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Ce n'est pas parce qu'on a 50 ans qu'on ne plait plus aux jeunes

Chapitre unique

Erotique
Cet après-midi là, Corinne et Mylène se retrouvaient une fois de plus dans leur salon de thé pour papoter. Toutes deux quinquagénaires mais parfaitement conservées, minces et élégantes, l’une fausse blonde (Corinne), l’autre aux cheveux blond vénitien (Mylène), le sujet de leur discussion les concernait au premier chef :— Tu as entendu l’écrivain dire qu’il ne pourrait jamais coucher avec une femme de cinquante ans et que rien ne peut se comparer au corps d’une jeune femme de 25 ans ? lança Corinne.— Oui et quand j’ai lu ça, j’ai hurlé. Quel macho ! Quel salaud ! On ne devrait pas publier des choses pareilles.— N’empêche que ça a été dit et écrit et on passe pour des vieilles. Le pire, c’est que quand j’en ai parlé à Christophe (le mari de Corinne), il a fait la moue et n’a rien dit, comme s’il approuvait. Je ne te dis pas la scène ensuite. Depuis, grève du sexe.— Grève du sexe ? Toi ? Tu m’étonnes. Remarque, j’en aurais fait autant. Je préfère ne pas évoquer le sujet avec Hugues (le mari de Mylène).— Tu ne crois pas qu’on devrait réagir, d’une manière ou d’une autre ?— Que veux-tu dire ?— Eh bien, montrer à nos hommes qu’à cinquante balais, une femme est encore baisable par un jeune.— On ne les a pas attendus pour le faire, hein Coco ? Bon, mais on s’y prend comment si on veut qu’ils le sachent car c’est quand même le but, non ?— Je te propose un truc. Samedi soir, il y a un match de l’équipe de France de foot à la télé et nos chers et tendres vont se retrouver devant leur écran. Pendant ce temps là, on sort.— Tu as un endroit en vue, une boite ?— Plutôt qu’une boite, où on ne voit rien et où on ne s’entend pas, un café dansant où je suis allée il y a quelques années et qui marche toujours du feu de dieu. Il y a de tout, des jeunes, des moins jeunes et ça drague pas mal. On devrait trouver notre bonheur.— Tu crois qu’on peut lever des jeunes ?— Pourquoi pas? Tu doutes de toi ? Si on sait s’équiper, je te parie qu’on peut y arriver.— J’ai une robe très sexy qui peut faire l’affaire. Mais qu’est-ce qu’on raconte à nos mecs ?— On peut dire qu’on va à l’anniversaire de Muriel. Elle fréquente le lieu et elle nous servira d’alibi.— Bonne idée. Sacrée Mumu, toujours à la pointe du combat. Plus libertine qu’elle, tu meurs.Et les deux amies prirent rendez-vous pour le samedi suivant.
*********
Elles se pointèrent au café dansant par une chaude nuit de fin d’été très légèrement vêtues. Corinne avait choisi un short court qui mettait ses longues jambes bronzées en valeur et un "top" à fines bretelles sous lequel elle était nue. Mylène portait une mini robe très décolletée dans le dos, elle aussi sans soutien-gorge, toutes deux cherchant ainsi à montrer la fermeté de leur buste. Il était difficile, en les voyant débarquer, de ne pas penser au sexe et de fait, elles furent très vite remarquées par l’assistance. Mais leur amie Muriel les intercepta et après la bise d’usage, un échange s’engagea avec la plantureuse blonde, un peu plus âgée mais arborant un profond décolleté qui mettait en valeur sa généreuse poitrine. Elle leur posa cette question :— C’est quoi, votre plan ici ? Vous ne venez jamais d’habitude.— On avait envie de te voir. On sait que tu es une habituée, petite coquine.— Attendez. Vous venez vraiment pour danser ou vous cherchez à baiser ?
Corinne se sentit obligée de raconter leur motivation en rappelant la déclaration de l’écrivain et leur volonté de montrer à leur mari qu’elles pouvaient encore "séduire" des jeunes hommes. Muriel éclata de rire :— Bon, j’ai compris, vous attendez de moi que je serve d’entremetteuse. Cela ne devrait pas être trop difficile, vous êtes superbes toutes les deux. Allez, on va d’abord prendre un verre.
*******
Alors qu’elles sirotaient leur cocktail, Corinne et Mylène furent plusieurs fois sollicitées par d’autres clients, tous quinquagénaires et plus ou moins ventripotents. Elles déclinèrent, n’étant pas venues pour ça. Puis Muriel disparut et les deux amies commencèrent à s’inquiéter car plus personne ne venait vers elles.C’est alors que "l’entremetteuse" réapparut flanquée de deux jumeaux métis d’une vingtaine d’années à la peau lisse et au corps souple. Ils s’appelaient Max et Alex et les deux amies furent aussitôt subjuguées. Présentations faites, ils n’eurent pas besoin d’insister longtemps pour les entrainer sur la piste pour des rocks endiablés. En quelques minutes, les deux quinquas crurent rajeunir de trente ans. Elles montraient une telle vivacité que tous les regards mâles étaient désormais dirigés sur elles et sur leurs jambes largement découvertes. Une heure plus tard, l’affaire était scellée : Alex, Max, Corinne et Mylène accompagneraient chez elle Muriel et son chevalier servant, un gars costaud type pilier de rugby prénommé Kevin et de trente ans plus jeune qu’elle. Avec tous en tête qu’une bonne partie de baise les attendait.
Dans l’appartement, les choses furent rondement menées. Une fois un énième cocktail consommé (ce qui acheva de désinhiber Corinne et Mylène), Muriel invita le quatuor à occuper sa chambre cependant qu’elle se réservait celle des amis avec Kevin. Corinne et Mylène découvrirent, non sans surprise, que la pièce qui servait au sommeil de leur hôtesse était tapissée de miroirs, y compris au plafond. "Une vraie chambre de libertine", pensa Corinne. Les deux métis étaient visiblement pressés de passer à l’action et les deux amies s’ingénièrent à les faire mariner dans leur jus en retardant leur déshabillage. Elles voulaient d’abord les embrasser, savourer ces jeunes bouches et palper leur corps vigoureux à travers leurs vêtements. Elles constatèrent, non sans satisfaction, que les jumeaux bandaient comme des ânes mais aussi que toute leur expérience consisterait à maitriser cette fougue et par conséquent leur éjaculation. Mais comme elles avaient l’une et l’autre hâte de voir leur bite, ces atermoiements ne durèrent pas plus que de raison. Quand les deux chibres jaillirent du jean, elles s’en emparèrent avec volupté et peu importait qu’elles ne sachent pas si l’une était de Max et l’autre d’Alex. Ces deux là comprirent très vite que les deux suceuses étaient d’un autre calibre que leurs copines habituelles. Ils avaient l’impression d’être dans du velours. S’abandonnant à la bouche habile des deux quinquas, ils atteignirent une longueur et une dureté que les deux goulues considérèrent comme prometteuses et suffisantes. Il était temps de se mettre à poil.
*******L’avantage avec des jumeaux, pensa Corinne en dégrafant son soutif, c’est qu’on ne risque pas de se disputer en voulant l’un plutôt que l’autre. De fait, elle ne savait pas si c’était Max ou Alex qui l’aidait à se débarrasser de son short ou qui était déjà en train de plonger son museau entre les cuisses de Mylène pour un cunnilingus. Mais au fond, peu importait car c’étaient deux mâles splendides aux caractéristiques identiques qui allaient les honorer et ainsi baiser côte à côte pour la première fois depuis qu’elles se connaissaient. Corinne s’offrit elle aussi au cunni et découvrit dans le miroir du plafond la posture d’elle et de son amie en travers du lit, en train de se faire lécher par deux têtes crépues forcément identiques. Mylène matait aussi et leurs regards se croisèrent, où elles pouvaient déjà lire l’abandon à l’étrange situation.
Puis dans un même mouvement, les jumeaux se relevèrent, coiffèrent un préservatif préalablement sélectionné, posèrent leurs mains sur le lit et les pénétrèrent quasi en même temps. Corinne gémit et Mylène couina beaucoup plus fort. Les deux gars labouraient en se régalant du corps parfaitement conservé des deux quinquagénaires, au fond pas si différent de ceux plus jeunes qu’ils avaient l’habitude de besogner. La comparaison pouvait même, dans certains cas, se porter à l’avantage des deux femmes mûres. Ils ne tardèrent pas à comprendre que leur labeur allait être hautement récompensé. Stimulées par la vision au plafond des deux petits culs bronzés qui s’agitaient en elles avec souplesse, Corinne et Mylène se mirent à ruer dans les brancards comme si elles étaient fortement désireuses de montrer à leurs chevalier servants qu’elles n’étaient pas de simples planches à pain au lit. Décollant leurs fesses, roulant des hanches, griffant les flancs ou les épaules de leur amant, elles accompagnaient leurs soubresauts d’onomatopées et même de propos crus qui surprirent les jumeaux et leur fit vite comprendre qu’ils étaient tombés sur deux dévoreuses. Corinne et Mylène semblaient s’exciter mutuellement, comme une petite compétition de crudité, en évoquant la bite et même les couilles de leur baiseur réciproque. Cela eut pour effet d’accélérer leur rythme et donc de faire monter les décibels dans la chambre au point que Muriel interrompit son propre coït pour venir voir complètement à poil ce qui se passait :— Eh bien les filles, on dirait que vous prenez votre pied, s’exclama-t-elle.Du coup, une pause intervint, salutaire pour les jumeaux qui étaient tout près d’éjaculer.— Prends nous en photo avec notre portable, demanda Corinne à Muriel, on veut se voir en train de baiser avec ces canons.— Ok, je finirai avec Kevin après, petites vicieuses que vous êtes.
*********La photographe provisoire imposa aux deux femmes de se mettre à quatre pattes face au miroir et de se faire prendre en levrette. Dociles, elles s’exécutèrent d’autant plus volontiers qu’il ne leur déplaisait pas de se regarder en train de baiser et de voir leur amant en action derrière elles. Muriel virevoltait avec ses deux téléphones portables, flashant à tout va et installant dans la pièce une forte tension érotique par ses évolutions et le balancement de ses seins lourds. Son amant Kevin observait dans un coin en se paluchant. Corinne et Mylène s’efforçaient de présenter un visage rayonnant et non déformé par le plaisir ou les cris. Elles venaient l’une et l’autre chercher la bite à grands coups de hanches, procurant à leurs jeunes partenaires une satisfaction très masculine d’adhésion à leurs coups de boutoir. L’un des deux jumeaux (Alex ou Max ?) marqua son intention de sodomiser Corinne mais celle-ci refusa. Sauf exception (voir le précédent texte "Corinne en mission à Rome"), elle réservait cette privauté à son mari Christophe dont, au passage, elle avait oublié l’existence en entrant dans la chambre.
En revanche, Mylène accepta. Sa somptueuse croupe vénusienne inspirait toujours ses amants au point que la sodomie était devenue quasiment un passage obligé dans ses rapports sexuels et elle avait fini par y prendre goût. L’opération prit un certain temps et captiva les quatre autres protagonistes, en particulier le deuxième couple qui observa une courte pause. Enculée, Mylène poussa un profond soupir suivis de curieux jappements (aw ! aw ! aw !) qui amusèrent Corinne quand l’un des deux jumeaux se mit à la percuter. Le deuxième couple se remit au travail (cette fois, Corinne chevauchait Max à moins que ce ne soit Alex) mais surtout, la photographe avait abandonné sa mission, son jeune amant ayant lui aussi décidé de la sodomiser. Son visage était alors si proche de celui de Corinne qu’elles auraient pu s’embrasser mais l’une et l’autre commentaient leur plaisir en termes choisis, vantant la virilité de leur propre partenaire, tant et si bien que par un méli mélo totalement imprévu, Corinne, les pieds en l’air, se retrouva baisée par Kevin tandis que Muriel se révélait possédée par Alex (ou Max), toujours en levrette et les nichons en bataille, quasiment sous le nez du deuxième jumeau. Inutile de préciser que le lit était devenu un vaste chantier et la chambre envahie d’odeurs sui generis.
Mais les trois jeunes gars se révélaient d’une endurance à laquelle les trois matures étaient peu accoutumées. Aussi déployèrent-elles toute leur science pour les faire éjaculer. Massage de prostate, pressage de couilles, pipes et propos crus finirent par atteindre leur objectif. Muriel, littéralement dévastée par son pilier, fut la dernière à obtenir gain de cause sous les encouragements des deux autres quinquas lesquelles mirent aussi la main à la pâte, si l’on peut dire, pour faire gicler le gaillard. Et c’est ainsi que, légèrement moulues, Mylène et Corinne se retrouvèrent ensemble sous la douche pour se laver de leurs diverses secrétions.— Ben dis donc, quelle séance, commença Corinne en se savonnant. Mais qu’est-ce que tu es bruyante quand tu baises. On en a pris plein les oreilles.— Tu ne t’es pas entendue. Tu es d’une vulgarité incroyable quand tu jouis. Je ne croyais pas ça de toi.— Je ne m’en rends pas compte. J’ai en moi quelque chose de bestial qui surgit quand je suis bien baisée et c’était le cas. Cela dit, pour une BCBG à foulard Hermès et collier de perles, tu trompes aussi ton monde.— Hypocrite, petite bobo que tu es. Faut reconnaitre que ces mecs étaient de vraies mitraillettes. J’ai adoré voir s’agiter leur petit cul dans le miroir. Tiens, y en a un des deux qui avait un grain de café sur une fesse, c’est à ça qu’on aurait pu les reconnaitre mais je ne sais même pas duquel il s’agit.— C’est vrai que c’est génial de partouzer avec des jumeaux. Muriel est vraiment une coquine. Une grosse salope, même.— Comme nous (Mylène pouffe de rire). Bon mais maintenant, il faut savoir ce qu’on va faire de ces photos. Le but, c’est quand même qu’elles aillent sous les yeux de nos maris pour qu’ils voient que les quinquas ne sont pas à jeter à la poubelle.— Je ne me vois pas montrer à Christophe une photo où je me fais sauter par un éphèbe. En revanche, pourquoi on n’échangerait pas ces clichés ? Toi, tu me montres à ton mari et moi, je te montre au mien. Comme ça, ça leur mettra la pression sur le thème "tu vois, ma copine, elle est toujours désirable pour un jeune".— Mais il risque de se demander comment tu as fait pour avoir cette photo.— Je lui dirai que tu t’es vantée auprès de moi de ta séduction, preuve à l’appui. Il sera choqué mais il gobera, je le connais.— D’accord mais tu me jures que mon mari n’en saura rien ?— Oui, parce que tu auras ma photo en ta possession pour la même opération. On se tient par la barbichette...— Ok, on va regarder ce que Muriel a obtenu sur nos appareils et ça risque d’être chaud...
*******Deux jours plus tard, Corinne recevait un mail de Mylène avec sa photo en train de se faire prendre en levrette par Alex (ou Max). Une photo "plein pot" où le rictus de plaisir de la récipiendaire ne laissait aucun doute sur la qualité de son rapport sexuel. Corinne rit tout haut et s’attira la curiosité de Christophe :— Qu’est-ce qui te fait rire ?— C’est rien, une photo de Mylène très coquine.— Fait voir.— Non, c’est perso.— Si, fait voir.Et Christophe découvrit la scène. Il en resta bouche bée :— Mais elle baise avec ce jeunot !— Eh oui, tu vois, ce n’est pas parce qu’on a cinquante balais qu’on n’est plus attirante. Prends-en de la graine.— Et son mari ? Il est au courant ?— Ben, ça m’étonnerait. A sa place, je serais même inquiet.Christophe ne dit rien mais il était visiblement ébranlé. Corinne avait clairement fait planer une menace. Presqu’au même moment, Hugues, le mari de Mylène, découvrait Corinne dans la même position et réagissait de même. Le soir même, toutes les deux passaient à la casserole dans le plus classique rapport conjugal. Objectif atteint.
******Tout se serait passé dans le meilleur des mondes érotique si quelques jours plus tard, Mylène n’avait laissé son téléphone portable ouvert sur la table du salon pendant qu’elle faisait la cuisine. Poussé par la curiosité de revoir Corinne en pleine action, Hugues s’était emparé de l’objet connecté et avait cherché la photo. L’ennuyeux, c’est que Mylène n’avait pas fait le tri des clichés envoyés par Muriel, se réservant le plaisir de visualiser l’ensemble des scènes après n’avoir montré à son mari que ce qui était convenu avec Corinne. C’est ainsi que Hugues découvrit non seulement Mylène en train de baiser mais aussi Corinne à ses côtés avec l’autre jumeau et, qui plus est, Muriel à poil derrière en train de photographier et reflétée par un des miroirs de sa chambre. Une scène terrible s’ensuivit, Hugues n’ayant pas admis que sa femme participe à ce qu’il fallait bien nommer une partouze.Et c’est ainsi que lors du rendez-vous suivant au salon de thé, Mylène apprit à Corinne qu’elle se séparait de son mari.— Me voici totalement libre, constata-t-elle, fataliste.— Heureusement que ton mari et le mien ne se connaissent pas, sinon on était deux dans le même cas.— Tout ça est de ma faute. J’aurais dû effacer toutes les photos. On dit que les couples adultères sont trahis souvent par leur téléphone portable mais j’en suis la preuve vivante.— Tu as raison, d’ailleurs je vais me débarrasser du mien.Mais c’était un engagement hasardeux. Quelques jours plus tard, Corinne envoyait un courriel à Muriel pour lui demander à nouveau un rendez-vous avec un des deux jumeaux, histoire de se sentir plus jeune. Avec cette précision :— Max ou Alex, je ne sais pas mais celui qui a un grain de café sur une fesse. C’est mon préféré.
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