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Est-ce de l'inceste

Chapitre 1

Hétéro
Est-ce de l’inceste ?Première partie.

Quand j’avais une quinzaine d’années, ma mère est décédée dans un accident de la route alors qu’elle revenait d’un séminaire professionnel avec une collègue de bureau. Je me suis retrouvé seul avec mon père qui, de son côté, avait une très bonne situation qui nous permettait du vivre confortablement dans une belle et grande maison dans un quartier chic de la ville.

Les premiers temps ont été durs à vivre... L’un comme l’autre nous n’arrivions pas à surmonter le chagrin qui nous envahissait à chaque fois que nous regardions un portrait de Maman. Puis un jour où nous avions parlé avec mon père de cette perte brutale, nous avons convenu que le souvenir, c’était dans le cœur que nous devions le garder... Depuis ce week-end, les quelques portraits et photographies de Maman qui ornaient les murs de la maison ont été enlevé et remplacés par des gravures.

Les mois ont passé... puis une année... la maison était toujours aussi triste... Puis, nous avons été invités au mariage de Stéphane, un collègue et ami de mon père. Je l’ai toujours plus ou moins considéré comme un grand frère, même s’il avait près de quinze ans de plus que moi... Ce devait être le premier événement joyeux auquel nous allions participer.

Quelques semaines avant la cérémonie, Stéphane est passé un soir à la maison pour nous annoncer une bonne nouvelle... La cavalière qu’il avait pressenti pour mon père venait de lui confirmer sa présence et j’aurais moi aussi une cavalière en la personne de sa fille unique. En se tournant vers moi Stéphane m’a confié :— Tu verras, Géraldine est un peu plus âgée que toi mais je suis sûr que vous allez vous entendre... C’est une fille pleine d’entrain et d’énergie.

Le jour du mariage j’ai fait la connaissance de Géraldine et de sa mère Gisèle. Nous nous sommes tout de suite bien entendus et selon certaines personnes de l’assemblée, nous formions un joli petit couple. Lors du banquet, nous ne nous sommes jamais quittés, dansant toute la soirée, bavardant comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

A 20 ans Géraldine était ce qu’on peut appeler « une belle plante »... Avec ses talons, elle était aussi grande que moi qui mesure 1 m 75 ! Brune très typée méridionale, elle était coiffée d’un chignon décoré de petites fleurs blanches... Elle a des grands yeux verts qui éclairent un visage ovale un peu mat, un petit nez droit et des lèvres pourpres. Elle a une silhouette longiligne de sportive mais ce qui m’a frappé ce jour-là, c’est l’ampleur de sa poitrine... Elle m’a d’ailleurs confié en aparté que cela la gênait pour diverses raisons mais la principale, c’était le regard des hommes qui ne voyaient que cela d’elle !

Nous nous sommes revus à plusieurs reprises comme deux bons copains... Puis un jour, mon père m’a dit que nous allions retrouver Gisèle et sa fille dans un restaurant chic de la ville...Alors que nous en étions à l’apéritif, mon père et Gisèle nous ont annoncés qu’ils avaient une grande nouvelle et que c’était ce que nous fêtions... Gisèle et Géraldine allaient venir s’installer à la maison ! Gisèle a poursuivi en disant :
— Je ne veux pas prendre la place de ta mère... Avec ton père, nous nous sommes bien entendu lors du mariage de Stéphane et je pense qu’il en a été de même pour toi et Géraldine.

Je m’expliquais mieux les absences nocturnes de mon père... Il a poursuivi en disant que Géraldine serait un peu la sœur que je n’avais jamais eue... Une grande sœur plus âgée d’environ deux ans.

C’est au cours du week-end suivant qu’elles sont venues s’installer à la maison. Gisèle et mon père se sont installés dans la chambre conjugale et Géraldine s’est installée dans une des chambres de l’étage. Nous avons rapidement trouvé nos marques. A ce moment, je ne savais que peu de choses sur Gisèle mais j’ai appris qu’elle était mère célibataire, ayant réussi à élever seule sa fille tout en faisant une belle carrière dans l’entreprise qui l’avait embauchée à l’issue de ses études universitaires.

Bon sang ne saurait mentir... Géraldine, après avoir obtenu son bac à de seize ans tout juste venait d’enchaîner deux années à l’Ecole des langues orientales avant de faire une première année dans une prestigieuse école de journalisme. Quant à moi, je ne savais pas quelle voie choisir et je me trouvais en Terminale S... à quelques semaines de l’examen... A 18 ans, ce n’était pas très glorieux à côté du parcours de Géraldine...

Comme je l’ai déjà dit, Géraldine s’est installée à l’étage dans une des quatre chambres... Comme habituellement, je me servais de la salle de bains plutôt que du cabinet de toilette où il n’y avait qu’une douche et un lavabo, je lui ai offert de lui céder ma place :— Oh non... Nous pouvons bien partager la salle de bains... Je ne veux pas te chasser !— D’accord... si cela ne te dérange pas, c’est tant mieux !

Le mois de juin s’est passé comme un enchantement... Nous nous confions nos petits secrets de grands adolescents, nos amourettes, nos déceptions... mais aussi, Géraldine me faisait réviser mes cours pour l’oral... Pour les épreuves écrites, je n’avais pas trop de soucis à me faire.Alors que je pensais que nous passerions nos vacances tous les quatre sur la Côte d’azur, elle a décroché au dernier moment un stage de deux mois dans un journal local situé à Rennes... C’est donc par un SMS que je lui ai annoncé que j’avais mon bac avec une petite mention... mais l’essentiel est de l’avoir !Nous sommes donc partis à trois après le 14 juillet... Nous passerions les trois semaines suivantes dans un mas situé dans l’arrière pays niçois que le frère de mon père nous prêtait pour cette période... Il prendrait la suite avec sa famille et m’offrait de rester quelques jours avec mes cousins et cousines que je ne voyais pas souvent...Ces semaines m’ont permis de mieux connaître Gisèle qui m’avait « adopté » comme un fils, sa gentillesse bienveillante mais ferme vis-à-vis de moi me plaisait... elle me confiait que sa vie n’avait pas toujours été facile, que cet amour d’été au cours duquel Géraldine avait été conçue avait pesé lourd dans sa vie car elle avait été rejetée par ses parents, qu’elle avait du se débrouiller seule, travaillant pour financer ses études... Elle me disait que je devais d’abord penser à mon avenir... Bref, je retrouvais un peu ma mère en elle.

Nous étions au calme, nous partagions notre temps en visites touristiques de cette merveilleuse région, en longues séance de farniente au bord de la piscine... Nous n’avions pas besoin de descendre sur la Côte avec la circulation infernale des estivants et la promiscuité sur les plages. Par contre, lorsque mon oncle est arrivé avec sa famille, il fallu oublier la quiétude des lieux... Il y avait des jumeaux de mon âge et deux filles de 17 et 15 ans... Désormais, je partageais la chambre avec les jumeaux et les filles dormaient seules dans deux chambres petites et séparées au même étage.

Au cours de ma dernière semaine, nous avons été rejoints par Julia, une copine de lycée de l’aînée des filles qui venait pour quelques jours. Cette dernière était plutôt délurée, elle fumait cigarette sur cigarette, buvait de l’alcool alors que nous ne buvions que de l’eau ou des sodas...Je me suis souvent demandé si elle ne profitait pas de ces vacances pour échapper au contrôle parental ?A bord de la piscine, elle portait des bikinis des plus réduits qui n’avaient pas grand-chose à masquer tant elle était pratiquement sans poitrine... Elle me demandait souvent de lui passer de la crème solaire... bref, elle m’aguichait outrageusement... si bien que le dernier soir lors de la promenade digestive dans la pinède, nous nous sommes laissé distancer par les trois autres. J’avais envie de lui dire ce que je pensais de son attitude mais en fait il n’en a rien été... Elle s’est littéralement jetée à mon cou en disant :— Baise-moi vite fait... Je suis en manque de bite et ce ne sont pas tes bêtas de cousins qui me satisferont. Viens, prends-moi debout contre un arbre.

Aussitôt elle a sorti un préservatif de la poche de son minishort d’une main pendant que l’autre massait mon pubis pour faire dresser mon sexe... Puis elle s’est penchée, a baissé mon caleçon et a embouché ma bite... Waouh ! Quelle furie ! Les quelques aventures que j’avais déjà eues avaient été bien plus calmes... mais comme je n’avais plus fait l’amour depuis plusieurs mois, il n’a pas fallu longtemps pour que je bande comme un taureau tant elle savait y faire avec sa bouche. Elle m’a couvert elle-même en me redisant haut et fort :— Vas-y sans préparation, j’aime bien quand c’est violent...— OK... mais tu vas la sentir passer... tu as vu la taille...— Oui... mais j’en ai déjà vu d’autres... Vas-y ! Bourre-moi !
Elle a baissé vivement son short, le laissant au niveau des genoux puis elle s’est tournée, a appuyé ses avant bras contre un pin en répétant de la prendre violemment... que c’était un coup vite fait, sans lendemain, juste une envie de sexe pur et dur !C’est vrai que dans le clair obscur qui régnait dans le sous bois, ses fesses blanches m’attiraient... Julia m’avait suffisamment allumé depuis le début de la semaine que j’allais lui donner ce qu’elle voulait ! Dès que mon sexe a trouvé sa place entre ses fesses, Julia a cambré les reins et je l’ai embrochée vivement... C’est ce qu’elle souhaitait ! Son sexe était chaud et humide... Si au début, je suis allé doucement pour la pénétrer, comme elle m’encourageait à aller plus fort, je me suis déchaîné en la baisant à longs traits, sortant de son sexe à chaque fois pour y replonger en faisant claquer mon pubis contre ses fesses rondes et fermes jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un feulement rauque, presque en même temps que moi !Dès que je suis sorti de son sexe, elle s’est retournée en disant :— Merci... C’était le pied !

Nous nous sommes rajustés peu de temps avant que les cousins ne reviennent vers nous... Ils nous ont chambrés quand Julia leur a dit qu’elle s’était tordu la cheville et nous sommes redescendus vers la maison. Pour donner le change, Julia marchait en clopinant et en s’appuyant sur moi... mais je crois qu’aucun n’était dupe.

Après une nuit quelque peu agitée où je repassais en rêve ce qui s’était passé avec Julia, je ne suis aperçu que ce n’était pas elle qui peuplait mon rêve érotique !C’était Géraldine...Je la voyais déambuler autour de la piscine, me mettre son opulente poitrine sous le nez comme pour me narguer comme l’avait fait Julia au cours de la semaine.Lorsque je me suis réveillé en sursaut, je me suis aperçu que je bandais et que je me caressais d’une main... J’étais proche de la jouissance et je me suis laissé emporter en pensant à Géraldine...L’après-midi même, je prenais l’avion pour regagner Paris...

Deuxième partie.

Il ne me restait plus qu’une dizaine de jours avant la rentrée dans une école de commerce de la rive droite... Je tournais dans la maison comme une âme en peine puisque mon père et Gisèle avaient repris leur travail. Je n’arrêtais pas de penser à Géraldine...Qu’avait-elle fait pendant ces deux mois... avait-elle trouvé un flirt pendant ce temps...Certes elle avait donné de ses nouvelles mais surtout parlé de ce qu’elle faisait au cours du stage... Elle trouvait ce métier de journaliste passionnant... toujours sur les routes pour aller au contact des événements et des estivants.

Lorsqu’elle est revenue à la maison début septembre, j’ai pu voir qu’elle avait bronzé presque autant que moi... Je l’ai taquinée en disant qu’elle avait trouvé du soleil en Bretagne :— Tu ne sais pas si bien dire... La réputation de mauvais temps est fausse... J’ai eu du soleil presque tout le temps... Et toi, raconte ces vacances...— Bof, finalement ce n’était pas terrible... Les cousins sont de grands benêts qui ne pensent qu’à chahuter et à se dorer la pilule au bord de la piscine !— Mais encore ? Pas de rencontre,J’hésitais à répondre :— N... Non...Devant mon embarras, Géraldine insistait :— Toi mon coquin, tu caches quelque chose !— Non, il n’y a rien à raconter.Nous en sommes restés là.

Nous avons repris nos habitudes... à l’étage, nous nous sentions libres aussi, je me baladais souvent en boxer pour aller de ma chambre à la salle de bains et il arrivait souvent à Géraldine d’en sortir simplement enveloppée d’une grande serviette de bain ou d’un paréo dans lequel elle était certainement nue... Cela n’arrangeait pas mes nuits... car mes rêves érotiques me poursuivaient : presque chaque nuit, je me voyais faire l’amour à Géraldine et le matin, je me réveillais dans un lit dévasté, le sexe en érection... C’était très perturbant et très frustrant à la fois. Depuis que j’avais baisé Julia, ma libido ne me laissait aucun répit mais c’est toujours vers Géraldine que mon esprit revenait !Un matin, tout a basculé... Comme d’habitude, je me suis réveillé le sexe bandé... J’ai aussitôt pensé à aller prendre une douche froide et je me suis précipité dans la salle de bains. Moins d’une minute après, la porte que j’avais omis de verrouiller s’est ouverte sur Géraldine :— Que se passe-t-il ? Tu es malade ? Tu m’as réveillée !Je tentais vainement de masquer mon érection mais elle a continué :— Oh... Ce n’est que ça...J’étais de plus en plus gêné par le fait que Géraldine me découvre ainsi et qu’en même temps la vision de ses seins libres sous la nuisette transparente ne faisait qu’augmenter ma bandaison... Ce qui m’a achevé, c’est quand elle a dit :— Bel engin... Dis donc, tu es monté comme un taureau ! Laisse-moi voir de plus près.Elle s’est approchée et en tendant une main vers mon sceptre, elle a ajouté :— Tu dois rendre les filles heureuses... Laisse-moi toucher... Il y a bien longtemps que je n’ai plus eu ce plaisir !Et là, elle a commencé à me masturber lentement, une main s’occupait de mon mat et l’autre caressait mes bourses...— J’apprécie ce que tu me fais mais je suis gêné... — Ne t’inquiète pas, ce sera notre secret... Nous n’irons pas le chanter sur tous les toits...— Sois tranquille, je ne dirai jamais rien !

J’étais de plus en plus excité... la vue de l’opulente poitrine qui se balançait sous mes yeux m’obnubilait et je ne pouvais m’en détacher...Soudain Géraldine s’est baissée et cessant ses caresses manuelles, elle a embouché mon sexe...Elle a d’abord pris le gland dans sa bouche puis bientôt, elle avait avalé plus de la moitié de mon sexe...Waouh ! Que c’était bon... c’était ma seconde fellation en peu de temps ! Et je me laissais faire... Géraldine allait en venait sur mon vit, l’enduisait copieusement de salive, titillait le méat du bout de sa langue quand elle le sortait en face de ses lèvres avant de le plonger à nouveau dans cette bouche chaude et goulue... Quelque temps plus tard, elle a repris ses caresses manuelles jusqu’à l’éjaculation qu’elle a recueillie dans une serviette en disant :— Maintenant tu es soulagé... J’espère que cela t’a plu !— Oh oui ! C’était merveilleux... c’était ma seconde pipe... ça m’a toujours fait fantasmer !— Maintenant prends ta douche vite fait... Je te suis dans 10 minutes !

La matinée s’est passée comme dans un rêve... J’entendais la musique en sourdine dans la chambre de Géraldine et je repensais à ce que nous avions fait... L’après midi, nous sommes sortis ensemble... L’un et l’autre nous voulions acheter des vêtements pour la rentrée. Nous nous donnions mutuellement des avis sur ce qui nous faisait envie. Lorsque nous somme rentrés à la maison, les parents venaient d’y arriver également... Repas du soir, papotages divers et essayage des nouveaux vêtements se sont enchaînés jusqu’aux environs 22 heures quand nos parents nous ont congédiés :— Les enfants, demain, nous allons travailler... vous, vous pouvez encore flemmarder...

Lorsque nous sommes arrivés à l’étage Géraldine m’a dit doucement :— Ne fais pas de bruit... Viens dans ma chambre... J’ai quelque chose à te montrer et j’ai besoin de ton avis. Mais avant, tu vas me dire qui t’a déjà sucé !Je l’ai suivie et dès que la porte a été refermée, elle m’a relancé si bien que je lui ai raconté tout ce qui s’était passé dans la pinède.Ensuite, elle est allé fouiller dans un tiroir et en a sorti un gode... Je n’ignorais pas ce que c’était, je n’étais pas naïf à ce point et j’étais étonné qu’elle en ait un !— Regarde ce que j’ai acheté quand j’étais en Bretagne ! Il est presque aussi gros que ta bite !Elle me l’a tendu... C’était un objet en bois, très lourd, travaillé artistement avec des veines en relief comme un vrai sexe... Je l’ai regardé puis je lui ai rendu son sexe factice :— Ne me dis pas que cela te suffit... Tu sembles avoir bien plus d’expérience que moi... Normal, tu as presque trois ans de plus... Les hommes doivent te tourner autour !— Non, ils ne sont pas nombreux ceux qui ont eu le privilège de me conquérir et puis... lorsque je suis trop en manque, je sais comment me soulager... c’est pour cela que j’ai plusieurs godes à ma disposition... Celui là, c’est ma dernière acquisition. Je vais l’étrenner devant toi !Après ce qui s’était passé ce matin dans la salle de bains, je n’étais plus qu’à moitié étonné... La jupe et le sweatshirt ont volé en une fraction de seconde et Géraldine m’est apparue dans toute sa splendeur...Ses seins était pris dans un robuste soutien-gorge mais en bas, elle ne portait qu’un minuscule string de dentelle qui avait bien du mal à masquer la touffe de poils pubiens...Elle s’est allongée sur son lit après l’avoir ôté.L’avait-elle fait exprès ? Un des spots du plafond éclairait juste son sexe qu’elle a entrouvert avec deux doigts...Elle a humecté l’extrémité du gode dans sa bouche puis, doucement, elle l’a introduit dans son sexe... C’était chaud ! Lentement puis de plus en plus vite, elle faisait aller et venir ce sexe artificiel dans son intimité... Je ne pouvais m’empêcher de repenser à la dernière fois où j’avais fait l’amour dans un lit avec une fille légèrement bourrée (comme moi d’ailleurs) lors de la surprise partie d’anniversaire d’un copain de lycée...Je voyais sur le visage de Géraldine la montée de son plaisir, son corps ondulait sous la caresse quand soudain la délivrance est arrivée... Elle s’est visiblement efforcée de ne pas l’exprimer haut et fort mais elle a avoué en retrouvant son calme :— Oh, que ça fait du bien... il y a des mois que je n’avais pas joui aussi intensément !— Tu étais si belle...— Oui... En plus je repensais à ta queue en imaginant que c’était elle qui était en moi... mais ce n’est qu’un rêve impossible.Aussitôt après, j’ai regagné rapidement mais discrètement ma chambre... Je ne voulais pas que Géraldine me voit dans l’état où j’étais... Mon sexe était de nouveau en érection comme le matin ! Je me suis masturbé rapidement avant de me coucher mais ça n’avait rien à voir avec la fellation de ce matin.

La rentrée était déjà loin... Les matins nous n’avions guère le temps de nous attarder pour aller prendre le bus ou le métro pour nous rendre au centre de Paris. Le soir, je devais remettre mes notes de cours au propre ce qui fait que je ne tardais pas à regagner ma chambre après le repas. Très souvent mes nuits étaient perturbées par des rêves érotiques dans lesquels je retrouvais Géraldine ou Julia, parfois les deux... Ces matins-là, je me précipitais sous la douche pour évacuer la pression...C’est un samedi matin que nous avons franchi une nouvelle étape... J’avais flemmardé jusqu’aux environs du milieu de matinée lorsque je me suis levé pour aller à la salle de bains. Au moment où j’allais ouvrir la porte, Géraldine en est sortie enroulée dans un drap de bain... Nous nous sommes heurtés et la serviette qui était simplement nouée sur sa poitrine est tombée au sol... Je voyais Géraldine intégralement nue pour la première fois... Mon Dieu, qu’elle était belle ! Elle m’a pris par la main en disant :— Entrons vite dans la salle de bains... soyons discrets.

Elle n’a rien fait pour se couvrir et j’ai vu son regard plonger vers mon boxer pendant que le mien était irrésistiblement attiré par ses seins... Je me suis mis à bander aussitôt au point que mon gland dépassait de la ceinture du boxer.— Waouh ! Il ne te faut pas longtemps pour être au mieux de ta forme !— Excuse-moi... mais tu es si belle que je ne peux m’empêcher de bander pour toi !— Sois tranquille, petit frère, je pense souvent à ta belle queue !

C’était la première fois qu’elle m’appelait ainsi, peut être pour désamorcer la situation entre nous mais ce qu’elle avait ajouté me faisait douter. Puis elle s’est agenouillée devant moi, a fait glisser mon boxer jusqu’au sol et s’est emparé de mon sexe dressé comme un I devant mon pubis. Comme la première fois elle l’a masturbé à la main avant de l’introduire dans sa bouche. De mon côté, j’ai tendu une main pour caresser ses seins... les tétons sont immédiatement sortis, preuve qu’elle était réceptive à ma caresse. Je les ai fait rouler entre me doigts jusqu’à ce qu’lle dise dans un souffle :— Continue... C’est bonPuis elle a repris sa fellation en enduisant copieusement de salive mon sceptre de chair qu’elle a placé entre ses seins...— Tu vas voir, ce sera aussi bon qu’une pipe !— Je sais... tu vas me faire une branlette espagnole !— Oouuiii !

Je ne savais plus que faire de mes mains car Géraldine avait pris possession de sa poitrine et faisait coulisser mon sexe dans le sillon mammaire, se penchant parfois pour déposer un baiser sur le gland quand il arrivait à portée de sa bouche... C’était divin... si bien que je n’ai pas tardé à me répandre abondamment sur le haut de son buste, sur son visage. De sa main gauche, elle a ramassé quelques traînées de sperme qu’elle a portées à sa bouche :— Hummm ! Tu as bon goût mon coquin.— Je ne sais pas qui est le plus coquin des deux !— ça me va bien ! Embrasse mes seins... tu en baves d’envie !

Nous nous efforcions de rester discrets car nous ne voulions pas que nos parents découvrent quels liens coquins nous unissaient... C’est ainsi que le matin, lorsqu’il nous arrivait de nous croiser au sortir de la salle de bains Géraldine lançait une main vers mon entrejambe et le tâtait en disant :— Bonjour beau membre... En forme ?Immanquablement cela me faisait dresser d’autant que Géraldine me laissait effleurer ses seins, m’offrant même parfois d’embraser les tétons.

Mais je crois que c’est lors du week-end dernier que nous sommes allés le plus loin. Le vendredi, nous avions veillé jusque vers minuit avec Gisèle et mon père en attendant le retour de Géraldine.Elle avait décroché un poste de pigiste dans une petite publication locale qui l’occupait trois heures deux fois par semaine. Comme elle l’avait dit, cela ferait une ligne de plus sur son CV ! Le lendemain, les parents devaient partir assez tôt pour un rendez-vous à quelques heures de Paris.Au moment où je sortais nu de ma chambre, Géraldine est sortie de la sienne en nuisette transparente, une peu comme si elle m’avait guetté :— Salut mec ! Bien dormi ? Es-tu en forme ce matin ?— Oui... Pourquoi ?

Je faisais l’innocent mais je savais ce qu’elle avait en tête... Elle avait envie de s’amuser avec ma queue puis ensuite de se faire jouir avec un de ses jouets (comme elle les appelait).— Viens dans ma chambre !— OK, je te suis !

Dès que la porte a été refermée Géraldine s’est débarrassée de sa nuisette et m’est apparue dans toute sa splendeur !— Regarde de plus près... Je suis passée dans un institut de beauté pour faire tailler mon buisson.

Effectivement, elle avait fait tailler sa toison en triangle, plus aucun poil ne dépassait !— Pas mal du tout ! C’est génial ! Viens, nous allons l’inaugurer !

Elle s’est allongée sur son lit en m’invitant à me placer au-dessus d’elle en position de 6 9 pour que je lui fasse un cunni pendant qu’elle me taillerait une plume... Sitôt dit, sitôt fait... J’avais sous les yeux son pubis que je voyais en gros plan... Ce n’était pas la première fois... Je distinguais ses lèvres intimes encore fermées entre lesquelles j’ai osé aventurer un doigt puis deux. Lorsque je les ai fait aller et venir, les nymphes se sont ouvertes et j’ai pu débusquer son bourgeon... Après avoir joué quelques minutes avec ma queue déjà bien raide, elle m’a dit avant d m’emboucher :— N’ai pas peur... Mets-y ta langue et lèche-moi pendant que je te suce...

Ho... que c’était bon... et très excitant... Nous avons accordé nos caresses et au bout de quelques minutes nous sommes arrivés à la jouissance. Géraldine mouillait abondamment et quand j’ai giclé sur ses seins elle les a massés avec mon sperme. Nous étions bien... nous sommes restés enlacés sur son lit pendant un long moment puis elle m’a dit :— Profitons, les parents ne sont pas là, prenons notre douche ensemble !— Tu crois ?— Tu es bête... c’est l’occasion où jamais... Nous sommes seuls !— OK. !... Oh oui ! Je veux bien !Cette douche en commun a été l’apothéose de cette matinée... Nous nous sommes enduits mutuellement d’une abondante mousse odorante puis nous nous sommes caressés, frôlant les parties sensibles sous la pluie tiède du jet. Séchés, nous sommes retournés dans la chambre de Géraldine où nous avons fait un nouveau 69 mais c’est elle qui a choisi la position dominante qui m’a permis de bien jouer en même temps avec ses seins...D’un commun accord, nous avons décidé que nous n’irions jamais plus loin... Même si nous n’avons pas de lien de sang, pour nous il n’est pas question de baiser ensemble...
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