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Il était beau gosse au lycée

Chapitre 1

Hétéro
Pour mon premier accès à la propriété, je m’étais rapprochée d’une petite agence immobilière indépendante. Le monsieur semblait bien connaître le coin et il avait gagné ma confiance. Un certain D., comme il en existe beaucoup ici.
Il m’a dit qu’il travaillait avec son fils, Alexis, et que ça allait sans doute être lui qui allait s’occuper de la suite de mon dossier. Je n’ai pas percuté tout de suite, loin de là. Ce n’est qu’en me rendant au premier rendez-vous que tout m’est revenu. Alexis D., on était au lycée ensemble ! Ce petit enfoiré... Je me souvenais très bien de lui.
Lui par contre ne semblait pas me reconnaître. C’est plutôt logique, je pense que n’importe lequel de mes anciens camarades de classe ne se souviendrait pas de moi. En tout cas, il ne fallait pas compter sur moi pour le lui rappeler.
Au lycée, j’étais anorexique et mes séjours à l’hôpital passaient largement inaperçus. J’avais fini l’année à distance et ensuite j’étais allée à la faculté de médecine. C’était il y a plus de dix ans maintenant.
Depuis, j’ai repris pas mal de poids et de confiance en moi. J’ai également cessé de ne m’habiller qu’en noir, et aujourd’hui, des photos de mes vacances à la plage sont accessibles au plus grand nombre sur mes réseaux sociaux. Même si j’avoue que je m’arrange toujours pour cacher ces vergetures qui me font encore honte.
Alexis, c’était celui qui sortait avec les plus jolies filles, les plus grandes, les plus friquées. Aujourd’hui, il semblerait qu’il se soit converti en agent immobilier. La visite s’était plutôt bien passée. Il m’avait draguée maladroitement. J’imagine qu’il fait le même numéro à toutes les femmes qui achètent seules... Ceci dit, cela m’a tout de même amusée de me faire draguer par Alexis D.
J’ai fait une offre pour l’appartement. Il semblait ravi d’être sur le point de conclure une vente aussi onéreuse. Ce n’est que quelques jours après que j’ai reçu un message de sa part ; enfreignant sans doute quelques règles de déontologie, il m’invitait à boire un verre en sa compagnie. La situation m’excitait trop pour la refuser...
*
J’arrive au restaurant, Alexis m’y attend déjà. Il porte une chemise et un pantalon trop serrés. Moi j’avoue que j’ai mis le paquet : décolleté, robe fendue et talons. Autant ne pas faire les choses à moitié.
Lorsque l’on commande, il se permet de choisir le vin sans me concerter. « Celui-ci est délicieux ! » m’assure-t-il. Il est bavard et cela m’arrange bien ; je n’ai pas grand-chose à lui dire finalement... Quand il me questionne sur ma vie, je lui réponds en mentant juste assez pour qu’il ne se doute pas de qui je suis. Je préfère ce rôle d’inconnue venue acheter un appartement que celui de l’ex-anxieuse socialement inadaptée.
Bon... il semblerait qu’il ait passé plus de temps à la salle de sports qu’à la fac ces dernières années. En plus, le vin n’est pas aussi bon qu’il le prétendait. Je me ressers tout de même un verre, au moins pour faire abstraction de cette conversation : le mec me parle de son fils et de la mère de celui-ci qui l’a quitté... À l’aide !
Il faut dire que je ne m’attendais pas à grand-chose. Déjà lors de la visite, il avait l’air aussi inintéressant que lourd. Mais j’avais tout de même cédé, à une pulsion adolescente sans doute. Je laisse mes yeux parcourir son corps sans prêter attention à ce qu’il me raconte. Ses épaules et ses mains : je crois que c’est ce que je préfère chez lui. Même si ses goûts en matière d’habillement sont discutables, je dois bien avouer que son torse dans sa chemise cintrée me fait de l’effet.
Le repas se termine. Il est si bavard que je me suis enfilée la bouteille à moi toute seule. Cela ne l’empêche pas de me proposer d’aller boire un verre en terrasse, une fois sortis du restaurant. Je n’ai pas que ça à foutre de faire semblant de rire à ses blagues. Alors je décide d’y aller plus franchement :
— Mh, d’accord pour le verre, mais chez toi plutôt, non ?
Je crois qu’il est surpris par ma proposition. Je me suis sans doute chauffée toute seule à table... Il doit me trouver bizarre. Ce n’est rien, j’ai l’habitude. Au final, je n’ai pas besoin d’arrondir les angles plus que ça pour qu’il accepte.
*
À peine arrivée dans l’ascenseur, je lui attrape la bite à travers le jean. Je n’ai aucunement envie que l’on s’éternise. Il se glisse alors sous ma robe avec ses mains si larges qu’elles entourent les deux tiers de mes cuisses.
Il doit me prendre pour une salope. Je crois que j’adore ça. J’ai juste le temps de franchir le pas de sa porte qu’il sort déjà son sexe bandé. Il sourit comme un benêt, fier de son érection tel un gosse fier de sa déjection.Pas besoin de visite guidée, la seconde pièce de l’appartement ne peut être que sa chambre. Je le tire par le sexe pour l’y emmener. Il manque alors de trébucher, sans doute est-il surpris que je sois si entreprenante.
Dans la chambre, il se dénude en quelques gestes brusques. Je le pousse pour qu’il s’allonge et il place alors ses mains derrière sa tête tel un plagiste. Hors de question que je le suce, je suis là pour qu’il me baise et rien de plus. Je vais enlever mes talons, mais ce beauf préfère que je les garde. Après tout pourquoi pas ! Je me contente donc d’ôter mon string pour aller m’installer sur son visage. Un tatouage d’ado gâche son torse. Mais à quoi je m’attendais ? Je me contente de jouer un peu avec son sexe, juste assez pour maintenir sa bite dressée. Pendant ce temps, je l’entends grogner entre mes cuisses. Sa langue vient râper mon clitoris de temps à autre, autrement, j’ai l’impression qu’il joue à s’introduire le plus loin possible dans mon vagin.
Après quelques minutes, l’animal n’arrive plus à respirer. Son cou rougit à vue d’œil, mais je préfère profiter encore un peu de sa bouche ainsi que de la vue. Finalement, je n’ai pas la force de résister quand il me pousse pour me mettre à quatre pattes.Il s’apprête à soulever ma robe, la bite à la main, déterminé à me pénétrer. Mais c’est alors que je me mets sur le dos. J’avais très envie d’une levrette, c’est vrai ! Mais je ne sais pas... l’envie de l’emmerder sans doute...Il se contente alors d’un missionnaire et je profite de la position pour rythmer ses allées et venues de quelques fessées.Il a beau avoir l’air sportif, je sens qu’à cette allure, il ne va pas tenir encore bien longtemps. Et puis je meurs de chaud ! Je le repousse alors à l’aide de mes pieds sur son bassin. « Prends quelques secondes pour faire redescendre la pression, je compte encore sur toi ! » lui dis-je. Surpris par tant d’assurance, il s’agenouille sur le lit et me regarde me déshabiller. Je ne comptais pas lui laisser le privilège de me voir nue, mais j’ai encore moins envie que ma robe sente sa sueur.
C’est à quatre pattes que reprend ce dernier round. Ses coups de bassin sont si bestiaux que je dois bomber le dos pour éviter la lombalgie. Soudain, il se met à ponctuer ses mouvements de fessées au moins aussi violentes.
— Eh ! Je vais dire quoi à mon mec si tu laisses des traces ? m’exclamé-je.
Suite à ces mots, je l’entends écarquiller ses yeux. Je me retourne alors et me retrouve face à son regard de bovin. Obligée de lui expliquer que j’ironisais... Par contre, je compte bel et bien voir un autre mec cette semaine, alors j’espère qu’il ne m’a pas trop amochée. Pour finir, il se croit dans un film pornographique ; il retire sa capote et m’éjacule sur les fesses et le dos, le tout en grognant. Quel porc ! Je file à la douche, histoire de me nettoyer un peu. Quelques minutes après, il me rejoint, le pauvre n’a rien compris. Il ne s’attend quand même pas à ce que l’on se douche ensemble ? Je lui laisse la place et quand j’entends l’eau se mettre à couler, je m’enfuis comme une voleuse. Je ne veux pas avoir à supporter son air satisfait plus longtemps. Dans l’ascenseur je remonte ma robe pour regarder la marque sur ma fesse ; ce salaud ne m’a pas ratée...
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