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Est-ce vraiment moi ?

Chapitre 8

Trash
Chapitre 8 – Moi ce que j’aime chez Paméla…Résumé des chapitres précédents : Chantal, qui entretient une relation incestueuse avec Thierry, son fils emménage dans un nouvel appartement. Le fils de sa voisine, Jérémy, jeune homme timide, profite de son extraordinaire ressemblance avec Thierry, et d’un malentendu, pour se faire passer pour ce dernier auprès de Chantal. Après avoir perdu sa virginité dans ses bras, il entame avec celle une relation durant laquelle il domine la mère de famille qui pense toujours avoir à faire à propre fils.

Après avoir dévalé les escaliers, je me rends au bâtiment A qui se trouve à 300 mètres de mon immeuble. Paméla (voir chapitre 5) y habite au RDC. Je m’arrête devant sa fenêtre et tape au carreau. Cinq secondes plus tard, la bouille de Paméla apparait. Elle rougie immédiatement à ma vue et bafouille :- Jeremy, mais qu’est-ce que tu fais là ?- Depuis ce matin je pense à toi, et j’avais envie de te voir. Tu es seule ?- Heuu oui, j’écoutais de la musique.- Tu fais quelque chose ? Cela te dirait te balader avec moi ?- Heuu, ce serait super, mais je ne crois pas que ma mère voudrait. - Une grande fille comme toi, tu n’as pas le droit de sortir ? Si tu passes par la fenêtre, elle ne saura rien.- Oui, mais si elle me voit dehors elle va me tuer.- Allez vient, on ira du côté du parc, elle ne nous verra pas. Cela me ferait plaisir…- …- Alors ?- Ok, je me change et j’arrive.- Non reste comme ça tu es très belle.- Tu trouves ?- Oui, prend ma main, je vais t’aider.
Je lui tends la main pour l’aider à escalader le rebord de sa fenêtre. En se penchant elle offre son décolleté à ma vue et me dévoile une fantastique paire de sein.Je glisse ma seconde main sous elle, en faisant mine de l’aider et en profite pour lui caresser les fesses. Elle me regarde avec un air surpris, mais ne dit rien. Cette pimbêche s’est changée depuis ce matin, et arbore maintenant une mini-jupe volante.Une fois sur la pelouse, je lui prends la main et l’entraîne vers le parc qui longe les voies ferrées. C’est une grande pelouse entourée de petits bois dans lesquels sinuent des chemins étroits.Paméla semble intimidé, elle serre ma main très fort. Je l’amène de l’autre côté du parc, dans la partie du bois qui longe la voix ferrées. Ce n’est clairement pas la partie la plus propre et la plus romantique, mais je lui dis que c’est la plus éloigné de son appart et donc de sa mère, et cela à l’air de la convaincre.Chemin faisant je lui caresse doucement les doigts, et elle se laisse faire. Dans ma tête je me dis que la gourde ne doit pas croire à ce qu’il lui arrive, et qu’elle doit déjà avoir des petits cœurs dans la tête. En tout cas elle n’est pas farouche, ce qui est une bonne chose. Dans ma tête je visualise tout ce que j’aimerais faire avec elle. Ce n’est globalement pas très honorable, mais me redonne une trique monumentale. Je m’aperçois qu’elle a d’ailleurs remarqué mon état. Ce qui m’aurait mis dans un état de honte sans limite il y a une semaine, me fait aujourd’hui rigoler intérieurement. Le simple fait d’essayer d’imaginer ce qu’elle pense actuellement me remplis d’une joie vicieuse.
Arrivée le long des rails nous nous asseyons sur un tronc d’arbre déraciné. Je la regarde et lui fais mon grand numéro.- C’est bien que tu sois là Paméla, cela fait trop longtemps que j’ai envie de ce moment-là.- Heuu, oui… c’est chouette, rétorque-t-elle visiblement troublée.- Si tu je n’étais pas aussi intimidante, je crois que… Lui dis-je en en faisant des tonnes dans le registre amoureux transis.- …
Elle reste bouche bée.Je lui prends la main et la place sur ma braguette, à l’endroit où mon sexe déforme outrageusement mon pantalon. Elle a un geste de recul.- Regarde dans quelle état tu me mets. Tu me rends fou.- Mais… Thierry tu…- Excuse-moi, je voulais juste te montrer que j’étais sincère. Je me rends compte que j’’ai été maladroit et que je t’ai choqué. C’est vrai que tu as presque 3 ans de moins que moi. A te voir aussi belle, je te prenais pour une femme. Excuse-moi encore. Je me conduisais comme si tu étais une adulte.
L’adolescente lève la tête vers moi, visiblement vexée par mes propos.- Non, c’est bon. Je… je suis plus une gamine. Mais j’ai été surpris… c’est tout.- Ha bon, j’ai eu peur de faire une boulette, tu as quel âge maintenant ? 17 ? Tu fais beaucoup plus.- Merci…
Je ne lui laisse pas le temps de continuer. Je l’enlace et plaque mes lèvres contre les siennes. Son mètre 60, se trouve enveloppé dans ma grande carcasse. Le moment de surprise passé, elle me rend mon baiser avec fougue. J’exulte intérieurement. Je commençais en effet à croire que jamais je n’arriverais à aller plus loin rapidement avec elle. Et le facteur rapidité est important : mon objectif est clair : la sauter dans l’heure qui suit pour évacuer la tension qui bouillonne en moi. Après 30 secondes durent lesquelles nos langues se sont entrelacées frénétiquement, je fais glisser doucement mes mains vers ses fesses. Je sens son corps tressaillir, se tendre. Pour autant, elle ne se dérobe pas, mais interrompt notre bécotage. Nous en profitons pour reprendre notre souffle. Son rouge à lèvre n’a pas très bien supporté nos échanges, il lui barbouille, par endroit, le contour de la bouche. Ce n’est pas très joli, mais cela lui donne un petit côté sauvage auquel je ne suis pas insensible.- Tu embrasses merveilleusement bien, lui dis-je, tu n’es pas comme ces gamines qui jouent les aguicheuses et puis qui te laissent en plan parce qu’elles ont peur de tout. Toi, on sent que tu sais ce que tu veux.
Loin de voir les sous-entendues, pourtant pas très subtiles, que je viens de lui lancer, elle semble se gargariser et retirer de la fierté du fait que je la considère comme une adulte. A ma grande surprise, et comme si elle se faisait un peu violence pour m’impressionner, c’est elle qui initie une nouvelle séance de bisouillage. Je n’hésite plus et lui colle franchement mes deux mains sur ces fesses. Quels morceaux ! Son cul, bien que volumineux, possède encore la fermeté inhérente à la jeunesse. Je masse ses deux globes fessiers tout en subissant les assauts de sa langue. La petite semble déchaînée dans de domaine, et je dois reconnaître qu’elle si prend plutôt bien pour embrasser. Une question me traverse l’esprit : est-ce la première fois ? Est-ce qu’elle n’aurait pas déjà eu un petit copain, pour embrasser aussi bien ? Je repousse l’idée. Paméla a toujours été considérée dans la cité comme la petite fille pas bien futée, dont on se moquait plutôt entre nous (ce qui d’ailleurs me faisait souffrir jusqu’alors, moi l’amoureux secret. Quelle ironie !). De plus, le fait que sa mère soit la Gardienne et donc informé de tout ce qui se passait dans le quartier lui donnait un petit statut d’intouchable. Il m’apparait impossible qu’elle ait déjà fréquentée.Ne sentant aucune résistance de sa part, je pousse plus loin mon avantage. Une de mes mains se glisse sous sa jupe et lui saisit fermement la fesse gauche, pendant que mon autre main se pose sur son T-shirt au niveau de son sein droit.Je la fixe dans les yeux. Elle semble paralysée, et ne sait comme réagir. Seule sa langue continue à s’activer. Ses yeux me lancent des regards interrogateurs. La pauvre, si elle pouvait lire dans mes pensées, elle se verrait les 4 fers en l’air, ses vêtements en lambeaux et moi en train de la défoncer sans ménagement malgré ses protestations.Ma main gauche continue son exploration et passe sous sa culote, descend, descend, jusqu’à effleurer la naissance de son sexe. Le tissu est trempé. Elle arrête de m’embrasser et cherche très timidement à se décoller de moi.- Pourquoi pars-tu ? Regarde l’état dans lequel tu m’as mis, lui dis-je en pointant mon sexe. Tu ne peux pas me laisser comme ça. Ce serait trop cruel. Embrasse-moi encore.
Paméla est désorientée. Elle me laisse la reprendre dans mes bras.Je lui susurre à l’oreille :- Tu ne pourrais pas me toucher le sexe, cela me ferait du bien.
Se faisant je lui prends la main et la pose sur ma braguette. Timidement elle frotte sa main, sans oser croiser mon regard- Oui, c’est bon. Tu sais bien te débrouiller avec les hommes… Continue… Oh oui… ouvre ma braguette.- …- Vas-y ouvre ! Tu n’es plus une gamine. Lâchais-je sèchement.
Mon ton cassant la surprend et elle s’exécute sur le champ. Visiblement, elle ne résiste pas beaucoup à l’autorité.Mon sexe jailli de mon slip, et elle reste là, à le fixe sans bouger.- Qu’est-ce que tu attends ? Toutes les filles font ça à leur petit ami, il n’y a pas de mal.
Paméla me regarde, comme si elle cherchait à juger de mon sérieux. Je lui fais mon sourire le plus enjoliveur et le plus encourageant possible.Elle s’empare alors timidement de mon sexe pour commencer une branlette bien maladroite. Je me saisis de sa poitrine et malaxe ses seins. Il me semble qu’elle commence à pousser de petits gémissements, et cela ne fait qu’accroître mon excitation et mon envie d’elle. Une seule pensée accapare tout mon esprit : me taper cette gourde aux formes si généreuses.- Je t’aime, tu es trop géniale. Tu pourrais me tailler une pipe ? Toutes les femmes font ça.- Mais je n’ai jamais…- Ne t’inquiète pas. Quand on s’aime c’est toujours génial. Mets-toi à genou et ouvre la bouche
Comme un automate, la petite rondelette se baisse, ouvre la bouche en grand et attend comme si j’étais un Curée en train de distribuer les Hosties.Je lui attrape la tête et enfourne ma bite dans sa bouche.- Allez, ferme la bouche et suce. Je suis sûr que tu vas faire ça très bien.
Elle commence gauchement à onduler de la tête en passant sa langue sur mon sexe. Visiblement elle est un peu dépassée par les évènements. Je lui saisis les cheveux et commence à lui imprimer un rythme plus soutenu. Ma bite tape contre le fond de sa gorge et elle manque de s’étouffer. Elle me lance un regard légèrement apeuré.- Allez, continue toute seule. Toutes les gamines savent faire ça. Tu n’es pas plus gourde qu’une autre tout de même ?
Je sens que ma remarque l’a piqué, une larme commence à couler sur sa joue. Elle me reprend en bouche et tente maladroitement de poursuivre sa fellation. Elle m’attrape les fesses de ses deux mains afin de contrôler le mouvement que j’impose à sa tête. Je sens le plaisir monter en moi. Je me penche pour la regarder. Ses cheveux blonds décolorés ondulent autour de mon bassin. Ses joues habituellement déjà bien rondelettes sont déformées par mon gland. Voir ses lèvres s’activer autour de mon sexe, sa bouche bariolée de rouge à lèvre et de bave, me prend aux tripes. Le tableau est d’une vulgarité qui m’excite au plus haut point. Décidément pour une première pipe je suis gâté. Je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps de lui cracher ma sève au visage. Cette simple idée me rapproche encore plus de la jouissance. Je me saisis de son T-shirt que je passe au-dessus de ses seins et attrape ces derniers. Paméla s’arrête et me regarde affolée et se recule un peu.- Mais… on pourrait nous voir !!!- Il n’y a personne dans ce coin. Concentre-toi sur ce que tu fais sinon cela va durer des heures.
Je lui saisis la tête et la force à me reprendre en bouche, tout en me rendant compte au même moment que depuis l’endroit où nous sommes les passagers des trains de banlieue qui passent toutes les 10 minutes, ont une vue imprenable sur nous deux. Visiblement, Paméla, qui tourne le dos aux rails, n’a pas encore intégré cela.Je me repenche sur elle et dégrafe son soutien-gorge, libérant deux obus qui aimantent mes mains. Quelle paire !!J’attrape ses tétons qui sont tout érigés et les pince.- Aieee ! Qu’est-ce que tu fais ? Ça fait mal !- Bon tu me suce ou tu fais autre chose ?
Résignée, elle reprend sa pipe. Je m’amuse à soupeser ses nibards, à m’imaginer une cravate de notaire dans leur sillon. Cette simple évocation m’électrise, je donne de grand coup de bassin, qui rentre mon bâillon de chair complètement dans sa bouche. Elle manque à nouveau de s’étouffer.- On ne peut pas continuer comme cela, tu t’interromps tout le temps.- Je m’excuse Jeremy, mais je crois que ce n’est pas le bon endroit pour ça.- Qu’est-ce que tu racontes. Regarde tes seins. Regarde ta culotte toute trempée. Tu es en chaleur. Tu me mets dans un état de folie et après tu me dis que l’on arrête tout. Ce n’est pas possible Paméla, nous ne sommes plus des gamins maintenant. Si tu ne sais pas sucer, ce n’est pas grave on peut faire autrement.- Autrement ?!?- Oui, comme deux adultes qui s’aiment. Ne fait pas ta gamine qui ne comprend pas.- Mais…- Quoi ? Ne me dit pas que tu n’en as pas envie, tu es toute trempée. Tient, regarde.
J’attrape Paméla et soulève sa jupe. Puis passe un doigt sur son sexe. Elle trésaille et pousse un petite cri.J’approche mon doigt tout humide de sa bouche et l’introduit dans celle-ci.- Tiens lèche, tu vois tu es en chaleur. Ne me dit pas que tu n’as pas envie de baiser.- Mais… ce n’est pas ça mais je ne prends pas la pilule. Je ne veux pas tomber enceinte…
Je reçois cette phrase comme une gifle. Jamais je n’avais pensé à cela. Même lorsque j’étais avec Chantal, à aucun moment un moyen de contraception n’a été évoqué… Je reste un peu sonné, réalisant ma candeur sur ce sujet.- …- Et tu n’as pas de préservatifs, me demande-t-elle
Non, couillon comme je suis, je n’en ai pas. Mais je réalise que par cette simple phrase elle agit comme si la seule chose qui nous empêchait d’aller plus loin est le risque de tomber enceinte, et non pas le fait de se faire tirer par un mec qui ne la calculait même pas 5 heures plus tôt. Je reprends espoir, et une idée germe dans mon esprit. Pour la sauter sans risquer de l’engrosser il y a une voix alternative. Mon phantasme ultime surgit ; la sodomie. Le mot hante ma tête depuis que je fréquente Chantal, mais je crois que je n’aurais jamais osé franchir le pas avec elle. La peur de ne pas assurer et l’amour que je lui porte constituent des freins trop importants. Mais là, avec cette pauvre fille, c’est l’occasion rêvé de faire mes classes. Je la regarde, les cheveux ébouriffés, le visage maculé de bave et de rouge à lèvre, le rimmel qui a coulé, la poitrine à moitié à l’air… elle a tout de la fille qui va se faire avoir par les hommes durant toute sa vie. Autant que je sois le premier à l’enculer.- Tu as raison, nous sommes des adultes et il faut être sérieux.
Ma phrase à l’air de la rassurer un peu. Si elle est excitée, elle est également inquiète quant à la tournure des évènements. Je ne lui laisse pas le temps de souffler, je l’attire vers moi et lui saisit les fesses sans douceur.- Tu as raison, heureusement qu’il nous reste une solution. Tu vas voir cela va bien se passer.- Heinn… quoi ?- Retire ta culotte et donne-la-moi.- …- Allez dépêche-toi. Plus on tarde, plus on risque de se faire voir. Insistais-je en commençant à lui relever sa jupe.
Paméla me regarde avec des yeux effarés. On dirait un petit papillon prit dans les phares d’une voiture.Je lui fais un bisou.- Allez mon amour, il faut y aller… ta culotte.
Comme un automate, elle se baisse et fait glisser sa petite culotte le longe de ses jambes puis la retire, l’air ahurie.- Donne-la moi !
Incrédule, elle me tend le petit bout de tissu. Je m’en saisie et le porte à mon nez.- Humm, elle est trempée… ça sent la femme en chaleur. Mais dit-moi, tu es une petite vicieuse. Tu mouilles comme une petite coquine.
Paméla, ne répond et détourne le regard, gênée. Je lui attrape le menton et l’oblige à me regarder.- Oui, tu es en chaleur. Regarde-moi cette culotte toute trempée. Et regarde-moi tes seins, ils pointent comme des missiles… ne t’inquiète pas je vais bien m’occuper de toi…- Mais… qu’est-ce que tu v… vas faire ?- Moi rien. Mais toi, tu vas te mettre à 4 pattes et écarter bien gentiment les cuisses. Et tu sais pourquoi ?- Non.- Parce que tu m’aimes et que tu es une brave fille. Allez, dépêche-toi. Moi aussi, j’ai beaucoup d’amour à te donner.
Paméla reste immobile, ne sachant quelle attitude adopter. Je commence à m’impatienter. L’idée de la sodomiser me rend fou. J’appuie sur son épaule et la force à se baisser.- Allez, arrête de faire ta gamine et montre-moi ton cul, fou toi à quatre pattes. Tu ne vas pas me faire croire que tu es venu ici avec moi pour cueillir les champignons. Grouille.
Paméla se positionne lentement à quatre pattes face à moi et me regarde d’un air interrogateur.- Mais tu es gourde ou quoi ? Dans l’autre sens ! Tu n’as jamais vue une chienne se faire monter par un clébard ?
Je l’attrape par les cheveux et l’oblige à marcher à 4 pattes pour se retourner. Ses seins qui pendent me font penser à une vache. Et en l’occurrence, vu la tête qu’elle tire, à une vache qu’on emmène à l’abattoir.Une fois qu’elle s’est retournée, je retrousse sa jupette sur son dos et admire son cul.- Waouh, ça c’est du cul ! Dit-donc quand tu es assise, tu ne dois pas tomber toi.- Pourquoi tu es méchant ? Et qu’est-ce que tu vas faire ?- Je ne suis pas méchant, on rigole. Tu as de très belles fesses, mais tu dois faire attention si tu ne veux pas avoir le même gros derche que ta mère dans10 ans.
Ne lui laissant pas le temps de répondre, je me saisis de ses fesses et les écartes.- Tu pourrais t’épiler aussi, c’est des choses qui se font maintenant.
Je commence à titiller sa petite pastille comme je l’ai vu faire dans un film porno.A peine ais-je effleuré son trou, qu’elle émet un petit gémissement qui me semble être de plaisir.- Ben dit-donc tu es une chaudasse toi ! Je crois que l’on va pouvoir se passer de préparation.- Vas-y doucement, ne me fais pas mal… S’il te plaît.- Tu vois c’est toi qui demande à être montée maintenant. J’en étais sûr que tu étais une grande fille. Allez, serre les dents.
Au même moment je colle mon gland contre sa pastille et appuie de toute la force de mon bassin. Elle pousse un cri et se crispe. Je lui assène une violente claque sur les fesses pour l’inciter à se laisser faire.Puis je reprends ma manœuvre, mon gland commence à disparaître dans son trou. Elle gémit en sourdine en essayant de contenir ses cris.Je lâche ses fesses, lui attrape les hanches et pousse un coup violent. Elle hurle, puis se mets à haleter comme un chien asthmatique. Je suis complètement entré en elle, ma queue disparait totalement dans le pli de son gros cul. Je n’en reviens pas, je suis dans le cul d’une fille ! Pas de miss monde, certes. Mais mon sentiment de victoire est total. Je regarde ma victime avec détachement et mépris : pauvre fille, se laisser faire dans ces conditions, elle mérite bien ce qui lui arrive. Sans plus attendre, je commence mes allez retours dans son fondement, c’est étroit, très serré.Paméla n’arrête pas de gémir, de se plaindre.- Aiee… doucement, ça fait mal. Aiiie… Doucement s’il te plait…- Tais-toi, tu passes ton temps à te plaindre, t’es chiante… Je me demande ce que je fou avec une fille comme toi…- Aiiiee… mais Jeremy, c’est toi qui aaaa…. voulu, moi je ne voulais pas.- Tais-toi, tu étais en chaleur, à te dandiner comme la dernière des trainées et maintenant ça va être de ma faute si tu te fais sauter…
J’accélère le mouvement, regardant son cul bouger comme par vague, chaque coup de rein provoquant une nouvelle vague. Sa poitrine s’est totalement extrait de sa prison de tissu et se balance vigoureusement sous elle.Je suis tout à ma chevauché quand un bruit nous attire. Nous levons les yeux et voyons un train passer au ralenti à moins de 40 mètres de nous, en surplomb. Pour le moment aucun voyageur ne semble faire attention à nous, mais cela ne saurait tarder.- Jeremy, arrête, ils vont nous voir… lâche-moi.
Je me sens dans la dernière ligne droite, il est hors de question que j’interrompe ce moment de pur plaisir. Mon cerveau surchauffé n’a plus qu’un objectif : remplir à ras bord le cul de Paméla de mon jus. Je l’agrippe fermement et continue de la fourailler. Elle chercha à se débattre et à se soustraire à mon emprise. Se faisant elle perd son équilibre et se retrouve à plat ventre, mon sexe toujours fichée en elle. Ses seins débordant à droite et à gauche de son torse. Cette image, déclenche mon orgasme, 3 coups de queue plus tard je me déverse dans son cul, et me laisse tomber sur elle, épuisé.- Jeremy, bouge-toi je t’en supplie, il y en a qui nous regardent.
Effectivement, certains passagers du train commencent à nous regarder, oscillant entre surprise et hilarités.Paméla se dégage et cours se réfugier à couvert des arbres, où je la rejoins rapidement. Tremblante, elle pleure en tentant de remettre de l’ordre dans sa tenue.- Alors, pas trop mal au cul ? Lui dis-je en rigolant.- Tu es fou, des gens nous ont vu, ils habitent peut être dans la cité. Ma mère va surement être au courant.- Putain, tu fais chier, finalement je me suis trompé, tu n’es qu’une sale gamine qui a peur de sa môman.- Thierry, tu ne peux pas parler comme ça. Ce qu’on a fait, c’est n’importe quoi… Rassure-moi, je suis ta petite amie maintenant ? Tu sais, je t’aime... Quand est-ce que l’on se reverra. Je ne sais même pas dans quel appart’ tu habites, je ne connais que ta tour. Tu me donnes ton N° que je puisse t’appeler.- Ta petite amie ? Non mais tu t’es regardé ? Tu crois vraiment que je vais me mettre avec une gamine comme toi. Tu suce comme un glaçon et tu n’arrêtes pas de te plaindre. Grandis un peu et après on verra.
Paméla éclate en sanglots. - Salaud, tu m’as baisé et maintenant tu me jette. Alors que moi je t’aime. Tu es vraiment un enfoiré. Rend moi ma culotte, que je me casse…- Désolé poupée, je la garde en souvenir. Comme ça je pourrais garder un peu de ton odeur de femelle avec moi.
Elle hausse les épaules, termine de se réajuster et disparait en direction de chez elle.Après m’être ajusté, je retourne également vers la cité l’esprit joyeux.J’imagine Paméla en train d’essayer de cacher son gros cul nu sous sa jupette. Je l’imagine marchant maladroitement avec ses chaussures compensées, mon sperme coulant sur l’intérieur de ses cuisses. Comme pour lui rappeler que pendant quelques instants elle a été ma chose et que j’ai disposé d’elle à ma guise. Je l’imagine enfin escalader le rebord de sa fenêtre en exposant son fion béant aux passants. Je me sens heureux, léger. Et pas uniquement parce que je me suis vidé dans son anus.
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