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Estelle

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Moussa, j’ai 25 ans et je suis d’origine Camerounaise. J’ai la peau relativement claire pour un black, certains me croient même parfois métisse. Je vais raconter une histoire qui est arrivée à la jeune femme que j’ai aimée pendant plus de deux ans. Cela s’est passé il y a un mois. Je connais les détails parce-qu’elle me les a racontés... sans rien omettre.
Avant d’aller plus loin, je vais faire une précision pour éviter les conclusions hâtives, je suis black certes mais j’ai une anatomie plutôt normale. Je n’ai jamais été mal à l’aise dans le vestiaire des hommes après le sport, au contraire même, mais je ne suis pas non plus "monté comme un poney" comme certaines Européennes peuvent le fantasmer.
Mon ex s’appelle Estelle. Elle a mon âge, c’est une jolie fille, très élégante et très mince, avec de beaux yeux bleus. Elle a la peau blanche mais pas trop et des cheveux ondulés châtains. Elle les porte détachés et ils descendent jusqu’au milieu de son dos. Elle a peu de poitrine mais ses seins comme ses fesses sont fermes comme j’aime. Je l’ai toujours trouvée très attirante.
Nous nous sommes rencontrés dans une boulangerie de notre quartier. Elle m’a tout de suite plu. J’ai essayé de la faire rire pendant que nous attendions notre tour puis je suis revenu tous les jours vers la même heure pour la croiser à nouveau. Un jour, elle a fini par accepter de prendre un verre avec moi. C’est comme cela que notre histoire a commencé.
Elle a une boutique de fringues. Ses parents l’ont aidée pour qu’elle puisse se lancer. Je l’ai aimée très vite: sa beauté, sa grâce naturelle, son intelligence. J’étais heureux et fier d’être son mec. Pourtant, il y avait un problème qui me frustrait: elle n’était vraiment pas douée pour tout ce qui touchait au sexe. Elle n’était pourtant pas frigide; je la faisais jouir de temps en temps.Il ne fallait ni la brusquer, ni lui demander quoi que ce soit avec insistance et elle ne prenait pas d’initiatives toute seule. Autant dire que pour l’amener à faire le moindre écart un peu sympa, c’était toute une histoire.
Elle me suçait tous les trois mois, et encore, du bout des lèvres et pas très longtemps. Elle ne s’était jamais laissée prendre en levrette, je ne parle même pas d’anal. Elle aurait eu une attaque si j’avais ne serait-ce qu’évoqué l’idée. Pour être synthétique, elle était complètement nulle ! Même quand je lui roulais une pelle, elle y mettait de la retenue, ne me laissant jamais lui enfoncer ma langue dans la bouche comme j’aurais voulu le faire... mais je l’aimais. Je trouvais un exutoire en me masturbant régulièrement devant des vidéos montrant des actrices faire ou accepter ce qu’Estelle ne m’offrirait jamais. Parfois après m’être soulagé en regardant une scène se terminant par une éjaculation faciale, je me disais que la vie était une garce: il y avait une sacrée ironie à aimer comme jamais je n’avais aimé celle qui était de loin la pire amante que j’aie connu; moi qui avait des fantasmes bien hard depuis toujours. Putain de Karma !Depuis quelques temps, c’était même devenu pire. Il m’était arrivé de me relever la nuit après que nous ayons fait l’amour pour aller me branler en matant une vidéo porno devant mon pc tant nos rapports ne me satisfaisaient plus. Je ne savais pas si je devais avoir honte ou avoir une certaine fierté de choisir cette solution plutôt que de tromper Estelle.
Pourtant une fois, j’avais cru déceler une étincelle chez Estelle. Nous étions partis en week-end à Nice. Elle prenait une douche en fin de journée. Je l’ai rejoint. J’étais derrière elle. J’ai fait glisser l’ongle de mon majeur le long de sa colonne vertébrale. Estelle a poussé un soupir. Arrivé en bas de son dos j’ai fait glisser mon doigt dans la raie de ses fesses. J’ai caressé son cou avec mon autre main puis enfoncé un doigt dans sa bouche. L’espace d’une seconde, elle s’est laissé faire, retroussant ses lèvres et soupirant pendant que je m’enfonçais entre ses lèvres. Elle a passé sa langue sur mon doigt et gémit alors que le majeur de mon autre main allait toucher son petit trou. Mais elle s’est dégagée brusquement et m’a viré de la douche. Je me raccrochais parfois à ce bref souvenir pour me dire que son cas n’était peut-être pas totalement désespéré.
Il y a 5 semaines, je me suis réveillé aux côtés d’Estelle chez elle et je l’ai embrassé pour lui dire bonjour. Elle s’est blottie dans mes bras cinq minutes puis est allée se préparer. Nous avons pris le petit déjeuner puis somme partis au travail. Elle, dans sa boutique et moi à mon job de commercial dans l’entreprise qui m’emploie.
Un homme de 55 ans est venu à la boutique d’Estelle peu avant la fermeture de midi. Il voulait acheter une robe pour la compagne d’un ami qui fêtait son anniversaire le soir même. Estelle l’a reconnu: c’était Louis Grapi, un businessman de la région célèbre pour avoir sauvé plusieurs entreprises du coin sur le point d’être délocalisées. Il était grand, 1m85, les cheveux noirs et frisés. Il avait des kilos en trop comme presque tous les hommes de son âge mais avait du charme et beaucoup de charisme. Il a félicité Estelle d’avoir son affaire si jeune. Elle a été flattée et lui a demandé quelques conseils. Il était presque midi, il l’a invitée à déjeuner pour qu’elle lui parle de sa boutique. Elle a tout de suite accepté. Il lui a donné quelques astuces pendant le repas. Il a interrogé la jeune femme sur son parcours, elle lui a expliqué avoir perdu sa sœur à l’adolescence et que cela l’avait beaucoup marquée. Il lui a dit avoir récemment perdu son plus jeune frère. Ils se sont confiés l’un à l’autre.
Grapi a payé le repas et laissé sa carte à Estelle. Le soir, elle m’a dit vouloir se reposer. Nous ne nous sommes pas vus. Le lendemain c’était le jour de fermeture de la boutique. Grapi a contacté Estelle et lui a proposé d’aller marcher au bord de la rivière pour parler de la perte de son frère. Il l’a baratinée sur le fait qu’elle avait vécu la même chose et qu’il pouvait se confier à elle. Ils se sont retrouvés et ont parlé pendant plus de trois heures. Ce manège a duré une semaine, ils se voyaient chaque jour et elle ne m’en disait rien. Le quinqua n’a même pas eu à faire le premier pas. Lors d’une nouvelle balade bucolique, une feuille a volé dans les cheveux d’Estelle, il s’est penché vers elle pour lui enlever. C’est la jeune femme qui a posé ses lèvres sur celles du businessman. Elle a entrouvert ses lèvres et caressé la langue du quinqua puis s’est écartée en balbutiant: "Pardon Louis, je ne sais pas ce qui m’a pris".
Il a passé son bras derrière la taille d’Estelle et l’a serrée fermement contre lui. Il l’a embrassée. Elle n’y a opposé aucune résistance. Il a fourré sa langue loin dans la bouche de celle qui était encore ma petite amie à ce moment là. Il prenait possession des lèvres de la jeune femme. Ce baiser était déjà un peu un acte sexuel. Estelle s’est laissée aller. Elle sentait tout son corps vibrer. Elle était une petite chose dans les bras d’un géant. Elle accompagnait la langue de Grapi docilement en sentant son corps s’incendier.
Cela a duré plusieurs minutes. Quand il l’a enfin lâchée, elle s’est serrée contre lui pour recommencer enivrée par ce premier baiser. 10 minutes plus tard, il a ramené la jeune femme chez lui. Elle était hypnotisée par l’aura de l’homme qui venait de faire une entrée fracassante dans sa vie.
Il l’a emmenée vers la chambre, Estelle s’est laissée déshabiller. Elle n’a rien dit quand il lui a demandée de garder ses chaussures à talons. Il l’a serrée contre lui puis est passé dans le dos de la jeune femme et l’a embrassée dans le cou en lui caressant le ventre et les seins. Il l’a ensuite allongée sur le dos et après avoir embrassé les longues jambes fines d’Estelle de sa cheville jusqu’à l’intérieur de ses cuisses, il s’est mis à lui lécher le clitoris et les grandes lèvres. Elle a tout d’abord été surprise et gênée qu’il sorte sa langue complètement et lui bouffe la chatte goulûment. Mais il a posé ses larges mains sur les cuisses lisses et douces pour les maintenir bien écartées. Il a joué avec le bouton de la jeune femme puis l’a pénétrée avec sa langue aussi loin qu’il pouvait. Estelle n’en revenait pas de subir un cunnilingus aussi extrême mais elle ne pouvait nier les signaux que son corps lui envoyait depuis plus de 5 minutes: elle adorait ça. A ce moment, elle a choisi de s’abandonner au plaisir et de laisser de côté la jeune femme coincée qui ne s’autorisait que les sensations "acceptables".Elle s’est laissée aller, a posé les mains sur les cheveux de son amant et a commencé à gémir. Il a poursuivi ses attentions lui faisant avoir un orgasme clitoridien puis un second, vaginal cette fois en lui faisant l’amour avec sa langue. Elle ne comprenait pas les réactions de son corps: elle avait rarement joui deux fois dans la même semaine et là, elle avait ressenti deux orgasmes en dix minutes.
Il est venu à hauteur du visage d’Estelle et a fourré sa langue dans sa bouche malgré les sécrétions autour de ses lèvres. Il l’a enfilée d’une seule poussée, elle a gémi à moitié paniquée et à moitié conquise. Elle a posé les mains sur les hanches de son amant. Il lui a fait l’amour lentement sans quitter les lèvres de la jeune femme. Puis il s’est écarté de ce baiser. Il a pris les bras de la jeune femme, les a ramenés tendus vers l’arrière dans l’axe de son corps et il a relevé sa fine jambe droite contre sa propre hanche, lui faisant faire un V inversé sur le lit. Enfin, il a passé son bras sous la jeune femme, la serrant contre lui et lui faisant ainsi creuser les reins. Estelle s’est imaginée sortir de son corps pour se regarder: elle s’est vue nue, avec ses chaussures encore aux pieds, cambrée contre son amant, totalement offerte, les bras tendus en arrière. Elle s’est sentie belle, elle s’est sentie femme. Elle s’est concentrée sur les sensations que lui procuraient la queue de son amant maintenant enfoncée au plus profond d’elle; Elle s’est creusé le dos encore plus pour sentir le gland de Grapi écraser en elle une zone inconnue jusqu’ici. Il a fait aller et venir son membre une dizaine de fois en maintenant la jeune femme dans cette position. Elle a joui en ne le cachant pas.
Elle a laissé Grapi la retourner sur le ventre. Il lui a écarté les cuisses et s’est enfoncé de nouveau au fonds de son vagin. Il a écrasé la jeune femme de tout son poids. Elle avait la tête dans l’oreiller et les doigts cramponnés sur les draps. Il a saisi les cheveux de la jeune femme derrière sa tête et a appuyé. Elle a tourné son visage pour ne pas s’étouffer dans le coussin mais elle n’a pas cherché à se dégager. Grapi a demandé à Estelle de se cambrer, elle l’a fait immédiatement. Il l’a baisée à fonds comme cela sur le ventre en lui maintenant le visage enfoncé dans l’oreiller. Il lui faisait à la fois une multitude de choses qu’Estelle n’aurait jamais acceptées individuellement en temps normal mais elle se laissait faire et elle adorait ça. Ses gémissements et ses soupirs laissaient peu de doutes sur le plaisir qu’elle éprouvait. A la suite de 6 coups de queue magistraux qui ont fait décoller son ventre du lit, Estelle a été traversée par un nouvel orgasme encore plus intense que le précédent. Elle sentait les battements de son cœur dans tout son corps et ses petites lèvres en train d’enlacer la base de la queue de son amant.
Grapi s’est extrait de l’intimité de mon ex et a placé sa bite dans le sillon fessier qui s’offrait à lui. Il maintenait toujours la tête d’Estelle enfoncée dans les oreillers. Elle s’est cambrée d’elle même. Le quinqua s’est branlé avec les fesses de la jeune femme, en faisant coulisser sa queue dans la raie. Elle n’a cessé de soupirer pendant l’exercice en découvrant qu’elle pouvait être troublé en sentant le sexe d’un homme contre cette partie de son corps. Grapi n’a pas tenu plus longtemps et il lui a arrosé le dos et les fesses de sperme. Il s’est redressé à genoux derrière Estelle, entre ses cuisses. Il a caressé les jambes et les hanches de la jeune femme puis a fait glisser son index dans le dos de sa maîtresse. Il a recueilli un peu de semence au passage et il a fait glisser son doigt le long de la raie d’Estelle lentement, écrasant le sperme dans le sillon fessier. Il est arrivé à jusqu’à la corolle et immobilisé ses doigts lubrifiés à cet endroit. Estelle n’a pas cherché à s’échapper et ne s’est pas contractée, au contraire, elle s’est cambrée encore un peu plus, dans un mouvement discret mais suffisant pour que son amant le remarque. Pour la première fois de sa vie, elle était prête à laisser un homme enfoncer ses doigts dans son anus. Grapi n’en a pas profité, il n’est pas allé plus loin. Pour l’instant, il voulait juste évaluer son emprise sur la jeune femme: il avait sa réponse.
Il est venu s’allonger aux côtés d’Estelle. Elle s’est blottie contre lui. Elle est restée 10 minutes sans parler, accrochée au torse de son amant. Elle l’a embrassé sur l’épaule en lui disant: "je n’ai jamais été aussi bien que dans tes bras". Il lui a répondu que lui aussi avait ressenti la magie de leur étreinte. Elle a pris son téléphone sur la table de chevet et m’a appelé pour me quitter en continuant de se serrer contre Grapi. Elle m’a jeté juste comme ça en me disant que c’était fini, je n’ai pas compris ce qu’il m’arrivait. Mon monde venait de s’écrouler. Elle a raccroché après m’avoir dit que je ne devais pas avoir de regrets que notre histoire n’avait plus d’avenir.
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