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C'était il y a un peu plus de vingt ans...tentation échangiste.

Chapitre 3

Catastrophe !

Orgie / Partouze
Christine, quasi nue devant moi ! Je n’en revenais pas. J’avais l’impression de rêver. Mon plus gros fantasme était en train de se réaliser ! Jusque-là, je ne voyais malheureusement pas grand-chose de la nudité érotique de ma femme. Juste son petit cul blanc dévoilé par Mathieu, barré par les deux jarretelles noires. Ma femme était obnubilée par le magnifique corps d’Emma, surtout ses seins, qu’elle ne cessait de caresser et de lécher. J’observais tout cela avec fièvre, n’osant pas bouger de mon sofa, à peine trois mètres environ me séparaient du trio... Mathieu, lui, n’eut pas cette indécision, il commença à caresser les fesses de ma femme, par petites touches, puis devant le consentement tacite de ma femme, il plaça sa main entre ses cuisses et lui caressa délicatement la vulve et le pubis.

J’étais aux anges, voir ma femme se faire tripoter par le couple m’excitait énormément. Mes craintes de jalousie semblaient s’envoler. Mais quand il commença à se déshabiller, ce fut une autre musique ! Il quitta prestement sa chemise, dévoilant un buste très sculpté et imberbe. Et puis descendit son pantalon et son boxer, arborant une très belle verge. A vue de nez, il n’était pas plus membré que moi. Mais son corps d’athlète, associé à son visage d’éphèbe, me provoqua une bouffée de jalousie. Je suis un mec pas mal du tout, j’ai eu beaucoup de propositions féminines sans les avoir demandées... en refusant toujours quoi que ce soit, par fidélité pour ma femme. Mais là, je me sentais dominé par le physique parfait du mec. Evidemment, il n’y avait pas photo. Il faut dire que le gars avait un physique de chanteur de “boys band”, groupes célèbres de la fin des années 90...
A cette époque, je m’étais inventé pas mal de complexes, dus à une enfance peu valorisante. Et la première pensée qui me venait à l’esprit, était que ma femme allait complètement craquer pour le type ! Alors l’excitation du candaulisme commença à se muer, dans mon esprit, à une jalousie stupide, mais sournoise. Surtout que Mathieu produisit un préservatif qu’il avait sorti de sa poche et qu’il l’enfila sur son sexe.
— Putain l’enculé, il va baiser ma femme direct !
Fut à peu près le genre de pensée qui enflamma mon esprit ! Il devait être très excité par mon épouse également, car il ne pensa même pas à chercher mon approbation en regardant vers moi ! " Et merde, pensais-je, je me suis mis dans un gros bordel. Arrivé à ce moment de tension érotique, logique qu’il pense à baiser ma femme... on est venu là pour ça ! "

Les deux femmes chauffées à blanc, par leurs caresses mutuelles, échangèrent quelques phrases dans le creux de l’oreille, mais je compris sans peine qu’Emma demandait si elle voulait se faire baiser par son mari, et ma femme acquiesça ! Mathieu plaça alors son sexe dans la raie culière de ma femme. Mi-horrifié, mi-excité par la scène qui se déroulait devant moi, je pensai tout de suite qu’il allait l’enculer ! " Non, il n’osera pas !" Me dis-je. Mais il se contenta de pousser son sexe entre les cuisses de ma femme, et de se frotter contre sa vulve. Christine émit un gémissement de plaisir...

La tension montait entre les trois... j’allais bientôt assister à la "défloration" de mon épouse par un étranger ! Cela me mettait dans un état de confusion, partagé entre l’excitation et toujours cette jalousie malsaine. Mathieu décida de pousser un peu les choses. Il releva ma femme, lui mettant une main sur la fesse et l’autre sur un sein ! Elle se releva, et offrit son visage à Mathieu. Les deux s’embrassèrent, pendant que Mathieu caressait la chatte de ma femme, elle, lui prenait son sexe en érection. Puis il la fit asseoir à côté de sa femme. Christine me regarda pour la première fois, depuis le début de ses exploits de femme "libérée". Elle me lança un regard intense, où se mêlaient beaucoup de choses : du plaisir, du mépris envers moi ? De la colère ? Du défi ? Difficile de dire ce qui se passait derrière ses beaux yeux verts !
En tout cas, je sentis instantanément qu’elle allait me provoquer et me faire chier. Elle s’assit et ouvrit toutes grandes ses cuisses, me présentant son sexe ouvert et brillant de mouille. Elle était extrêmement excitée. Mathieu s’agenouilla devant elle, et posant sa bouche sur son sexe en fusion, commença à la gamahucher. Ma femme posa ses deux mains sur la tête de son nouvel amant, et ne retint pas ses exclamations de plaisir... des choses que je n’entendais que très rarement de sa bouche :
— Oui, vas-y, bouffe-moi la chatte. Suce-moi le clito. C’est trop bon. Baise-moi ! J’en ai trop envie !

Ou du moins, c’était à peu près la teneur de son monologue grivois et inaccoutumé. J’en fus tout retourné. En voyant ma mine étonnée et dépitée, un sourire de victoire apparut sur ses lèvres. Pendant qu’elle se faisait bouffer la chatte, elle mit son regard directement rivé au mien. Je me sentais de plus en plus mal.
Et Emma, elle, venait lui caresser les seins, lui lécher les pointes et caresser son pubis, devant les yeux de son mari !
Bref, je me retrouvai comme un con, un voyeur esseulé. Je me sentais de plus en plus loin du trio. J’étais bloqué, ne sachant quoi faire, à part me faire du mal, en regardant ma femme quasi baisée par le couple. Je bandais dur, mais tout esprit de décision semblait avoir quitté ma personne !
Combien de temps suis-je resté dans cette position de cocu volontaire et malheureux ? Difficile à dire ? J’étais comme tétanisé par la scène porno devant moi, avec pour héroïne ma propre femme, qui affichait un désir de luxure incontrôlable. Car elle n’en resta pas là. Je l’entendis dire à Mathieu :
— Prends-moi maintenant, je veux ta grosse bite dans ma chatte !
Mais alors qu’elle aurait pu se faire “mettre” comme cela, assise dans le canapé, elle décida qu’il y avait mieux à faire. Elle se leva, posa ses deux mains sur la table basse du salon, et donna sa croupe à Mathieu, qui se glissa derrière elle, et préservatif vissé sur son sexe, la pénétra très facilement. Alors Christine se mit à ahaner, gémir comme une femelle en rut, feuler, et dire des trucs invraisemblables. Elle employait tout le jargon porno des films X, ses gémissements étaient ponctués de "grosse bite, chatte en feu, grosse salope, pute à bite, chatte toute mouillée, envie de me faire enculer après..."

Elle prenait visiblement son pied, et le regard mauvais, me fixait droit dans les yeux. Evidemment, c’était pour me faire chier un max qu’elle avait pris cette position de vis-à-vis avec moi. Si Mathieu l’avait prise dans sa première position, je n’aurais pas eu le délicat privilège de voir son visage déformé par le plaisir, que lui donnait notre hôte !

Et puis... elle eut un orgasme... mais alors comme jamais avec moi ! J’en conçus immédiatement une rage folle. La salope faisait vraiment tout pour me pousser à bout ! Des gémissements déchirants, des cris, une extase indescriptible sur son visage ! Je me dis que quand même, elle en faisait un peu beaucoup, ou alors pas du tout ?
D’abord, je devais admettre que Mathieu l’avait vraiment bien baisée, ce qui n’était pas vraiment bon pour me rassurer, et ensuite... c’était la première fois qu’elle se donnait à un autre homme que moi (Christine était vierge quand nous nous sommes connus), cela était déjà un élément pour démultiplier son plaisir. Et puis elle jouissait et s’était fait prendre devant moi, son mari, les yeux dans les yeux. Il y avait certainement là de quoi éprouver une jouissance psychologique supplémentaire... sans compter le plaisir de m’humilier en direct. Christine savait que j’étais candauliste, on en avait déjà parlé tous les deux, et elle semblait avoir des penchants pour l’exhibition, sans avoir pu vraiment expérimenter ce côté sombre jusque-là. Ici, elle pouvait s’en donner à cœur joie ! De plus, pendant que Mathieu lui faisait l’amour, elle profitait des douces caresses saphiques de sa femme... alors quoi de mieux pour prendre vraiment bien son pied ?!
En attendant, même si j’étais content que ma femme prenne son pied, sans moi, ça faisait partie du jeu dans ce genre de soirée, son air agressif et satisfait d’elle-même était très irritant ! Mais je devais reconnaître qu’au-delà de ma jalousie envers Mathieu, le spectacle m’avait bien excité !
Et puis elle fit le truc de trop ! Alors que Mathieu s’était assis à côté de sa femme, qui continuait à caresser la mienne, ses doigts jouant notamment dans son pubis empoissé de mouille, et son sexe bien ouvert et dégoulinant de cyprine, elle se leva et se mit à genoux devant le type. Elle lui retira le préservatif plein de sperme, de ses doigts et commença à le branler pour lui rendre sa vigueur. Mais alors que Emma prenait un autre préservatif pour le mettre sur la verge déjà redressée de son mari, ma femme lui bloqua la main et mit sa bouche sur le gland encore empoissé de sperme !
Ma femme suça Mathieu sans préservatif, jusqu’à ce qu’il lui éjacule dans la bouche ! Cela, elle ne me l’avait fait qu’une fois, depuis notre mariage, m’ayant toujours indiqué son aversion pour le goût de la semence. Elle me suçait jusqu’aux premières convulsions, ou alors avec un préservatif !
Et là, rien que pour me défier, elle avait osé sucer un étranger jusqu’à la finition ! Je ne reconnaissais plus ma femme !
Je me sentais de plus en plus mal, un haut-le-cœur me prit bientôt, et je quittai la pièce pour courir dans la salle de bain. J’étais tellement écœuré par tout ça, que je vomis à gros bouillons dans le lavabo. Me séchant le visage avec une serviette, après m’être bien rincé la bouche, je me regardai de nouveau dans la glace. Je me haïssais d’avoir entraîné ma femme dans cette histoire, j’allais le payer très cher ! Mes craintes les plus anxiogènes se réalisaient ! Quand une voix se fit entendre dans mon dos... c’était Emma, magnifique dans sa nudité...
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