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Ce n'est pas ce qui était prévu

Chapitre 2

Un tournant prévisible, imprévu

Avec plusieurs hommes
Un tournant prévisible, imprévu

Pascal se réveille après ce qu’il pense être une micro sieste. Combien de temps a-t-il comaté ? Il ne sait le dire. La seule chose dont il est certain, c’est d’avoir rêvé d’un coït furtif entre sa femme et leur voisin, Norbert. Déjà, il avait réussi à l’exhiber, d’ailleurs sans trop de peine, croit-il se souvenir. Mais de là, à imaginer Claire se faire baiser par un autre et devant lui, il ne faut pas exagérer non plus. Certes pendant leur jeunesse, ils avaient été sexuellement très actifs, osant un certain nombre de turpitudes, s’offrant l’un à l’autre dans des lieux parfois insolites. Mais jamais ils n’avaient encore introduit une tierce personne dans leurs jeux amoureux. Pascal y avait bien songé par le passé, mais sans jamais avoir osé lui en parler, de peur que Claire ne le prenne mal et de lui faire penser qu’il la considérait comme une pute.
Il émerge finalement de sa torpeur, les idées encore brumeuses. Combien de temps a-t-il réellement plongé dans les bras de Morphée ? Visiblement, bien plus qu’il ne l’a imaginé. Son épouse est-là, avachie, endormie sur le canapé, pratiquement mise à nue. Le chemisier désormais disparu, exposant sans pudeur aucune, sa magnifique poitrine aux tétons encore dressés, la jupe troussée, une cheville sous les fesses, le compas largement ouvert, le sexe brillant, visiblement trempé, mais surtout disponible, à portée de tous. De tous, puisque Norbert lui aussi est là, l’ayant rejointe, assis à ses côtés, la tête posée sur un accoudoir, dormant d’un sommeil « des justes », profond, aux ronflements sonores. Un nœud dans l’estomac, Pascal remarque la main négligemment posée sur la cuisse de la maîtresse des lieux, à quelques centimètres de son trésor intime. Il se secoue. A-t-il réellement rêvé ou a-t-il inconsciemment assisté à des ébats adultérins ?
Sans doute est-il trop perturbé par ses rêves érotiques, son imagination débordante et ce vieux fantasme de candaulisme. Pas un seul instant il imagine son épouse céder aux éventuelles avances du « vieil » homme. Pas un seul instant, elle pourrait avoir pris le risque de profiter de son endormissement, là, à moins de deux mètres de lui. Dans son rêve, il avait imaginé leur invité fouiller l’intimité de l’hôtesse de ses doigts potelés et ridés, mais tout de même...
Il connaît suffisamment sa cher et tendre pour savoir qu’en aucune circonstance, cette dernière se donnerait à un autre et encore moins sans lui en avoir parlé, bien qu’il en ait imagé le scénario plus d’une fois.
Cette idée finit par l’émouvoir, et force est de constater qu’il bande de nouveau, comme aux plus beaux jours de leur union. La chatte luisante de Claire, la poitrine qui se soulève au rythme régulier de sa respiration, ses mamelons majestueux qui semblent le narguer, font renaître le désir éprouvé en début de soirée, interrompu par la venue de l’intrus, qu’est au final, Norbert.
Faisant fi de sa présence, Pascal s’avance vers elle, dégage la main aux doigts luisants de leur invité ... s’agenouille devant ce fruit défendu, le hume avant que sa bouche ne s’en empare. Son parfum l’enivre bien vite, fait de sucs et d’épices. Cette odeur si caractéristique qu’il connaît si bien et que dégage Claire lorsqu’elle jouit. Il en est certain, cette cochonne a déjà connu le bonheur, le plaisir, dans la soirée. Mais à quel moment ? Le nectar de son épouse lui coule sur la langue. Dans son sommeil, elle suggère un soupçon de contentement par de discrets soupirs. Il s’active. La caverne secrète ne tarde pas à sourdre de cette substance mystérieuse divine. Deux mains viennent plaquer sa bouche sur ce met juteux. Claire se manifeste enfin, émergeant à son tour d’une torpeur alcoolisée.
— Putain que tu es bon mon salop ! Ca fait une éternité que tu ne m’as pas bouffé la chatte ainsi.
Continue mon petit cochon. Que j’aime ta langue ! Tu me fais mouiller.
Encouragé, Pascal se démène du mieux qu’il peut, certain de son expérience d’homme mûr. Sa langue a débusqué l’éminence jusque-là discrète, sous son capuchon et la titille. Il lui semble alors que la fontaine à laquelle il s’abreuve inonde sa cavité buccale et coule sans discontinuer. Il se délecte de cet élixir d’amour, ce jus exotique d’un fruit à point.
— Baise-moi !
Ce n’est pas un ordre, mais un devoir. Pascal se relève, ouvre son pantalon, baisse son boxer. Un sexe droit, raide jaillit tel un ressort comprimé. Il s’immisce entre les lèvres intimes de Claire et d’une poussée lente et régulière, investit l’antre bouillonnant de sa compagne qui, telle une tigresse, feule d’une agonie jouissive.
— Oh qu’elle est bonne cette queue !

Il n’est pas genre à vanter une marchandise extraordinaire. Son sexe est cependant plutôt long, un peu plus que la moyenne des hommes de type caucasien, mais particulièrement fin, le qualifiant lui-même de « baguette magique », bien entendu en raison de son aspect, mais surtout grâce à ses facultés de maintenir une érection, même après éjaculation. Il est de ces individus, assez rares, multiorgasmiques, à la période réfractaire excessivement courte, voire inexistante. Lui qui était si timide dans sa vie de jeune adulte, avait honoré une bonne partie des filles de l’IUT de Talence grâce à ce phénomène, la rumeur l’ayant précédé sur tout le campus. Mais tout cela était avant, avant que Claire ne s’empare en exclusivité du sujet et dont jamais il ne s’est détourné.
Et justement, Claire, en ce moment même, se pâme sous les intromissions de son mari, allant et venant en elle, l’électrisant à chaque poussée. Comme aux plus beaux jours de leur rencontre, Pascal, tel un piston coulissant dans son cylindre, la pilonne, heureux du clapotis obscène qu’il provoque. La corolle épanouie de son épouse aspire d’elle-même le vit qui la pourfend, dans un bruit ignoble de succion. Pascal s’enivre de tous ces sons, de cette atmosphère tropicale, de l’odeur de stupre, de ce fourreau soyeux qui l’accueille, de toutes ces sensations, de cette douceur, que son membre fiché en elle, tel une sonde, transmet au plus profond de son âme, libérant un flot de dopamines jouissives.
Indifférents à leur environnement, ils se donnent l’un à l’autre, d’un amour charnel aphrodisiaque, ponctué d’ahanements, de halètements, de soupirs, de cris gutturaux d’une extase qu’ils pensaient à jamais oubliée. Claire ne sait plus où elle en est, jouit inlassablement de cette partition pour deux corps, magnifique union pornographique, mais tellement sensuelle, emprunte de douceur, d’émerveillement.Norbert quant à lui s’est réveillé déjà depuis un petit moment, chahuté par les soubresauts du canapé, tel un voilier dans le sillage d’un paquebot, mais surtout par les grognements et les cris poussés par ses voisins. Immobile, il n’ose se manifester, incrédule, trop heureux d’assister en direct à une copulation dont il n’aurait jamais imaginé être témoin, mais qui a réveillé en lui une manifestation phallique qu’il croyait à jamais éteinte, malgré ses quelques masturbations solitaires.

Alors que Pascal somnolait, il avait déjà eu le privilège de fouiller l’intimité de sa voisine, tant il avait été convaincant dans ses suppliques de vieil homme, prétextant son veuvage et vantant les charmes aperçus, bien malgré lui, de son hôte. Claire, perturbée, enclin à un nouveau plaisir, avait cédé sans qu’il n’insiste trop, l’autorisant juste à la doigter, ne voulant pas trahir son mari, bien qu’elle soit certaine, elle ne sait dire pourquoi, qu’il ne lui en voudra pas vraiment. Elle s’est alors débarrassée de son chemisier, pour la plus grande joie de Norbert, qui, en élève studieux, s’est concentré sur ce sexe qui lui est offert, respectant la volonté de sa propriétaire. Il se contente d’y introduire, un, puis deux et enfin trois doigts, la limant comme il l’avait déjà fait tant de fois avec sa regrettée Simone, arrachant à son amante du moment, des cris hystériques, étouffés dans son chemisier transformé en bâillon.
Pour la première fois depuis bien des années, il avait alors senti son membre durcir comme aux plus belles heures de sa gloire.
A l’étroit dans son vieux pantalon de velours, il dégage son membre congestionné et timidement commence à flatter son membre fièrement dressé.Paraissant l’ignorer totalement, ses hôtes continuent leurs galipettes effrénées. Norbert, admiratif de ce couple si harmonieux dans l’amour, contemple sa voisine jouir pour la énième fois, impudique même en sa présence. Il s’enhardit et ose poser une main sur cette poitrine arrogante aux aréoles qu’il jauge démesurées, aux mamelons raidis.
Claire émerge de sa torpeur jouissive, surprise, sans être réellement décontenancée, par cette senestre étrangère et inattendue, quoique... vu ce qu’elle lui avait autorisé un peu plus tôt. Ne sachant quelle attitude adopter, muette, elle interroge son mari du regard, n’ayant plus jamais eu le moindre rapport avec un autre homme depuis que son merveilleux amant d’alors soit devenu son époux.
Pascal la contemple et ne souhaite pas influencer sa décision. Il hausse les sourcils dans un « c’est toi qui vois » inexprimé, ce qui paraît déjà en soi une permission. Il a bien vu que depuis quelques minutes, le vieil homme s’est réveillé et se masturbe discrètement. Comment peut-il en être autrement, alors qu’un couple copule joyeusement à ses côtés ? Son pouls s’accélère, son estomac, sa gorge se nouent. Va-t-il enfin réaliser un vieux fantasme, celui de voir son épouse avec un autre ?
Claire, indécise, observe un Norbert aux yeux suppliants, comme il avait déjà su le faire un peu plus tôt. Il assiste à leurs échanges discrets et silencieux. Il comprend, en cette hésitation, une autorisation implicite et s’accorde le luxe de véritablement empaumer le sein au téton dressé sous ses doigts. Il le presse légèrement, faisant saillir davantage encore, le mamelon prisonnier.Vaincue sans livrer bataille, Claire ferme les yeux, approuvant sa présence, mais surtout la participation du retraité. Sans jamais en avoir parlé à son époux, il y a des années qu’elle s’imagine en proie à une pluralité masculine. Pouvoir disposer pour elle seule de deux, trois étalons ne lui fait pas peur. Cette soirée inattendue lui réserve finalement de belles surprises.
Pascal ayant un temps interrompu son va-et-vient, reprend de plus belle, encouragé par les soupirs de bien-être de sa belle qui susurre, comme pour le rassurer un "Je t’aime mon cœur", presque inaudible.
Les deux hommes s’affairent, l’un entre sa fourche trempée d’un plaisir manifeste, l’autre sur une poitrine jusqu’alors inconnue. Norbert après plusieurs années d’abstinence, se penche, retrouve des réflexes ancestraux, embouche le mamelon, le lèche, le suce, le tète délicatement puis, comme un nouveau-né l’aspire, tire dessus, tentant désespérément de boire à la source tarie depuis fort longtemps, arrachant à sa propriétaire des plaintes de contentement. Sa main s’active également, le majeur qui se veut délicat dans un premier temps, branle maintenant vigoureusement le clitoris débusqué rougi, huilé de sécrétions vaginales, à quelques centimètres du membre qui la possède.
Le corps électrisé, stimulé en de multiples points érogènes, la tête rejetée en arrière, Claire explose dans une nouvelle jouissance. Elle ne cherche plus à retenir le moindre cri, profite du moment présent et hurle son bonheur et plaisir à la cantonade.
— Oui, baisez-moi mes salops ! Hummmm que c’est bon !
Encouragé par ces injonctions, Norbert retire son pantalon et son sous-vêtement dévoilant à ses comparses un sexe érigé tel un missile prêt à partir, très épais, à la toison hirsute blanchie par les années. Claire ne peut s’empêcher de penser que cet homme est sacrément bien pourvu, sous-entendu « pour son âge » et ne dirait probablement pas non à accueillir en elle cette nouvelle bite.Elle ignore encore pour le moment que Norbert fût un fieffé queutard, un sacré coquin et que sa douce et regrettée Simone n’avait jamais rechigné à la tâche pour en profiter, contrairement à sa première concubine qui elle, n’avait aucun désir, tout juste acceptait-elle une « missionnaire » et encore, pas trop souvent. Malheureusement pour lui, depuis son veuvage, il se contente en de rares occasions de s’autosatisfaire, ayant perdu le goût pour la gaudriole, enfin, le pensait-il jusqu’alors.
Mais là ce soir, devant cette belle Femme, avec un F majuscule, il se sentait renaître et retrouvait des sensations qu’il croyait lui-même oubliées. Que nenni ! Tout fonctionnait de nouveau, son sexe tendu à l’extrême en est bien une preuve irrévocable.
Claire, d’une main hésitante, s’empare, enfin, de l’objet ainsi présenté et commence une lente masturbation. Norbert se redresse, se tend. Il n’a plus l’habitude de sentir, mais surtout de voir une main féminine s’occuper de lui. Il se concentre, déjà au bord de l’explosion, tant il est excité par cette situation inopinée et surtout improbable quelques heures plus tôt. Il aimerait bien qu’elle le prenne en bouche et lui offrir son propre jus d’amour, retrouver les délices d’une fellation aboutie, comme sa disparue en avait le secret. Mais il est encore un peu tôt dans cette nouvelle relation pour pouvoir quémander quoi que ce soit, il se contentera de ce que ses hôtes voudront bien lui offrir, déjà heureux du moment présent.
Claire ralentit le geste, des gouttes pré-éjaculatoires du liquide séminal apparaissant déjà au bord du méat. Pascal lui s’active, exhorté par le spectacle de son épouse branlant un autre homme, Norbert.
C’est dans un râle discontinu, un cri bestial, venu du plus profond de ses entrailles, s’arc-boutant au possible, semblant vouloir investir davantage le sexe qui l’accueille, qu’il explose, expulsant sa semence dans les tréfonds de la matrice, maculant ainsi les parois soyeuses de sa conjointe.
— Donne-moi tout, bourre-moi la chatte ! Salop je jouiiiiiiis.
Claire, la femme, l’épouse, la mère sage que tout le monde connaît, retrouve son verbe d’autrefois, sa propension à être grossière dans des moments extatiques, manifestant ainsi la jouissance démesurée qu’elle éprouve.
Norbert n’en croit pas ses oreilles et encore moins ses yeux lorsqu’il voit et sent la bouche pulpeuse de sa voisine engloutir sa verge tendue. Dans l’euphorie de l’instant, Claire embouche cette queue qui semblait la narguer depuis quelques minutes. Les lèvres distendues, plus qu’elle ne l’aurait imaginé, par un mandrin au diamètre imposant. Elle s’applique, les joues déformées par le phallus qui, à présent, la baise méthodiquement. Norbert, la surprise passée, reprend la main sur une situation dont il sait qu’il ne pourra pas en maîtriser l’issue bien longtemps. Il s’enfonce dans cette cavité buccale, allant le plus loin possible, aussi loin que lui permet son membre gonflé comme rarement il ne l’a été, le nez de sa partenaire enfoui dans sa toison pubienne négligée depuis des années, indifférent aux haut-le-cœur de Claire qui accepte de bonne grâce ce rapport plus bestial qu’à l’ordinaire.
Il enserre de ses mains puissantes la tête de cette belle femme, se projetant du mieux qu’il peut au fond de sa gorge. Les yeux embués, la femme étouffe, éructe, hoquette, écume, mais ne se dérobe pas, soumise, heureuse, à ce sexe, à cet homme qui la possède ainsi.
Pascal jubile devant cette scène pornographique. Euphorisé par une situation qu’il n’avait jamais cru possible. Un moment tant scénarisé dans ses songes les plus fous, qui se déroule là, maintenant, en son domicile, sur ce canapé. Dans cette folie, n’ayant toujours pas débandé, il besogne désormais son épouse sans ménagement, lui assenant de grands coups de boutoir, la perforant à chaque introduction, lui arrachant des cris étouffés par la verge de Norbert. Le regard fou, il jouit une seconde fois, presque tout aussi abondamment dans l’intimité qui le reçoit. Au même instant, Norbert grogne son plaisir, rauque, secoué de spasmes incontrôlables, incapable de se retirer, de se maîtriser, se répand entre les lèvres de Claire.En deux gorgées, elle engloutit l’offrande reçue, sans pour autant relâcher ce sexe déjà ramolli et comme une affamée, en extrait la moindre goutte puis méticuleusement, en nettoie la moindre souillure.
Le silence s’installe, de grâce peut-être, d’une gêne perceptible certainement de la part des deux hommes, alors que Claire indifférente, telle une affamée, s’affaire toujours sur le membre qui pour le moment, malgré ses efforts, ne semble pas vouloir reprendre vigueur.
Norbert tente de s’excuser pour ce moment d’égarement. Pascal l’interrompt en s’adressant à sa femme :
— Dis donc ma petite cochonne, moi aussi je peux avoir droit à un peu d’attention ?
Il se retire de sa chatte, le pénis toujours en érection, englué du sperme de ses deux éjaculats et des sécrétions vaginales de son épouse.
— Mais bien sûr mon seigneur...
Sur ces paroles, elle avale, lèche, suce le sexe maculé, se pourlèche, se délecte de ce met qu’elle apprécie toujours autant, après toutes ces années d’une sexualité qui était finalement juste en sommeil.
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