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C'est un vrai cauchemar !

Chapitre 2

Divers
Le quatrième réveil...
Le salon est déjà dans une semi-obscurité quand je me réveille de nouveau. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, mais j’ai la tête lourde de tous ces rêves bizarres...Je regarde néanmoins mes mains par acquit de conscience...
— Putain ! C’est quoi, ce cauchemar ?!
A mon grand désarroi, ce sont toujours des mêmes mains de meuf devant mes yeux, et non les miennes. Je me redresse pour constater que j’ai également toujours un corps de gonzesse avec un joli petit minou et deux petits nichons. De nouveau, tout se bouscule dans ma tête. Comment vais-je faire pour mon boulot, mes amis, ma famille ?

Les emmerdes qui commencent...
Je m’apprête à me rallonger sur le canapé, assommée par cette situation incompréhensible, quand quelqu’un se met à frapper à la porte. Un véritable sentiment de panique me saisit... et, instinctivement, je me lève et cours jusqu’à la chambre.
— Oh, Manu, tu es là ?!
Merde ! Mon pote Cyril... qui doit probablement être là pour le match, puisqu’on s’était calé une soirée foot ce soir. Je réalise alors que la porte d’entrée ne doit pas être fermée, étant donné que l’inconnu était parti par là et que je ne l’avais pas rebouclée ensuite. Je ne sais pas si je dois tenter d’aller tourner le loquet, surtout que je suis toujours à poil.Je regarde alors dans ma penderie, mais il n’y a que mes fringues de mec à l’intérieur. Et mon pote qui se remet à frapper à la porte...
— Putain, Manu !? Qu’est-ce que tu fous ?— Il doit encore être sous la douche ou en train de baiser une meuf avec la musique sur les oreilles, ce couillon. Regarde si c’est ouvert !
Merde, Fred est là aussi... et sûrement tous les autres puisque j’entends des rires multiples derrière la porte. C’est à ce moment-là que j’aperçois sur un dossier de chaise des fringues de gonzesse, probablement ceux de ma blonde d’hier soir. Alors que j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, je saute sur ces habits et les enfile sans réfléchir, avec néanmoins deux soucis majeurs... il n’y a pas de petite culotte et la robe est tellement courte qu’elle s’arrête à raz la touffe. Je ne peux évidemment pas sortir comme ça, surtout avec cette bande d’obsédés que sont mes potes.Je m’apprête donc à mettre des fringues de mec, les miens, quand la porte de ma chambre s’ouvre avec fracas...

— Oh, Manu, tu pourrais rép... ?! Ah !... Pardon... euh... Manu n’est pas là ?!
Fred était sur le pas de la porte, figé comme s’il avait vu une apparition de la Vierge Marie... enfin peut-être pas tout à fait la Sainte Vierge puisque son regard semblait scotché sur mon cul ! Instinctivement, j’essaye de tirer le morceau d’étoffe vers le bas pour cacher le haut de mes cuisses avec ce curieux sentiment d’être une proie devant une bête affamée.
— Putain, Manu, où t’as rangé les biè... ?! Euh... ?!— Il vous arrive quoi, les mecs ? Vous avez vu Virginie Efira à poil ?
Je reconnais la voix de Sylvain, qui semble également s’approcher de la chambre...
— Encore mieux, mon pote ! Celle-là de bombasse, il nous l’avait cachée, l’autre enfoiré de Manu !— Eh, ça va ! Pour qui tu te prends, Cyril ?!...— Euh ?!... Vous connaissez mon prénom ? On s’est déjà rencontré ?!— Euh... oui... enfin, non... c’est Manu qui m’a beaucoup parlé de vous ! Il a dû partir en urgence et m’a laissé ses clés d’appartement pendant son absence...
Putain, je suis vraiment trop conne de lui dire ça... et j’étais dans une belle merde, avec mes deux potes en train de me reluquer avec la bave aux lèvres, bientôt rejoints par Sylvain avec une même réaction de stupéfaction de sa part.
— Putasse !?... Ouah, la bombe atomique !!!— Oh, les mecs ! Vous n’avez jamais vu une gonzesse de votre vie ?!— Euh !... Si... mais quand tu t’attends à voir ton pote et qu’à la place, tu tombes sur une superbe rousse avec des habits tellement transparents que si tu n’avais rien, on n’en verrait pas plus !— Hein ?!
Je baisse les yeux pour constater qu’effectivement ma robe ne cache rien de mon intimité ni de mes seins... Je pose vite mes mains devant, sentant en même temps mon visage s’empourprer de honte. Bien sûr, trois autres potes débarquent immédiatement dans la chambre, avec pour chacun d’entre eux ce même regard affamé de bête féroce attirée par la chair fraîche.Un sentiment de panique me reprend de nouveau, avec cette terrible pensée qu’ils sont capables de tous me passer dessus comme des clébards sur leur chienne si je leur laisse la moindre ouverture. J’essaye néanmoins de ne pas leur montrer ma peur et de trouver une solution pour les faire déguerpir de chez moi... ou en tout cas de ma propre chambre.
— Eh, les mecs, vous n’êtes pas venus pour mater le match de ce soir ?!— En fin de compte, on a peut-être mieux à faire, tous ensemble ?! Hein... euh... c’est quoi ton prénom, ma belle ?
Christophe passe sa langue sur ses lèvres, pour bien me faire comprendre où il voulait en venir. Quant à Cyril et Fred, ils se caressaient les couilles à travers leurs pantalons, avec manifestement les mêmes pensées obscènes me concernant.Je n’allais quand même pas me laisser baiser par tous mes potes, car même si j’avais momentanément un corps de gonzesse, j’étais avant tout un mec... un vrai, sans aucune tendance homosexuelle !
— Oh, les gars, doucement, là ! Vous calmez vos ardeurs et nous allons tous bien gentiment à côté pour regarder le match.— C’est quoi ton prénom, petite salope ?!— Vanessa... mais je ne suis pas ta salope ! Et toi, c’est quoi ton prénom ? Médor, comme le clébard du voisin ?!
Putain, pourquoi j’avais choisi ce prénom de meuf ? Je réalise soudainement que c’était tout simplement celui de ma petite blondasse de la veille... et Sylvain, sans doute vexé par ma petite pique, en profite pour me renvoyer une réplique cinglante dans les dents.
— Vanessa, comme la petite pute blonde que Manu a baisée hier soir dans les chiottes du Gotham ?! Un prénom de chaudasse du cul... c’est ça, hein ? D’ailleurs, je suis sûr que tu n’attends que ça, de sentir nos grosses bites dans ton petit cul de salope ?!
Il s’avance vers moi et, avant même que je puisse faire le moindre geste, il soulève ma robe pour découvrir complètement mon intimité.
— Déjà prête pour utilisation !... J’aime les petites salopes de ton genre qui ne mettent pas de culotte pour qu’on puisse les fourrer dès qu’on en a envie. Je suis sûr que tu es déjà toute mouillée !?— Arrête ! Touche à ton cul !
Je lui saisis l’avant-bras pour le repousser, mais mes petits bras frêles ne font pas le poids par rapport au sien musclé, et il pose donc sa main sur mon pubis, un de ses doigts glissant sans attendre entre les lèvres de ma petite chatte...
— Hummm ! Putain, les mecs, elle a sa petite moule complètement trempée ! On va lui montrer qu’on peut la baiser et la faire jouir bien mieux que cet enfoiré de Manu, à cette petite chienne... Et puis d’ailleurs, si ça se trouve, il doit être en train de fourrer la blondasse en ce moment, le salop ?!— Nooon !... Arrêtez !...
Déjà quatre d’entre eux me choppent par les bras et les jambes, me tenant en suspension les cuisses grandes écartées, alors que Sylvain est en train de déboutonner son jeans, avant de sortir son sexe bandé avec la ferme intention d’être le premier à me passer dessus.
— Putain, petite salope... tu vas goûter à la grosse bite de Vinvin et tu ne pourras plus t’en passer ! Allez... écarte tes cuisses !— Nooon... j’t’en supplie, Sylvain !...
Je me débats tant bien que mal pour les obliger à me lâcher, mais avec ce terrible sentiment d’être totalement à leur merci et de ne pouvoir empêcher mes propres potes de me baiser comme une petite pute ! Je suis d’un seul coup prise d’un véritable sentiment de panique alors que le gland couleur cramoisie du sexe de Sylvain est maintenant à seulement quelques centimètres de ma chatte malgré mes vaines gesticulations !D’ailleurs, il vient de poser ses deux mains de part et d’autre de mes hanches et il s’apprête à me pénétrer...

A quitte ou double...
— J’vous en supplie !... C’est moi, Manu !... J’suis votre pote... Manu ! J’suis un mec !
Sylvain marque un arrêt, comme s’il était saisi d’un doute...
— T’es un travelo ?— Bah non, tête de bite... tu vois bien que c’est une gonzesse, avec une chatoune qui n’attend que ta putain de queue ! Tu te décides à la fourrer ou sinon je prends ta place. Tu vois bien qu’elle te fait marcher...— Non, putain, Fred... c’est moi, Manu !— Mais oui, bien sûr... et moi, je suis la reine d’Angleterre ! Bon, Vinvin, tu la sautes ou tu attends qu’il se mette à neiger ?!... Putain, arrête de bouger, connasse !— Fred, c’est difficile à croire... j’te jure sur la tête de ma mère que c’est moi, Manu ! Hier soir, j’ai ramené la pouffiasse blonde chez moi et je l’ai baisée toute la nuit... mais ce matin, quand je me suis réveillé, elle s’était transformée en mec et moi en gonzesse !... Je vous jure que c’est la vérité...
Je chialais comme une meuf, ne pouvant d’ailleurs m’essuyer les larmes coulant sur le visage puisque toujours tenue par mes potes... néanmoins, ils s’étaient arrêtés et se regardaient les uns les autres comme s’ils ne savaient plus quoi faire. Aucun d’entre eux n’osait rompre le silence pesant qui s’était installé dans la chambre...
— Bon, les mecs, vous faites quoi ? Vous venez regarder le match ou vous vous branlez la nouille entre vous ?... C’est qui, celle-là ?! D’où elle sort ?...
Merde ! Léa... il ne pouvait pas m’arriver pire chose que sa présence !...
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