Il est là…. Étendu sur le lit, à plat ventre, il somnole, il m’attend. Tel un Apollon androgyne, il a passé ma nuisette bleu-turquoise à dentelle noire, celle qui lui va si bien, celle qui effleure ses fesses. Et quelles fesses, petites, rondes, fermes et douces. Elles laissent juste entrevoir le petit bijou qu’il a pris soin d’insérer dans son écrin d’intimité. Il respire doucement. Il ne m’a pas remarqué. Qu’il est beau !! Moi je suis nue, debout, je le regarde, je l’admire. Un mélange de chaud et de froid remonte le long de ma colonne, ma peau frissonne de désir, mon sang bouillonne d’envie. Mes petits seins se gonflent au rythme de ma respiration, tandis qu’une moiteur commence à réchauffer mon entre-cuisse. Je glisse un doigt entre mes lèvres et le porte à ma bouche. Humm, c’est chaud, salé et acidulé. J’ai tellement envie de lui. Il a pris soin de poser à ses cotés le harnais, un comble de sensualité, rehaussé de ce sexe factice que nous avons pris soin de choisir ensemble. Il m’attend, et je sais ce qu’il désire. Je l’attrape doucement, glisse une jambe, puis l’autre. Je tire sur les sangles qui viennent plaquer ce membre en plastique tendre contre mon pubis. Çà y est, je suis dans mon rôle. Je sais qu’il va jouir, et moi aussi. Il est si beau quand il jouit ! Doucement je lui caresse les jambes. Il sait que je suis là maintenant. De la cambrure de ses talons, mes doigts glissent sur ses mollets, mes ongles effleurent l’intérieur de ses cuisses pour venir légèrement griffer le pli de ses fesses. Je m’attarde. Je masse ses fesses. Je savoure. Je prends mon temps. Il frémit. Ma main plonge entre ses cuisses, au ras du drap pour caresser ses testicules et remonte le long de sa raie en prenant soin de s’attarder sur le petit rosebud brillant. Je masse le bijou, le tourne lentement. Il commence à se cambrer. Je sais ce qu’il attend de moi. Patience mon amour… Mes mains remontent alors le long de son dos, je m’allonge sur lui en rejetant mes épaules vers l’arrière. Mon sexe d’appoint se plaque entre ses fesses qu’il prend soin de remonter. L’envie de le prendre sauvagement, mais également l’envie de faire durer le plaisir me procurent une délicieuse frustration. Mon excitation grandit au creux de mon ventre et se propage dans tout mon être. Mes lèvres intimes remplies d’humidité palpitent, ma respiration s’accélère. Je sais que je vais me transformer, je vais devenir cette bête sauvage en rût qu’il aime tant. Je redescend le long de son dos, mes seins frottent sur ses fesses. J’approche ma bouche de son sillon. Ma langue durcie se faufile et glisse jusqu’au rosebud. Elle trouve un accès pour passer en dessous du bijou et goûter aux plis de son intimité. Une de mes mains lui écarte une fesse, l’autre s’est glissée sous son pubis et caresse son membre bien dur. J’ai besoin de plus. Je veux l’entendre, qu’il fasse du bruit, qu’il crie son plaisir !!
Délicatement je lui enlève le bijou, le faisant danser en haut, en bas, en le tournant, le tirant et le remettant en place. Je vérifie qu’il soit prêt à me recevoir, et il l’est, il n’attend que ça mon amour, mon salaud, ma cochonne !! Je repasse ma langue sur sa rondelle dilatée, j’entre à l’intérieur. Il commence à gémir, se cambre de plus belle, et se positionne sur ses genoux, appuyé sur les coudes, le visage dans le coussin, impatient. J’attrape le gel, je ne veux pas lui faire mal. J’en mets sur mon faux sexe, mais je m’applique surtout à lui en étaler. J’entre un doigt, puis un deuxième. Je jouis presque de lui faire autant de bien. Mais maintenant je ne tiens plus. Je me positionne à genoux derrière lui, ce pénis à hauteur de son petit trou. Il se dandine, il frétille. Son corps me dit, vient, maintenant, oui !! Alors, je pousse le gland contre sa rondelle, je m’enfonce doucement. Un grand râle m’encourage à aller plus loin. J’avance encore. Jusqu’à la garde. Ça y est, il est comblé, je le sens. Mes mains enserrent ses hanches. Mon bassin commence un lent va-et-vient. Mon homme vibre à chaque coup que je lui assène de plus en plus fort.D’une main, passé autour de son ventre, j’attrape son sexe bien dur et commence à le branler. Hum, c’est divin. J’ai cette sensation que ce sexe m’appartient, que c’est moi que je caresse au travers de son corps. Je suis tellement excitée !! Il jouit de plus en plus fort. Je me surprends à devenir vulgaire. Tu aimes ça ma petite salope, hein ? Oui, oui, oui, oui, plus fort !! Soudainement, je ne suis plus moi même, mon bassin vient taper si fort contre ses fesses qu’il ne peut plus sortir la tête de l’oreiller. Je m’agrippe à ses hanches pour les faire venir à moi. Et dans une sauvagerie intense, je lui assène une belle claque sur la fesse. Il crie son plaisir. Il en veut encore. Je claque une deuxième fois, puis une troisième. J’ai envie de le mordre, de le griffer. Je suis sauvage.Mes seins ballottent dans tous les sens, mes cheveux fouettent mon dos, je grogne tel un animal. Je suis chatte et chienne à la fois. Il passe alors sa main entre nos jambes. Il cherche mes lèvres, mon clito. Instantanément, je jouis fort dans sa main. Un plaisir trop intense. Il m’a à peine effleuré. Çà coule, je fonds, je jouis, je crie. Je ne peux plus m’arrêter, je vais tout inonder. Je n’ai jamais rien ressenti de tel. Je ne suis pourtant pas une fontaine, mais là je ne contrôle plus. Ça coule encore. Il y en a partout, sur le lit, sur mes cuisses dans sa main. J’attrape à nouveau sa belle queue. Je continue mes mouvement sauvage de bassin et je le branle fort. Je t’aime tellement mon amour. Vas y jouis, jouis pour moi !! L’intense vibration de son sexe déverse alors son liquide et fini de nous achever dans cette lutte charnelle des corps et du plaisir. Il est tellement beau mon homme quand il jouit...
