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C'est de la faute de Normand

Chapitre 1

Zoophilie
Nos enfants sont dans un camp de vacances de mon entreprise. Nous sommes dans le salon ou nous avons déplié le clic clac pour faire l’amour. En cette belle matinée, nous sommes nus. Après les baisers, le mélange de langues, nous avons commencé un adorable soixante neuf. Je suis allongé sur le dos, la tête au bord du matelas. Ma femme Marie, est au-dessus de moi, ses genoux encadrent ma tête, ses pieds dans le vide.
Je lui bouffe sa moule qui devient baveuse. Elle me lèche et tète ma queue. Soudain une grande langue vient se joindre à la mienne. En un éclair, je comprends que Normand, le chien bâtard que Marie a recueilli pour tenir compagnie à notre fox Lidie. La porte de la buanderie ne doit pas être fermée ?
Marie pousse un râle guttural sur ma queue. Je suis un imbécile, je devrais repousser le chien. Cependant, pour que Normand puisse me suppléer dans le léchage de moule. Je monte mes deux bras de chaque côté de ses hanches et plaque mes mains sur son dos pour maintenir Marie en place. Elle relève la tête. — NOON ! NON ! OON !Son NON ? Se termine par un râle de plaisir. Ensuite, elle replonge sa bouche sur ma queue, qu’elle avale entièrement. Plus Normand lui lèche la moule, plus elle pousse des râles de plaisir en aspirant ma queue.
Je suis aux premières loges, je vois la langue de Normand s’enfoncer un peu dans l’entrée de la moule de Marie qu’elle ouvre. La langue remonte aussi sur son anus, que je vois se contracter et se relâcher à chaque passage de la langue qui le mouille de bave.
Il faut que je vous dise, elle n’a jamais voulu pratiquer la sodomie. Par contre, elle me laisse lui enfoncer dans l’anus un petit plug anal vibrant avec un fil et un boîtier de commande. Lorsque nous faisons l’amour, pendant qu’elle jouit sous mes coups de langue, j’enfonce le petit plug qui rentre dans son anus détendu par la jouissance. Après l’avoir pénétré, je mets la vibration du plug sur cinq. Je sens les vibrations dans son puits d’amour et plus la jouissance monte dans ma queue, plus j’augmente l’intensité des vibrations. 
Cela augmente notre jouissance et quelques fois pendant son orgasme, je pousse avec mon majeur le petit plug qui rentre entièrement dans son boyau. Car dans l’orgasme, les muscles se relâchent. Heureusement qu’il y a le fil de la commande, ce qui me permet de retirer le plug une fois la jouissance retombée.
Donc, Normand me supplante dans le léchage de la moule et de l’anus de Marie. Je me rabats exclusivement sur son clitoris. Les non de Marie au départ ce sont vites transformés en râle de jouissance. Elle s’active sur ma queue, qu’elle avale plus profondément de plus en plus. Mon plaisir me submerge, il inonde sa bouche. Dans un orgasme qui explose dans le corps de Marie, elle avale ma queue avec ma jouissance, son nez s’écrase sur mes couilles qui sont remontées.
En jouissant, je remonte ma bouche sur le clitoris de ma Marie. Le museau de Normand à disparu ?Le temps que je réalise, deux pattes me griffent les avant-bras, la verge de Normand vient taper sur le périnée de Marie, car elle est déviée de sa cible par mon front. Dans l’ivresse de la luxure qui nous a envahi, les interdits tombent sen nous en rendre compte. Après avoir tapé brutalement à cinq ou six reprises pendant quelques secondes. Soudainement, elle s’enfonce sans ménagement dans son anus.
Marie mordille ma queue qui est encore dans sa bouche. Je vois cette verge s’enfoncer là où je n’ai jamais pu enfoncer la mienne. La verge de Normand est bien engagée, de telle sorte que Marie subit ses va-et-vient incessants et brutaux. On dirait que son anus l’avale, heureusement qu’il y a son nœud qui l’empêche d’aller plus profondément dans son boyau. Normand sodomise Marie avec entrain, elle recommence à jouir en râlant sur ma queue qui devant ce spectacle torride ne débande pas. 
Je sais que ma femme est une femme fontaine comme on dit. J’adore sentir la chaleur de sa jouissance sur ma queue et mes couilles. Là, c’est ma bouche et mon visage qui reçoivent sa jouissance, car, ah ça oui, elle jouit. Cela fait bien dix à quinze minutes que Normand la sodomise énergiquement. Marie en est à son troisième orgasme. Dans le relâchement musculaire de son orgasme, je vois l’anus de Marie s’enfoncer, ensuite, il avale le nœud pour venir se refermer sur le restant de la verge qui reste dehors. Le nœud est à présent dans le rectum de Marie.
Sous coup de l’intrusion, Marie en avale ma queue entièrement et la mord sans grande pression. Chose exceptionnelle pour moi, je jouis pour la deuxième fois dans sa bouche en peu de temps. Normand ne bouge plus, sa verge a complètement disparu dans les reins de Marie, j’ai ses couilles sur le dessus de mon front.
Je ne peux dire combien de temps la verge de Normand reste dans les entrailles de ma femme. Cependant, je vois le ventre de Marie se gonflé, je pense que s’est la quantité de la semence de Normand qui fait ça, qu’est qu’il doit lui mettre dans le boyau. Elle en a encore deux orgasmes, que je bois avec délectation. Je sens que les pattes de Normand remontent sur le dos de Marie. Je comprends qu’il veut se retourner, alors, j’attrape ses deux pattes avec mes mains pour le retenir.
Normand reste ainsi collé à Marie pendant au moins un quart d’heure, elle a encore deux orgasmes avant que je vois la verge de Normand être expulsée des entrailles de Marie. Là, je fais ce que je n’aurai jamais fait en d’autres circonstances, j’ouvre la bouche, car je reçois la semence et la jouissance des deux amants sur mon visage. Je ne me pose pas la question sur le sale ou le propre de la situation. J’avale tout ce que je reçois dans ma bouche.                    
C’est bien la première fois que je vois d’aussi près l’anus de Marie s’ouvrir et se refermer sporadiquement. Sa moule n’est pas en reste, elle ruisselle aussi. Je sens que Marie glisse deux doigts dans sa bouche à côté de ma queue incroyablement encore dure ? Je n’en reviens pas moi même. 
Ouche ? Marie vient de faire pénétrer un de ses doigts dans mon anus. Je plaque ma bouche grande ouverte sur sa moule. Elle resserre ses genoux à chaque côté de ma tête qui se trouve prise dans un étau. C’est deux doigts, à présent, qu’elle agite dans mon anus. Elle a toujours ma queue dans sa bouche. La masturbation de mon anus avec ses deux doigts me fait légèrement uriner dans sa bouche. Incroyable ? Elle avale ma miction.
Alors, moi, j’attrape son clitoris avec mes lèvres et je le mordille brutalement, elle aussi m’urine dans la bouche. Je fais comme elle, j’avale sa miction avec le restant de sa jouissance. Ensuite, elle se redresse et frotte son anus suintant de semence animal sur ma bouche et mon nez.Après quelques va et vient sur mon nez, elle se retourne et vient s’allonger sur moi. Nos bouches s’unissent, nous mélangeons nos langues et nos salives dans un baisé plein de passion. Au bout d’un bon moment, elle se détache de moi et roule sur la côté.
Ma femme reste longtemps immobile sur le clic clac. Elle a une expression étrange.Je suis allé faire du café et je me rince le visage au robinet de l’évier. De la cuisine, j’entends qu’elle fait couler un bain.Quand j’entre dans la salle de bains, elle est immergée dans un bain de mousse.Elle me regarde avec un sourire de petite fille qui a fait une grosse bêtise.Je la rassure d’un sourire et lui donne un baiser sur la bouche.
Après le déjeuner, nous parlons de cette extraordinaire expérience.Elle me raconte, comment la verge de Normand lui a donné des sensations absolument différentes de celui du plug que l’on utilise : - C’est plus pointu, plus long aussi. C’est chaud, visqueux, je le sentais très profondément dans mes entrailles. J’avais au moins une vraie bite dans mon ventre, pas une en plastique !Peu à peu, je me mis à ressentir de merveilleuses sensations, bien plus que celles que j’avais pu ressentir dans les moments où tu m’enfonçais le plug vibrant. 
— Je ressentais l’entrave de ses pattes avec tes mains sur mes hanches, son souffle chaud et haletant sur ma nuque et dans mes cheveux, le contact de sa salive sur ma peau, roulant sur mon épaule. Je ressentais la douleur intrusive procurée par sa verge et la brutalité de ses mouvements déterminés.Ce qui me m’excitait le plus à ce moment précis, était de sentir Normand se démener pour parvenir à faire rentrer son nœud dans mon boyau et que cela me faisait éprouver une obsédante envie de soumission. 
— Toi qui me suçais le clitoris, aspirais les lèvres de ma moule. J’eus un orgasme terrible et il en profita pour introduire son nœud dans mon rectum. Alors là ? Je l’ai senti dans mon boyau et dans mon ventre, je tremblais littéralement tant mon envie était grande et ma conscience se refusait à accepter ce désir proscrit que je t’ai toujours refusé. 
— Ma respiration s’accélérait et devenait de plus en plus brève, j’avalais ta queue entièrement, dans mes orgasmes, je voulais l’avaler complètement dans mon estomac. J’étais prête à faire n’importe quoi pour que l’explosion des orgasmes ne s’arrête pas. Lorsque j’ai senti la chaleur de sa semence se répandre dans mon ventre, tous mes principes et de mes valeurs morales s’effondraient avec une facilité déconcertante. La chaleur de sa fourrure contre mon dos me réchauffait les reins avec bonheur.
Tandis qu’elle me donne ces détails, je vois dans ses yeux un nuage rêveur que perce toutefois une lueur malicieuse. Elle dit :— C’est incroyable ! Je me suis fait enculer par un chien ? j’ai aimé ? j’ai joui ? Merci mon amour de m’avoir fait connaître ça. On recommencera ?— Tout ce que tu veux, ma chérie, mais promets-moi une chose, celle de ne jamais avoir de relations avec Normand en dehors de ma présence.— Tu as ma parole mon amour. Je boirai encore ton urine comme t’as bu la mienne si la situation se représente.
Ses explications me font bander dur. Elle me fait venir à elle, avale complètement mon sexe et me prodigue une fellation mémorable, je me vide les couilles dans son gosier, elle avale mon sperme jusqu’à la dernière goutte et laisse se dégonfler ma bite dans sa bouche.— J’ai encore envie, mais d’être prise normalement, tu crois que Normand se laissera faire ? Lidie va être jalouse de sa maîtresse.— Tu m’excites de plus en plus, tu deviens vraiment vicieuse. Essayes, on verra bien, qui ne tente rien n’a rien, tu me suceras pendant qu’il te prendra la moule ?
Je m’appelle Louis, j’ai trente six ans et je suis marié à Marie, trente cinq ans depuis dix ans maintenant. Nous sommes heureux en ménage, nous avons une sexualité parfaitement équilibrée avec un peu piment histoire de ne pas tomber dans la routine. Mais là, la scène paraissait totalement irréelle, nous avions perdu toutes nos inhibitions pour laisser faire un accouplement pareil.À ce moment-là, j’ignore encore ce que cet événement va changer en nous.
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