Quelques jours après, nous prenons l’apéritif à la terrasse d’un des plus grands hôtels de Genève. Nous sommes cinq, Patrick, Sergi, Philippe, Cathy, la fille que j’ai rencontrée au club quand je ’recrutais’ Sergi et moi-même. C’est Patrick qui aborde le premier l’objet de notre réunion. « Voilà, ce que j’ai à vous dire est confidentiel, évidemment ! » Et Patrick a commencé à nous raconter son histoire... « J’ai épousé Sandra par amour il y a 13 ans et je pense que c’était réciproque. Au début. Et puis l’année dernière, le jour de notre anniversaire de mariage, je devais rentrer de voyage le lendemain mais, j’ai fait le maximum pour rentrer plus tôt. Je n’aurais pas dû ! En arrivant chez moi, j’ai pu constater que dans mon lit, il y avait ma femme, Sandra, mais que l’homme qui lui donnait du plaisir n’était pas moi mais quelqu’un que nous connaissions, un ami proche. Alors, avant de rentrer dans notre chambre, j’ai imaginé plusieurs scénarii. Le plus radical, je les butais tous les deux avec mon pistolet militaire. Le deuxième, je faisais venir la femme de notre ami et je la baisais devant eux sous la menace ou non de mon pistolet et puis, finalement, j’ai décidé d’attendre et de mûrir ma vengeance. » Tout le monde était un peu scotché et attendait la suite parce qu’on était pas exactement en train de devoir émoustiller une épouse consentante.... « Depuis ce jour, j’ai utilisé les services d’une société qui se charge d’enquêtes privées (ESP) et j’ai découvert qu’à chacun de mes voyages, je pars en moyenne une semaine par mois en extrême-orient, elle sortait au moins une fois dans la semaine, rejoindre des hommes qui venaient également assez régulièrement à la maison, pas seulement pour profiter de la vue que nous avons sur le lac. »« Vous dites ’des hommes’, il y en avait plusieurs ? »« ESP en a identifié au moins deux en plus de notre ’ami’..... »« Madame est espiègle et gourmande ! »« Philippe, tais-toi, tu veux ? »« Il a raison, Madame est espiègle et gourmande mais inconsciente de risques qu’elle courre si on divorce. »« Ah oui ? »« Oui, si on divorce, j’ai les moyens de la faire renvoyer dans son pays d’origine où elle ne sera sûrement pas très bien accueillie. Je lui paierai le billet de retour en Biélorussie avec plaisir ! »« Mais alors, Patrick, le déroulement de votre projet, c’est quoi ? »« Mon projet c’est d’abord de simuler un voyage. Ce n’est pas difficile. Ce sera sûrement dans deux semaines. Ensuite, ESP m’alertera de toute présence indésirable chez moi. ESP m’a fait installer une sorte de mouchard sur le laptop de Sandra donc on devrait savoir à l’avance quand un de ses amants doit arriver et lequel. En général, ça se passe en soirée mais dès qu’ESP nous alerte, on doit intervenir. Vous devez intervenir. Je pars en général le dimanche mais le dimanche soir, il ne s’est jamais rien passé mais vous devez être prêt dès le lundi. Bon, en général c’est rare qu’elle se contente d’un seul dans la semaine mais on essaye de régler ça au plus vite . »« Ah oui ? Et notre intervention consiste en quoi ? »« Simple ! Vous vous rendez sur place, Elena, Philippe et Kevin interviennent par surprise, maîtrisent le monsieur, Cathy, compte-tenu de vos compétences, vous filmez la scène, et après.... » « Oui ? Et après ? »
« Après ? Après, vous..... » Il nous a expliqué en détail comment il voyait les choses. Il nous a remis à chacune et chacun un dossier avec photos, historiques et m’a laissé un sac avec le matériel nécessaire au bon déroulement de l’opération : le faux revolver, le caméscope, menottes, gel, plugs, préservatifs, Viagra... Il ne nous restait plus qu’à attendre ! ..................................................................................... On a attendu.... Jusqu’au mardi, 19h13 ! Chacun a reçu un SMS nous prévenant de l’arrivée de Kevin. Apparemment, d’après son dossier ESP, Kevin, c’est plutôt un jeune, 23 ans, sportif, qu’elle a connu justement à la gym, le genre toyboy, qu’elle doit mener à la baguette si je puis dire. Bref, une demie-heure plus tard, on se retrouve en bas de chez Patrick qui nous fait rentrer par la porte de service à l’arrière de la maison. On pénètre dans le bureau qu’il s’est aménagé et le plus silencieusement possible on se prépare. Robes légères pour les filles, T-shirt et boxer pour les garçons, pieds nus, Cathy vérifie le caméscope, Sergi prend en main le faux pistolet, je m’assure que tout est OK, je présente à Sergi et Philippe le viagra. Philippe me sourit et me dit : « On verra plus tard ! Là, ça devrait aller. Tu veux vérifier ? »« Non, plus tard aussi ! »Patrick s’est assis et met un casque sur les oreilles.... « Ils ne sont pas encore au lit.... On doit attendre ici.»« On entend ce qu’ils disent ? »« Oui, la qualité n’est pas très bonne.... Mais on comprend quand même.... Là, ça y est, ils arrivent.... Kevin propose à Sandra des trucs un peu nouveaux pour ce soir.... »« Ah cool, ça va être sympa ! » ironise Sergi.« Elle dit.... Qu’elle veut d’abord le sucer..... Désolé mais on doit attendre..... Ah ça y est, apparemment Kevin doit bander assez et être prêt à la sauter.... Chut ! ..... Ah oui, cool, il vous facilite la tâche ! Il veut lui attacher les mains.... Oui..... au barreaux de la tête du lit..... et elle, elle lui demande un bandeau sur les yeux ! »« Bien la peine d’amener des menottes ! » ajoute Cathy. J’ajoute que pour Kevin, ce ne sera pas inutile. Je m’assure que tout le monde est prêt parce que ça chauffe là-haut. « Ca y est j’ai entendu le bruit des menottes ! Vous pouvez y aller ! A toute à l’heure !» lance Patrick. Ca y est, c’est parti, on se lance silencieusement dans l’escalier et on se positionne de part et d’autre de la porte de la chambre. La porte est grande ouverte, c’est sûr qu’ils n’attendent pas notre visite. La lumière est éteinte mais ce qui filtre au travers des rideaux suffit pour deviner ce qui se passe. Et puis il y a aussi une bougie d’allumée qui confère à la scène un aspect un peu bordel’ mais c’est plutôt adapté. Et Sandra qui n’arrête pas de dire que c’est bon et qu’il doit continuer.Alors comme dans les polars, au moment d’investir l’appartement des truands, je donne le signal avec un puis deux puis trois doigts. Sergi rampe à droite du lit avec le faux pistolet, Philippe rampe à gauche avec les menottes....En moi-même, je rigole, quand je me remémore la scène ! Je n’aurais jamais cru assister un jour à un tel spectacle !Quand ils sont proches de la tête du lit, je lance « Quatre ! » tout fort. Alors, j’allume la lumière, Sergi se redresse d’un bond, prend Kevin par le cou en appuyant de toutes ses forces et pointant le revolver sur sa tempe, il hurle aux oreilles de Kevin: « Mains dans le dos, on ne bouge plus ! » Kevin s’écroule carrément sur Sandra et Philippe s’empare de ses poignets es qu’il menotte, Cathy met le caméscope en route.En moins de cinq secondes, on a tout ce qu’il faut. « Personne ne bouge ! » Kevin, emboîté dans Sandra, ne risque pas de bouger, ce qui facilite le travail de Cathy qui filme sous toutes les coutures.... Et là, c’est moi qui hurle : « Bureau d’enquêtes ESP, madame P...., vous êtes soupçonnée d’adultère par votre mari qui nous a demandé d’enquêter et je crois que l’enquête est terminée..... » Sandra se met à hurler en demandant ce qui se passe parce que personne ne lui enlève le bandeau, elle donne des coups de pieds, exige que Kevin se sorte, Kevin hurle qu’il n’y est pour rien dans tout ça.... Que c’est le problème de Sandra et de son putain de mari.... « On se calme, on se calme, il n’y a pas mort d’homme ! On se calme et on va discuter ! Bon, Philippe et Sergi, vous sortez Kevin de....... de Sandra et vous l’attachez là, au radiateur. S’il fait du bruit, vous le baillonnez. Et pour Sandra, c’est pareil ! On se calme.» Ca, c’est moi qui le dit et j’espère bien. Ouf, la première phase s’est plutôt bien passé. Sauf que c’est le moment que choisit Sandra pour se mettre à pleurer, demandant qu’on lui enlève le bandeau..... demandant qui on est , qu’est-ce qu’on fait chez elle, qu’est-ce qu’on veut..... « Sandra, on veut vous parler de votre mari, Patrick..... » En entendant le prénom de son mari, elle se met à pleurer encore plus fort et à hoqueter.... « Quoi, mon mari ? Il est pas là ! Il est jamais là ! Qu’est-ce qu’il veut ?»« Vous demandez ce qu’il veut, enfin, ce qu’il voudrait si.... »« Si quoi ? »« S’il découvre son infortune, s’il découvre la proximité évidente de votre sexe et celui de Kevin . S’il découvre tout ce que nous savons déjà sur vous.....et sur vos amants, n’est-ce pas Kevin ? Que vous voyez Kevin régulièrement, mais pas que lui. On pourrait lui parler de Bertrand, de Romuald, de Fabrice... et puis de Hervé, bien sur, c’est lui qui vous rend le plus souvent visite ! »« Oh arrêtez, je vous en supplie, arrêtez, ne lui dites pas tout ça, ne lui dites rien ! Je vous en supplie ! »« Vous n’avez pas envie de retourner en Bielorussie, il paraît que c’est charmant comme pays et puis, il paraît qu’on vous y attend de pied ferme... »« Oh non, tout mais pas ça ! » Là, elle s’est arrêtée de pleurer et elle a eu un rictus de haine, je ne sais pas si c’était envers son mari ou envers la Bielorussie mais... « Il n’est pas question qu’il me renvoie en Bielorussie, je le tuerai avant ! « Et elle s’est remise à pleurer.... « Enlevez-moi ce masque ! Vous voulez quoi ? »« Non, pas encore, ça va venir.... »« Putain, la salope, tu t’en tapais combien des comme moi ? »« Ca ne te regarde pas ! » Kevin n’en revenait pas ! Il paraissait abattu et c’est là que Cathy en a profité. « Alors Kevin, tu veux que je te remonte le moral, le moral et puis autre chose, si tu veux.... »« Vous êtes tous fous dans cette pièce, c’est vraiment pas mon jour..... »« Oui mais si je te suce, tu me croiras toujours folle ? » Quant à Philippe et Sergi, je leur ai fait signe de passer à la suite, la suite, c’était qu’ils se mettent dans la même tenue que Sandra, moins le bandeau et s’allonge contre elle, sans vraiment la toucher. « Bon, Sandra, je m’appelle Elena et je connais bien les deux garçons, là, à côté de toi.... »« Ca veut dire quoi, que vous les connaissez ? »« Ca veut dire que ce sont de gentils garçons qui sont prêts à annuler ta peine... »« C’est à dire ? »« Prêts à t’éviter le retour en Bielorussie et un séjour pas très agréable dans les pensions de ce pays. Bon, Cathy, t’arrête de faire autant de bruit en suçant Kevin ? »« Oh le salaud, il est en train de se faire sucer ?... »« Oui, il bande autant que tout à l’heure.... Au fait, pourquoi tu ne veux pas y retourner... ? En Bielo machin ? »« J’y retournerai pas ! » Pendant que Sandra et moi nous parlions, les deux garçons avaient commencé à caresser tout doucement le corps de Sandra qui avait commencé à écarter d’abord la main de Sergi, puis celle de Philippe, les mains étaient revenues.... « D’accord tu n’y retourneras pas mais tu peux nous donner quoi en échange ? »« Ah, je me doutais bien que ce ne serait pas gratuit.... » Les mains des garçons étaient revenues effleurer le bout des seins de Sandra, elle les avaient écartées mais sans se fâcher ..... « Tu vois ils sont doux. Ils sont doux comme des agneaux, mes amis. Donc toi, ma chérie, tu peux nous donner quoi, nous offrir quoi ? A moi ? A moi ou à mes agneaux ? »« Salope, tu vois pas ce qu’ils veulent ? T’es vraiment salope et conne en plus....Aïe, putain tu fais mal ! »« Dis donc, Kevin, quand je te suce, j’aimerais toute ton attention ! Sinon, je te mets le baillon !» Comprenant que Sandra avait besoin de douceur pour franchir le pas, j’ai demandé à Philippe de me laisser sa place et je me suis allongée auprès d’elle. Et j’ai commencé à lui parler tout doucement dans le creux de l’oreille.« Sandra, je vais t’enlever le bandeau, tu veux ? »« Oui, je veux bien, t’es sympa, Elena, c’est ça ? »« Oui, c’est ça, je te libère une main aussi, d’accord ? Et si t’es cool, je t’enlève bientôt l’autre. »Je lui ai d’abord libéré la main qui était du côté de Sergi. Sa main libérée, elle l’a ramenée sur son ventre mais en la ramenant elle a effleuré le sexe de Sergi qui, allongé près d’elle, continuait à la caresser tout doucement. Elle a été un peu surprise, (Par la présence ? Par la grosseur?) et m’a demandé :« Elena, qui c’est ? Qu’est-ce que c’est ? Enlève-moi ce bandeau, s’il te plaît. »Je lui ai enlevé le bandeau. Quand elle a aperçu Sergi nu et en pleine érection à côté d’elle, qui lui caressait doucement les cuisses, elle a levé les yeux au ciel et d’un air fatigué...« Oh la la, je suis foutue ! Mais je dis pas ça pour lui ! L’a l’air gentil ! »« Dis pas n’importe quoi, ferme les yeux, pleure pas et écoute-moi ! »« Oui, mais je suis foutue, il va me renvoyer là-bas mais je ne veux pas, je n’irai pas, je le tuerai avant !! »« Oui, on sait. Bon, Sandra, je vais te poser une question, tu réfléchis avant de me répondre .»« D’accord ! »« Tu faisais quoi, il y a une demie-heure quand on est arrivé et qu’on a allumé la lumière ? Je vais t’aider.... Tu étais en train de te faire..... ? »« De me faire baiser, et alors ? »« Réponds, c’était bon ? »« Oui, c’était bon, enfin pas mal, demande à Cathy ! Ca aurait pu être mieux mais ce soir, il n’y avait que lui de dispo. Fabrice pouvait pas.... » Sandra a eu un sourire et je lui ai dit : «T’es belle quand tu souris. Détends-toi, tout va bien ! Tout va bien se passer !» Mais elle avait vu juste. Pendant que j’essayais d’apprivoiser Sandra, Cathy avait libéré une des mains de Kevin et était en train de se faire joyeusement piner ! » J’ai approché mon visage de celui de Sandra « Oui, tu as raison, Sandra mais ils sont assez occupés comme ça, on ne va pas les déranger et puis, moi, j’ai envie de t’embrasser. » Sandra a eu un air surpris pendant une fraction de seconde, elle a passé sa langue sur ses lèvres avant que je lui roule un patin généreux tout en passant ma main entre ses cuisses déjà humides..... C’est là qu’on a entendu Sergi....« Ben moi ? Et alors ? » Je continuai à embrasser Sandra et c’est elle qui a tendu son bras et sa main sans voir réellement ce qu’elle allait toucher mais quand elle s’est trouvée avec la belle queue de Sergi dans la main, elle ne l’a plus lâchée !! Et puis dans un souffle entre deux baisers..... « J’aimerais..... j’aimerais revenir..... en arrière..... juste une demie-heure.... »« Avec Kevin ? »« Ben non, ta copine l’a épuisé et puis regarde ce que j’ai trouvé ! »« Ce que tu as trouvé ? Une belle bite qui t’attend ?» Tout est alors allé très vite.... Elle a écarté un peu les cuisses, Sergi s’est installé à genoux entre. On a entendu le bruit d’un préservatif qui se met en place. Il a écartées complètement les cuisses de Sandra. J’ai enlevé la deuxième menotte de Sandra. Sergi l’a empalée tout en douceur sans coup férir ! Une fois au fond il a fait mine d’attendre les ordres.que Sandra avait du mal à donner parce qu’on n’arrêtait pas de se rouler des patins ! « Dis-lui qu’il y aille. Sans hésiter ! » Sergi avait entendu et il y est allé..... sans hésiter ! Comme avec moi, au Club ! Et puis Philippe est venu derrière moi et a collé son sexe dans la bouche de Sandra qui se décontractait de plus en plus. J’aimais autant qu’elle prenne ça du bon côté parce que la suite risquait d’être plus difficile. Quand Sergi en a eu assez de lui bourrer la chatte, il a permuté avec Philippe et est venu se faire sucer. Il a repris un petit comprimé bleu, comme Philippe peut de temps avant. Et puis Sandra s’est mise à gesticuler, à essayer de prononcer des trucs bizarres avec la bite de Sergi dans la bouche et Philippe qui la pinait grave !Elle était en train de jouir et d’inonder le drap et le ventre de Philippe. On l’a laissée finir et là, j’ai dit : « Allez, deuxième étape, les garçons ! »« C’est quoi la deuxième étape ? »« Attends tu vas voir ! » Philippe et Sergi l’ont saisie, l’un par les pieds, l’autre par les main, l’ont retournée à plat ventre....Et puis Philippe s’est assis sur ses épaules et j’ai demandé : « Cathy ! Lâche Kevin et viens ! »« D’accord, j’arrive ! » Sandra, avec le poids de Sergi sur les épaules, était écrasée sur le lit et essayait de gesticuler avec les jambes. Cathy et moi, on a immobilisé ses chevilles, en lui écartant les jambes. Elle s’est remise à pleurer et là elle avait de meilleures raisons. « Ma belle, maintenant, tu sais ce qui va se passer ? »« Ben non !? »« Ben, tu vas apprendre ce que c’est que c’est de se faire sodomiser ! »« Oh non, pitié, j’ai jamais été ! » C’est là qu’on a entendu Kevin : « La croyez pas ! Elle adore ça ! Si vous étiez pas arrivés, elle m’avait demandé..... »« Ta gueule, Kevin, l’écoutez pas, l’écoutez pas ! » Et puis elle s’est remise à pleurer. Avec Cathy, on écartait les fesses de Sandra tout en lui tenant les chevilles. Et Philippe a commencé à lui travailler sa rosette, généreux avec le gel, d’abord un doigt, puis deux, bien profond. On ne l’écoutait plus protester, on se concentrait sur le gros plug que pPhilippe à réussi à introduire tout doucement et quand il a été en place , j’ai pris son sexe pour le faire durcir à pointUne fois à point, il a retiré le plug doucement et a enfoncé brutalement son manche dans ce trou béant offert. Sandra a poussé un hurlement puis Philippe s’est mis à la piner d’abord lentement avant de la défoncer complètement. Sandra n’avait plus aucune réaction, une loque sous les coups de boutoirs de Philippe. Sergi s’est levé et est venu prendre le relais de Philippe qui a changé de préservatif. Sandra semblait ailleurs, pleurant doucement. « Vous voyez qu’elle aime ça, se faire enculer ! » Et puis Sergi qui pinait Sandra en levrette, s’est redressé avec Sandra empalée par le cul, il s’est retourné, s’est couché sur le lit, Sandra couchée sur lui, face au plafond et qui essayait de dire quelque chose comme : « Ah non, pas ça ! » Ca , c’était Philippe qui approchait, la bite en feu pour l’écraser, la pénétrer. Philippe a mis un long moment pour lui jouir dans la chatte. Et puis, ils ont roulé sur le côté et Sergi s’est fait plaisir dans l’orifice où il se trouvait. Entretemps, on avait laissé partir Kevin.... On s’est rhabillé et on est parti vite fait non sans avoir menotté Sandra au lit, Sandra qui ne comprenait pas : « Mais comment je vais faire, toute seule ! » et qui pleurais toutes les larmes de son corps. Moi je n’étais pas trop inquiète..... Elle n’avait même plus la force de hurler.En descendant les escaliers pour sortir, on a croisé Patrick . « Je monte lui faire la surprise. Elle se croit à l’abri d’une dénonciation d’adultère ! Elle va me le payer cher !!» Il est monté, on a entendu des hurlements mais on en n’avait rien à faire, ce n’était plus notre problème. ..................................................................................................... Epilogue Tout se serait arrêté là si, deux mois plus tard, je n’avais pas croisé Sergi dans la boîte où je l’avais levé. Après l’avoir laisser me sauter, je lui ai demandé s’il avait des nouvelles de Patrick et/ou de Sandra, s’ils avaient divorcé, s’il avait renvoyé Sandra en Bielorussie....Il a eu l’air un peu gêné et m’a avoué :« Pas exactement, peu après notre séance, j’ai reçu un appel de Patrick qui m’invitait à dîner chez lui. Je lui ai demandé si Sandra serait là et il m’a répondu non. Mais quand je suis arrivé chez eux, Sandra était là, en tenue un peu sexy mais pas trop mais surtout pas la tenue d’une divorcée éplorée en partance pour la Biélorussie. En fait, la visite régulière des amants, c’était arrangé entre Patrick et Sandra. Patrick était parfaitement au courant et c’était avec son accord que Sandra se faisait sauter. »« Alors, pourquoi ce cirque ? »« Pourquoi ce cirque. Là aussi c’était convenu entre eux deux. Ils voulaient passer à l’étape supérieure. Elle voulait deux ou trois mecs. Tu vois si on n’avait pas viré Kevin, il aurait pu la sauter comme on l’a fait Philippe et moi. Elle n’avait jamais eu de double pénétration et et voulait un peu d’incertitude. Elle dit que c’était mieux qu’on n’ait pas été au courant » « Elle dit..... Parce que tu continues à la voir ? »« Ben, la fin du repas, il s’est levé, il est venu à côté de sa femme et il a laissé parler Sandra. Celle-ci a simplement dit :« Voilà, Sergi, j’ai bien aimé l’autre jour avec vous.... »« Je vous ai fait pleurer.... »« Pas tant que ça, j’ai fait du théâtre, vous savez. Donc, Patrick part en déplacement, tout de suite, il a un avion à prendre, hein, mon chéri ? »« Oui, mon amour, donc Sergi, je vous confie Sandra, ne la faites pas trop pleurer, d’accord ? » »
