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J'étais trop seule

Chapitre 1

Inceste
J’habite une grande maison de campagne. Mon mari est souvent absent, il travaille dans l’import-export. Dans la région où nous sommes, il ne se passe pas grand-chose ; les seules distractions possibles, hormis le sport et les marches en forêt, sont en rapport avec le sexe.
Vous ne pouvez pas imaginer, à quel point la campagne prédispose à la perversion. Les gens s’ennuient tellement qu’ils ne pensent qu’à ça. Ici, je ne connais pas une seule femme qui soit fidèle à son mari, et moins encore un mari qui soit fidèle à sa femme. Je ne vous raconte pas le nombre d’occasions qui me sont offertes par bons nombres des hommes de la région d’autant plus qu’à 26 ans, je suis une femme très attirante.
Mais étant très fidèle malgré les tentations, je n’ai pas envie que cela n’arrive aux oreilles de mon mari. Si je vous écris, c’est pour vous raconter l’histoire que j’ai vécue il y a quelques mois avec mon frère de 20 ans. Il venait de terminer ses études et avait décroché un job dans une grande entreprise tout près d’où j’habite et on avait décidé avec mon mari de l’héberger le temps qu’il se trouve un appart.
Et comme cela arrive souvent, mon mari étant absent pour son travail, je me suis retrouvée seule avec lui. Mon petit frère est vraiment très mignon, grand brun, sportif et les jeans collants qu’il portait, laissaient supposer qu’il avait un slip bien garni.
Les premiers jours, après son travail, je lui faisais visiter la région en voiture, et je m’amusais beaucoup en lui parlant de ses petites amies qu’il avait dû laisser pour venir travailler ici, cela le faisait rougir. J’ai vite compris qu’il n’avait pas beaucoup d’expérience au niveau sexe, et cela bien que ce soit mon frère m’excitait beaucoup, et le soir je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sur le fait que je pouvais lui apprendre bien des choses au niveau sexe.
Une nuit, où je ne dormais pas, je me suis levée pour aller boire un verre d’eau à la cuisine. En regagnant ma chambre, je suis passée devant la porte de sa chambre, elle était entrebâillée et la lampe de chevet allumée. Comme j’étais pieds nus, mon frère ne m’avait pas entendue, et je n’ai pas pu résister à la tentation de jeter un œil discret pour voir ce qu’il faisait.
Il était en caleçon, allongé de trois quarts sur son lit, me tournant le dos et je compris bien vite ce qu’il était en train de faire. Sa main droite était dans son caleçon caressant son sexe, mais je ne pouvais pas le voir d’où j’étais. Curieuse et excitée à la fois, je suis restée un moment à mon poste d’observation, et tout en l’observant, je glissai une main sous ma chemise de nuit et je me branlais doucement le clito et la chatte déjà bien mouiller. Puis mon petit frère ôta complètement son boxer et changea de position. Cette fois il me montra malgré lui son bas-ventre.
Je sursautais, les yeux exorbités, bouche grande ouverte en découvrant son sexe fièrement dressé, il était beaucoup plus long et épais que celui de mon mari. Tout en se masturbant, mon frère fermait les yeux et sans le savoir, il dirigeait son gros nœud dans ma direction. J’étais très tentée de pénétrer dans la chambre et de le toucher, mais cette nuit-là, je n’ai pas osé.
J’ai attendu qu’il éjacule et discrètement, je suis retournée dans ma chambre.
Une fois recouchée, j’ai continué à me branler en pensant à ce que je venais de voir. Ce qui m’avait le plus excitée, outre la taille hors-norme du sexe de mon frère, c’était d’avoir vu un homme éjaculer comme ça, à distance, car quand un homme vous éjacule dans la chatte ou la bouche, ça n’est pas du tout pareil, on n’a pas cette impression de jaillissement bienheureux.
J’étais tellement bouillante de désir, que je me suis levée chercher un gode dans la salle de bains. Je me le suis enfoncé dans la chatte, et j’ai eu un orgasme si fort que j’ai eu peur ensuite que mon frère ne m’ait entendue jouir. Le lendemain, j’ai fait comme si de rien n’était, et je n’ai fait aucune allusion sur ce que j’avais vu. Pourtant j’avais très envie de lui dire que je l’avais surpris en train de se branler, pour voir sa réaction. Mais il valait mieux ne rien dire afin de le surprendre la nuit venue.
C’est ce que j’ai fait ; j’ai attendu qu’il me croie endormie, puis je me suis levée à pas de loup, je suis retournée à mon poste d’observation. Cette fois encore, la porte n’était pas fermée et de la lumière sortait par l’entrebâillement. Je jetai un œil discret, mon frère était tout nu à plat ventre sur le lit, il lisait une revue porno représentant de gros plans de seins et de vulves. Une de ses mains était glissée sous son ventre, et comme la veille, il se branlait. Si je ne voyais pas sa bite, j’avais par contre une vue plongeante sur ses fesses, un cul vraiment splendide, rebondi, musclé, un cul de rêve comme je n’en avais jamais vu.
J’ai commencé à me toucher en le regardant, mais au bout de quelques minutes, mon désir a été si fort que je suis entrée dans la chambre, tant pis pour ce qu’il adviendrait. D’abord, il ne s’est pas rendu tout de suite compte de ma présence tellement il était occupé par la revue qu’il lisait. Mais, j’ai malencontreusement bousculé une chaise, et il est sorti de sa rêverie aussitôt. Il a été tellement surpris, qu’il a fait un saut de carpe sur son lit, et dès qu’il m’a vue, par réflexe il a mis ses mains sur son sexe érigé, il me regardait tout gêné, les joues rouges et tout en bafouillant, il a essayé de me donner une explication.
Mais, je ne l’ai même pas écouté, propulsée par mon désir, j’ai enlevé ma chemise de nuit, lui dévoilant ainsi ma nudité et je l’ai rejoint sur le lit, et là, j’ai pris la revue porno et je l’ai jetée au sol en disant à mon frère : « c’est quand même mieux du vrai, hein, tu crois pas !!! » Il n’osait pas me toucher, il faisait même des efforts pour que son corps n’entre pas en contact avec le mien, mais par contre il ne se gênait pas pour reluquer soit ma poitrine ou soit ma chatte qui se liquéfiait.
En fait, je crois qu’il avait envie de moi, mais la timidité le paralysait. Alors c’est moi qui ai pris l’initiative, je l’ai serré dans mes bras pour le rassurer, puis je l’ai embrassé sur la bouche, ma langue força ses lèvres pour s’enrouler autour de la sienne. Peu à peu, il s’est senti en confiance et il a passé ses bras puissants autour de mon corps, je sentais sa queue raide palpiter contre mon ventre, il n’osait pas me toucher, j’ai guidé sa main sur ma poitrine puis sur ma chatte où là, nerveusement, il osa y glisser un doigt puis bientôt deux.
Puis toujours bouches soudées, j’ai saisi sa grosse queue, je constatais que je ne pouvais pas en faire le tour avec mes doigts, j’ai commencé doucement à le branler, mais au bout d’à peine une minute, mon frère a éjaculé. Je me suis penché pour lécher son sperme chaud, il avait un goût très épicé, très fort, un goût délicieux, alors que celui de mon mari était plutôt aigre. Ensuite, j’ai continué à le caresser, et sa queue est très vite redevenue raide.
Alors, prise d’une envie folle, je me suis installée sur le dos, les cuisses bien écartées, chatte ruisselante et je lui ai demandé de venir sur moi, j’ai guidé son sexe jusqu’à l’entrée de ma vulve, et là tout doucement, d’une poussée lente, il est rentré en moi. Je sentais mes chairs s’écarter, se déplier comme jamais auparavant sous la poussée du gros gland mafflu. Puis, une fois arrivé bien au fond de mon vagin, sans que je lui donne de conseil supplémentaire, mon petit frère entama un long mouvement de va-et-vient et comme il venait d’éjaculer, il a pu se retenir très longtemps avant de jouir et je m’abandonnai, en poussant des râles de plaisirs, soumise à la fougue de ses 20 ans et à sa grosse queue qui me limait sans débander me procurant plusieurs orgasmes d’une intensité jusque-là inconnue.
Ensuite, après que mon frère, haletant, ruisselant de sueur, déversa tout son foutre en jets puissants au fond de mon ventre, dans un cri rauque, il s’endormit dans mes bras comme un bébé. Le lendemain, nous avons passé l’après-midi à faire l’amour comme des bêtes, dans toutes les positions possibles et le soir nous avons recommencé, il était vraiment infatigable et faire l’amour une dizaine de fois dans une même journée ne lui faisait pas peur, au contraire, c’était moi qui lui demandais d’arrêter, car j’étais vraiment épuisée par tous les orgasmes qu’il me procurait et ma chatte commençait à être bien irritée par les frottements répétitifs de son gros sexe. Malheureusement, quelques jours plus tard, mon mari est rentré de voyage et nos relations ont dû cesser pendant quelque temps. Mais depuis peu, mon frère a trouvé un appartement à quelques kilomètres de notre domicile, et c’est là que je l’y retrouve le plus souvent possible, pour poursuivre notre acte incestueux, immoral mais tellement intense et jouissif.
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