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C'est sympa l'Italie quand on y pense !

Chapitre 1

surtout les italiennes...

Erotique
Salut ! Moi, c’est Thomas, j’ai vingt-deux ans, et aujourd’hui nous allons remonter quelques années en arrière, plus précisément à mes dix-huit ans quand j’étais en terminale. Je faisais un baccalauréat littéraire et j’étais en filière italienne "ESABAC" ; cela permet d’avoir son bac français et son bac italien. L’avantage, c’est que chaque année un échange était organisé avec des correspondants d’une ville en Italie.
En seconde, nous étions à Turin dans le nord de l’Italie ; le froid et la neige, cela ne fait pas bon ménage... Le seul souvenir que j’ai gardé, c’est un bon gros rhume.
En première, on était partis à Naples ; c’est un peu mieux, mais la pluie avait fait son apparition...
Cette année, la prof nous a fait la surprise de choisir la destination de rêve : la capitale, Rome ! Tout le monde a signé pour ce voyage, moi y compris. Nous étions un petit groupe de huit élèves et nous étions plutôt bons amis. La prof avait fait les binômes, et aujourd’hui je peux la remercier. Mais vous savez quoi ? Je vais vous retranscrire la scène, ce sera beaucoup mieux...
— Bonjour à tous et à toutes. Nous sommes à un mois avant le grand départ ; je vais vous annoncer les groupes. Stéphanie, tu seras avec Gloria. Jean, tu seras avec Marco. Noémie, tu seras avec Alessia. Fabien avec Rodrigo. Louise avec Johanna. Étienne, tu seras avec Fabio. Amanda tu seras avec Carolina.
La prof lâche un soupir.
— Et moi, Madame ?— Toi, Thomas, tu es avec Angela.
Nous sommes étonnés ; les garçons me regardent du coin de l’œil.
— Le garçon qui devait être ton correspondant a eu un problème de santé ; et malheureusement, il n’a pas survécu...
Un silence mortuaire s’installe dans la pièce. La prof, émue, reprend son explication :
— J’ai discuté avec le professeur organisateur en Italie, et après avoir obtenu l’accord des parents d’Angela, nous avons décidé que tu pouvais venir.
C’est étrange, mais je ne réalise pas vraiment la situation ; d’un côté, mon potentiel correspondant est mort, mais d’un autre côté, grâce à sa mort, je pars en Italie, et mon correspondant devient une correspondante.
— Je peux te faire confiance, Thomas ?
Je ne réponds pas.
— Thomas ? Thomas !— Euh, oui. Oui, bien sûr.— Tant mieux.
Je sors de la classe, un peu sonné, avec Fabien qui me donne un coup de coude discret.
— Eh bah, mon cochon... toujours dans les bons plans à ce que je vois !— Arrête. Si ça se trouve, elle est moche, ou en couple.
(J’aurais tellement aimé…)
Un mois plus tard, le grand jour arrive. Mon père vient me voir dans ma chambre et me glisse dans la main un paquet de préservatifs.
— Papa...— Quoi ? On sait jamais...
Je les cache en dessous de mes affaires.Ma mère arrive en courant.
— De quoi parliez-vous ?— Rien, je lui disais juste de profiter à fond.— Enfin bref ! Voilà ta crème solaire, tes shorts, ton maillot de bain. Tu vas t’en sortir ?— Chérie, il part pas au Pérou...— Excuse-moi de m’inquiéter pour mon fils ! Ça va aller ?— Oui, maman...— Et n’oublie pas : tu es galant avec Angela, tu montres tes bonnes manières.— Ne t’inquiète pas !
Mon père m’emmène à l’aéroport, car ma mère doit finir un dossier urgent. J’écoute les anecdotes de mon père, car lui et moi avons la réputation d’être de grands séducteurs, et il est le seul à être au courant de mes conquêtes car ma mère est trop inquiète.Mon père me fait un dernier clin d’œil avant que je monte dans l’avion.
J’avoue que durant le trajet, je suis préoccupé de savoir à quoi va ressembler ma correspondante, surtout que je n’ai pas fait connaissance avec elle. Est-ce qu’elle est moche, brune, rousse, petite, mince, avec des formes généreuses, en couple ou non ?
Nous enchaînons les parties de Mario kart sur nos Nintendo Switch. Le voyage passe à une vitesse… Nous descendons de l’avion, et l’appréhension monte en moi à chaque pas de plus que nous faisons vers le hall de l’aéroport.
Soudain, c’est le moment tant attendu : au loin nous voyons le groupe d’Italiens tout souriants. Nous récupérons nos valises, et la distinction est rapide car tout le monde sait déjà qui est son correspondant.
Je suis le dernier à récupérer ma valise, quand soudain je sens une présence derrière moi. J’avale ma salive et me retourne, confiant et souriant ; là, je prends clairement une claque. Pas une claque, mais une claque, puis une gifle, puis une baffe.
Une petite Italienne d’un mètre soixante, les cheveux longs, ondulés et châtain. Les yeux d’un bleu aussi clair que l’eau des Bahamas, toute mince, mais avec les formes d’une danseuse cubaine ! De gros seins bien ronds qui sont visibles par le décolleté profond de sa brassière rouge et bleue, et un cul à faire chavirer le plus pieux des hommes, moulé à la perfection dans son jean en cuir noir.
— Salut !
Elle me saute dans les bras et me fait un câlin.
— Bonjour ! Je suis si heureuse de te rencontrer… Moi, c’est Angela.
Je suis scotché par son physique.
— Et... Bah moi, c’est Thomas.
Je regarde mon téléphone ; les mecs m’ont envoyé un message du style "Veinard, chanceux..." Ils voudraient être à ma place. C’est vrai que moi, qui espérais tomber sur une moche, je suis exaucé...
Elle dit au revoir à son professeur tandis que je repense à tout ce que mon père m’a dit et qui pourrait me servir. Ma prof me rejoint...
— Alors, tu la trouves comment ?— Elle est... très gentille, et je suis sûr qu’on va bien s’entendre.— Tant mieux ! En plus, elle est sportive.
Je lâche accidentellement un « Tu m’étonnes… »
— Qu’as-tu dit ?— Rien... C’est ma langue qui a fourché.
Angela me fait signe de venir.
— Bon, bah, je dois y aller, Madame ; arrivederci.— Arrivederci.
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