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Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2 : Une voisine accueillanteJe me jette sur mon lit hébété. Que m’est-il arrivé ? Le tourbillon qui m’a emporté me semblait irréel.Et je commence seulement à en entrevoir les conséquences : lorsque Thierry va revenir, la supercherie va être éventée. Comment arriverais-je à expliquer mon comportement ? Est-ce que ce que j’ai fait, ne serai pas assimilable à un viol ? En tout cas, dans le meilleur des cas, j’en serais quitte pour une honte monumentale. Et probablement pour bien pire. Je reste 2 heures à ruminer toutes ces choses dans ma tête.Le bonheur de notre étreinte est annihilé par la peur qui me saisit. Que faire ? Rien et attendre de voir ? Allez m’excuser ? Je me mets à paniquer encore plus en évoquant la possibilité que ma mère apprenne mes « exploits »…A cette peur, s’ajoute le malaise de constater que je bande comme un fou en repensant au corps de Chantal.Dire que j’ai été à 2 doigts de perdre ma virginité, de devenir un homme, et que je vais peut-être finir en prison.Finalement, après avoir pesé le pour et le contre, je me décide à aller voir la mère de Thierry pour lui expliquer la situation et la supplier de garder cette histoire entre nous. Je me dis que le fait que je sois au courant de la relation incestueuse qu’elle entretient avec son fils peut m’aider à la convaincre de bien vouloir étouffer cette affaire.Après une longue hésitation, je respire un grand coup et de je me dirige vers l’appartement des voisins. Je sonne, sans parvenir à retenir la sueur qui perle dans mon dos.La porte s’ouvre sur Thierry, qui se monte très sociable.- Ha, salut, tu tombes bien, j’allais venir te voir. Au fait merci pour le lit.- De rien…- Est-ce que tu peux me rendre un service ? J’ai réussi à trouver des billets pas chers pour Bordeaux cet après-midi. Je pars faire du camping avec un cousin pendant 2 semaines. Est-ce que tu peux prendre mes clefs et les donner à ma mère ? Il y a les clefs de la boîte aux lettres avec, et nous n’en avons qu’un exemplaire. Je lui mets un mot sur la porte pour lui expliquer que je pars plus tôt et que les clefs sont chez vous. Comme nous n’avons pas encore installé le téléphone, je ne pourrais pas l’appeler, donc je compte sur toi. Ok ? Je rentre dans 2 semaines, le mercredi 17 en début d’après-midi. Tu peux faire ça ?- Heuu… oui, bien sûr.- Merci. Bon j’y vais sinon je vais être en retard…- Ok… pas de problème.
Il rentre chez lui récupérer un sac, punaise une enveloppe sur la porte et dévale les escaliers.Je reste interdit. Pour la seconde fois de la journée, les choses se déroulent sans que je ne puisse intervenir.Sur une impulsion, je décide de rentrer dans leur appartement. Celui-ci est vide.Plusieurs cartons ont été rangés et le bazar commence à disparaître. Je me rends dans la chambre de Chantal. Le lit est fait et ses affaires rangées. J’ouvre quelques tiroirs et tombe sur sa lingerie. Au milieu de culottes assez quelconques, je découvre des parures un peu plus affriolantes. Immédiatement je me mets à visualiser les publicités d’Aubade. Imaginant Chantal revêtant ces sous-vêtements et prenant des poses suggestives.Comment une mère de famille comme Chantal peut-elle porter des choses pareilles ? Dans mon esprit de jeune puceau, les strings sont l’apanage des actrices de pornos ou à la rigueur des adolescentes en mal de provocation. Décidément, cette Chantal est pleine de surprise. Je n’arrive pas à savoir si je dois en avoir peur ou bien trouver cela excitant.Après avoir soigneusement remit les choses en place, je me dirige vers la salle de bain. Dans une corbeille à linge, je trouve le pantalon qui m’a autant enflammé il y a quelques heures, ainsi que son string roulé en boule. Je m’en saisi pour le sentir, reproduisant en cela ce que j’avais vu faire dans un film récemment passé à la télé. L’humidité du tissu me surprend. Je savais que les femmes étaient censées mouiller, mais j’étais loin de penser que j’avais fait autant d’effet à Chantal.Qu’est-ce que je ne donnerais pas pour la saisir encore une fois dans mes bras, pour caresser ses fesses, pincer ses tétons… je me mets à bander à nouveau.Que faire ? La situation est compliquée, Chantal va être seule pendant deux semaines, et je dois être le messager de l’absence de Thierry. Dans un sens, si j’avoue tout maintenant, elle aura deux semaines pour se calmer… Non, rien ne l’empêchera d’aller voir ma mère ou la Police, si elle le décide.C’est trop bête, après tout, si elle aime Thierry, elle devrait m’aimer moi aussi, puisque nous sommes identique. En plus, avec moi il n’y a pas ce tabou de l’inceste. Peut-être que cette solution la comblera. Je m’imagine tout lui dire, lui avouer que je suis amoureux d’elle et que je veux prendre la place de Thierry dans sa vie. Cela doit lui permettre d’avoir une relation normale avec son fils… et tout le monde y gagne !
Soudain, la stupidité de mon raisonnement me saute aux yeux. Je nage en plein délire, comment imaginer qu’elle puisse changer de compagnon comme cela . Qu’elle relègue son fils à mon profit ?Pourtant, la perspective de devenir un homme, et surtout l’image du corps de Chantal qui m’embrouille l’esprit, me poussent à envisager cette solution.Sur un coup de tête, je sors de l’appartement et arrache l’enveloppe.Puis je rentre à la maison pour dire à ma mère que je sors chez un pote où je vais certainement passer la nuit, afin justifier mon absence.- Tu devrais plutôt faire sa chez une copine, me taquine-t-elle.
Sa remarque me blesse et me conforte dans l’idée que je dois faire quelque chose pour arrêter de passer pour l’attardé de service.Je retourne dans l’appartement de Chantal, et j’attends devant la télé.Vers les 19 heures, je la vois rentrer. Elle est en jupe assez quelconque et en top moulant, au travers duquel j’aperçois ses mamelons. Je suis un peu angoissé, et je reste assis m’attendant à ce qu’elle me saute dessus comme ce matin. Je suis surpris, et un peu soulagé, de constater qu’elle n’en fait rien.Elle passe en cuisine où elle prépare quelque chose puis s’éclipse dans sa chambre.- Tu as passé une bonne journée ? Tu as tes billets de train ?- Non, le système informatique ne marchait pas, je dois y retourner demain après-midi. Ce n’est pas grave je partirais plus tard.- Ok, tu as rangé ta chambre ?- Heuu, oui, c’est fait.
Elle revient quelques minutes plus tard, habillée en tenue de sport hyper moulante. Un justaucorps en lycra épouse toutes ses courbes de manière affolante. Je reste interdit, sa poitrine m’apparait majestueuse. Une sorte de string porté sur son fuseau, accentue la courbure de ses fesses et renforce son sillon culier.Je reste bouche bée.- Tiens, plutôt que de bailler aux corneilles, tu devrais surveiller le repas…
Elle se dirige vers un vélo d’appartement et se met à pédaler. La selle lui écarte encore plus les fesses, et ses cuisses s’agitent. Je suis fasciné.La séance de gymnastique dure 30 minutes et la séance d’abdo fessiers qui suit me donne l’occasion de la mater sous toutes les coutures. Pour une femme de 40 / 45 ans elle est sacrément bien conservée. Ses cuisses fines et musclés, ses fesses arrondis et sa grosse poitrine lui donne un sex appeal démoniaque.Son visage est assez quelconque, mais je ne peux m’empêcher en la regardant de revoir son visage frémissant de plaisir et ruisselant de foutre. Je suis sous le charme.Je m’attends à chaque moment à ce qu’elle me saute dessus, mais elle n’en fait rien. Mon cerveau tourne à 100 à l’heure. Et si j’avais monté cette imposture pour rien. Si je ne faisais qu’aggraver mon cas ? Si ce qui s’était passé ce matin n’était qu’un dérapage, une chose exceptionnelle ?Pourtant, elle avait bien laissé entendre qu’elle souhaitait remettre cela ce soir !Je me sens tout con, ne sachant qu’elle attitude adopter. Je me dis que si je lui avais tout avoué dès son arrivée, j’avais une chance de passer pour la victime qui n’avait pas su réagir. Alors que maintenant, cela me semble impossible, sauf si je veux passer pour un gros pervers profiteur.Le dîner se passe sans problème. Je réussi à donner le change et à me faire passer pour son fils. Je fais un gros effort d’écoute et me contente de répondre de manière sibylline, sauf lorsque nous abordons un sujet d’ordre général.Ma surprise s’accroit ; rien dans son attitude ne rappelle son comportement du matin. Elle est plutôt stricte, n’hésite pas à me faire des reproches sur le fait que je mange la bouche ouverte, que je ne me tiens pas bien droit…Elle renvoi l’image d’une mère de famille tranquille et surtout, « sans sexualité ». Difficile d’imaginer que ce matin même elle m’a quasiment violé.J’essaye alors d’en apprendre un peu plus sur ses relations avec Thierry, mais en vain.Il ressort de ce repas, qu’elle reprend le travail la semaine prochaine, après une longue période de chômage. Qu’elle était Comptable dans une banque en Province. Et qu’elle a beaucoup de démarches à entreprendre.A la fin du repas, elle me propose de regarder un film avec elle. Elle s’assied dans le canapé à côté de moi, met sa tête sur mon épaule et me caresse tendrement les cuisses et le sexe. L’ambiance n’est pas aussi électrique que ce matin, et ressemble plus à une soirée entre 2 vieux amoureux.Puis elle se lève et va se coucher, me laissant comme un con sur le canapé, à ressasser mes idées.Bon, j’ais désormais été trop loin pour faire marche arrière. Impossible à présent de jouer la carte de la franchise.La seule solution qui me semble envisageable est d’essayer de m’imposer auprès d’elle comme son nouveau compagnon. Puis de lui avouer la supercherie avant que Thierry ne rentre, en essayant de la convaincre que je suis une alternative inespérée à sa relation incestueuse avec son fils.Si les choses tournent mal, j’essaierais d’évoquer un jeu imaginé avec Thierry, afin d’atténuer ma responsabilité.Et puis, le fait de mettre au grand jour, sa relation incestueuse devrait l’empêcher de faire trop de bruit sur cette affaire. L’idée est excellente : utiliser le fait que je connaisse son comportement incestueux pour lui faire comprendre qu’elle n’a pas intérêt à m’accuser de quoi que ce soit.Rassuré, je décide d’aller me coucher dans la chambre de Thierry, et m’endors, la tête remplie de seins, de sexes, de fesses, de soutien-gorge…
Mardi matin, une présence proche de moi me réveille. Une main s’était glissée entre mes cuisses et masse mon sexe. Le souffle puis la voix de Chantal arrive dans mon dos.- Alors mon canard, tu es fâché ? Je t’ai attendu toute la nuit et tu n’es pas venu voir ta môman ? J’ai été vilaine et tu voulais me punir ? Laisse-moi me faire pardonner.
Rapidement mon sexe se dresse entre ses mains, et elle me prend en bouche.- J’ai été vilaine comment ? Tu crois que je mérite une fessée ? Je suis vraiment une vilaine maman, et je crois que tu dois me corriger…
Je m’aperçois qu’elle s’est glissée sous mes draps et qu’elle est toute nue.Elle se met à 4 pattes et me tend sa croupe. Je suis émerveillé par les courbes de celle-ci.- Allez, donne-moi la fessée, je le mérite… ne sois pas trop cruel, ne me fait pas attendre… je suis là pour me repentir.
Elle souhaite que je lui donne la fessée !! Tous mes repères s’effondrent. Je m’étais fait une idée plus « classique » de nos premiers rapports. Timidement je lui caresse les fesses. Elle agite celles-ci et me jette un regard suppliant.- Allez mon grand, Chantal n’a pas été sage. Il ne faut pas la laisser faire n’importe quoi. Frappe-moi !
La tension monte en moi, je ne suis pas préparé à ce genre de situation. Tout se brouille dans ma tête. Je ne vais pas être à la hauteur. Du brouillard surgissent des appels : « frappe-moi », « puni-moi »…Je lui assène alors une violente claque sur la fesse droite. Elle s’immobilise se retourne vers moi visiblement très surprise. Sans vraiment m’en rendre compte, je poursuivis avec une seconde claque sur sa fesse gauche. Elle gémit.- Hou mon coquin, tu ne m’as jamais corrigé comme ça… ouuiii, continus, j’ai dû être vraiment très méchante. Aiiiee… Humm, c’est bon.
Je n’en reviens pas, elle semble apprécier que je lui donne la fessée. Du statut de fautif, je passe au statut de Juge. Cela rend ma présence ici plus confortable, moins angoissante. Un sentiment de puissance, d’immunité commence à poindre en moi. Je reprends un peu mes esprit et continu de lui asséner quelques claques plus douces.Elle retire sa tête qui était enfouie dans les draps, se tourne vers moi, et me lance avec un air où je sens la gêne :- Non, plus fort, comme tout à l’heure, c’était… c’était trop bon…
Je me déchaine alors et lui lance à la volée une série de violentes claques qui lui rougissent les fesses. C’est comme si j’évacuais toute la tension supportée ces dernière heures, en molestant cette pauvre femme. L’une de mes claques, plus lourde que les autres, la désarçonne et la plaque à plat ventre. Elle pousse un cri de douleur.Je la vois avachie sur le lit, les fesses toutes rouge, ses cheveux courts en bataille, les cuisses écartées, haletante.Je ne me retiens plus et je plonge sur elle en me plaquant sur son dos. Comme elle a les jambes écartées, je glisse mon bassin entre ses cuisses.Mon sexe raide, entre en contact avec sa raie des fesses, et, un instant, je crois que je vais me vider sur elle.Je m’agite ainsi sur elle en m’agrippant à ses hanches. Elle soulève un peu son bassin, glisse sa main entre ses jambes, attrape ma bite et la guide dans son sexe. Je suis en elle ! Je suis dans une femme, je suis un homme !
Pris dans ce tourbillon sensuel, je ne parviens pas à commencer avec douceur comme je l’avais vu faire dans certains films pornos. Je lui assène de grands coups de bassins, incapable de maîtriser la tension et l’excitation qui m’envahissent.Sourd à ses gémissements, je continue à la pilonner sans ménagement. Elle tourne la tête vers moi et je vois vu un filet de bave couler de sa bouche et ses yeux hagards tenter de me fixer. Elle semble dépassée par la situation. J’ai tout à coup honte de mon comportement bestial. Je suis incapable de soutenir son regard implorant plus longtemps, et je lui attrape la tête pour la lui plaquer face contre le lit. Ce geste qui avait pour seul but de réduire mon sentiment de culpabilité, ne fait qu’accentuer encore plus le côté sauvage et brutal de notre étreinte.Elle tente de se débattre, et de se dégager, mais je m’aperçois très vite que cela semble être une sorte de jeu pour elle :- Ho, oui, traite-moi comme ta chienne… Je suis à toi… Mmmmm… Défonce-moi.
Je me redresse un peu, et à la vue de ses fesses qui s’agitent sous mes coups de boutoirs, je ne peux me retenir plus longtemps et je lâche ma semence dans son sexe.Je réalise alors l’énormité de ce que je viens de faire. Et, de peur, d’avoir à justifier mon comportement, je reste fiché en elle, lui maintenant fortement la tête dans les draps.Elle continue un peu à gigoter sous moi en poussant de petits cris, puis s’immobilise.Je reste encore 2 minutes en elle, repoussant au maximum la confrontation redoutée qui ne va pas manquer de suivre. Puis je me dégage et m’assoie dans le lit, inquiet quant à sa réaction.Elle se décolle péniblement du sommier, se traine vers moi et se glisse dans mes bras. Elle m’embrasse la poitrine, puis me regarde avec des yeux en étoile. Elle est dégoulinante de sueur, échevelée, mais je la trouve magnifique. Après un dernier bisou, elle me dit :- Ho Thierry, c’était fantastique. Je crois que je n’ai jamais autant joui qu’aujourd’hui. Même avec ton père, même avec Robert. J’avais vraiment le sentiment d’être ta chose, que tu pouvais faire de moi ce que tu voulais, j’ai adoré… Quand je t’ai demandé de me fesser, c’était une sorte de jeu, pour te provoquer… je ne pensais que tu allais le faire… mais c’était… super. J’espère que je ne t’ai pas choqué ?
Elle reprend : - Puis le fait que tu ne me parles presque pas, que tu gardes tes distances, ça change. Ça te donne un côté un peu… inquiétant. Oh, je t’aime mon biquet, tu me promets que l’on recommencera ?- Oui, oui, on verra.- Bien maître, dit-elle en riant.
Son rire m’emporte de bonheur et balaye mes doutes, elle est superbe. Visiblement les rapports un peu physique lui plaisent beaucoup, il faudra que je me documente là-dessus si je veux être à la hauteur, car je n’y connais pas grand-chose. J’aimerai également savoir qui est ce Robert qu’elle a évoqué.
Rapidement, nous nous rendormons dans les bras l’un de l’autre. Je me sens si bien à côté d’elle.
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