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C'était il y a un peu plus de vingt ans...tentation échangiste.

Chapitre 1

La proposition.

Voyeur / Exhibition
Nous venions, ma femme et moi, d’arriver dans notre nouveau département. Rural, un peu excentré, relativement peu peuplé... mais c’était ce que nous recherchions, après l’exubérance du milieu urbain.
Après avoir quitté cette grande ville du sud, vivre en quasi-milieu rural nous interpella quelque peu.Vivre pour la première fois en couple, de façon durable et établie, s’avéra plus compliqué que prévu... surtout que ma femme devint caractérielle, pénible... chiante en un mot.
Je me souviens de disputes mémorables, et de nuits passées sans fermer l’œil.
Et cerise sur le gâteau, Christine se révéla, après des débuts prometteurs, pour le moins frigide ! Certes les 4 années précédentes, nous avions bien profité du sexe, elle et moi. Nous faisions l’amour dès que nous nous retrouvions (chacun vivait chez ses parents), et cela était torride à chaque fois.
J’avais expérimenté certaines choses croustillantes, avec celle, qui allait devenir ma femme : la sodomie, la sexualité orale, un peu d’exhibition, la domination...Christine était désireuse et curieuse de tout apprendre.Je lui avais appris l’art de la fellation. Christine à l’âge de 20 ans n’avait en effet jamais sucé un mec. La première fois se fit dans des conditions pour le moins excitantes. Elle posa sa bouche et sa langue sur mon sexe, et tout ce qui en découle... dans une voiture, sur la place d’un village en plein jour, pendant un gros orage...
Nous avions expérimenté l’amour dans la forêt, sur la plage avec un voyeur en arrière-plan, dans la neige... rien ne lui faisait peur. J’avais également exercé sur elle mes envies de domination, lui attachant bras et jambes, nue sur un lit, alors que je lui faisais l’amour les yeux bandés...
Et puis "Katastrophe !"... alors que tout se passait bien entre nous les 4 premières années, peu après notre emménagement, tout changea !
Ma femme devint exigeante, pénible, elle faisait de moins en moins l’amour, et les "petites déviances " ne l’intéressaient plus du tout.Sur le coup, je ne comprenais pas ce revirement... je ne devais l’appréhender que bien des années plus tard, lors de notre rupture momentanée.Tout cela était en définitive fort simple, et résultait d’une sensation de “tromperie” inconsciente de la part de ma femme, quant à mon avenir professionnel. Elle se sentait "flouée", et son moyen de vengeance, c’était l’absence de sexe, accompagnée d’une perte de désir à mon encontre. Et fait notable, ma femme, constamment tiraillée par ses conflits intérieurs sans doute phénoménaux, avait à ce moment-là une tendance pour les femmes.
Je lui avais appris à appréhender son corps, à l’aimer... en effet, Christine complexait beaucoup sur sa poitrine, qu’elle estimait trop petite. Et effectivement, cela représentait un frein pour elle ; elle se mit donc toujours à comparer sa poitrine avec celles des autres femmes, et à les jalouser... quoique je lui avais bien fait comprendre que je l’aimais comme elle était.
Cela prit une telle place dans sa vie, qu’elle se mit à rêver de femmes nues, avec des poitrines avantageuses, et ses rêves allaient jusqu’à des contacts saphiques, durant lesquels elle caressait leurs seins, les embrassait et jouait avec.Je fus très étonné d’apprendre que ma femme faisait des rêves pornos lesbiens !Après quelques réticences, le matin, tout en me disant qu’elle avait fait un rêve peu orthodoxe, elle se mettait à me les raconter, après des demandes empressées de ma part.Elle en était, à 25 ans, à une période de sa vie, où faire l’amour avec une femme ne lui paraissait pas si délirant que cela... malgré son éducation très coincée.
Christine n’en était pas à un paradoxe près... néanmoins, le fait de penser à la vision de ma femme, avec un autre partenaire sexuel... et en plus une femme, m’excitait grandement !

Environ un an après notre installation, je me fis une bande de copains, dans un club d’arts martiaux local.L’un d’entre eux, qui était soldat, me dit qu’un de ses amis, également militaire, avait besoin de matériel agricole dont je disposais. Il voulait assainir son grand jardin. Le copain du club me fit rencontrer son collègue, lors d’une soirée.Mathieu était un type de mon âge, environ 30 ans, très sportif, très beau, et très intéressant. Il était parachutiste et avait accompli des missions dans le monde entier, au sein de compagnies de combat. Dans la petite ville où nous habitions tous, il accomplissait une sorte de "purgatoire" professionnel, après 2 ou 3 missions particulièrement actives. Il se révéla très gentil, charmeur, très intelligent, et pas du tout arrogant, malgré le charisme qui émanait de lui.
Nous décidâmes de nous revoir par la suite, en premier chez nous. Avec sa femme Emma, jolie brune aux cheveux longs d’environ 25 ans, cette impression de sympathie ne se tarit pas.
Alors un dimanche matin, Mathieu nous fit découvrir sa maison, qu’il avait construite avec ses deux frères et son père... un palais ! Bâtiment blanc, avec une cour intérieure carrée, une galerie décorée de piliers style corinthien, une grande piscine, une petite pente herbue qui donnait sur un petit lac... et les monts du Puy-de-Dôme en décoration.
Je vis que ma femme fut atteinte par le luxe dominant, et je fus certain de perdre un peu plus d’attrait à ses yeux, en direction du propriétaire.Sa femme Emma, habillée simplement d’un jean et d’un chandail, se montra gentille, ouverte, quoiqu’affichant toujours une admiration sans bornes et une quasi-dévotion pour son mari... c’était loin d’être mon cas, avec mon épouse !
Enfin, le déjeuner fut divin, la conversation intéressante et nos hôtes charmants, et même très modestes, en regard de leur mode de vie quasi luxueux...
Et puis petit bémol... la séance de diapositives de fin d’après-midi ! A cette époque préhistorique, les smartphones n’existaient pas, les premiers téléphones portables venaient de faire leur apparition, et ne servaient qu’à... téléphoner... et encore pas partout ! On regardait des films en cassette vidéo VHS, et pour passer des photos en public, une espèce de projecteur diffusant une lumière, muni d’une loupe, qui agrandissait sur un mur ou un écran, un négatif de photo papier monté sur bordures plastiques !
Voici pour l’édification des "jeunes générations" !Ce genre de petite projection est généralement chiante à mourir. Les hôtes vous montrent leur famille, leur chien, leurs précédentes habitations, leurs vacances...
En définitive, ici Mathieu nous montra surtout ses précédentes affectations en Nouvelle-Calédonie, Gabon, Réunion... en prenant souvent sa femme en photo, devant une végétation luxuriante, au cours de soirées festives...Emma était alors magnifique, maquillée avec soin, toujours vêtue assez court. Je me souviens d’une photo d’elle, en robe moulante blanche avec un imprimé à fleurs, qui lui arrivait en haut de la cuisse. Rien à voir avec la fille en jean et chandail, toute simple à côté de nous. Je me disais qu’il en avait bien de la chance, ce Mathieu.
Néanmoins, ces photos me laissaient une impression... comment dire ? Mathieu semblait vouloir nous montrer que sa femme pouvait être une bombasse diablement sexy... et que leur mode de vie n’était peut-être pas aussi innocent qu’il y paraissait ! Impression fugace, uniquement basée sur mon instinct. Mais la suite devait me prouver que je ne me trompais pas !

Et puis des paysages de tropiques... tout cela était d’un chiant ! Alors le vin, la digestion, les diapos peu excitantes à ce moment-là, l’obscurité... je m’assoupis en fermant les yeux, quand un concert de voix me réveilla. Rouvrant les yeux... je vis...
Oh, et puis je vous le dis au prochain chapitre, si j’ai plus de 300 pouces... non je déconne !
Et bien le Destin toujours facétieux, voulut que je m’endorme 30 secondes, avant que Mathieu ne nous passât la photo de sa femme nue ! Je vais vous la décrire, car comme ce genre de trucs n’arrive pas tous les jours, et que j’ai une bonne mémoire... j’en ai conservé un souvenir assez bon.

Emma était dans sa baignoire encastrée, assise dans l’eau, au niveau de son bassin. Il n’y avait pas de mousse. Alors qu’elle voyait son mari la prendre en photo, elle levait les deux bras vers lui, comme pour lui dire non. De ce fait, elle offrait une très bonne vision de son corps splendide, ses seins ni trop gros, ni trop petits, et son pubis avec un triangle de poils assez fourni. La vision ne s’offrit à mes yeux que l’espace d’une demi-seconde, un flash, et je n’eus pas le courage de demander à Mathieu de nous la repasser. Il en était revenu à d’autres clichés plus innocents.
Emma dit alors :
— Oh celle-là, il adore la passer à ses amis... ce n’est pas la première fois qu’il le fait.”
Je ne pipai mots, et peut-être Mathieu se dit alors que sa femme ne me plaisait pas. Putain, il avait fallu que je m’assoupisse à ce moment-là !L’après-midi se termina sans d’autres “incidents”. En tout cas, il me sembla qu’autant Mathieu qu’Emma, attendaient quelque chose de ma part...

Le lendemain, disant qu’il voulait me voir assez vite, Mathieu me donna rendez-vous dans un café. Il me mit tout de suite à l’aise, en me demandant simplement si la photo de sa femme nous avait plu ? Je ne pus que répondre par l’affirmative :
— Alors comment as-tu trouvé Emma ? Elle te plaît ?— Heu oui, c’est une très belle femme.— La tienne est pas mal non plus... tu as compris où je voulais en venir, en te posant cette question ?— Eh bien, je le pense.— Bon, je n’irai pas par quatre chemins. Emma et moi sommes échangistes. Et nous adorons faire l’amour avec des couples d’amis. Des gens que nous trouvons beaux et sympas... et en qui l’on peut avoir confiance, quant à leur discrétion... vous entrez dans cette catégorie.— Oui... c’est-à-dire que tu aimerais faire l’amour avec Christine, et que tu me laisserais faire de même avec Emma ?— Oui ! Elle te plaît... tu as envie de la baiser ? Moi j’ai très envie de baiser ta femme. Cela te conviendrait ? Attends, j’ai d’autres photos d’elle pour te faire réfléchir !
Et il me montra des photos papier d’Emma, beaucoup plus torrides. Sur toutes, Emma était nue et faisait l’amour avec des hommes que je ne connaissais pas. Sur l’une d’elles, elle était même doigtée par une femme nue, elle aussi, qui lui mordillait un téton...
— Alors cela te plaît ? C’est moi qui les ai prises. Elle assure Emma. J’adore la voir baiser avec d’autres hommes... ou même des femmes !— Oui, c’est très excitant... mais je ne sais pas si Christine accepterait de coucher avec vous deux ?— Nous avons l’habitude de dévergonder des couples amateurs. Fais-moi confiance, et tout se passera bien. Tu pourras baiser ma femme comme tu voudras, et je m’occuperai bien de la tienne ! Dans le respect de chacun, si nous sommes sur la même longueur d’onde... ce qui semble être le cas ! Parle-moi d’elle, ses envies, ses désirs sexuels, ses fantasmes.
Peut-être pour finir de me convaincre, il m’expliqua qu’il allait bientôt vendre sa maison, car il avait une nouvelle affectation en Afrique. Leur départ était prévu pour dans deux mois. Ainsi cette expérience ne serait que fugace, et n’impliquerait aucun problème, quant à nos couples respectifs...

Mathieu était quelqu’un de terriblement gentil, malgré son entraînement militaire qui devait faire de lui un très bon soldat. Il était très empathique et inspirait confiance. Alors pendant une heure, je lui racontai toute notre vie sexuelle et les désirs de ma femme. Sa façon de faire l’amour, ses attentes, ses tabous n’eurent plus de secrets pour lui. Il fut favorablement intéressé par les rêves saphiques de ma femme...En lui précisant néanmoins que depuis une année, notre couple en était au point mort, niveau sexualité. Avec son grand sourire charmeur, il me rétorqua alors que cette expérience échangiste serait sûrement un bon moyen de relancer notre libido ! Ce en quoi il avait peut-être raison... du moins, je l’espérais. Restait à convaincre ma femme !

Évidemment au premier abord, la réponse fut négative ! Et pourtant j’avais abordé la chose avec beaucoup de tact !
— Dis Christine, comment tu les trouves, Mathieu et Emma ?— Ben, ils sont plutôt sympas...— Tu as vu la photo d’Emma à poil, qu’il nous a balancée ?!— Oui, c’était un peu limite... mais elle est très belle !— Je me demande s’ils ne seraient pas un peu échangistes ?— Tu crois ? Et alors ?— Ben... disons que lui il est plutôt beau mec... Emma est pas mal non plus...— Attends, c’est pas ce que je pense... tu voudrais que je couche avec Mathieu, pendant que toi tu te ferais Emma... c’est bien ça ? dit Christine avec ironie.— Ben oui. Je crois qu’ils sont échangistes... Mathieu m’a proposé de refaire une soirée chez eux, samedi soir prochain.— Et tu as dit oui... en sachant que ce serait une soirée cul ?! Tu me vois en train de baiser avec ton pote ?— Je n’ai rien dit. J’attendais ton approbation. Une situation comme celle-là ne se reproduira peut-être plus jamais. On pourrait essayer... on n’est pas obligé d’aller jusqu’au bout !— Ce sera sans moi... et si tu y vas, ne compte plus sur ma présence ici !
Au moins, cela avait le mérite d’être clair ! Dommage... une superbe occasion foutue !

Je dois avouer qu’après ce refus certes prévisible, j’avais les boules. Les 4 jours suivants, mon courroux face à ma femme ne fit que gonfler... jusqu’au vendredi soir, où complètement remonté, je voulus faire l’amour, et qu’une fois de plus, Christine me réitéra une fin de non-recevoir. Alors j’explosai !Je lui dis de tout : qu’elle était désagréable, que j’avais cédé sur notre départ à la campagne, sur le chien, le mariage, et que j’avais été bien con ! Qu’avais-je en échange ? Une épouse acariâtre, vindicative, frigide et nulle au pieu, quand elle voulait bien baiser...Certes, j’avais été un peu dur, mais il fallait que ça sorte !
Christine me regarda abasourdie, défaite, comme tétanisée par tout ce que je venais de lui dire. Le choc était tellement grand, qu’elle ne put esquisser aucun geste ni rétorquer aucune insulte ou menace. Elle se leva du lit comme un automate, et quitta la chambre sans un mot.
Cette nuit-là je dormis, ou plutôt tentai de dormir, seul dans le lit, écoutant la pendule égrener les heures...
Les jours suivants furent mornes, ma femme gardait un silence boudeur. Je commençai à regretter mon accès de sincérité avec Christine.
Je dus également prévenir Mathieu que la soirée n’aurait pas lieu, à mon grand regret. Mathieu m’assura comprendre les réserves de ma femme. Il avait l’habitude de nombreux refus de couple. Il me demanda simplement de garder le silence auprès de nos connaissances. Je l’assurai de ma discrétion.
Et puis après 5 jours de silence, longs et douloureux, Christine me proposa d’aller quand même à cette soirée, si le couple voulait bien en refaire une, le samedi suivant.Quand je lui demandai les causes de ce revirement soudain, elle me dit que si nous ne tentions pas au moins le début de cette expérience, je lui en voudrais à mort le reste de notre vie. Elle avait compris à quel point son manque d’appétence pour le sexe me faisait du mal... en précisant du moins que si les choses allaient trop loin, nous rentrerions chez nous sans discussion. Avec un immense espoir, je l’assurai de cette clause de prudence.Je sautai sur le téléphone pour annoncer la bonne nouvelle à Mathieu...
— Mais vas-y mollo, lui précisai-je !
Durant les journées suivantes, j’essayais de comprendre les motivations de ma femme. Y allait-elle par défi, vengeance, désir ? Ou pour piquer une crise ? Toutes les options étaient ouvertes. Avait-elle compris ma sexualité exacerbée ? Était-ce la vraie raison ?Et que si les choses continuaient comme cela, nous en viendrons à nous séparer ? Voulait-elle me prouver qu’elle pouvait assurer et me garder ainsi ? Avait-elle envie de se lâcher, de connaître une nouvelle expérience ? Très compliqué...
En tout cas, il me faudrait être très prudent durant cette soirée, éviter toute scène de ménage, mais aussi une vengeance du style :" je préfère baiser avec le couple... je n’ai plus besoin de toi !"

Le soir, nous avions rendez-vous à 20h30. Quand je vis arriver ma femme dans la voiture, j’eus un petit choc.Elle était tout simplement splendide : sa robe gris anthracite qui lui arrivait mi-cuisses, des bas... ou des collants ? Christine savait que j’étais friand de lingerie... avait-elle osé le porte-jarretelles pour me faire plaisir ? Espoir un peu fou !
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