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Ce n'est pas moi

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
J’ai repris une douche express et ne me suis pas maquillée, c’est vendredi. J’ai quand même mis un tailleur jupe noir de rigueur. J’ai mon manteau, je sors de chez moi pour aller au tram. J’ai l’impression que tous les hommes que je croise me trouvent à leur goût. C’est très déstabilisant mais assez grisant. Et puis je ne sais pas... Je me sens plus sensuelle, plus femme. Je prends quand même un journal et je prends mon tram direction le centre de Reims. Je me plonge dans le quotidien, je viens de vivre deux trucs incroyables ça suffit pour aujourd’hui.J’arrive devant l’immeuble où se trouve le cabinet d’architecte dans lequel je travaille. J’arrive au troisième et la secrétaire à l’accueil me salue comme d’habitude. Je croise deux autres collègues mais dans mon bureau de six, je suis la seule présente. J’ouvre mes mails... Il faut faire une pré-étude pour un hôtel que le cabinet a déjà redesigné il y a quelques années. Vue la date, je dois descendre aux archives pour faire de l’archéologie. Je ne devrais pas en avoir pour plus de dix minutes. Arrivée au premier sous-sol, je me dirige vers nos archives. Je commence à fouiller vers les années probables de la rénovation de cet hôtel. Je cherche, je fouille, j’ouvre pas mal de boîtes mais rien. Et puis il fait chaud ici. Ce n’est pas normal, je vérifie le thermostat mais c’est correct. Ça vient de moi, à force de déplacer des cartons... Je pose ma veste et je poursuis.Mon esprit divague un peu, cette chaleur me rappelle celle de mes folies du matin. Inexorablement, je sens mes seins s’éveiller. Mon sexe se rappelle aussi à mon bon souvenir. Ça ne me ressemble pas d’être excitée comme ça. Après ce n’est pas illogique vu que je pense au technicien et à Denis. J’ai plus chaud encore. Je mouille, je le sens. Allez, je m’assois par terre et je me calme. Je ferme les yeux et respire lentement. Ce collant me casse les pieds. Il me tient trop chaud. Avec des bas et un string, je serais plus ventilée.
— Ma Juju, tu racontes n’importe quoi.
Je décide d’ouvrir deux boutons de mon chemisier. Ça va déjà mieux. Et si je virais mes collants ? Je suis toute seule ici, personne ne le saura. Allez, j’enlève mon collant. J’en suis à le fourrer dans ma poche de veste quand j’entends l’ascenseur s’ouvrir. Allez, vite. Je dois remettre mes chaussures. Je remets tout juste la seconde que je vois une silhouette passer devant la porte de nos archives. La personne s’arrête et se tourne vers moi.
— Est-ce que ça va ?
L’homme qui s’inquiète a une certaine prestance même si son ventre est un peu trop présent à mon goût. Peu importe, il me tend la main avec galanterie pour m’aider à me relever :
— Merci. Oui ça va. Je cherche des archives qui sont introuvables. J’ai fait une pause car je commençais à m’énerver.
Tout en m’aidant je le vois plonger ses yeux dans mon décolleté. Il a vu que je l’ai capté et rougit :
— Je vous y prends...— Excusez-moi. Je ne peux résister à une belle femme.
Le monsieur est un vilain flatteur. Je n’ai pas l’intention de me laisser amadouer comme une lycéenne. Il doit se rendre compte que ce compliment ne prend pas et me propose :
— Pour me faire pardonner, puis-je vous aider à rechercher vos archives ?
Je refuserais bien mais il semble sincère dans ses excuses. Et puis ça fait déjà quarante-cinq minutes que je cherche.
— Merci mais vous avez sûrement du travail...— Oh ma mission se termine aujourd’hui. Donc on ne va rien me dire si je papillonne un peu. Et je m’en voudrais de laisser une jolie femme en détresse.— Vous êtes tenace avec ces compliments.— Pardonnez-moi mais j’ai un faible pour les taches de rousseur.
D’habitude c’est plutôt un repoussoir à mec. Du coup, je fais quoi ? Malgré un physique pas du tout mon genre, il a un côté charmant et galant qui me plait bien. Je finis par accepter et il arbore un très large sourire. Je lui explique ce que je cherche et ce que j’ai déjà vérifié. Il fait tomber sa veste et son ventre paraît encore plus imposant. Ce que je vois aussi, c’est qu’il continue de me regarder. Si je suis accroupie et qu’il est debout, il plonge ses yeux dans mon cou. Si c’est l’inverse je sens son regard remonter le long de mes jambes. Je devrais lui en vouloir mais je me rends compte qu’il en a vraiment plus après mes taches de rousseur que mes seins ou mon cul. Il ne tente même pas de regarder sous ma jupe. C’est limite vexant pour mes seins et mes fesses. Ce matin j’ai eu l’impression d’être plus attirante, d’avoir des seins plus gros, un cul plus ferme. Et monsieur préfère mater mes taches de rousseur !
— Au fait, moi c’est Julie.— Eric.— C’est bien de pouvoir s’appeler par son prénom. Et puis j’aime savoir qui me mate.— Euh, euh...— Continuons de chercher. J’ai faim et puis ça donne chaud tout ça.
Je déboutonne un peu plus mon chemisier et me ventile avec un plan. Je vois Eric écarquiller les yeux mais les ranger bien vite dans sa poche. Je laisse apparaître le haut de mes seins à peu près là où stoppent mes tâches. Je me remets accroupie et range les plans que j’ai en main. Je jette un regard discret à Eric. Ah, voilà qui satisfait mon ego. On dirait bien une érection. Je me sentais plus femme depuis ce matin il fallait bien qu’il en apprécie les atouts. Nous continuons et je décide de grimper sur le marchepied. Je n’en ai pas vraiment besoin pour atteindre l’étagère la plus haute. Mais je fatigue un peu de prendre ces boîtes d’archives à bout de bras. Et puis comme ça, Eric aura plus de facilité pour zieuter mes gambettes.Ça marche et je vois qu’il range sa boîte et se relève. Son épaule ou son bras effleure ma cuisse et je sens ma jupe remonter un peu avant de retomber. Eric passe derrière moi sans autre contact. Ce doit être involontaire de sa part. A moins qu’il vienne de faire un test pour savoir si je suis réceptive. Après tout je viens de m’exhiber devant lui. Il est sans doute en droit de se poser des questions.J’ai eu deux relations torrides ce matin mais je n’ai pas eu ma dose de sensualité et de préliminaires. J’ai fini les étagères hautes et médianes. Je m’accroupis pour faire les deux du bas. Se faisant je laisse mon avant-bras glisser le long de ses flancs. Je le regarde et il a du mal à ranger le plan qu’il a en main. Je remarque également que sa bosse est plus grosse. Eric s’accroupit à son tour et le frôlement recommence. Je sens le dos de sa main le long de mon bras et sur ma cuisse. Je suis surprise d’avoir réussi à attirer Eric avec mon physique. Je me redresse et passe derrière lui en le frôlant intentionnellement. Ma main glisse sur ses épaules et mon genou dans son dos. Je pose le marchepied et remonte dessus tout en m’appuyant sur Eric. Je le regarde d’en haut et vois qu’il touche son sexe. Il finit et se relève. Ma jupe remonte, remonte... Puis retombe. J’ai cru qu’elle allait dévoiler mes fesses.
— Non, mais il faut que je me calme ! Oh, ouiiiii..., gémis-je intérieurement.
Eric vient de passer derrière moi. Et cette fois il n’a pas gardé ses distances. J’ai senti ses mains sur mes hanches et son ventre sur mon cul. Je suis toute chose. Mes seins sont durs et mon sexe commence à s’humidifier. Je fouille vite fait l’étagère du milieu et je m’accroupis. Je veux voir dans quel état il est. Je suis si pressée que j’en oublie de le toucher. Je jette un œil que je sais manquer de discrétion. Son sexe s’allonge maintenant sur sa cuisse. Et le moulage que je découvre est plutôt intéressant. Eric s’accroupit sans me toucher mais ses yeux se perdent vers mes seins et mes cuisses. Je me relève en m’appuyant sur sa cuisse. Je passe derrière lui et me colle éhontément. Dommage qu’il soit accroupi, j’aurais bien frotté ma poitrine dans son dos.Qu’est-ce que je raconte, moi ? Ça ne me ressemble pas ce genre d’attitude. Allez, fini de jouer, j’ai du travail. Mais cette bonne résolution s’envole immédiatement. Ma main se pose sur son épaule et descend un peu vers sa poitrine. Je suis perchée sur mon marchepied depuis un moment. Et lui fouille toujours en bas. Je descends et m’attaque à la rangée du milieu. Eric se relève doucement. Je sens sa main, le dos toujours, glisser le long de mon mollet, de mon genou, de ma cuisse. Ma jupe monte, comme mon rythme cardiaque. Elle monte encore, j’ai presque le cul à l’air. Mais elle retombe.Comme précédemment Éric pose ses mains sur mes hanches pour passer, quasiment sur mes fesses en fait, puis je le sens se faufiler dans mon dos. Cette fois c’est son sexe que je sens frotter contre mon postérieur. Je ne peux retenir un gémissement. Il reprend sa recherche comme si de rien n’était. Je m’attaque aux étagères du bas et me colle à lui. Ma main passe sur ses fesses puis sur sa cuisse. Je veux voir sa bite, son pieu, son mat. Cette fois je suis accroupie mais avec les cuisses écartées. J’ai besoin de faire respirer ma foufoune brûlante. Mes seins me font mal tellement ils sont durs et sensibles.Eric s’accroupit à son tour, il regarde ma jupe, j’espère au fond de moi qu’il arrive à voir ma culotte. Sa main s’appuie sur mon épaule avant de glisser vers mon sein qu’il effleure à peine. Je laisse libre court à l’expression de mon plaisir. Il le remarque et sourit dans son coin. Je me redresse et pose ma main sur sa cuisse, elle glisse "malencontreusement" vers son sexe que je devine effectivement de belle taille. Je passe et je frotte mes seins contre son dos. Eric se relève et sa main, la paume cette fois, remonte le long de ma jambe. Il passe à l’intérieur de ma cuisse et continue son chemin. Cette fois, il s’arrête juste au pli de mon cul. Son pouce est venu frotter ma culotte et il doit savoir qu’elle est mouillée. Il passe derrière moi et s’attarde même plus longtemps que nécessaire.Je me baisse à mon tour et vais carrément m’appuyer sur sa bite pour m’accroupir. Il gémit et souffle. Une fois accroupie, je m’arrange pour remonter légèrement ma jupe et bien écarter les cuisses. Il n’a qu’à baisser les yeux pour voir ma culotte. Je sais qu’il le fait car je vois sa queue tressaillir. Je ne lui laisse pas le temps de descendre au sol et me relève. Je m’accroche à sa bite comme un grimpeur à la prise d’une paroi rocheuse. Éric pousse un long râle. Je me faufile derrière lui et colle mes seins dans son dos. Il s’accroupit pour fouiller en bas. Il passe sa main sur mon sein, mon vente, mon pubis et ma jambe. J’ai la culotte dans un drôle d’état. Il me faut un instant pour reprendre ma recherche. Ça lui laisse le temps de finir la sienne. Il se relève et sa main me caresse.
— Remonte, remonte, l’encourage-je intérieurement.
Il m’entend car sa main ne s’arrête que lorsqu’elle se plaque pleinement à mon entrejambe. Il passe derrière moi. Je me surprends à lancer mon cul vers lui pour bien le sentir. Il ne pose pas ses mains sur mes hanches ou mes fesses mais sur mes seins. Je dois m’appuyer à l’étagère pour ne pas tomber. Il est à côté de moi et inspecte ses boîtes. Je m’accroupis enfin et je ne me mets plus de barrière. Je baisse sa fermeture éclair et engouffre ma main dans sa braguette. Je masse un peu le bel engin. J’hésite et finalement je laisse mes doigts là.Pas facile d’ouvrir les boîtes à une main mais c’est bien plus agréable pour moi et pour lui. J’ai remonté ma jupe à ma taille et il peut parfaitement voir ma culotte. Eric finit par me rejoindre en bas. Il passe sa main dans mon chemisier, dans mon soutien-gorge, pour pincer mon téton. Je gémis comme une furieuse. Je serre sa queue dans ma main et il grogne de satisfaction. Il abandonne mon sein pour aller sur ma culotte. Plus de faux-semblant entre nous, il me caresse la chatte à travers ma culotte et moi son sexe par-dessus son caleçon. Au prochain tour, je lui sors sa bite.
— Ah, Julie... Est-ce que c’est ça ?
Je regarde et c’est la déception.
— Ah, oui... C’est bien ça.— Ah, super...
Au moins il est aussi déçu que moi. Mince, on s’amusait bien tous les deux. Nous retirons nos mains et je prends la boîte. Il remet le plan dedans. Nous nous relevons avec le rouge aux joues.
— Merci, Éric. Sans vous j’y serais encore.— De rien. Ça m’a fait plaisir de vous aider.— Ça m’a fait plaisir aussi.
Tu m’étonnes, lui bande comme un taureau et moi je mouille comme une fontaine. Merde, il va falloir que je me soulage toute seule. Et lui va probablement le faire de son côté si je ne fais rien.
— Julie, vous êtes très jolie avec vos taches de rousseur. Et votre chevelure rousse me plait beaucoup aussi. De même que vos yeux...
Il veut en venir où avec ces compliments ? Qui me plaisent beaucoup d’ailleurs. Il se racle la gorge et me demande :
— Vous êtes une vraie rousse ?
Bien sûr ! Des taches comme ça, ce n’est pas chez une blonde ou une brune qu’il va en trouver. Et puis, mes cheveux sont bien roux de la pointe à la racine...
— Patate ! Il veut voir tes poils de chatte ! m’engueule ma petite voix intérieure.
Bien, il est mignon mais j’ai eu sa main sur la culotte et la mienne sur son paquet. Alors on peut se dire les choses directement.
— Eric. Oui je suis une vraie rousse... De partout. Mais je suppose que vous voulez aller vérifier vous-même...— Euh, oui, ça me plairait.— Mmmh, c’est possible, si je peux voir votre sexe.
Il bégaye au lieu de répondre. Pour le motiver, je retire ma culotte sans remonter ma jupe. Il retient sa respiration mais glisse sa main dans sa braguette. Il expire puis inspire un bon coup et sort son engin. C’est vraiment un beau morceau. Bien raide, bien long et épais. Dommage que son ventre donne l’impression qu’il est plus petit. A mon tour, je remonte ma jupe à ma taille et Eric affiche un énorme sourire en voyant les poils roux de ma toison.
— Vous voulez la voir de près ?
Il ne répond pas et tombe à genoux devant moi. Il hume mon parfum et inspecte ma chatte sous toutes les coutures. Mes poils luisent de mouille, mes cuisses sont trempées. Eric est à mes pieds, c’est assez grisant comme sensation. Jamais je n’ai senti un homme autant rempli de dévotion. Je jubile, je tire le marchepied vers moi et pose un pied dessus. Avec mes escarpins je manque d’équilibre alors je m’adosse au mur. Avec deux doigts j’écarte mes grandes lèvres. Mon clitoris est bien visible, tout comme mes petites lèvres et l’entrée de mon vagin. Eric a le nez pratiquement collé à ma chatte. Je sens son souffle sur mes poils. Ça me chatouille et m’électrise.
— Éric, léchez-moi. Faites-moi jouir.
Il se jette sur ma chatte en une fraction de seconde. Je pensais qu’il avait joué avec moi mais c’est plutôt l’inverse qui s’est produit. Il est prêt à répondre au moindre de mes désirs. C’est loin d’être le meilleur cunnilingus de ma vie mais je m’en fous tellement je suis excitée. Et je ne sais pas si c’est le pouvoir que j’ai sur lui ou si c’est mon appétit sexuel qui m’excite le plus. Il lèche mes lèvres, suce mon clitoris. J’ai sorti mes seins de mon soutien-gorge et je me les masse. La porte est ouverte quelqu’un pourrait nous voir. Le risque décuple mes sensations. Je plaque sa bouche contre ma vulve.
— Buvez tout Eric.
A peine j’ai fini ma phrase que je jouis bruyamment. Plusieurs jets de cyprine sont expulsés de ma chatte. Eric boit tout ce qu’il peut et s’en régale. Je le vois s’astiquer la queue en même temps. Je le repousse et il est tout penaud. Je regarde sa belle bite et je le fais se relever.
— Eric. Vous voulez que je vous suce ?— Oh, oui, s’il vous plait.
J’ai les nichons à l’air, la jupe relevée à la taille. Et pourtant je n’hésite pas à m’accroupir face à la porte, cuisses grandes ouvertes. Je le regarde et je prends plaisir à voir ses yeux implorer la fellation promise. Je ne perds plus de temps et gobe ce pieu qui me faisait tant envie. Je lèche, je suce, je mordille même. Tout y passe : gland, hampe, testicules. Je ne savais pas que j’étais capable de ce genre de performance. Il va jouir, et c’est bien mérité. Je ne me vois pas laisser des traces suspectes au sol. Mes seins, mon visage ce n’est pas possible, je dois retourner travailler. Seule solution c’est qu’il éjacule dans ma bouche et que j’avale. Ça va être une première pour moi. Mais il faut une première à tout et je suis encore très excitée par mon orgasme :
— Éric. Jouissez dans ma bouche.— Oooh, aaaah, ouiii. Merci.
Son dévouement me fait sourire. J’engloutis sa verge au plus profond de ma gorge. J’ai les lèvres distendues, le gland s’insinuerait presque dans mon œsophage. Je reprends mes va-et-vient, il faut bien que je respire. Ma main gauche malaxe ses couilles et la droite accompagne mes lèvres pour le branler. Eric grogne et se tend comme un arc. Il explose sur mon palais. Une belle quantité de sperme remplit ma bouche. J’avale mais les jets suivants se suivent à un rythme soutenu. Un peu de sperme s’échappe et coule sur mon menton. Eric crie et râle comme un damné. Je crains qu’on nous entende même du rez-de-chaussée.Tant pis, de toute façon je suis ravie de l’effet que je lui fais. La source finit par se tarir et je peux enfin me relever. Eric a la queue à l’air et la bouche luisante. Moi j’ai toujours les seins de sortis, la jupe à la taille et la chatte trempée. J’attrape ma culotte et l’utilise mon éponger mon entrejambe et mon menton. Je vais la fourrer dans ma poche de ma veste mais elle va embaumer tout le bureau. Éric est tout heureux et je le sens prêt pour des mots stupides. Ça a été sympa, vraiment jouissif, mais il a été trop obéissant à la fin. Je n’ai pas besoin d’un toutou mais d’un bonhomme qui peut me surprendre. Et puis son sperme est vraiment infect.
— Eric, tenez.
Je lui lance ma culotte. Il la reçoit dans le nez avant de la prendre en main.
— Un petit cadeau d’adieu. Vous ne m’oublierez pas comme ça. Allez, filez vite avant que quelqu’un arrive.
Je le pousse gentiment vers la porte et il n’ose pas protester. J’entends l’ascenseur alors que je finis de me rajuster. Je n’ai pas de culotte mais j’ai remis mon collant. J’ai faim, même si j’ai l’estomac un peu plus rempli. Je pouffe à ma connerie et repars avec les plans que j’étais venue chercher.
* * *
Voilà une heure que je suis sur l’autoroute avec le pied au plancher. Cet énorme SUV de location est rapide et confortable. En rentrant de déjeuner, j’ai vu que j’avais plusieurs appels et textos qui m’entendaient. Comme une idiote, j’avais oublié mon portable en partant à la pizzeria. Je pensais déjeuner léger mais j’ai pris une pizza énorme qui m’a tout juste rassasiée. Donc les appels venaient de mon patron, qui est au colloque sur "La ville de demain" auquel il se trouve avec mes collègues. Un potentiel client est intéressé par un projet que nous venons de finir. Il veut absolument voir la maquette qui est dans nos bureaux. Evidemment, il repart demain très tôt pour la Grèce. Donc, la brave Julie est missionnée pour amener maquette, vidéo, plans et images 3D en urgence. Tellement en urgence que je n’ai pas pu passer chez moi prendre quelques affaires. Il faut être là-bas pour 18h, avec 3h30 de route ça va déjà faire très juste.Je repense à ce matin. Il faut que ça s’arrête, je vais m’épuiser mentalement et physiquement. Pourtant, je me sens pleine d’énergie, femme pleine d’assurance, de sex-appeal et de charme. Les quelques regards masculins que j’ai croisés en allant et en revenant de la pizzeria ont baissé les yeux devant moi. C’était très grisant cette puissance, cette domination. Et moi qui suis assez effacée d’ordinaire, je trouve que finalement, ça me va plutôt bien. J’ai un corps plus érotisé, plus sensuel, plus sensible mais si ça s’accompagne de plus d’assurance je ne dis pas non. Et je ne regrette aucune des aventures que j’ai eues. Je ne vois d’ailleurs pas pourquoi je devrais en avoir honte. Même si j’ai l’impression que ma vie, sexuelle, tourne au scénario de film porno.Je prie pour qu’il n’y ait pas de radar mobile sinon je dis au revoir à mon permis. Je reçois un nouvel appel : bonne nouvelle, je peux passer chez moi. Le rendez-vous est décalé à la soirée de gala qui clôture ce colloque. Je peux arriver pour 21h. Tout de suite mon pied relâche l’accélérateur. J’explique à mon boss que je suis déjà en route et que je suis partie comme ça. Il me propose de passer acheter une robe vite fait et que je pourrais passer ça en note de frais. Je peux faire du shopping et c’est payé par la boîte ? J’appuie sur le champignon et fonce vers ma destination. A mi-chemin j’ai une envie naturelle qui se profile. Je me décide à stopper à la prochaine avec station essence qui est dans... quarante kilomètres. Allez, je vais bien réussir à tenir. Aujourd’hui je suis une superwoman. Sauf que même Wonder Woman a besoin de vider sa vessie de temps en temps.
— Je ne vais pas tenir. Je vais me faire dessus...
Je craque, dans deux kilomètres il y a une aire toute simple. J’arrive sur l’aire, elle paraît vide. L’accès par le parking de PL à gauche est plus direct que celui des voitures. Il est vide, je vais à gauche et me gare un peu n’importe comment. Je trottine comme je peux sur mes escarpins. Quelle connerie les hauts talons des fois. Je me jette presque dans les toilettes. Pour être cueillie par une odeur nauséabonde. Le sol est boueux, il y a du papier toilette dans les lavabos et un liquide jaunâtre devant les urinoirs.
— Oooh, vous êtes dégueu les mecs !
Je ressors en trombe et entre côté femme. C’est mieux, je m’engouffre dans la première cabine. Je remonte ma jupe, je baisse collant et culotte. Ah, non, je n’ai plus de culotte. La cuvette me paraît douteuse, pas question que je pose mon cul là-dessus. Je n’ai plus qu’à passer en position de sumo en montant sur la cuvette. Je suis belle comme ça, tiens. J’ai mes chaussures en mains et je m’appuie sur les cloisons pour maintenir mon équilibre. Mon collant est coincé à mes genoux et ma jupe à ma taille. J’ai les jambes écartées et j’expose ma chatte à tous les vents. Mais je peux enfin me soulager. Et ce n’est pas un petit pipi délicat. C’est puissant, odorant et abondant. Alors que je finis, j’entends une voix féminine, plutôt jeune :
— C’est bon tu peux venir. Il n’y a personne.
Et moi alors ? Mince je n’ai pas verrouillé ma cabine. C’est pour ça qu’elle pense être seule. A qui a-t-elle parlé ?
— Merci ma puce. C’est trop crade de l’autre côté.
C’est son petit copain je suppose, vue la jeunesse de sa voix. Ils parlent un peu et j’écoute comme une espionne. Ils sont à l’université à Paris et rentrent à Metz. Mais on y est presque, pourquoi ils s’arrêtent maintenant ?
— Tu veux que je conduise pour finir ?— Ça me dérange pas de conduire surtout si tu me suce en même temps.— Hi, hi, hi. Et moi j’aime bien que tu t’occupes de mes seins quand je suis au volant.
Mais voilà deux petits coquins... J’aimerais bien avoir quelqu’un pour me faire ça. Mon sexe frétille à ces pensées et mes tétons se réveillent.
— Bon, je croyais que tu avais une envie pressante...
C’est vrai ça, pourquoi elle n’est pas déjà dans une cabine ?
— Mon envie pressante, c’est toi...
Ok, je comprends mieux. Au bruit, ils doivent s’embrasser, passionnément. Puis j’entends la fille murmurer des trucs mais le garçon toujours l’embrasser. Elle parle de ses mamelons. Elle a les seins à l’air ? Elle râle un peu plus et se félicite des doigts de son copain sur sa chatte. Ils ne vont pas baiser ici quand même ?
— Allez. Viens-là que je te pompe...
On dirait bien que si. Moi je profite en aveugle de leurs ébats. J’ai le sexe qui est très humide et les seins bien gonflés de désir. J’aimerais bien me caresser mais je ne tiendrai pas en équilibre avec seulement une main. J’essaye quand même mais mon pied gauche glisse un peu. Je lâche ma chaussure et pousse un petit cri de frayeur. Le temps de me remettre de mes émotions, je vois la porte qui est grande ouverte. Ils sont tous les deux-là, aussi dévêtus que moi.Elle a les seins encore sortis et le pantalon aux chevilles. Lui a aussi le sexe à l’air. C’est marrant, ils sont tous les deux intégralement épilés. C’est drôle sur un mec, je n’ai pas l’habitude. Son sexe raide paraît assez long. Moins épais qu’Eric mais au moins aussi long. Ils sont mignons tous les deux. Elle est blonde, le visage pâle avec des yeux sombres. Lui est mate de peau, brun mais des yeux clairs. Ils sont différents mais s’accordent très bien. Ils me regardent avec des yeux comme des soucoupes. Enfin surtout les poils roux de mon pubis. Je veux descendre mais je me rends compte que je suis engourdie.
— Vous pouvez m’aider à descendre s’il vous plait ?
Je les réveille un peu et ils me tendent tous les deux la main pour m’aider. Une fois debout, aucun de nous ne pense à se rhabiller. Et moi je suis subjuguée par ce sexe male tout lisse.
— Mon chéri. Je crois que la dame n’a jamais vu de mec qui s’épile.— Je vois ça ma puce.— Excusez-moi. C’est vrai. Et ne dîtes pas madame. Je ne suis pas beaucoup plus vielle que vous.
Je me présente et eux le font aussi. Ils ont dix-neuf ans tous les deux et se prénomment Raphaële et Juan. Ils n’ont pas l’air gênés d’être nus devant moi. Ni moi devant eux. Je sais que c’est encore cette journée de folie qui doit faire des siennes. Mais eux, alors ?
— Juan. Je crois que Julie se demande pourquoi on n’est pas gênés d’être à poil devant elle.— Mmmmh. Je vois. Et si on lui montrait qu’il n’y a pas que ça qui ne nous dérange pas ?
Le petit sourire coquin de la jeune adulte me donne des chaleurs. Ils se rapprochent et s’embrassent. Rien de bien choquant jusqu’à ce que leurs mains viennent sur le sexe du partenaire. Et vas-y que ça se caresse devant moi.
— Toujours là ? s’étonne Raphaële.
Elle croit quoi la gamine là ? Que parce que je suis habillée plus chic qu’eux je suis une coincée du cul ? Si elle savait ce que j’ai fait depuis le matin, elle me regarderait autrement. Une question me taraude l’esprit tout de même. S’ils sont libres, sont-ils ils partageurs ? Même si c’est surtout lui qui m’intéresse. Je me redresse, bombe le torse et je retrouve l’assurance que j’ai gagné aujourd’hui. La fille lève un sourcil interrogateur et le mec me sourit. Je m’approche lentement et tends ma main vers le membre lisse de Juan.
— Tu permets ? Je n’ai pas eu l’occasion de tester les queues sans poil...
Juan garde son petit sourire et sa copine paraît se demander si je plaisante.
— Mais je t’en prie, me défie-t-elle.
Je ne perds pas de temps et caresse d’abord le pubis puis les testicules. C’est très étonnant. C’est doux, très doux. Pas très masculin je trouve. Le sexe que je me mets à parcourir est très long, dur et chaud. Il est très appétissant. Juan pose ses mains sur mon chemisier. Il l’ouvre en grand et remonte mon soutien-gorge au-dessus de mes seins. Il se penche et vient les téter. Sa copine se colle à moi et ramène la bouche de son copain sur ses seins. Partageuse mais il ne faut pas l’oublier. Raphaële laisse Juan passer de l’une à l’autre.Ma masturbation fait pas mal d’effet à ce jeune homme. Ses doigts viennent masser mon pubis. J’écarte les cuisses pour l’inviter à poursuivre son exploration. Raphaële soupire déjà. Le majeur de son ami va et vient sur son bouton et entre ses lèvres. Il parvient rapidement à faire de même avec mon intimité. Je mouille comme une fontaine. Je vais finir cette journée lyophilisée si ça continue.Juan retire ses doigts et nous fait goûter à notre propre jus. Il replonge ses mains entre nos cuisses. Il partage un baiser torride avec sa copine. Il tourne ses lèvres vers les miennes et je m’empresse de l’embrasser. J’ai fait plein de choses depuis ce matin mais vraiment embrassé personne. Ça me manquait. Je trouve à ses lèvres un goût particulier. C’est celui du jus de sa copine. Ça me trouble beaucoup. Il retire une nouvelle fois ses doigts et nous fait les sucer. Ce goût n’est pas le mien. C’est donc la cyprine de sa copine que je lèche sur ses doigts. J’ai un mouvement de recul alors qu’à côté Raphaële se délecte en me regardant. Elle me nargue ! Et lui là qui croit que je vais me laisser mener par le bout du nez ! Je me dégage et pousse Juan contre le plan vasque. Je m’agenouille et gobe le membre tendu sous les yeux ébahis de Raphaële. Lui est aux anges et en fait part à sa copine.
— Ne t’emballe pas mon bonhomme. Tu vas voir la surprise que j’ai pour toi, pensé-je en moi-même.
Je suce Juan tout en le branlant d’une main et en malaxant ses couilles de l’autre. Passé la surprise, la blonde dévore la bouche de son copain qui lui a fiché deux doigts dans le con. Je suis brûlante de lubricité et de perversion. Je ne me reconnais pas mais je me sens plus ouverte à ce qu’il se passe. Je réalise que celui que je suce ne fait pas qu’apprécier. Il souffle, il frémit, il se contrôle. Raphaële halète, soupire et tremble. Je lâche ses couilles pour me caresser moi-même quelques secondes. Les doigts que j’en retire sont luisants et gluants. Je retourne vers les testicules de Juan mais ne fais qu’y passer. Je fonce vers sa rosette que je masse de mon doigt. Mon macho se fige et sa copine doit sentir qu’il y a du changement :
— Qu’est-ce qui t’arrive ?— Elle me masse le trou du.... Aaaah, ooooh, la salope elle l’a rentré !
Juste une phalange, je continue mes allées et venues buccales sur sa queue et lui fait passer un bon moment. La fille s’agenouille à mes côtés et me regarde faire avec intérêt. Elle prend la bite en bouche et je me focalise sur les couilles. Comme j’ai une main de libre je décide de l’utiliser pour mon propre plaisir. Raphaële se doigte aussi. Nous échangeons notre place de temps en temps mais à un moment nos bouches se rejoignent sur le gland. Elle n’hésite pas à me rouler une pelle au passage. C’est mon premier mais, sans doute guidée par mes sens, j’y prends un plaisir étonnant.Juan veut reprendre son rôle de mâle et j’ai hâte de savoir ce qu’il a en tête. Il nous relève et nous penche au-dessus des lavabos. Il a nos croupes cambrées à disposition. Il en profite tout de suite en replongeant ses doigts dans nos chattes. Il y va fermement presque brutalement et nous fait rugir. Je sens son pouce venir agacer ma rosette. Bien sûr, il veut sa revanche. Je ne suis pas une grande fan de cette entrée mais aujourd’hui je me sens plus sûre de moi et je n’ai pas d’appréhension.Je tends mon postérieur en arrière pour l’inciter à entrer. Il utilise son index plein de mouille pour lubrifier l’entrée puis force le passage. Pour une fois que je ne suis pas crispée, j’aime beaucoup. Raphaële aussi il me semble. Juan ajoute rapidement un deuxième doigt. Une fois habituée, je savoure les va-et-vient qu’il fait dans mon cul. Je ferme les yeux et prends le temps de bien ressentir ce qu’il se passe. Raphaële a cessé de gémir et bouge. Elle se déplace un peu et fouille son sac. Je regarde, elle a sorti une capote. Elle la libère et se penche derrière moi. Elle l’enfile sur la queue de Juan.
— Ah... Une bite dans ma chatte et les doigts dans le cul. Super première ! me dis-je.
La coquine me palpe les fesses un fois le préservatif mis. Juan retire ses doigts de mon anus et je me dis que c’est dommage... Il veut me la mettre dans le cul ! Cette idée me traverse l’esprit au moment où son gland se pose sur mon trou dilaté. Je n’ai jamais osé tenter la sodomie. Mais je n’ai jamais été aussi excitée, sûre de moi et libérée. Qu’il y aille, aujourd’hui j’en ai envie. Surtout que sa main revient sur ma chatte et mon clitoris pour me stimuler. Juan pousse et je me détends en me concentrant sur les doigts sur mon clitoris. Le gars s’accroche plus fermement à mes hanches et poursuit mon introduction.
— Stop. Stop. Stop, me hurle ma petite voix.
S’il a ses doigts enfoncés dans la chair de mes hanches. Ceux sur mon clitoris sont donc à Raphaële. Merde une nana me masturbe ! Et bordel ce que j’aime ça. Mais l’étudiante laisse son copain commencer à me pilonner le derrière. Il me culbute comme un sauvage et je crie comme une folle. Je sens la blonde se glisser sous moi. Elle me caresse un peu les nibards mais ne s’attarde pas. Elle dirige sa bouche vers mon sexe délaissé. Mon dieu, je vais me faire bouffer la chatte par une nana ! Juan ralentit le rythme pour faciliter l’approche de sa copine. Quand il m’entend râler comme une louve sous l’action de la langue de Raphaële, il repart.Je n’étais pas partie pour jouir avec cette sodomie mais grâce à la langue de Raphaële je sens que je vais bientôt prendre mon pied. La petite salope utilise sa main habilement, en passant de ma vulve aux testicules de Juan. Ce n’est pas son premier cunnilingus. Et je me dis qu’une fois la surprise passée, l’étudiant a kiffé mon doigt dans son cul. L’idée que ces deux petits jeunes sont bisexuels me rend folle. Je finis par jouir d’un peu partout. Mon esprit, mon clitoris et mon cul explosent comme des feux d’artifice. Juan enfonce ses ongles dans ma peau et se plante au fond de mes intestins. Je sens sa queue prise de soubresauts quand elle éjacule dans le préservatif. Je suis affalée sur le plan vasque et je reprends conscience. Juan finit de faire un nœud à la capote pendant que Raphaële s’assoit près de moi.
— Vous êtes gentils tous les deux mais je n’ai pas joui, moi !
Elle écarte largement ses jambes et expose une chatte toute lisse, toute rose et toute humide. Je me surprends à envisager de lui rendre la pareille mais ça me fait un peu peur. En plus je vois que l’heure avance et il me reste du chemin à faire.
— Désolé. Mais j’ai encore pas mal de route devant moi.— Tant pis. Allez mon chéri. Viens par-là.
Il s’agenouille et plonge son visage sur la chatte de sa copine. J’essaie de me rendre présentable mais c’est peine perdue. Les manches de mon chemisier sont tachées. Mon collant est mouillé et filé. Je le retire et l’utilise pour m’éponger sommairement. Je quitte les deux amants qui sont en pleine extase. Je pense qu’ils vont encore être là un moment.
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