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J'étais un roi barbare

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Quelques semaines plus tard, un bel après-midi, son secrétaire délégué à la population féminine lui apprit que son rendez-vous était là : c’était une femme qui avait fait une demande officielle pour intégrer son harem.Son secrétaire lui apprit que sa demande était néanmoins particulière car elle désirait faire partie du harem, mais à la journée ; elle voulait ainsi rentrer chez elle tous les soirs car elle avait encore une fille à s’occuper.
« - Quel culot ! » lui dit son secrétaire en lui présentant le dossier. « - Nous allons voir » lui dit le Duc, de l’air de celui qui n’allait pas s’en laisser compter.
De nombreuses femmes, sans ressource ou presque, et ayant le profil physique conforme au désir du Duc – rondes, grasses, voire grosses, et d’un âge supérieur ou égal à 28 ans – postulaient car elles avaient su qu’il récompensait généreusement celles qui l’avaient servi, au bout de plusieurs années passées dans son harem.
Il s’installa dans son fauteuil, dans le petit salon spécialement dédié à la réception des candidates (qui lui servait également de bureau annexe), et il avait fait placer deux de ses poupées à quatre pattes, une de chaque côté du fauteuil, croupe tournée vers l’avant ; la vue ainsi offerte à la candidate était de nature à la mettre tout de suite dans l’ambiance, et ne laissait planer aucune ambiguité sur ce que le Duc attendait des postulantes. Il se disait aussi que de voir d’emblée deux femmes ainsi, soumises à leur maître, objets à sa disposition, impressionnait les visiteuses.
Celle qu’on fit entrer, néanmoins, ne laissa pas voir son trouble ; elle regardait bien droit son interlocuteur, sans qu’à un moment il ne put surprendre un regard glisser vers l’une deux poupées. C’était une femme d’une quarantaine d’année, assez petite, blonde, les cheveux mi-longs. Ce qui sautait aux yeux au premier abord c’était avant tout son arrière-train proéminent.
« - Voilà Sophie », dit le secrétaire au Duc.« - Bonjour, Sophie » dit le Duc, sans bouger de son fauteuil. D’un air affectueux il caressait lentement les reins et la croupe de ses poupées, main pendante de chaque côté de son fauteuil.« - Bonjour, Monsieur le Duc » dit la femme. Visiblement elle avait été briefée. Ou s’était enquis des manières à la cour du Duché. Bien qu’elle aurait pu également l’appeler « Sire ».
« - Eh bien, Sophie, tu veux rentrer dans mon harem, c’est bien ça ? »« - Oui, Monsieur le Duc… »« - Par contre, Monsieur le Duc » ajouta le secrétaire, « cette Dame a émis la demande d’intégrer le harem à la journée… c’est-à-dire de rentrer tous les soirs chez elle.- Mouais… Mais où habite-t-elle ?— A vrai dire, très loin… à plus de 80 km… soit probablement près de deux heures de route… — Vous savez, Madame, que ça n’est pas dans mes habitudes de prendre des femmes au harem « à la journée » » (il avait volontairement détaché cette expression pour souligner le ridicule de l’idée). « Mon harem n’est pas un moulin ou une école où l’on rentre le matin et d’où on part le soir…— C’est que j’ai une fille à la maison, et je dois m’en occuper…— J’entends bien, mais on ne peut pas tout avoir, tout concilier… Le gain avec une vie normale…
Bon, nous verrons. Nous pourrons peut-être, éventuellement, vous proposer un éventuel aménagement. — C’est-à-dire ? Quel aménagement ?— Comme venir du dimanche soir au jeudi soir, par exemple. Avec gratification en conséquence.— Euh… Je ne sais pas si…— Ça sera à prendre ou à laisser ! » coupa le Duc, l’air un peu agacé. « Si ça ne vous convient pas, ma porte est ouverte et vous êtes libre de vous en retourner chez vous. Je peux faire un geste mais vos jolis yeux bleus et votre frais et rond minois ne pourra pas tout obtenir. D’autant que ça n’est pas les petites grosses prêtes à s’offrir à leur Duc avec leurs formes dodues qui manquent… »
Un silence s’ensuivit. Le secrétaire avait également un air courroucé. « Quel culot ! » s’était-il intérieurement.
« - Bon d’accord » dit-elle, l’air contrarié et résigné. « Je vais voir comment je peux m’arranger. »« - A la bonne heure » soupira le Duc qui se leva et se tient juste devant elle. « Voyons donc de plus près les charmes qui sont les vôtres. »Il se mit à lui caresser ses joues rondes, ainsi que le tour de la bouche et les lèvres de l’extrémité de ses pouces.« La jolie bouche que voilà. J’espère que vous savez bien vous en servir. A voir ces joues charnues, on pense immédiatement à comment on pourrait les occuper, et comment elles doivent être douces de l’intérieur à un membre viril. »
La petite femme était devenue soudain très rouge, ne bougeait plus, et ses yeux osaient à peine cligner. Il caressa ses cheveux, son cou, visiblement très troublé.Il recula d’un pas et lui prit doucement les mains, les souleva légèrement vers lui. Un chemisier blanc dont les manches s’arrêtaient bien avant les poignets dévoilait des avant-bras qui s’élargissaient rapidement en montant, un peu coniques.Il prit la chair tendue et très blanche dans chacune de ses mains : « - Hum, ces petits avant-bras potelés m’excitent au plus haut point. En voyant leur forme si tendre on imagine comment doit être le reste » asséna-t-il en la regardant bien dans les yeux, tandis que ses mains refermées tentaient d’en remonter les manches, pour en voir un peu plus.Elle rougit très fort, tressaillit presque.
Il lâcha ses poignets qu’il laisse retomber, fit un pas en arrière :
« - En fait, petite Sophie, il est temps de découvrir la partie la plus intéressante de ta personne. Et tu t’en doutes : c’est ton cul ! Je t’avoue que je n’en ai jamais vu un de pareil. Je découvrirai le reste bien assez tôt.Allez, enlève tout ce que tu as en dessous de la ceinture… En somme : mets-toi cul nu ! »
Lentement, l’air mi gêné mi emprunté, la Sophie enleva ses chaussures plates, et commença à descendre son pantalon assez informe (style jogging amélioré) mais qui ne pouvait cacher la forme de sa volumineuse croupe qui saillait bien en arrière de ses reins.
Le Duc l’interrompit :
« - Tu enlèves tout d’un seul coup, tu baisses tout ensemble, pantalon et culotte ! » Et il rajouta, d’un air presque moqueur : « - Je suis sûr que ça n’est pas un joli petit shorty que tu portes… Alors une culotte de coton ordinaire, je n’ai pas envie de la voir, même si tu es dedans ! »
Sophie se déculotta, et se retrouva nue en dessous de la ceinture devant le Duc.
« - Bien » dit-il, tandis qu’il recula jusqu’à son fauteuil pour s’y rasseoir confortablement et contempler la statue grecque », approche-toi, que je découvre tes trésors.
Elle s’exécuta, et se retrouva la vulve presque devant le nez de celui-ci, avec un mont de Vénus rebondi dont la naissance était presque masquée par un ventre qui tombait en nappe.
« - Hummm… » dit-il en détaillant avec zèle tout ce qui se présentait devant ses yeux, tandis qu’il tenait de chaque côté le haut des fortes cuisses, dont il appréciait la douceur, en les caressant légèrement d’un mouvement vertical de va et vient. « Ecarte un peu tes cuisses. » Il fit de même sur la chair généreuse encore plus douce de l’intérieur des cuisses, ses doigts montant jusqu’à la racine, venant au contact avec les lèvres renflées. « Hum, la jolie petite tirelire », dit-il en passant le bord de sa main dans la fente et faisant un mouvement d’avant en arrière. La Sophie ne bronchait pas, dissimulant avec difficulté son trouble et sa gêne. Sa main avança de plus en plus jusqu’à ce qu’il touche à l’arrière un petit creux arrondi encore plus troublant. Elle ne put réprimer un frisson. « Mmm le joli petit cratère. Je compte sur toi pour qu’il soit toujours bien propre. Sache que quand tu seras ici, tout m’appartiendra, ta chatte, ta bouche, ton petit trou. Et je compte bien en user à ma guise. Te voilà prévenue. Maintenant, retourne-toi et montre-moi les somptueuses fesses de cette croupe à faire bander un saint ! »
Sophie se retourna lentement et dévoila un fessier énorme, monstrueusement rebondi, avec des fesses carrées, serrées peureusement l’une contre l’autre, et blanches comme le lait.Le Duc lentement posa ses mains de part et d’autre comme si elles étaient les branches d’un compas, comme s’il avait voulu en prendre la dimension, ses yeux fascinés fixés sur l’objet incroyable qui s’épanouissait devant eux. Puis doucement, du bout des doigts tout d’abord, il effleura les faces extérieures de cette monumentale œuvre d’art, ses mains montant et descendant, comme voulant dessiner et reproduire ce cercle à grand rayon. La peau était douce, lisse, parfaitement glabre.Puis, toujours prudemment il effleura la surface capitonnée des deux hémisphères, la cellulite provoquant ça et là des petits méplats, une irrégularité agréable au toucher.« Humm, on dirait une peau de pêche » souffla-t-il, presque ému.Petit à petit il se mit à palper par petits coups l’énorme ballon, en appréciant la souplesse et l’élasticité. Puis de plus en plus fort, observant avec attention avec quelle constance et rapidité la masse de chair adipeuse retrouvait sa forme initiale. Il soulevait, soupesait, écartait légèrement, appuyait plus fortement du bout des doigts, pinçait, pinçotait ce qu’il pouvait attraper de cette masse entre pouce et index, s’interrompant de brefs moments pour tâter la raideur dans son pantalon qui était tendue à lui faire mal.
— « Ecarte les cuisses, et penche-toi en avant. Attrape tes chevilles… si tu peux. »
La grosse Sophie s’exécuta - enfin comme elle put, ses mains atteignant à peine le dessous de ses genoux, en partie à cause de son ventre volumineux qui limitait sa flexion.
Ce genre de limitations, de contraintes impossibles à réaliser, de postures rendues pénibles par l’embonpoint, avait le don d’exciter le Duc au plus haut point ; et il était coutumier de ce genre d’ordres et de pratiques, ayant une longue expérience du bondage et des positions fantaisistes qu’il imposait avec un plaisir non feint et non réprimé à ses femmes obèses.
Il contempla et détailla avec intérêt la vulve lippue qui baillait, avec ses grosses lèvres replètes. Puis, lentement il écarta les grosses fesses pour mettre à jour le petit cratère brun, froncé à la manière d’une étoile. La posture et l’examen, d’autant qu’il était long et méthodique, étaient on ne peut plus humiliant pour la jeune femme, dont la rougeur du visage et le mutisme reflétaient l’intense émotion.Il prit la vulve charnue entre ses doigts, la pressa doucement plusieurs fois, puis termina en claquant chacun des volumineux hémisphères, une seule fois mais avec un bruit sec qui emplit toute la pièce silencieuse.
— « Bien », dit-il, « tu me plais énormément. Tu as des appâts que peu de femmes possèdent. Je vais donner des ordres pour que te soit constitué un trousseau. En particulier il me tarde de te voir équipée d’un corset… J’ai hâte de te voir serrée dans un joli corset de tissu du XIXème, ou un corset de cuir et de voir te voir déborder de toutes parts. Des bas blancs ou roses t’iront également à ravir. Et un serre-tête de couleur fera ressortir à merveille la blondeur de tes cheveux et les mettra en valeur… D’autant que comme tu me sembles avoir un penchant pour l’impertinence et prompte à ouvrir ta bouche sans que tu y sois invitée (et sans que ce soit pour engloutir un membre), j’ai à disposition de ravissants serre-tête-baillons-balles qui soigneront tes tendances au bavardage , au commérage, voire à l’insolence.Par ailleurs, je te conseille de rester à ta place au harem, car la première concubine (qui en est la gardienne) est une maîtresse-femme et a toute autorité pour y faire régner l’ordre. Au moindre écart de ta part elle se fera un plaisir de te mettre au pilori pour te zébrer ton plantureux fessier blanc immaculé ; crois-moi, une occasion pareille, elle ne la laissera pas passer… !
— Mais… euh… » commença-t-elle à balbutier, d’un air de protestation.
— « Je n’ai plus de temps à te consacrer. Emmenez-là ! »
« M’est avis, vu son caractère et son comportement, qu’il ne se passera pas beaucoup avant qu’elle se fasse corriger par la gardienne. …et j’ai hâte d’y être » pensa-t-il en la voyant s’éloigner, ses grosses fesses carrées se balançant, tandis que les auxiliaires l’emmenaient en la tenant par les bras.En effet, le Duc assistait toujours à l’exécution des punitions par la gardienne… quand ça n’était pas lui qui appliquait la sentence (dans les cas les plus graves), de préférence avec une strappe de cuir bien souple. Rien qu’en imaginant ces grosses masses de chair onduler sous les impacts de l’instrument, se marquer de larges zébrures rouges, et ces cris de femelle perdue et désespérée, son excitation grandit de plus belle.
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