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Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 5

Hétéro
Chapitre 5 – PamélaRésumé : Jérémy, jeune homme réservé et sans expérience, profite de son extraordinaire ressemblance avec son nouveau voisin, Thierry, et d’un malentendu, pour perdre sa virginité dans le bras de Chantal, la mère de Thierry. Ce substituant à ce dernier, il entame avec celle qui le prend pour son fils, une relation aux contours bien troubles.

Incrédule, je la laisse partir vers la salle de bain où elle doit faire le deuil de sa toison intime. Elle quitte la pièce en me laissant ébahi : l’évolution de ma relation avec la mère de Thierry ne cesse de me surprendre.Tout à ma joie de ce que vient de me promettre Chantal, et je quitte l’appartement, pour aller acheter le journal, avant de rentrer chez moi.En longeant le square, je croise Paméla, la fille de la concierge du bâtiment D. Nous nous connaissions depuis fort longtemps et bien qu’elle a presque 2 ans de moins que moi, j’ai toujours fantasmé sur elle. Malheureusement, ma timidité m’a toujours empêché de tenter quoi que ce soit avec elle. Et comme elle ne semble pas plus dégourdie que moi, lorsque nous nous croisons dans la cité, ou à l’école, notre relation ressemble surtout au concours de celui qui rougis le plus, et de celui qui baisse le plus la tête pour éviter l’autre.Mais là, curieusement, je ne ressens aucune gêne. De proie, j’ai le sentiment d’être passé au statut de prédateur. Je me sens en confiance, serein, décomplexé… Je la détaille ouvertement.Comment ais-je pu fantasmer à ce point sur elle ? En lieu et place de la jeune fille à la poitrine exceptionnelle qui me rendait fou de désirs, je vois une adolescente un peu potelée qui semble accumuler les clichés véhiculés par la presse pour teenagers. Jean slim ultra moulant qui peine à retenir un cul et des cuisses un peu trop sculptés par McDonald. Un top arborant de manière très visible une marque à la mode. Marque qui se voit d’ailleurs outrageusement déformée par les contours d’une généreuse poitrine… Téléphone à la main, écouteur aux oreilles, et maquillage mal maitrisé… le tableau est risible. Et dire qu’il y a une semaine, un regard un peu appuyé de sa part aurait alimenté plusieurs nuits d’intenses masturbations, et d’espoirs de relation… Cette idée me fait sourire, et je prends pleinement confiance de la chance que j’ai d’avoir croisé Chantal.- Bonjour Paméla, tu vas bien ?- …euuh oui.- Dis-moi, tu es particulièrement en beauté aujourd’hui. Il faut dire que j’ai remarqué ces derniers temps que étais devenu une femme. Lui dis-je en me bidonnant intérieurement de mon hypocrisie.- Hein… merci.- Vraiment, je te trouve très belle. Mais, tu dois être habituée à ce que l’on te le dise. Je ne dois pas être le premier.- Heuu…- Je t’ennuis peut-être ? Excuse-moi mais je me sens un peu bête face à toi… mais… tu m’impressionnes.- Heuu… non, c’est gentil ce que… tu… tu dis.
Quelle cruche ! Elle reste bloquée, la bouche ouverte à gober les mouches. Je ressens un immense sentiment de supériorité face à elle. Grisé pars cette sensation nouvelle, et jouissive au possible, je me sens fort, important, invincible. Enivré, je ne peux m’empêcher de poursuivre mon petit jeu cruel, me faisant l’effet du Torero qui plante ses banderilles avec l’assurance de celui qui connait les règles. - C’est idiot, on se connait depuis très longtemps et on n’a jamais pris le temps de parler tous les deux.- Oui…- Mais je te dérange peut-être ? Tu as peut-être rendez-vous avec ton petit ami ? Tu as un petit ami ?- Heuu…- Excuse-moi d’être aussi indiscret, mais c’est que je te trouve vraiment charmante, Paméla. Cela te fait quel âge maintenant ?- Je viens d’avoir 18 ans, et non, non, je n’ai pas de petit ami.
- Ha c’est bien… enfin je veux dire c’est triste, mais cela donne sa chance à tout le monde… Bon je te laisse, mais ce serait bien que l’on se revoit.- Oui, ce serait bien.
Je la plante là, en pouffant dans ma tête. Je ne me retourne pas, mais l’imagine pétrifiée sur le trottoir, ne sachant que faire... Quelle pauvre fille, elle me fait l’effet d’un petit pantin avec lequel on peut s’amuser. D’ailleurs, si un jour je m’ennuis il faudra que je creuse cette idée. Mais avec Chantal, je ne suis pas prêt de m’ennuyer.
De retour à la maison ma mère m’indique que mon pote Mourad m’a laissé un message. Je le rappelle pour savoir ce qu’il me veut.- Salut Jérémy, ça boom.- Waouh, j’ai un truc énorme à te raconter. Je ne peux pas t’en parler encore, mais tu verras, c’est énorme.- Mytho, un truc énorme dans ta vie, ce n’est certainement pas dans ton pantalon alors. Ah ha ha…- Connard !- Ça te dit te venir ce soir à la maison ? J’ai acheté le dernier Sonic pour ma Megadrive, il y a Franck et Éric qui passent. Ils amènent de la bière, et ça va être la grosse fête.
L’idée de passer une soirée à triturer une manette de jeu vidéo, alors que s’offre à moi la possibilité de tripoter les nichons de Chantal à volonté, me parait être bien triste. Il est hors de question que je ne profite pas de chaque instant de ma semaine auprès de la mère de Thierry. Je me surprends à raisonner comme un drogué que l’on voudrait priver de sa came. Chantal est MA drogue… Et l’overdose mon avenir.Je réfléchis rapidement à un moyen de concilier ces deux opportunités qui se présentent à moi. Et soudain une idée folle me traverse l’esprit. Une idée soufflée par mon égo, pour qui l’opportunité de m’afficher auprès de mes pôtes aux côtés d’une femme aussi belle que Chantal serait une source de satisfaction immense. J’ai du mal à mesurer à quel point cela peut booster ma côte de popularité- Ecoute, j’ai un plan d’enfer à te proposer. Ce soir vous venez chez moi pour faire une partie de poker. Mais crois-moi, il y aura une grosse surprise. Vous devez simplement respecter deus / trois règles : tout d’abord m’appeler Thierry pendant toute la soirée, et puis faire comme si on ne se connaissait pas depuis très longtemps.- C’est quoi ce délire ? Eh mec, j’ai Sonic !- Fourre le toi dans le cul ton jeu, et fais-moi confiance. A 20 heures vous sonnez à l’appartement en face du mien, et, quoi qu’il arrive, vous m’appelez Thierry pendant toute la soirée. Préviens les autres, et ne faites pas de gaffes.- Ok, Il y aura à boire au moins ?- Demande à Éric d’emmener ses bières. Et surtout, pas de gaffe. Ok ? A ce soir.
Je raccroche, hilare à l’idée du scenario qui a germé dans mon esprit. J’ai bien conscience que je marche sur des œufs, mais je fais suffisamment confiance aux potes pour qu’il n’y ait pas de gaffe. Et si cela dérape, je garde pourrait toujours faire chanter Chantal, qui ne tient certainement pas à ce sa relation incestueuse soit portée sur la place publique. Le risque est grand, mais l’idée de montrer à mes postes que je suis devenu un homme est vraiment trop tentante.Ma mère entre à ce moment dans le salon, coupant court à mes fantasmes.- Comment il va Mourad ? Il a repris l’école lui ?- Ça va, tu ne vas pas revenir la dessus en permanence. Il va bien, nous nous voyons ce soir. Au fait, ce serait sympa que l’on invite les voisins à dîner samedi soir. Pour leur souhaiter la bienvenue. Et puis manger avec mon frère jumeau cela doit être amusant.- Oui, c’est une bonne idée.- Je vois avec eux si cela est possible et je te le dis. Ok ? Bon, j’y vais à tout à l’heure.
Je retourne dans l’appartement de Chantal. Je la trouve en train de ranger la bibliothèque du salon.- Alors, tu es comment ?
Elle me regarde en rougissant, visiblement peu à l’aise.- Tu veux vraiment voir ? Ça fait très bizarre. Je me sens toute nue.- Bien sûr que je veux voir. Allez montre-moi ton petit minou.
Elle s’approche de moi et descend sa culote pour découvrir une chatte totalement imberbe. L’effet est saisissant, mais je suis conquis. Je ne résiste d’ailleurs pas au plaisir et à la curiosité de la caresser.- Doucement, c’est encore sensible. Cela brûle un peu.- Ne t’inquiète pas, je ne veux pas te faire du mal. Je vais juste te mettre un peu de baume du cœur.
Je me mets à genoux devant elle et dépose de petits bisous très tendres sur son sexe.Surprise par ma tendresse, elle pousse un soupir et me passe ses mains dans les cheveux pour me caresser affectueusement.Je m’enhardis et tente maladroitement de lui introduire ma langue dans sa fente.Elle pousse un nouveau soupir très langoureux, mais écarte doucement ma tête.- Ouh mon amour, tu vas me rendre folle. C’est très agréable et moi aussi j’ai très envie de toi, mais je crois que ce ne serais pas une bonne idée pendant quelques heures. Ne t’inquiète pas je me rattraperais ce soir.- Pas de souci maman. Je suis très content que tu as fait ce que je t’avais demandé. Je vais essayer de ne pas me frotter à toi pendant quelques minutes, plaisantais-je, mais je te préviens, tu es si belle que cela ne va pas être facile.- Oh, tu es un ange.- Habille-toi, nous avons prévu de sortir.- Ha oui, tu n’as pas renoncé. Comment souhaites-tu que je m’habille ?- Heu… je ne sais pas… Fais comme tu le sens. Au fait, les voisins nous invitent à manger chez eux samedi soir. Je les ai croisés en sortant.
Vingt minutes plus tard, je conduisais sa voiture en direction de la piscine de Mantes-La Jolie, située à plus de 25 km de chez nous.Ce, après m’être fait une peur bleue. Au moment même où je lui ai demandé les clefs de sa voiture pour conduire, je me suis demandé si Thierry possédait le permis. L’absence de réaction de Chantal, m’a rassuré.Arrivé à la piscine, je me gare sur le parking attenant. Chantal me regarde surprise.- On ne va pas à la piscine ? Mais, je n’ai pas de maillot.- Mais si, ne t’inquiète pas, lui dis-je en brandissant mon sac à dos.
Cela ne semble pas la rassurer et elle sort de la voiture avec réticence.Il faut que je lui prenne le bras pour la rassurer et l’attirer vers les caisses de la piscine.- Tu oublies que ce matin tu m’as promis de faire ce que je voulais. J’espère que tu ne me ferras pas regretter ma bienveillance. Ou bien tes fesses sans souviendront pendant longtemps.- Mais qu’est-ce que tu veux faire ?- Tu ne mentirais pas à ton fiston chéri ? Hein ? Tu vas être bien obéissante ? Et puis tu vois que j’ai été prévoyant, nous sommes à 30 km de la maison, et personne ne nous connait ici.- C’est bon, c’est bon… allons-y. Lâche-t-elle en soupirant.
Je prends les tickets et attrape le bras de Chantal que j’entraine dans le vestiaire des hommes.Elle roule des yeux effaré et tente de résister.- Mais… Thierry, que fais-tu ? C’est pour les hommes là.- Tais-toi et suit-moi discrètement. Tu as promis- Mais tu es fou…- Si tu veux que tout le monde te remarque, continue à résister…
Nous arrivons dans le vestiaire où 3 adolescents et un homme d’une cinquantaine d’année sont en train de se mettre en maillot de bain pour les premiers et de se rhabiller pour le dernier. Chantal reste interdite, elle semble ne pas savoir ce que j’attends d’elle. Je lui lance le maillot deux pièces acheté la veille, en disant à haute voix.- Allez Chantal, dépêche-toi de te changer, j’ai hâte de me baigner.
Elle regarde avec stupéfaction le maillot tomber à ses pieds et se mets à bredouiller.- Mais Thierry… je… je…- Dépêche-toi, lui lançais-je sur un ton qui n’accepte aucune réplique.
Désespérément elle cherche des yeux un endroit où se dissimuler. Mais le vestiaire ne dispose d’aucune cabine individuelle. Hésitante, elle retire son blouson et son chemisier dont je m’empare immédiatement.Les ados, rient dans leur coin, en la regardant de la manière la plus discrète possible. Le vieux, lui semble hypnotisé et ne la quitte pas des yeux.- Allez, ton pantalon, on ne va pas y passer la nuit. Puis, en me tournant vers le vieux : je ne comprends pas pourquoi elle fait sa timide alors que c’est elle qui a insisté pour venir dans le vestiaire des hommes. Je crois qu’elle est un peu exhibitionniste.
Chantal me regarde effaré, elle semble à la limite de pleurer. Je m’approche d’elle et lui susurre dans l’oreille.- Dépêche-toi de retirer tes fringues où je te mets la honte de ta vie.
Hésitante, Chantal dégrafe sont soutien-gorge, libérant ainsi sa grosse poitrine sous les rires des gamins. Elle tente de faire infléchir ma position, mais le regard que je lui lance ne lui laisse aucun espoir. Elle se saisie du haut de maillot de bain et tente de le passer sans succès. Les deux petits morceaux de tissus ne parviennent pas à contenir ses deux gros seins. De plus, elle ne parvient pas à faire se rejoindre les 2 attaches arrières. Elle me jette un nouveau regard désespéré.- Ne t’inquiète pas, je vais t’aider. Puis me tournant vers le vieux : c’est incroyable, je crois qu’elle a encore forcis de la poitrine. Elle a une sacré paire hein ?
Le vieux, légèrement gêné, approuve rapidement et se retourne pour cacher son érection naissante.Je me saisis du soutien-gorge et en forçant, parviens à l’accrocher. Puis, je tente de faire rentrer les 2 masses charnues dans leur logement. Le résultat n’est pas couronné de succès : les seins débordent de partout et le tissu semble bien fragile fasse à la pression qu’il subit.- Allez, le bas. Je commence à me fatiguer de d’attendre.
Résignée, Chantal se résout à retirer son pantalon et sa culote pour rapidement se saisir de son bas de maillot et tenter de l’enfiler. Le passage des cuisses, qu’elle a pourtant assez fines pour son âge, pose problème. Mais elle est si pressé de ne pas rester nue, que le maillot rejoint rapidement le bas de ses fesses. Elle est là à se tortiller pour essayer de couvrir ses fesses et son sexe avec ce slip prévu pour une gamine de 14 ans quand 2 hommes entrent dans le vestiaire en parlant. Tout à leur discussion, ils ne semblent pas avoir vu Chantal.Leur arrivée fait fuir 2 des garçons qui détalent vers les douches laissant leur copain, moins empoté, profiter du spectacle seul.Lorsque je me retourne vers Chantal, je ne peux m’empêcher de rire. Elle est parvenu à passer son maillot, mais le résultat est assez surréaliste : son slip compresse tellement son sexe, que ses lèvres intimes sont écartelées et apparaissent de manière obscène, le fil qui passe sur ses hanches est tellement serré, qu’il strie celles-ci en deux de manière ridicule. Enfin, ses deux lobes fessiers semblent jouer avec le petit triangle de tissu qui tente sans succès de les soustraire à la vue des autres. Ce maillot trop petit pour elle, ne fait que mettre en évidence ses jolies rondeurs et sa féminité. Elle reste plantée là, embarrassée, cherchant à cacher de ses mains ce que son maillot ne parvient pas à dissimuler. Je récupère tous les vêtements de Chantal, lui tape amicalement les fesses et lui dis :- Allez, file à la douche, et frotte bien partout.
Puis je me dirige vers le gamin, qui semble prendre peur et tente de m’éviter.- N’aie pas peur, tu as été le plus courageux de tous tes potes. Cela mérite une récompense, tu t’appelles comment ?- Heu… Patrick monsieur.- Bon ben Patrick, Tu veux rigoler un peu, alors suis-moi et fais-moi confiance.
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