément très bien synchronisés : à chaque fois que le type au centre se fait enculer, il avance un peu par avant et sa queue s’enfonce dans la bouche de l’autre. Malgré la musique forte du bar, on entend un des hommes gémir de plaisir. Je ne suis pas capable de dire si c’est l’enculeur ou l’enculé ou même les deux qui jouissent comme ça. Il y un couple plus discret dans un coin plus sombre. Ils sont assis un à côté de l’autre et c’est clair qu’ils sont tous les deux en train de se masturber. Je pense même qu’il nous regarder baiser. On revoit le couple qu’on avait croisé initialement dans la première pièce, celui où la fille était sur les « hautes ». Et bien là, elle est rendue à quatre pattes sur un divan, les seins et les fesses à l’air. Elle est dans la position de la levrette, ses fesses bien en vues pour tous. Son chum est derrière elle, la queue à l’air, mais il ne la fourre pas encore. À la place, il lui tape les fesses. Une fessée à droite, une fessée à gauche. Il lui liche le cul et la chatte, puis il recommence. Je suis à la limite de l’orgasme. Je te mords dans le cou et je t’enfonce jusqu’au fond. Tu cries pendant que je viens entre tes jambes. Je te garde enfoncer comme ça pendant au moins 5 secondes. J’arrête presque de respirer tellement que c’est bon, ma queue chaude qui se déverse complètement. Tu viens au même moment. Ta main libre agrippe ma cuisse et j’ai l’impression que tu m’enfonces tes ongles jusqu’au sang. Tu continues de gémir en orgasmant. Tu es tellement vocale que je suis convaincu que tu enterres les trois gais de tantôt. Après notre orgasme simultané, on s’affaisse sur le divan. On est complètement exténué. On se colle doucement et on reste comme ça pour un bon cinq minutes, simplement heureux d’être collé l’un contre l’autre. Finalement, on émerge un peu de notre torpeur et on remarque où l’on est. On rit un peu, on s’embrasse sur la bouche. J’ôte le condom qui déborde presque de sperme. On se rhabille subtilement. On a un petit regain de pudeur. On traverse les trois pièces en ne portant pas vraiment attention à ce qui se passe. On a eu assez de voyeurisme et d’exhibitionnisme dans notre soirée. On quitte le bar en se tenant la main et on se dirige vers l’auto. On a au moins dix minutes à faire avant d’être chez nous et de se border mutuellement. Ça devrait nous donner assez de temps pour se caresser aux lumières rouges…
