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J'étais Elise, je suis maintenant Léo !

Chapitre 3

Travesti / Trans
Depuis un mois, j’ai l’impression de vivre sur un petit nuage !
    Louis et moi nous sommes revus plusieurs fois depuis cette fameuse soirée, mais nous sommes tombés d’accord dès notre troisième rendez-vous. Nous ne serons pas un couple, trop risqué pour l’esprit d’équipe de notre groupe que nous ne voulons surtout pas mettre en péril, puis mon amant tout comme moi avons envie de continuer à vivre nos propres expériences chacun de notre côté. Passé une légère frustration après cette prise de décision, je suis finalement assez content de ce choix, le sexe avec Louis est incroyable, mais j’ai de plus en plus envie d’essayer de coucher avec une femme, et puis… Avec quelqu’un qui aurait envie de s’occuper un peu plus de ma vulve !
    Nous ne couchons pas à chaque fois que nous nous voyons, mais développons par contre petit à petit une vraie amitié, avec de longues soirées en dehors des séances d’entraînement de l’équipe à jouer à divers jeux vidéo ensemble. Mais parfois bien sûr, nous nous jetons l’un sur l’autre et nos ébats me confirment au fil du temps combien je peux aimer l’anal ! Par miracle, notre relation d’amis avec bénéfices reste encore largement secrète, à l’exception de mon colocataire qui a malgré lui déjà eu l’occasion d’entendre nos gémissements. Heureusement, Fred est quelqu’un de confiance et je suis certain qu’il gardera bien notre secret…
    Tout se passe donc pour le mieux en ce moment dans ma petite vie d’étudiant transgenre, si on oublie les trois connards de ma promo qui continuent à se moquer allégrement de mon apparence entre eux. Oui Laurent, Maxime et Matthieu, ne vous en faites pas le message est bien passé, vous ne m’aimez pas et je ne vous aime pas non plus ! Ils n’osent rien me dire en face, mais je devine allégrement la nature de leurs messes basses… Ce qu’ils pensent de moi m’indiffère, complètement, je me concentre juste sur mes cours et la soirée d’entraînement qui m’attends ce soir, et peut être une deuxième partie de soirée avec Louis…
    Malheureusement, à mon avant-dernier cours de la journée, je découvre que la fin de journée que j’espérais n’aura pas lieu. Un SMS de Louis me dit qu’il va passer sa soirée à la bibliothèque universitaire et une discussion sur la conversation de l’équipe se conclut sur la décision de reporter l’entraînement… Autant pour mon programme de la soirée ! Je ferais la surprise à mon colocataire de rentrer plus tôt ce soir…
    Toute trace de sourire s’efface de mon visage alors que je suis subitement traversé par un coup de déprime. Non seulement je dois subir les imbécilités du trio assis à quelques rangs de moi dans l’amphithéâtre, mais en plus je n’aurais pas le droit au réconfort attendu. L’heure de cours se termine et je profite de la pause pour me lever et prendre un peu l’air pour faire passer ma mauvaise humeur. Après avoir bu un café, je reviens vers la salle de cours mais ne voit plus personne autour, signe que tout le monde a déjà dû rentrer pour se préparer au cours suivant. Je me dépêche donc d’aller aux toilettes avant que ça ne commence, qui sont déjà désertes.
    Je passe devant tous les urinoirs et rentre dans une cabine vide juste en face où je m’installe. Pendant que je fais mon office, j’entends une porte s’ouvrir et quelqu’un s’avancer dans la pièce, défaire sa braguette et commencer à uriner. Savoir que je ne suis pas le dernier revenu en cours a quelque part le mérite de me détendre et je remets mon pantalon en prenant mon temps. J’ouvre la porte, puis marque subitement un mouvement d’arrêt, celui qui est en train de pisser à deux mètres de moi c’est Maxime, ou Max comme il se fait appeler dans son trio de lourds…
    Il jette un coup d’œil en arrière, puis la surprise passée il me jette un regard empreint de mépris. Subitement, une vague de colère me submerge et je suis pris de l’envie soudaine d’enfin le confronter.
— Mais bordel c’est quoi ton problème avec moi ?— Quoi ? Qu’est-ce que tu me veux ?— Toi et ton groupe passez votre temps à vous foutre de moi, puis la mine que tu viens de faire… Visiblement tu as un problème avec moi !— Fous moi la paix, t’es pas sensée aller aux chiottes des meufs ?— Je suis un mec. Que ça te plaise ou non.— C’est ça, tu ressembles plus vraiment à une meuf de toute façon… Tu ressembles plus à grand-chose en fait !
    Je n’aurais pas dû être piqué au vif comme ça, mais je ne résiste pas, je serre le poing et lui envoie un coup dans l’épaule. Surpris par la violence du coup, Maxime recule et s’écarte un peu de moi, sa bite encore sortie de son caleçon.
— Putain, mais ça va pas ?— Quoi tu ne vas pas me rendre les coups ?— Je ne tape pas les meufs, E-LI-SE !
    Furieux de l’entendre prononcer mon ancien nom, je lève à nouveau mon poing, puis me fige en plein élan en voyant le pathétique mouvement de recul qu’il a alors.
— Alors, on a peur ?— N-non !— Que ça plaise ou non à ton groupe de connards, je suis un mec. Foutez-moi la paix !— Tu me dégoutes…
    Je suis à nouveau pris de l’envie de le frapper, mais je me fige subitement quand mon regard est attiré par quelque chose… Je baisse les yeux et découvre alors que sa bite est toujours sortie de son pantalon, mais elle ne pend pas mollement de sa braguette, elle est dressée comme un I ! Un sourire déforme mes lèvres irrésistiblement, ce cher Maxime si méprisant à mon égard se fait non seulement facilement humilier, mais il est en plus complètement excité !
— Non je ne crois pas… En fait, ton corps a l’air d’être plus honnête que toi !— N-non, ça n’a rien à voir ! Répond-t-il en détournant le regard et en rougissant. Fous-moi la paix !— C’était donc ça ton petit jeu, comme à l’école primaire, tu te moques du camarade qui te plaît parce que tu as peur que tout le monde le découvre !— C’est faux !— Un garçon avec un vagin ça te plaît plus que tu ne veuilles bien l’admettre…
    Je ponctue ma phrase en déposant ma main sur son sexe dressé, qui palpite et semble continuer de gonfler entre mes mains. L’ivresse du moment passée, je me fige brutalement sur place, incapable de dire ce qui m’a poussé à faire ça ! Je réalise d’un coup que la situation m’a excité aussi, être ainsi en position de force… Je serre un peu plus sa bite et la caresse légèrement, savourant le contact de son sexe que je découvre étrangement attirant.
— A-arrête… Qu’est-ce que tu fais ?
    Même en y réfléchissant, je n’en sais rien, je serais incapable de répondre à la question de Maxime ! Nos regards se croisent et brutalement je suis dans ses bras et nous nous embrassons. Je n’y comprends rien, mais nos langues se rencontrent dans un baiser fougueux et intense. Jamais encore je n’avais trouvé Maxime attirant, mais je dois bien reconnaître qu’il est loin d’être laid. Je garde tout de même les yeux clos pour éviter de le regarder alors que je continue à caresser son sexe et qu’il glisse ses mains sur mes fesses…
— N-non-stop ! Dit-il subitement en s’écartant un peu, mais sans pour autant retirer sa bite de mes doigts.— Pourquoi ? Ça a l’air de te plaire…
    Maxime s’apprête à dire quelque chose, mais se coupe subitement alors qu’un petit gémissement lui échappe. Puis soudain, un bruit nous fait sursauter tous les deux et un vent de panique nous traverse alors que nous imaginons déjà quelqu’un nous trouver dans cette situation… Nous nous agitons d’un coup comme des poulets sans tête et avant même d’avoir réalisé, nous nous sommes tous deux enfermés dans un cabinet de WC, collés l’un à l’autre par le manque de place ! Chacun l’oreille tendue, nous attendons de savoir si quelqu’un va bien rentrer, tandis que la bite dressée de Maxime est toujours à l’air libre, pressée contre mon ventre…
    Finalement nous entendons une porte s’ouvrir et un groupe d’au moins trois mecs entrent dans les toilettes et parlent bruyamment entre eux. Je me sens devenir livide et je devine qu’il en va de même pour Maxime qui doit craindre tout autant que moi que quelqu’un n’aperçoive nos pieds en regardant sous la porte de la cabine. Nous demeurons donc figés, collés l’un à l’autre, à travers mon tee-shirt, je sens le sexe de mon collègue de promo palpiter doucement, toujours aussi dur, tandis qu’une moiteur semble s’installer entre mes jambes. Peu à peu, les voix s’éloignent et nous entendons les robinets couler, à ce moment-là, mon regard croise celui de Maxime et nous nous contemplons dans le blanc des yeux. Je ne parviens pas à me détourner, j’observe la peur dans ses prunelles, mais aussi le désir sauvage qui l’habite.
Il faut avouer qu’il n’est pas si mal avec son visage un peu carré mais élégant, ses grands yeux noisette et sa barbe finement sculptée pour suivre les contours de sa mâchoire et de sa bouche. Ses cheveux châtains mi longs lui donnent un côté un peu efféminé, mais surtout très séduisant car sa coupe adoucit considérablement ses traits.
    Alors que les mecs chahutent entre eux à l’entrée des toilettes, nos visages se rapprochent et nous échangeons un baiser d’abord très doux, puis de plus en plus fougueux et sauvage. Maxime pose ses doigts tremblants sur moi et s’affairent sur mon pantalon pour en défaire le bouton et la braguette. Alors que nos langues dansent ensemble, il glisse sa main sous mon caleçon et il a un bref moment de recul en sentant mon clitoris dressé. Toutefois, il ne s’arrête pas et recouvre mon sexe de ses doigts, il me caresse les lèvres intimes, passe à l’entrée de mon vagin, puis revient vers mon bouton dressé qu’il tâte doucement et pince très légèrement. Mon souffle se fait très lourd dans sa bouche, mais je parviens à me retenir de gémir jusqu’à ce qu’enfin la porte des toilettes se referme et nous y laisse seuls.
    Je prends alors son sexe entre mes doigts et commence à le masturber à mon tour. Nous sommes tous deux si excités que nous ne pouvons-nous empêcher de gémir de plaisir et nous collons de plus en plus l’un contre l’autre. J’en viens à tout oublier de qui je suis en train d’embrasser et de masturber avec une telle force. Il n’y a que l’odeur de son sexe qui m’enivre, ses doigts puissants qui font gonfler mon plaisir et… Les fourmillements à l’intérieur de mon bas-ventre, qui me donnent envie de plus encore. A mesure que sa main s’agite dans mon caleçon, mon pantalon descend sur mes fesses, puis finit par glisser jusqu’au sol. Je ne réfléchis plus, de ma main libre, je fais descendre également mon sous vêtement, puis j’agite mes pieds pour me débarrasser de ce qui les entrave…
    Maxime comprend immédiatement ce que j’ai en tête et abandonne mon sexe pour m’enlacer et me soulever avant de me plaquer contre le mur. Je méprise ce mec, mais je me laisse prendre dans ses bras puissants, il m’emporte dans son mouvement brutal et animal. A cet instant, plus rien ne semble compter, qui je suis ou quoi que ce soit, il se fiche d’à quoi je ressemble, il me veut juste autant que je le veux ! Je m’agrippe donc à lui en passant mes bras derrière ma nuque, puis j’écarte largement mes jambes pour enserrer sa taille. Son membre est plaqué contre mon sexe, il semble brûler mon intimité tant il est ardent, ça me terrifie… Même si j’ai déjà couché, si j’ai été sodomisé, je n’ai encore jamais été dans cette direction et craint d’avoir mal… Mais je n’ose plus rien dire, je sens la main droite de Maxime qui tâtonne et empoigne sa bite, descendant son gland sur ma vulve que je laisse à sa merci.
    Pendant un bref instant, notre baiser s’interrompt et le temps semble se suspendre. Nos visages sont à quelques millimètres et nous nous regardons dans le blanc des yeux, chacun retenant notre souffle. Dans un mouvement qui semble infiniment lent, le bout de son sexe glisse le long de ma fente, jusqu’au renfoncement qui marque l’ouverture de mon vagin.
Son gland s’y loge et il commence à appuyer, créant une légère pression. Maxime se rend compte que malgré le fait que je sois très humide, il y a une résistance et j’imagine la rougeur qui gagne mes joues alors qu’il devine que je suis encore vierge…
Je vois ses yeux légèrement s’écarquiller et il s’arrête un bref instant. D’un seul coup, je pousse un profond soupir agité par des tremblements d’excitation. L’hésitation de Maxime disparaît alors et il se remet à faire pression, poussant son membre dans les profondeurs de mon intimité, dans un éclair de douleur qui me fait serrer les dents et me tendre !
Puis de nouveau, nous demeurons immobiles et je sens que la douleur se calme très progressivement. Je sens son sexe plongé dans le mien, qui écarte mes chairs, prend toute la place et je réalise alors que ma deuxième virginité vient de s’en aller. Tout doucement, il se met à faire de tous petits vas et viens, chassant les restes de douleurs pour planter un début de plaisir qui chasse toute hésitation. Maxime avance ses lèvres et je partage un baiser langoureux avec lui, savourant ces sensations nouvelles dans mon bas ventre qui alourdissent mon souffle. Les allers retours de sa bite en moi se font progressivement plus amples et je commence à gémir irrésistiblement de ma voix virile en continuant de l’embrasser.
Je me laisse aller de plus en plus, je l’enlace avec douceur et écarte mes jambes plus largement pour qu’il puisse aller plus profondément en moi. Le plaisir que je prends n’a rien de comparable aux sodomies avec Louis, mais je prends tout autant mon pied. Je suis surpris par tout le plaisir qu’il fait déferler de mon vagin, m’arrachant des frissons tandis qu’il y va et vient de plus en plus vite. Il commence à trouver un rythme dans ses mouvements de hanches et je ne peux pas m’empêcher d’écarter mes lèvres des siennes pour reprendre mon souffle en gémissant. Maxime en profite alors pour se pencher sur mon cou et m’y faire un long et ardent suçon, tandis que je passe ma main dans ses cheveux que je tire légèrement au passage.
Au bout de quelques minutes, mon amant commence à ralentir le rythme et je devine pourquoi, je commence à glisser contre le mur et il a du mal à me garder soulevé. Nous partageons un regard et je le sens se retirer de moi pour me laisser redescendre au sol. Tout fébrile et frustré de cette interruption, je me penche au-dessus des toilettes et immédiatement Maxime m’attrape par les fesses, puis glisse de nouveau son membre vers mon intimité. D’un mouvement de hanches, il s’enfonce à nouveau profondément en moi et commence à me prendre en levrette avec vigueur. J’essaie de me mordre les lèvres pour me retenir, mais je ne peux m’empêcher de gémir doucement de plaisir.
Ses mains passent sur mes fesses, les serrent un peu, puis ses doigts remontent le long de mon ventre vers ma poitrine, mais je lui mets une petite tape pour le repousser, lui rappeler qui je suis ! Maxime ne retente pas sa chance, et il attrape alors mes hanches qu’il tient fermement en accélérant ses vas et viens. Pour ma part, je n’en peux plus, j’ai trop envie d’aller au bout de cet orgasme que je sens monter en moi et passe ma main entre mes jambes pour me caresser le clitoris. Bientôt, je me sens frémir de partout et mon amant est obligé de plaquer sa main contre ma bouche pour retenir mes gémissements de plus en plus bruyants !
— A-ah, je vais… Bientôt jouir ! Me murmure-t-il.— Viens en moi ! Je ne risque pas de tomber enceinte !
    Sur ces mots, Maxime semble toujours plus excité ! Il va de plus en plus vite en moi, ses mouvements sont plus forts, plus sauvages et sa bite va profondément en moi. A ce rythme, mes caresses sur mon clitoris ne tardent pas à me faire jouir dans des tremblements toujours plus violents ! Puis quelques secondes plus tard, les mouvements de mon amant se font plus lents et maladroits, alors qu’il jouit de longs jets au fond de mon intimité…
    Nous demeurons tous deux ainsi le souffle court, mon sexe me brûle un peu, mais dans un mélange de plaisir et d’irritation tout à fait supportable. Je sens que sa bite perd peu à peu du volume et je commence à réaliser ce que nous venons de faire, je reprends conscience d’avec qui je viens de le faire ! Qu’est ce qui m’a pris au juste ? Quand Maxime retire son sexe, je me redresse un peu abruptement et je remarque qu’il n’essaie pas de me toucher ou quoi que ce soit et devine qu’il ressent le même trouble que moi.
    Un peu de sa semence coule de mon intimité, glissant le long de ma cuisse et tombant en petites flaques sur le carrelage. Subitement, je me sens honteux et ressent une vague de haine envers Maxime tout comme envers moi, mais le pire, c’est que quand enfin j’ose le regarder, je réalise que j’ai déjà envie que nous recommencions ! Je récupère mes vêtements et je me rhabille peu à peu, sous le regard de celui qui vient de prendre ma virginité.
— Je t’interdis de parler de ce que nous venons de faire à qui que ce soit, dis-je soudain avec fermeté.— Aucun risque que j’en parle…— Bien.— Bien !— Tu peux me donner ton numéro ?— 06.**.**.**.**, envoie moi un sms que j’ai le tien aussi.— Ok.
    Sur ces mots, je quitte la cabine sans que nous échangions un baiser ou quoi que ce soit. Mais étrangement, je ne ressens plus le moindre trouble, je ne peux pas m’empêcher de sourire car je me sens juste terriblement impatient !
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