Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 7 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Il était un petit navire

Chapitre 1

Dans la cambuse

Gay
Voici 15 jours que je suis embauché pour gérer la cambuse de ce chalutier qui lance ses filets au large des côtes bretonnes. Moi c’est Etienne, 22 ans, sportif, brun ténébreux, comme les filles de mon âge me décrivent. Malgré ce succès auprès de la gent féminine, mon expérience sexuelle et intime reste pour le moment à un niveau de débutant (à peine confirmé). Timidité, sans doute…
Romain, lui est un peu plus vieux que moi. Il vient de se séparer de sa copine il y a quelques semaines, mais semble s’en être vite remis. Il est toujours attentionné avec ses collègues, toujours prêt à rendre service. Romain est également brun, plus grand que moi et aussi plus épais, plus charpenté. La force tranquille. On le voit bander ses muscles lorsqu’il ramène les filets à la main pour nous épater. Le capitaine du chalut, c’est Igor, un Russe installé en France depuis des années. Il est très grand, des yeux bleus, des cheveux blonds coupés courts. Un physique d’ancien militaire qui serait venu passer une retraite bien méritée en France. Il rigole rarement et veille sur tout l’équipage et sur son chalut.
Nous sommes partis depuis une semaine désormais. L’équipage s’affaire à ses tâches habituelles. La mer est enfin calme !! Romain et moi sommes astreints à nettoyer et à ranger la cambuse. C’est un endroit assez exigu et sans ouvertures sur l’extérieur. Compte tenu de l’espace, nous sommes obligés de nous frôler en permanence. La chaleur dans cette pièce monte au fur et à mesure que nous rangeons et nettoyons.Romain se met torse nu, dévoilant une poitrine légèrement velue et bien bâtie. Ses tétons sont gonflés, et pointent fermement.
— Excuse-moi, me dit-il, mais il fait vraiment trop chaud ici ! Heureusement, on aura fini en avance.
En disant cette phrase, Romain commence à me regarder étrangement, un regard fortement appuyé qui me fait peur. Lorsque nous nous frôlons de nouveau dans cette pièce exigüe, je sens distinctement contre mes fesses, une bosse formée à son entrejambe.Soudain, un roulis venant de bâbord nous déstabilise. Je suis projeté contre une étagère et Romain est également plaqué derrière moi. Je me retrouve coincé entre l’étagère en bois et la masse de Romain qui fait alors volontairement pression sur moi. Je sens son souffle court sur ma nuque. Je sens frotter son sexe en érection contre mes fesses. On ne parle pas. Il me mordille le coup. Il dévoile alors progressivement son jeu sachant que je ne pourrais pas faire grand-chose pour l’en empêcher.
— J’aimerais vraiment te prendre ici et tout de suite, me susurre-t-il à l’oreille, ça fait des semaines que ma copine est partie et j’ai vraiment de gros besoins, tu comprends ... tu pourrais me rendre un petit service ... en toute amitié.
Je ne sais plus quoi faire. Je ne bouge plus, je ne pense plus, j’écoute le son directif de sa voix dans mes oreilles. Il m’entoure de ses bras forts et à travers mon tee-shirt me malaxe le bout des tétons. Lentement au début, puis assure une prise plus intense. Il vient de me faire découvrir une première zone érogène. Je commence à me "raidir" et à ma laisser aller entre ses bras qui me bloquent toujours fermement. Sa main droite descend sur mon ventre tandis que la gauche continue à pétrir mon mamelon. Je gémis de plaisir mais toujours sur mes gardes. Igor peut descendre à tout moment et nous surprendre dans cette position ! Il nous ferait passer par-dessus bord direct !
Toujours dans mon dos, sa main droite caresse mes abdos puis descend lentement sur mon sexe en érection. Il le travaille à travers mon short puis descend mon boxer sur mes chevilles. Il saisit mon sexe raide, le caresse en faisant progressivement apparaître mon gland gonflé à bloc. Je suis tellement troublé, entre cette envie de fuir et celle de rester. Pourquoi j’accepte qu’il me traite comme ça ? Certes, je n’ai pas son expérience en matière de filles, mais je ne me serais jamais imaginé me trouver dans cette posture si inférieure et ne pouvoir (ou vouloir) m’en défaire. Enfin il fait glisser mon tee-shirt à terre. Je me retrouve face à Romain entièrement nu sur notre lieu de travail. Il me regarde tout en se caressant l’entrejambe sans bouger mais plongeant son regard dans le mien. Il se rapproche au bout de quelques instants et m’appuie sur les épaules pour que je sois à genoux devant lui, la bouche au niveau de son sexe.
— Viens le chercher et prends-le en bouche, Étienne. Donne-moi du plaisir, j’en ai vraiment besoin.
Il me toise de toute sa hauteur, fière et solide dans sa virilité triomphante sur la mienne.Je déboutonne son short en toile et fais apparaître un boxeur en coton blanc. Il est rempli par l’excitation de sa verge et une tache de liquide séminal s’est formée à l’endroit de son méat. De sa main, il prend ma tête pour l’appuyer contre son pubis.
— Respire la bonne odeur du large ! dit-il d’un ton calme mais assuré. Tu vas lécher ma queue pour nettoyer ce liquide qui s’échappe de mon gland et tu mettras ensuite ma bite au fond de ta jolie petite bouche. Magne-toi, si Igor te surprend dans cette position, tu vas avoir de sacrés problèmes à vouloir allumer les marins de son bateau !
Je ne réfléchis plus, paniqué par l’idée qu’Igor me découvre dans cette position si dégradante. Romain, lui, aurait eu le temps de se rhabiller en l’entendant descendre, mais pas moi ! De mes deux mains, je descends son boxer sur ses chevilles puis l’enlève avec précaution. Il écarte un peu plus les jambes, et son sexe se dresse face à mon visage glabre. Pendant la montée de son érection, son prépuce s’est rétracté, laissant apparaître son gland rond, luisant et gorgé de vie.
— Regarde ma verge, Étienne, comme elle est belle. Vénère-la avec ferveur, me dit-il doucement.
Obéissant, j’approche mes lèvres de son phallus. 
— Nettoie ma queue, Étienne, et avale le liquide qui coule de mon gland.
Il me caresse la tête et guide ma bouche. Le bout de ma langue lèche son méat et entre un peu dans sa fente pour y recueillir le liquide encore chaud qui en coule. Je procure à mon collègue un véritable plaisir et découvre par la même occasion que j’aime lui procurer ce plaisir. Après le gland, je nettoie avec le bout de ma langue son sillon coronal autour de la verge.
— Tu peux prendre ma bite dans ta bouche maintenant, Étienne, mais pas complètement : tu vas t’étouffer.
Je fais un minimum de bruit, répondant à peine à ses injonctions pour ne pas attirer l’attention des autres collègues qui travaillent sur le pont et dont les éclats de rire nous parviennent. Je tète avec délice et douceur son chibre impressionnant et gonflé. Il est en pleine extase, et moi mon érection est devenue forte, je mouille à mon tour. Que m’arrive-t-il ? Pourquoi est-ce que j’accepte cette situation face à cet homme qu’au fond je ne connais pas depuis si longtemps ?
D’un coup il se cambre, sa main droite appuie sur l’arrière de ma tête et il balance volontairement son pubis vers l’avant. Je sens alors sa verge remplir ma bouche.
— Laisse-toi aller, murmure-t-il, tu me fais beaucoup de bien, Étienne, et tu goûteras ta récompense jusqu’à la dernière goutte.
Romain se masturbe doucement dans ma bouche et contrôle de sa main puissante les va-et-vient de l’opération. Toujours à genoux devant lui, j’observe son cou tendu, sa bouche entrouverte, ses yeux clos, son ventre se creuser... Il jouit de plaisir.
— Vas-y, Juliette, prends-moi bien en bouche, suce-moi bien ! 
Il pense à sa copine. Il appuie un peu plus sur ma tête pour me forcer à tout avaler. Mes mains sont posées sur ses cuisses pour essayer de me retirer de son emprise, mais Romain est le plus fort. Je bave tellement car les mouvements de son bassin sont très amples, ma glotte est secouée et me provoque des hauts-le-cœur. Il est en extase et me toise de son regard dur et froid.
— Arrête ! Tu me fais peur, arrête ! lui dis-je entre deux mouvements de bassin.
Romain relâche la pression ; il est en sueur et me sourit. Il me lève et me retourne, dos à lui. Je l’entends cracher dans sa main.
— Si tu veux me donner plus de plaisir, je dois te pénétrer .
Je ne réponds pas quand il commence à me doigter énergiquement. Heureusement que le matin même je me suis nettoyé à grande eau dans les douches communes. Il commence par entrer un doigt qu’il fait tourner pour détendre mon sphincter. Il me mordille le lobe de l’oreille, ce qui me provoque une forte érection (ma seconde zone érogène). Son index rejoint bientôt son majeur pour visiter mes entrailles. Il les retire pour me les faire sucer puis les introduit de nouveau.
Je suis plaqué contre l’étagère. Le poids de Romain m’immobilise. Sa main gauche presse ma bouche alors que son annulaire accompagne désormais les deux autres doigts explorant mon anatomie. L’air dans la cambuse est devenu chaud et moite. Le roulis du chalut est léger et donne à cette expérience un caractère inédit. Mes gémissements sont étouffés par sa main alors que mon sphincter se détend petit à petit. Il sort alors ses doigts ; il vient de bien me préparer à la suite… Il place son sexe gonflé de sève et son gland à l’entrée de mon anus. Il ne va pas tarder à me pénétrer.
— Tu vas avoir mal au début, mais respire profondément, tu vas t’ouvrir progressivement à moi et je te pénétrerai entièrement.
Il appuie sa main gauche un peu plus fermement sur ma bouche pendant que son sexe entre dans mes entrailles. Malgré son travail préparatoire, la douleur me traverse le corps. Il s’appuie plus fortement contre moi, me forçant à accepter tout son chibre qui dilate mon sphincter. Je sens Romain en moi, entièrement, complètement. Je suis partagé entre le plaisir d’être sodomisé et la douleur de recevoir en moi son pénis. Une fois introduit en moi, il ne bouge plus et bloque tous mes spasmes et mes mouvements.
— Laisse-toi aller, Étienne, tu vas t’ouvrir progressivement et tu vas aimer ça. Ta prostate va être tellement excitée que tu vas jouir sans t’en rendre compte, me glisse-t-il dans l’oreille.— J’ai trop mal, Romain, ta queue est trop grosse pour moi. Retire-toi s’il te plaît, je t’en supplie.
Au lieu de se retirer, il resserre sa main sur ma bouche et d’un coup sec et court de pubis me pénètre davantage. Mon visage se crispe de douleur, je pleure et ne peux me soustraire.
— Tu vas te détendre, Étienne. Maintenant qu’on a commencé, on va finir ensemble et prendre un maximum de plaisir. Ton corps essaie de lutter et de rejeter ma bite. Plus ton sphincter se contracte sur ma queue, plus elle se renforce et se gorge de plaisir. 
Il commence alors des va-et-vient doux et amples en crachant sur sa queue quand elle ressort.
— Voilà, comme ça tu seras bien humide et lubrifié. On fait avec les moyens du bord ! 
Après quelques minutes, il me saisit par les hanches et renforce ses coups de boutoir. Il m’empale jusqu’à la garde et je sens ses poils pubiens sur mes fesses offertes à son plaisir. Je serre les dents pour ne pas crier tellement ses mouvements sont forts et rapides.
— Tu aimes ça, hein ! T’as vraiment un bon cul à bite. Je vais te déchirer ta petite rondelle, et tu vas t’en souvenir. 
La voix de Romain se transforme. Son souffle puissant sur ma nuque, ses mains serrant plus fort mes hanches, je suis son déversoir à foutre.
— Je vais faire durer mon plaisir au maximum, et à la fin je viendrai asperger ta bouche.
Romain s’est transformé et commence à me procurer un plaisir intense. Comme il me l’avait dit, ses coups de boutoir sur ma prostate font leur effet si bien que, malgré moi, je ne peux me retenir de jouir sur l’étagère sur laquelle je m’appuie. Je suis au summum de mon excitation. Je jouis de gros jets réguliers comme rarement j’en ai sortis de mon urètre. Romain n’en manque pas une miette et renforce sa sodomie. Il me tape le fond du rectum. Mon sphincter est désormais totalement ouvert. Le souffle de Romain s’accélère sur ma nuque. Sa queue brûle mes entrailles mais il prend toujours son pied et son temps !Enfin il se retire. Il me fait mettre à genoux devant lui.
— Finis-moi avec ta bouche et avale bien tout mon jus, tu vas aimer.
Il me fixe du regard. Je sens tout son corps se raidir. Son râle étouffé dévoile son extase pendant que ma bouche sert d’écrin à sa verge bouillonnante. Il se libère dans ma bouche. Je sens ses jets puissants atterrir directement dans mon œsophage. Ses yeux sont révulsés, sa tête en arrière. J’avale toute sa semence épaisse et odorante. Il continue de presser ma tête pour garder sa verge dans ma bouche. Au bout d’un moment il débande et se retire.Il se rhabille et sort de la cambuse.
— Tu m’as donné beaucoup de plaisir, Étienne ; mais les homos, ce n’est pas trop mon truc, tu sais. Alors ce que tu viens de faire là, ça reste entre nous, ok ?
Il sort sans se retourner, me laissant à terre avec dans ma bouche le goût de son sperme. Sa dernière phrase me montre bien que je n’ai été qu’un trou, qu’un réceptacle pour son plaisir.
Je nettoie la cambuse et enlève toutes les traces de nos ébats. Je me rhabille et m’apprête à sortir lorsque j’aperçois au plafond de la cambuse un globe noir qui émet une petite lumière rouge. C’est une caméra de surveillance : quelqu’un a assisté à distance à nos ébats. Romain a regagné sa couchette. Les autres marins vont entamer leur sieste avant de lancer de nouveau les filets de pêche.
Le haut-parleur se met en action et Igor, le patron du chalut, m’appelle sur la passerelle :
— Étienne, à la passerelle. Étienne à la passerelle.
Je ferme la porte de la cambuse et me dirige vers la passerelle, comprenant qu’Igor a assisté à nos ébats. Je vais en prendre pour mon grade…
Diffuse en direct !
Regarder son live