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Qu'est-ce qu'il se passe ?

Chapitre 1

ouverture de cette histoire que je souhaite raconter. Ce inspiré de certains événement de ma vie réelle

Gay
Je m’appelle Marvin. Je suis assez jeune, j’ai à peine 18ans, je me trouve plutôt beau gosse, sans non plus me prêter à un jeu de narcissisme et d’excès de confiance, je sais rester humble, en ayant une certaine confiance en moi. Mon âge et mon entrée dans cette période dite "ingrate", mes hormones me travaillent donc énormément, j’ai plusieurs doutes sur ma sexualité, normal à mon âge, vous allez me dire. J’ai souvent l’habitude de me procurer du plaisir, que ce soit sur les hommes et sur les femmes, même si j’éprouve une certaine gêne avec le genre masculin. Mais petit à petit, cette gêne se transforme vite en curiosité de tester une expérience masculine. Les relations qui étaient uniquement féminines commencent à me lasser et j’ai une envie de virilité, de queue.
J’ai un passé à l’époque avec mon meilleur ami actuel où l’on se masturbait mutuellement, et on n’avait aucune gêne, on se masturbait à côté, une fois son jet m’a éclaboussé, mais au fil du temps, nous avons oublié toutes ces aventures, et chacun de nous se déclare maintenant comme "hétéro". Moi je me suis toujours considéré tel quel, mais un beau jour, tout cela se met à basculer pour une raison que je ne sais pas. Je crée donc un compte twitter où je poste des photos de moi dénudé. Ce jeu d’exhibition me plaît énormément, et m’excite beaucoup. Sur ce compte, je laisse parler ma libido, ce qui ne manque pas d’attirer de nombreux profils de tout âge dans mes messages privés et notifications. Je prends du plaisir à échanger des photos et à exciter ces personnes-là, je découvre une nouvelle sensation, un nouveau monde.
Mais une fois semence crachée, j’ai honte de mon comportement et supprime le compte de mon téléphone.
Ma vie continue normalement, je me lève le matin et j’ai cette envie d’y retourner sur ce compte, mais je me rends compte que je dois voir un pote, Gabriel. Je m’habille, allume une clope, sors de chez moi et je vais le rejoindre. Gabriel et moi, c’est une complicité hors norme, on est meilleur pote et quasiment des frères, je le trouve mignon et il possède un très joli corps d’athlète mesurant 1m80 qui ne manque pas de faire mouche auprès de la gent féminine. A mon arrivée au loin, je le regarde et pense à ce qu’il peut se cacher en dessous de ses tissus et de son boxer. Je sens ma queue gonflée petit à petit et je suis surpris de cette réaction de ma part, car Gaby est un de mes gars sur et dont jamais une once d’attirance n’a fait surface entre nous depuis que l’on se connaît. On se capte tranquille chez lui, on roule un joint et je ne sais pas pourquoi ses mains, ses doigts fins, le coup de langue qu’il met sur la feuille m’excitent énormément.
Victime de mon incompréhension, et de mon excitation, je sens ma queue gonfler dans mon pantalon, cela me plaît à ma plus grande surprise de savoir que je bande devant lui, mais qu’il ne se rende pas compte. Je mets une main dans ma poche et me caresse à travers mon pantalon pendant quelques instants, il finit de rouler le joint, son regard se tourne vers moi, je me sens intimidé par cet homme, que je ne considère plus trop comme un ami, mais comme un bel homme viril qui m’excite.
Je suis troublé par tout ça, je reprends mes esprits, m’assois à côté de lui, prends l’enceinte et mets de la musique pour accompagner ce moment agréable accompagné de mon pote, un joint, et ma nouvelle attirance pour les hommes, et en particulier pour celui que je connais depuis le collège. L’excitation redescend et je me calme et en oublie ma libido, et me concentre sur l’aprèm que je dois passer avec mon pote en tant qu’hétéro. On parle de tout, de sexe, de meufs, de musique, de sons, le temps est bon, l’après-midi est cool, et les discussions sur le sexe que j’ai avec lui me font m’imaginer comme il est au lit, et cela me fait perdre la tête, je l’imagine en train de se faire sucer par sa copine actuelle et petit à petit, je ne m’imagine plus sa copine, mais bien moi en train de le sucer.
Très vite, je suis ramené à la réalité par ce que je me suis endormi sur le joint, et qu’il le veut, je le regarde, lui passe le joint, le briquet est posé sur mes cuises et au niveau de mon entrejambe.
— S’cuse-moi chef, je te prends ça, hop, dit-il en mettant sa main au niveau de mon entrejambe.
Ce geste qui pour lui n’a aucune ambiguïté (ou pas, je ne le sais pas pour l’instant) pour moi cela renforce toutes les pensées coquines que j’avais, et renforce ma queue au passage. On parle de plein de trucs et on chill toute l’après-midi le soir venu, je me prépare pour partir, et alors que je suis sur le palier, il me dit que c’est vraiment tendu avec sa copine actuelle et que ça lui a fait du bien de me voir, je lui rétorque que c’est normal et qui s’il a besoin, je suis là. Très triste d’apprendre que mon frère de cœur est en froid avec sa meuf, j’ai une part de moi, qui s’en réjouit.

Petit à petit j’oublie ce "passif (sans mauvais jeu de mots) homosexuel" pour me concentrer sur mes études et surtout sur les cours. Une fois la semaine passée, je suis en Week-end et le vendredi, je me roule un joint, m’installe tranquillement dans mon lit et me relaxe complètement, après plusieurs bouffées inhalées, mon cerveau commence à ressasser ce qu’il s’est passé dans ma tête lorsque j’ai passé l’aprèm avec Gaby, et je commence donc à me faire des scénarios.
Je commence à me masturber en fumant un joint en pensant à la colonne de chair de ce bel homme qui est mon pote pour qui j’éprouve une certaine attirance qui s’est développée à mon insu. Je m’imagine donc à genoux auprès de lui et appliquer une fellation digne de ce nom. Moi qui ai toujours été plus "dominant" avec mes relations féminines, je me retrouve donc à m’imaginer en train de le sucer langoureusement, ma bite se dresse sous l’effet de ses pensées. Actuellement, je n’ai qu’une envie en tête, de sentir une bite dans ma bouche, sur mon corps, dans mes mains, en moi...
Cette envie est décuplée avec l’effet du joint, et me voilà donc à quatre pattes sur mon lit en train de cambrer bien comme il faut pour me prendre en photo, et alimenter ce compte Twitter que j’avais délaissé.
La situation m’excite beaucoup, j’aperçois des bas résilles que mon ex avait laissés chez moi. Sous l’effet de mon excitation, je les prends, les enfile et ressens une sorte de plaisir inconnu au contact du tissu contre ma queue, je bande déjà bien dur et petit à petit en tirant des taffes sur mon joint, je sens le jus monter.
Je me calme direct, car j’ai envie de plus, de beaucoup plus. Je ne sais pas si cela est dû à la défonce, ou à mon excitation, mais ce cocktail me fait basculer pleinement dans le monde du désir masculin, du désir homosexuel. Je prends mon téléphone dans la main gauche, pendant que ma main s’active sur ma bite de dix-huit centimètres dure gonflée d’excitation, et que mes poumons respirent pleinement cette fumée enivrante qui me pousse à m’abandonner pleinement à mon instinct et mon désir que j’éprouve envers les hommes. J’installe donc Grindr, en ayant qu’une seule envie, découvrir le plaisir masculin. Le fait d’être sur l’application me rend de plus en plus dur, ma bite qui est dans mes collants bas résille commence à vouloir s’échapper et à me faire mal, je l’enlève donc et je suis nu, à 4h00 du matin dans ma chambre, complètement défoncé, ma bite à la main, l’odeur de la beuh et de sexe résident dans ma chambre.
Je pars donc à la recherche d’un homme, un bel homme, peu importe s’il a vingt ans de plus que moi, je veux m’abandonner à un homme, le sentir en moi, ou me sentir en lui. Après de brèves recherches, je trouve un profil qui me plaît, j’envoie un message accompagné d’une photo de ma tête et de mon corps...
Le profil que je choisis est un jeune de dix-neuf ans, cheveux longs noirs, corps fin, des abdos dessinés et une bouille d’ange ou de démon. Il me répond à ma plus grande surprise et me complimente sur mon corps, et flashe sur mon fessier et ma queue, il me dit qu’il vit dans un appart à quelques centaines de mètres de chez moi et que si je veux, je peux venir chez lui. Il m’assure qu’il a des capotes et du lubrifiant, je lui dis que je suis encore puceau et qu’il sera très doux avec moi et que je n’ai pas à m’en faire. Il me demande si je fume, je lui réponds que oui et il me dit :"parfait je préroule des joints pour ta douce arrivée :)". Surpris par le charme qu’il dégage en message, ma bite se raidit encore plus. J’enfile un jogging gris sans rien en dessous, j’hésite en regardant les collants à les prendre, mais je me dis qu’il est trop tôt. JE pars donc en douce de chez moi, sur le chemin, j’ai le cœur qui bat fort, mélange d’adrénaline, de stress, d’excitation.
JE me rends donc à son domicile, je tire une dernière grosse taffe, jette le joint par terre, l’écrase, sonne à l’interphone, je grimpe quelques étages, toque à sa porte, le cœur battant et me demandant que fait un hétéro en pleine semaine à 4h00 du matin, complètement pété devant la porte d’un gars pour probablement un moment torride et riche en sensations. Durant ces vagues de pensées, la porte a le temps de s’ouvrir et laisse apparaître ce bel homme aux cheveux noirs qui est en peignoir et son corps se dévoile sous ce tissu blanc.
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