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Estimation immobilière.

Chapitre 1

Hétéro
Estimation immobilière
J’aurais dû le sentir venir ce vieil homme. Son regard lubrique, sournois... Dès lors qu’il a eu poussé la porte de mon bureau, je me suis pourtant dit qu’il portait le vice dans le regard. Sa façon de reluquer mon corsage, de s’essuyer la bouche baveuse du revers de la main avec, de surcroît, le bruit lié au geste. Sans évoquer sa tenue, une salopette bleu marine à bretelles, le genre salopette de travail, que même mon grand-père ne portait plus. Son visage m’était cependant familier, sans pour autant m’en souvenir. Peut-être me rappelait-il quelqu’un tout simplement.
L’homme était passé durant mes vacances, mais s’était montré insistant, ne voulant traiter qu’avec moi ! Je ne savais pourquoi et ne lui posai pas la question, espérant qu’il me dirait lui-même la raison de cette volonté. Il était soucieux de vendre son bien qu’il estimait trop grand pour lui depuis le décès de son épouse. Je lui expliquai donc la démarche et le rôle de notre agence dans la transaction. Ce n’est que lorsque j’eus son adresse que les choses s’éclaircirent ! Évidemment que cet homme me disait quelque chose ! C’était un voisin de mes parents à l’époque de leur première maison.
Je devais avoir une quinzaine d’années à l’époque. Trente ans plus tard, il réapparaissait ! Avec trente ans de plus, bien entendu. Il frôlait les quatre-vingts printemps maintenant. Immédiatement, de vagues souvenirs me revenaient... et pas forcément les meilleurs. Maman me faisait rentrer alors que Paul (notre voisin) était derrière la haie de troènes séparant nos terrains, me regardant sur la balançoire. À cette époque, je ne voyais rien de mal malgré les propos de maman qui parlait de lui avec mon père en des termes peu élogieux. Bref, le papi avait trente ans de plus et gardait les mêmes manières, les mêmes mimiques qu’à l’époque. Face à lui, la petite fille innocente avait grandi et comprenait mieux le sens des propos de maman qui évitait de laisser sa gamine en présence de ce type pour le moins louche. Lui aussi m’avait reconnue et c’est bien pour cela qu’il me voulait comme interlocutrice privilégiée !
Lorsqu’il m’a rappelé que la dernière fois qu’il m’avait vue, j’étais haute comme trois pommes, j’ai prétendu ne pas me souvenir ; c’était certainement dit dans l’optique de nos futurs rendez-vous. Nous nous quittons donc en ayant fait le tour de la question, professionnellement j’entends, et rendez-vous est pris pour le début de la semaine suivante en vue d’une estimation plus approfondie de son bien. Je dois admettre y avoir pas mal pensé le week-end venu ! De vagues souvenirs refaisaient surface et, parmi eux, un certain soir où, seule à la maison, je vivais mes premiers émois de petite exhibitionniste ! Je fouillai ma mémoire et des bribes d’images s’entassèrent les unes sur les autres.
Clairement, ce soir-là, je m’amusais devant le miroir de ma grande garde-robe à me dandiner dans les dessous de maman bien plus élaborés que mes petites culottes d’adolescente. Je me souvenais avoir observé une lumière vive par la fenêtre de ma chambre. Sans trop le montrer, j’avais regardé dans cette direction et repéré Paul par-dessus le troène, fumant sa cigarette. Cette lueur, qui m’avait interpellée, émanait de son briquet alors qu’il allumait sa clope. Ignorant sa présence, j’avais poursuivi mon petit manège, plutôt excitée. Je m’exhibais ainsi devant mon vieux voisin... Plus je fouillais ma mémoire et plus certains moments du passé resurgissaient. Il y avait cette fois aussi où je désherbais un parterre en petite jupe, et fus surprise par sa présence ! Il y avait prescription trente ans plus tard, mais tout cela m’intriguait ! Je me demandais au fond si, comme moi, il se souvenait.
Le jour venu, j’ose dire que je n’en menais pas large en me présentant à son domicile. Rien n’avait changé, si... la hauteur des troènes derrière lesquels il me matait trente ans plus tôt. J’avais pris soin de mettre une tenue simple et surtout non provocante. La visite s’est déroulée tout à fait normalement. Une maison vieillotte comme il en existe beaucoup encore. Une cuisine rustique qui aurait mérité un bon rafraîchissement. Je suis toujours étonnée de voir ces vieux éviers de cuisine carrés, émaillés, avec leur robinet qui se prolonge par un flexible d’une vingtaine de centimètres, et l’odeur commune à toutes ces maisons des années trente, une odeur de vieux, comme je dis toujours. Paul m’a proposé un jus d’orange alors que je faisais le point, ma calculatrice à la main devant la table de cuisine.
Très serviable, mes craintes du départ s’estompaient, je reprenais confiance en moi. Je m’assis, acceptant son invitation. Nous avons discuté un moment, il m’a évidemment parlé du bon vieux temps, ne cachant pas que ma maman était une très belle femme, très enviée dans le quartier. Quelques minutes plus tard, nous étions sur le point de nous quitter et faisions le tour du petit jardin. Je ne m’y attendais pas le moins du monde lorsqu’il m’a mise mal à l’aise... Je regardais cette fameuse clôture de troènes et Paul m’a demandé si je me souvenais lorsqu’il me regardait m’amuser à cet endroit ! Mes joues ont dû me trahir ! Je répondis « non pas trop », mais de manière peu convaincante à mon avis. Paul afficha un sourire narquois et je lus toute sa perversion au travers de son regard. Je m’empressai de pousser la barrière, ne sachant que répondre. Je saluai Paul dont le regard en disait long et m’engouffrai dans la voiture, fuyant cette situation inconfortable.
Quelques jours passèrent avant que Paul ne se manifestât à nouveau pour accepter le contrat au prix proposé. Je pris donc rendez-vous avec lui pour réaliser quelques photos et introduire son pavillon dans notre catalogue. Honnêtement, je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là ! J’admets qu’il m’avait troublée et que son regard vicieux ne me laissait pas de marbre. D’humeur coquine, j’ai pensé pouvoir m’amuser un peu en l’allumant gentiment ! Un homme de 78 ans ne pouvait forcément pas aller bien loin malgré son air robuste. Certainement l’envie de me délecter de ce regard vicieux qui, au fond, me faisait un drôle d’effet. La jupe courte et moulante était peut-être un peu exagérée, j’en conviens. Nous avions rendez-vous en fin d’après-midi.
Dès le matin, en me préparant, je pensais déjà au regard qu’il porterait sur mes fesses bien moulées dans cette petite jupe... Elle me moulait tellement que l’on apercevait la lisière de mes bas au travers du tissu. Plus la journée avançait, plus je piaffais d’impatience à l’idée de croiser ce regard de vicelard... Sur la route, je prenais soin de remonter correctement mes bas et, comme si cela ne suffisait pas, je crus bon d’ouvrir le premier bouton de mon chemisier blanc, offrant ainsi une jolie profondeur à mon décolleté. Décidément, parfois l’excitation vous fait faire de ces choses. Paul m’a accueillie avec courtoisie m’expliquant tout de suite qu’il avait fait le ménage pour le bien des photos. Je posai le dossier ouvert sur la table de la cuisine. Je me mis à lui relire les grandes lignes et là, déjà, je frissonnais ! Je relevai le visage ! Le bougre ne m’écoutait que très peu, aspiré par mon chemisier qui bâillait sous son nez ! Certes, j’aurais pu, j’aurais dû me redresser ! Les mains à plat de chaque côté du document, je baissais la tête, ignorant son regard fixe et sa bouche entrouverte. Il était complètement à l’arrêt sur ma poitrine. Dès lors, j’avais moi-même peine à expliquer clairement le contenu du dossier. Derrière mes franges, je regardais le bas de sa personne, oui, j’avoue que je me demandais si Paul bandait. En même temps, vous admettrez que la vision de cette salopette et des charentaises n’avaient rien de bien glamour...
J’ai repris mes esprits et poursuivi les explications de rigueur. Paul, loin d’être attentif, traînait les pieds sur place me proposant un jus d’orange frais. Acceptant, j’ai ainsi échappé à ce regard lubrique qui, pourtant, me donnait des frissons. Une fois de plus, nous avons échangé un peu sur des sujets banals jusqu’à ce que je propose, à mon tour, de terminer le dossier en réalisant quelques photos des diverses pièces afin de présenter au mieux sa maison à de potentiels clients. Nous avons commencé par la cuisine, là où nous nous trouvions, cherchant le meilleur angle de vue. Puis le séjour, orné de ses illustres meubles que l’on ne trouve que chez les antiquaires. C’est en arrivant dans la chambre à coucher que j’ai réalisé ! La porte était grande ouverte et, face à moi, une toute aussi vieille armoire que celle du séjour. Très ressemblante, mis à part que sur celle-ci trônait un immense miroir.
L’image que me renvoyait la glace m’a littéralement mise en fusion ! Paul, un mètre derrière moi, se penchait sur le côté en me matant les fesses. Peut-être avait-il remarqué la vision de mes bas au travers du tissu de ma jupe ? Le voir ainsi chercher à se rincer l’œil m’a mise dans un état... Après tout, laisser un homme de cet âge me mater les fesses, les seins, c’est plutôt flatteur, non ? : de la chair fraîche à ses yeux et, probablement, un des derniers grands plaisirs que la vie pouvait lui offrir !
Toujours est-il que le plaisir était partagé ! Voir ce vieil homme me manger des yeux, au point d’en baver, avait sur moi un certain effet ! C’est donc avec une certaine désinvolture que j’ai quitté la pièce, et surtout en dandinant de la croupe, certaine qu’il avait le regard collé sur mes rondeurs... Quelques photos du jardin, et subissant au passage ses remarques sur sa voisine du temps jadis, et nous rejoignons la cuisine où j’avais laissé quelques affaires. Paul s’empresse alors de me servir un second jus de fruit. J’ai remis mon appareil photo dans sa pochette, prenant soin de me pencher sur la table, gardant les jambes bien tendues sur mes talons hauts. Je lui offrais là une dernière vue sur ma croupe tendue. La porte du frigidaire se referme et là... surprise !
Une main, sa main qui vient se loger sous ma jupe avec force ! Celle-ci me lève littéralement du sol et me propulse le ventre sur la table ! À peine ai-je le temps de râler, lui demandant ce qu’il fait, que déjà ses doigts ont écarté mon string et me fouille la chatte. Je râle, me débats, remue les jambes vivement afin de protester, mais Paul râle que je suis encore plus baisable que ma mère ! Ses gros doigts me fouillent et finissent par me faire râler de plaisir. Le coude appuyant sur mon dos, son poids me bloquait, j’étais à sa merci ! Son doigt me pilonnait violemment et je finis par cesser de gesticuler, de me débattre et même j’ouvre les cuisses. Il est vieux, mais malin ! Il comprend vite que je ne me sauverai pas et se retire de mon dos.
Quelques secondes se passent avant de le sentir derrière moi tirer sur mon string pour m’en débarrasser avant, de ses deux mains, de m’écarter les cuisses et se mettre à me dévorer l’entrecuisse à grands coups de langue. Paul connaît au moins la manière de donner du plaisir à une femme. Ventre sur la table, je l’entends grogner comme un chien tout en me bouffant le minou. Instinctivement, je ne peux qu’apprécier et tendre les fesses. L’instant est magique, je me sens au bord de l’orgasme quand il se recule et me retourne avec autorité ! Non, il ne va tout de même pas ? Eh bien si ! Paul a descendu sa salopette défraîchie et a extirpé sa queue somme toute de jolie taille en râlant qu’il allait me baiser. Après me l’avoir mise bien profond, mon vieux cochon a déboutonné mon chemisier et m’a sorti les seins. Tout en les pressant, sa queue s’activait en moi sous mes râles incontrôlés. Je gémissais tout en le regardant baver et s’activer en moi.
– Petite salope, tu aimes ma bite de vieux cochon, j’ai l’impression de baiser ta mère, petite allumeuse !
Sous de tels propos, je perdais pied et je rugissais de plaisir. Les jambes ouvertes, je les maintenais par-dessous, m’offrant au mieux sur le bord de la table qui grinçait à chaque coup de reins. Ce vieux cochon, la bedaine en avant, me baisait plutôt bien et plus que sa queue, ses mots, son visage grimaçant me donnaient du plaisir. Je m’attendais à ce que mon vieux cochon se vide en moi, lui qui s’abstenait depuis si longtemps ! Je me tenais les jambes en l’air, ouverte à ses coups de reins, mais je n’étais pas au bout de mes surprises !
Paul, sortant de mon con, me tira par le bras, hors de la table.
– À genoux, ma petite salope ! Suce-moi la bite !
Tout en me disant cela, il me poussa au sol, me plaquant de sa main gauche contre son ventre. Sa main droite tenait alors sa queue bien raide, me la fourrant dans la bouche. J’avais beau essayer de le repousser, Paul avait une force inouïe. Je lui suçai la queue, contrainte et forcée, à genoux dans la cuisine, cuisses ouvertes et, bientôt, j’y pris plaisir me mettant les doigts dans la chatte ! Quel grondement... quelle force. J’ai bien compris qu’il allait se vider dans ma bouche, mais je n’avais ni la force ni l’envie de me retirer. Ce gros salopard vicieux s’est vidangé dans ma bouche en me traitant de belle salope qui aimait la bite !!! Sans lâcher prise, il râlait son bonheur alors que son foutre me dégoulinait le long du cou pour courir entre mes seins. Je pensais étouffer mais, heureusement, il a lâché prise.
Je respirai enfin, je repris mon souffle tandis qu’il remontait sa salopette. À mon tour, je me relevai, m’essuyant tans bien que mal la bouche. Je tirai sur ma jupe pour reprendre une image correcte. Paul me tendait un papier éponge en me disant de m’essuyer. Je n’avais aucune réponse, encore sous l’emprise de ce vieillard ! j’ai rassemblé mes affaires et il m’a accompagnée à la voiture me mettant la main aux fesses tout en me disant merci. À la vitre de la voiture, il m’a dit que j’avais bien fait du chemin depuis la petite ado qui allumait son vieux voisin nu à sa fenêtre... J’ai souri et l’ai salué avant de filer toute perturbée par ce moment tout aussi inattendu qu’intense... Et dire que je vais revoir Paul pour de prochaines visites...
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