Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 24 J'aime
  • 2 Commentaires

Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 3

Trash
Chapitre 3 – Une nouvelle garde-robeLorsque je me réveille elle n’est plus là. Je passe dans la cuisine, où un petit mot m’attends : « je t’aime, tu m’as enflammé. Je rentre vers les 15 heures ».Je rentre chez moi prendre une douche, et me brancher sur Internet afin de me renseigner un peu plus sur les pratiques de domination. Je suis vite dépassé et un peu outré par ce que je découvre.Je discute un peu avec ma mère. J’ai le sentiment d’avoir changé, d’être plus sur de moi, plus affirmé dans ma présence. C’est assez grisant.Puis je retourne dans l’appartement de Chantal. Je me replonge dans sa garde-robe. Tentant d’imaginer comment ce petit tailleur peut lui serrer le cul, comment ce maillot de bain peut lui dégager les hanches, comment ce string peut parvenir à lui dissimuler sa chatte, comment ce fin soutien-gorge à balconnet peut parvenir à contenir la pression de ses seins. Mais ce sont ses strings qui m’impressionnent le plus. Imaginer que ces petites ficelles s’introduisent dans son cul, peut-être même dans sa fente, cela me plonge dans un abîme de perplexité et d’excitation.Je passe mon temps à me caresser le sexe en pensant à elle.Nous sommes mardi et j’ai normalement encore une dizaine de jours à passer avec elle. Maintenant, que je sais que je peux la faire jouir et qu’il semble qu’elle soit plutôt demandeuse, je ne souhaite pas perdre de temps comme hier soir.Il me faut penser à ce que je lui réserve lorsqu’elle va rentrer à 15 heures.Je commence à imaginer un scenario débouchant sur une punition dû au fait qu’elle est partie du lit ce matin sans me réveiller, ou sans me faire de bisou. Le scenario est assez mince, mais je commence à y réfléchir.Je griffonne sur un bout de papier : « Malgré mes punitions tu as encore fauté ce matin, tu es parti sans m’embrasser, file donc dans ta chambre ». Au début je voulais dire « tu es partie sans me sucer », mais j’ai trouvé cela un peu trop cru. Je dépose cela sur la table de l’entrée, puis laisse un second mot dans sa chambre : « passe les vêtements qui sont sur ton lit et file au coin où tu m’attendras ». Puis j’étale sur son lit un string blanc, une jupette en jeans (je n’ai malheureusement pas trouvé dans sa garde de robe de jupette en cuir ou en tissu d’Ecosse comme dans les films d’écolière), des mules à talon, et un chemisier très échancré. Dans un premier temps je pensais couper tous les boutons du chemisier afin de rendre l’ensemble encore plus sexy, mais je n’arrive pas à me résoudre à abîmer ses vêtements. Je ferme ensuite les volets pour laisser la pièce dans une semi obscurité, et me mets à l’attendre. Tout à coup une idée me traverse l’esprit : l’écriture ! Je ne dois pas avoir la même écriture que Thierry, c’est impossible. Comment faire ? Je rentre chez moi et tape les petits mots sur mon ordinateur et imprime ceux-ci, puis retourne chez Chantal pour terminer la mise en scène.A 15h15, je suis dans un état d’excitation indescriptible, je suis caché dans sa chambre derrière un miroir sur pied lorsque la porte s’ouvre.- Thierry, tu es là ?- …- …oui, visiblement tu es là. Alors comme ça j’ai été méchante ? Je m’excuse et je suis prête à me faire gronder.
Elle arrive dans sa chambre, et sans même prendre le temps de lire le mot elle se saisie de ses vêtements.Mince, elle est en jeans moulant, et je la trouve super sexy comme cela. Tant pis, j’attends qu’elle se change.Elle peine à lire le mot dans l’obscurité, mais fini par comprendre la situation et à se déshabiller.- Dit-moi, cet appartement te réussit bien, je ne te connaissais pas aussi coquin. Je suis toute émoustillée. Je reconnais toutes mes fautes et j’espère que tu sauras me donner le châtiment que je mérite. J’ai encore mal au derrière depuis ce matin.
Elle se saisie de son string et se le passe. Je retiens difficilement un cri lorsqu’elle place soigneusement la ficelle entre ses fesses. Je ne peux me retenir de me branler au travers de mon pantalon.Elle grimpe ensuite sur ses chaussures, ce qui a pour effet de faire encore plus rebondir son cul vers l’arrière : elle est divine. Elle se saisit de la mini-jupe et lance :- Cette jupe est beaucoup trop petite, je ne vais pas faire sérieuse avec ça. Tu ne crois pas ? Tu risques de voir mes fesses si je me penche et cela pourrais te détourner de ta mission : me punir.
Quelle salope !! Elle est totalement entrée dans mon jeu et je suis impressionné par sa perversité. Une fois sa jupe ajustée, je n’en peux plus, et avant qu’elle ne se saisisse de son chemisier j’interviens :- Ca suffit, tu es trop lente, file au coin directement, appuie tes mains contre le mur et écartes tes jambes.
Elle obéit docilement. Je la vois écarter ses jambes ce qui a pour conséquences de faire ressortir une peu la ficelle blanche de son string, et ses deux lobes fessiers. Je me fais alors la réflexion qu’elle n’a pas de trace de bronzage. Fait-elle de l’intégral, est-elle nudiste ? J’en suis là de mes réflexions quand la vue de ses seins pendant massivement dans le vide me ramène à la réalité.Je récupère la culotte qu’elle a laissé choir à terre et m’approche lentement par derrière elle. Elle tente de tourner la tête pour le voir, mais je la stoppe d’un « tsssttt » sec.J’arrive derrière elle. Je m’aperçois qu’elle est grande, et que les talons qu’elle semble affectionner renforcent ce sentiment. Je fais remonter l’ongle de mon index droit de son mollet jusqu’à son cou, en passant par la raie de son cul. Elle frémit et pousse un petit gémissement.- Ouvre ta bouche en grand !
Elle obtempère et je lui fourre sa culotte dans la bouche.- Comme ça je n’entendrais pas tes jérémiades !
Elle semble réellement surprise. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je commence à lui masser les fesses, en m’attardant le plus possible dans ses profondeurs intimes. Elle se dandine dans tous les sens. Je m’arrête et lui assène une petite claque gentille sur les fesses. Elle cesse tout mouvement et reste immobile, dans l’attente.Je prends mon courage à 2 mains, approche ma bouche de son oreille et lui glisse cette phrase que j’ai répété toute l’après-midi :- Je vais te défoncer la chatte, jusqu’à ce que tu me demandes pardon à genou.- Mmmmoouuiii.
Je me saisis de ses seins pour la première fois. La sensation est merveilleuse. Ils sont fermes et lourds. Leur pointe réagit immédiatement et je me mets à les pincer doucement. Elle tente de rester immobile, mais ne peux s’empêcher de chercher à se soustraire à mes doigts.Je reste longtemps à malaxer ses seins. C’est la première fois de toute ma vie que j’ai la possibilité d’en toucher, et non seulement ils sont d’une taille imposante et en plus leur propriétaire me laisse faire ce que je veux avec.Puis, je me déshabille et m’amuse à frotter mon sexe tendu à l’extrême contre ses cuisses, ses fesses, son dos.Elle serre les poings et écarte encore plus les jambes, rendant son équilibre précaire sur ses talons.Je fais remonter sa mini-jupe sur le haut de ses hanches et j’attrape son string pour le descendre lentement, l’obligeant à resserrer les cuisses. La claque sur ses fesses est immédiate et violente. Elle cri à travers son bâillon de tissu.- Mmmaaiis ?!- Je t’ai dit de rester immobile et d’écarter les cuisses. Tu n’es bonne qu’à ça.
Je regrette aussitôt le caractère sexiste et dégradant de mes propos. Je ne suis pas fier de ce que je viens de dire, emporté par l’excitation. Mais la voir baisser la tête devant moi en signe de soumission et écarter prestement les jambes, me remplis d’un sentiment de toute puissance, d’impunité. Je me sens fort. Pour la première fois j’ai le sentiment d’être un homme. Mes scrupules se trouvent vite balayés.Du fait de ses talons, mon sexe parvient juste à effleurer sa fente.- Baisse-toi et viens t’empaler sur moi !- Mmmmm.
Elle plie les jambes et son sexe gorgé de jus vient s’ouvrir autour de mon membre. Elle procède lentement, en gémissant au travers de son bâillon. Puis lorsque ses fesses touchent mon pubis elle s’immobilise, tendue.- Allez, bouge-toi un peu le cul, si crois que je n’ai que ça à faire. Corriger les vilaines femmes.
A chaque fois que je parle, la crudité de mes mots me surprend. J’ai l’impression de tourner dans un mauvais film porno. Mais alors que je m’attends à ce qu’elle s’en offusque et interrompe notre séance, Chantal semble elle, s’en accommoder très bien. Elle est totalement possédée par mes ordres.Elle commence à onduler maladroitement de la croupe, si le résultat est des plus existants pour moi, il la place dans un équilibre très précaire. Elle est obligée de s’écarter légèrement du mur en continuant à s’y appuyer avec ses deux mains jusqu’à ce que son dos soit presque en angle droit avec ses jambes. Alors elle recommence à monter et descendre son bassin à la force de ses cuisses pour s’empaler régulièrement sur mon sexe.Je me saisis de ses seins que je maltraite sans vergogne. Je l’entends qui souffle de plus en plus fort. J’attrape alors sa petite culotte et la libère de son bâillon.- Ah oui, vas-y baise-moi fort. Fais-moi mal. Plus vite.- Je suis là pour te punir, pas pour te baiser, alors si tu veux sentir ma queue en toi, tu bouges ton gros cul.- Ho oui, c’est bon, je vais jouir. Traite-moi de tous les noms, je suis à toi, ta pute, ta trainée…- Ta gueule, ou je te remets ton bâillon !- Ho oui, je viens, encore… encooore…
Avec une perversité que je ne me connaissais pas, je me retire d’elle la laissant pantelante contre le mur. Puis après mettre régalé du désarroi et de la frustration qui émane de son regard, je lui appuis violement sur les épaules pour la jeter à terre.- Aiiee…- Suce-moi, et bien.
Elle se jette sur ma queue avec une voracité et une soumission qui me font exploser dans sa bouche au bout de 5 allers-retours de ses lèvres sur mon sexe.Je lui bloque la tête contre mon bassin de manière à ce qu’elle soit contrainte de tout avaler mon sperme. Nullement scandalisée, elle se masturbe frénétiquement avec sa main droite pendant 20 secondes avant de m’échapper en s’effondrant au sol. Complètement vidé je m’assois sur le rebord du lit et la contemple. Elle est avachis sur le sol, sa jupe lui fais une sorte de ceinture, son visage est recouvert de foutre et de sueur. La vue de ses escarpins à haut talon qui la gênent, manque de me faire bander à nouveau. La sauvagerie de mon comportement me saute au visage, et une fois de plus j’ai honte de moi. Comment va-t-elle réagir ?Après plusieurs minutes, elle se relève, vint s’asseoir à califourchon sur les genoux et me roule une pelle comme je ne pensais même pas que cela puisse exister. Elle y met tant d’amour et de passion que je l’a prends dans mes bras et la serre du plus fort possible.- Ho Thierry, tu es fou. Je t’aime. Qu’est ce qui t’arrive ? Jamais je n’ai joui comme cela. Tu me rends totalement hystérique. Promets-moi que tu vas rester avec moi ? Promets-moi que tu ne partiras pas pour une autre. Je ferais tout ce que tu veux. Dits-moi que tu m’aimes.- Je t’adore. Et j’ai envie de rester toute ma vie avec toi.-Tu es un ange. Tu viens prendre ta douche avec moi ?
Nous nous retrouvons sous la douche à nous laver mutuellement, mais avec une douceur et une complicité qui tranchent avec la brutalité de nos ébats.- Je ne sais pas ce qui t’arrive, mais tes petits jeux me plaisent beaucoup ; j’espère que tu ne vas pas t’arrêter en si bon chemin et que tu as encore plein de phantasmes bien coquins. En tout cas, cela me fait plaisir de voir que tu sembles assumer enfin complètement notre relation.- Ne t’inquiète pas pour mes phantasmes. Mais toi, es-tu certaine que tu es prête à me suivre partout ?- Ho mon canard, je te l’ai déjà prouvé. Tu sais bien que ta maman fera tout pour toi.- On verra, on verra… Si on commençait par revoir ta garde-robe ?
Une fois sorti de la douche, je lui demande de me suivre dans sa chambre.Après m’être munis d’une paire de ciseaux je lui tends tous ses sous-vêtements en lui demandant de les passer les uns après les autres.En fonction du résultat, je lui demande soit de prendre des poses aguicheuses, soit de s’approcher de moi, et je découpe en morceau la culotte ou le soutif que je juge disgracieux. D’abord surprise et choquée, elle se laisse faire et joue le jeu. Bientôt un tas de tissu jonche le sol. A ma grande déception, il ne reste pas beaucoup de string, ou de culote brésiliennes, mes 2 phantasmes. Pour autant, la séance m’a redonné une bandaison impressionnante et j’ais à nouveau envi de lui faire l’amour. Mais n’ayant préparé aucun scénario, je ne sais pas comment le lui faire comprendre. Je me résous à reprendre mon rôle de maître.- Regarde dans l’état dans lequel tu m’as mis, à force de faire ta petite pute devant moi.- Hein !? Mais c’est toi qui…- Tais-toi, tu me fatigue. C’est de ma faute si tu as un beau cul et des beaux nibards peut-être ?- Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? Tu ne veux une petite pipe tout de même ?— Non allonge toi sur le lit et écarte les cuisses, je vais te faire l’am… te baiser.
Visiblement elle a eu son compte pour la journée, et l’enthousiasme n’y est pas.- Thierry, tu exagère, je n’ai plus 18 ans, et tu…
L’excitation me fait à nouveau perdre les pédales. Pris dans mon délire, je lui mets une gifle magistrale qui la fait tomber à la renverse sur le lit et je lui crie :- Ne t’avise pas à me désobéir, ou je te plante. Des vieilles comme toi, ça doit remercier le bon dieu quand ça se fait baiser. Parce que des petites jeunes qui ont le feu au cul en permanence il y en a partout… Alors écarte les jambes et savoure.
Elle se met à pleurer. Sans en tenir compte, je me mets sur elle et tente de la pénétrer. Mais elle n’est pas assez lubrifiée. A travers ses larmes elle me dit d’un ton résigné :- Attends…
Elle se dégage de moi, puis se lèche les doigts et s’humecte la fente. Je la regarde faire, surpris par sa servilité.Ce court interlude me permet de reprendre mes esprits et de me calmer. J’ai honte de mon comportement.De fait, lorsqu’une fois sa lubrification terminée, elle écarte ses cuisses en grand et me dit : « viens », je reprends ma place ente ses jambes, mais la pénètre avec douceur. Pour la première fois, je fais ce qu’auparavant j’appelais faire l’amour. C’est-à-dire pénétrer une femme par devant en pouvant regarder son visage. Mais le fait qu’elle pleurniche encore un peu, manque de me mettre en colère, et je sens en moi une force violente monter. Mais je parviens à me maitriser et continue à la limer normalement. Avec ma langue, je lèche ses larmes. Au bout d’un moment, elle se détend et enroule ses jambes autour de mes reins.- Vas-y, me dit-elle. Je suis prête pour toi.
Je me vide en elle, mais sans retrouver la folie et l’excitation de nos premiers rapports. Alors que j’avais idéalisé depuis des années la première fois ou je ferais l’amour en missionnaire avec une femme, je suis un peu déçu.Je me retiens de le laisser paraitre, mais une réflexion germe dans ma tête. Et si j’étais un gros pervers ? Et si je ne pouvais prendre mon pied qu’en humiliant, en dominant…Une chose est sûre, je suis totalement accroc à Chantal.
Nous décidons d’aller faire des courses pour renouveler sa garde-robe. Bien que l’idée m’ait effleuré, je ne trouve pas le courage de l’amener dans un sex shop comme je l’avais vu faire dans un film. Elle prend sa voiture, et nous nous rendons dans un Centre commercial situé à 15 km de chez nous.Je suis tellement fier de me balader avec une aussi belle femme et de montrer aux yeux de tout mon nouveau statut de mâle dominant que je n’arrête pas de prendre la main de Chantal, de lui passer mon bras autour de la taille, ou de lui faire des bisous. A chaque fois elle tente de se dérober en me chuchotant : « Arrêtes, tu es fou. » « Pas devant tout le monde, on va se faire repérer »…Je réalise que je suis effectivement sensé être son fils et qu’une relation incestueuse s’accommode mal d’épanchements publics.Nous dévalisons, les boutiques de lingerie afin de la doter d’une quantité respectable de strings et de culotes osées.Me voyant bloquer devant un mannequin revêtu de bas et porte jarretelle, elle s’approche de moi et me demande si cela me ferrait envi qu’elle en porte. Mon sourire suffit à lui faire comprendre ma réponse.J’essaye ensuite de concilier plusieurs de mes phantasmes, celui de la femme stricte et autoritaire en vêtement classiques, et celui de la cougar essayant de paraître plus jeune que son âge et qui tente maladroitement de rentrer dans des fringues d’adolescente.Enfin, et même si elle possède déjà une collection conséquente de chaussures je lui trouve une paire de bottes montantes en cuir à hauts talons.
Pendant qu’elle essaye ses bottes, elle s’amuse à écarter ses cuisses pour me montrer sa petite culote, riant sous cape comme une ado. Je me trouve aussitôt affublé d’un tricotin qui déforme mon pantalon, m’obligeant honteusement à m’enfuir pour m’asseoir sur un banc. Enfin nous allons chez Décathlon pour lui faire essayer des maillots de bain. Je ne lui propose que des bikini minimalistes et dans des tailles trop petites pour elle. Elle n’ose pas sortir de la cabine d’essayage malgré mes menaces discrètes. Etant en public, je ne peux pas me montrer trop pressent. Je la rejoins dans la cabine où elle se débat avec un maillot 10 fois trop petit pour elle et qui peine à contenir ses grosses loches. Outre le fait qu’il couvre à peine ses fesses, son bas moule sa fente de manière obscène.Je prends ce modèle ainsi qu’un monokini d’allure assez sportive. En me dirigeant vers les caisses j’avise une cravache dans le rayon équitation ? J’eu une vision, je me saisis de la baguette et d’un jeu de morts pour chevaux.L’heure avançant nous décidons de rentrer.
Diffuse en direct !
Regarder son live