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C'était sa première fois

Chapitre unique

Gay
Bonjour, je m’appelle Franck, j’ai maintenant 40 ans, toujours marié et toujours bi. Après ma rencontre avec Marc et nos nombreuses baises, le COVID est arrivé et le rythme s’est nettement ralenti, ce qui fait que je n’ai rien fait avec un homme depuis un moment. Je pense souvent à Stéphane, avec qui j’ai connu les joies des premières masturbations mutuelles, à qui j’ai fait ma première pipe, qui m’a permis de connaître le bonheur de sentir un homme jouir dans ma bouche, bref un bon copain. Avec Stéphane, et malgré certaines histoires écrites qui restent des fantasmes, il ne s’est plus rien passé depuis des années et nous n’avons jamais été plus loin que la pipe.
Il habite depuis de nombreuses années à Paris, fait partie d’un grand groupe et travaille énormément. Ses retours dans notre région sont rares et nos chemins se sont un peu éloignés. Mais on garde contact, on est dans des groupes WhatsApp d’amis, etc.
C’est dans un de ces groupes qu’il a posté un message il y a quelques jours :
— Salut à tous, je suis par chez vous la semaine prochaine, ça me ferait plaisir de vous revoir, pour les sceptiques, j’ai un test COVID négatif obligatoire pour le boulot !! :-)
Je lui réponds :
— Hello Steph, tu peux passer manger un midi ou venir prendre un café quand tu veux, je bosse chez moi.
Par message perso, il me répond et on se met d’accord pour qu’il passe manger le jeudi midi, il a son train en fin d’après-midi, donc on aura le temps. Le jeudi matin arrivé, je suis excité comme pas possible, ma nuit a été peuplée de rêves érotiques dans lesquels Stéphane me pénètre la bouche, le cul, me remplit de son sperme, etc. Avec lui, je fantasme toujours en passif, il a ce "pouvoir" sur moi. Une fois ma femme et mes enfants partis, je ne peux me retenir de me branler, nu dans mon lit, en me doigtant, je fais durer le plaisir, m’arrête avant la jouissance pour uniquement ressentir le plaisir anal jusqu’à jouir sur mon torse et ressentir le sperme chaud sur mon corps, chose que je n’avais plus faite depuis bien longtemps ! Je prends ensuite une douche sous laquelle je m’applique à bien nettoyer mon anus. Je ne sais pas pourquoi je fais ça, les dernières rencontres m’ont montré que Stéphane avait plutôt envie de ne pas reparler de nos exploits d’adolescents.
Midi arrive, il sonne, je le fais entrer et le repas se passe super bien, on discute de tout et rien, on se donne des nouvelles, de nos familles, etc.
Le repas terminé, il se met sur le canapé, moi dans un fauteuil en face. Petit à petit, la discussion dérive vers le sexe, je ne sais plus comment c’est venu, mais on parle de nos femmes, de leurs seins, de leurs envies, de leur manque d’envie des fois, de ce qu’elles font ou pas, etc. J’en viens à lui parler de ma frustration de ne jamais me faire sucer par ma femme.
— Moi elle me suce, mais c’est pas une grande suceuse, dit-il en riant.— Elle suce mieux ou moins bien que moi ?
Je regrette immédiatement la question, l’ambiance et le ton de la discussion m’ont enlevé toute inhibition. Après un court silence agrémenté d’un regard surpris et inquisiteur, il me répond :
— Je ne sais plus si tu suces bien ou pas, ça fait tellement longtemps.
Je tente le tout pour le tout, au pire, je prends un vent, au mieux, je vais re-goûter à sa queue. Je le regarde droit dans les yeux avec un petit air de défi et un sourire coquin :
— Tu veux que je te rafraîchisse la mémoire ?— Non c’est bon.— Comme tu veux.— Je sais pas, en même temps, la discussion m’a bien excité, mais...
Pas le temps de réfléchir, je me lève, m’assois à ses côtés dans le canapé, et place directement ma main sur son paquet. Je sens sa queue qui est déjà gonflée.
— Effectivement, la discussion ne te laisse pas de marbre.
Je malaxe ses couilles à travers le pantalon, puis je fais des va-et-vient sur son sexe maintenant très dur. J’ouvre sa braguette, et glisse ma main pour toucher cette queue tant désirée à travers le caleçon, puis je passe ma main sous l’élastique pour finalement toucher son sexe chaud et doux comme dans mes souvenirs. Je m’agenouille par terre entre ses jambes, ouvre le bouton de son pantalon, qu’il m’aide à descendre jusqu’à ses chevilles, puis j’empoigne sa bite et commence de lents allers-retours en le regardant dans les yeux. Avec mon autre main, je masse ses testicules, je profite de la vue, j’admire son sexe surmonté de quelques poils roux, sa peau blanche, je devine son ventre plat au-dessus, ses cuisses en dessous sont musclées, j’aime son corps...
Ma main monte et descend lentement en pivotant sur son sexe, je veux faire monter le désir. Puis je croise à nouveau son regard quand finalement, ma langue vient lécher son gland. Il ne me quitte pas des yeux. Je lèche plusieurs fois de suite son sexe, de ses couilles jusqu’au gland, puis ma langue tourne autour de ce dernier.
Je ferme les yeux et finalement, après tant d’attente, je prends son sexe dans ma bouche. Son gland entre, je descends encore un peu, puis je resserre mes lèvres et remonte. Ma main accompagne le mouvement, je perds toute notion de ce qui se passe autour, seule cette queue compte. J’entends son souffle qui devient de plus en plus fort, puis il me demande :
— Tes voisins peuvent pas nous voir ?— Non, mais tu as raison, on sera mieux dans mon lit.
Je me relève, il remet son pantalon et me suit dans les escaliers, je ferme les rideaux de la chambre, il enlève son pantalon, sa chemise et s’allonge nu sur le lit. Je me dévêts aussi et me remets entre ses cuisses pour reprendre là où j’en étais. Il pose ses mains sur ma tête et me donne le rythme.
— C’est bon.
Il a toujours été endurant et le prouve encore, car je le suce depuis quelques minutes et il tient toujours. Je me relève, regarde dans ma table de nuit, prends du gel, en mets sur sa queue, puis le branle doucement, profitant du lubrifiant pour faire encore monter l’excitation. Je me redresse, enduis mon sexe de lubrifiant et je colle ma queue à la sienne, et je nous branle ensemble.
— Oh oui, continue.
Il tend sa main et prend le relais, il nous branle et touche ma queue pour la première fois depuis qu’il est arrivé. Mon sexe est plus grand que le sien.
— J’avais oublié comme ta queue était grosse.— C’est excitant de te voir nous branler.
Il ferme les yeux, alterne le rythme, j’en profite pour reprendre du gel, et en étaler sur mon anus déjà bien ouvert. Je me doigte pendant que ma queue frotte contre la sienne. Le plaisir monte, mais j’en veux plus. Je me dégage, et replonge sur sa queue, je le suce, je prends son sexe entièrement dans ma bouche, mes mains explorent son corps, son torse dessiné et ses tétons dressés. Rapidement, je me positionne au-dessus de sa queue, la dirige vers mon cul encore plein de gel et appuie mon anus sur son gland. Je le regarde tandis que je l’accueille en moi. Il ne dit rien, ne résiste pas comme je le redoutais. Au contraire, ses mains se placent sur mes fesses lorsque son sexe m’a totalement envahi. Doucement, je remonte en serrant mes fesses pour le sentir au mieux. Après 20 ans d’attente, enfin je le sens dans mon cul, enfin il me baise.
J’accélère le rythme, il donne des coups de bassin, je gémis, je prends un pied incroyable, je m’appuie sur son torse et je me baise de plus en plus fort.
Mais je veux que lui me prenne !
— Plus fort, prends-moi plus fort.
Il me prend dans ses bras, me retourne et me voilà sur le dos. Il prend le contrôle et accélère petit à petit.
— Oui, encore, baise-moi, plus fort.
Il me prend maintenant sans retenue, je sens qu’il est proche et je me masturbe pour venir avec lui. Il me défonce littéralement. Nos regards se croisent, il me sourit, je fonds et je jouis comme rarement, mon sperme atterrissant jusque sur mes lèvres. Je bois mon propre foutre pendant qu’il approche de la fin.
— Je veux jouir dans ta bouche.— Non, viens en moi, je te ferai jouir dans ma bouche après.
Quelques coups de reins et il se déverse en moi, sa queue tressaute et m’envoie des décharges pendant que son sperme envahit mon cul. Nous reprenons doucement notre souffle, il est toujours en moi.
— C’était génial, me dit-il.— Oui pour moi aussi, j’avais rarement joui autant. On a bien mérité une petite douche.
Il se retire, puis nous allons dans la grande douche à l’italienne, le sperme coule sur mes cuisses. Bizarrement, je n’ai pas de baisse d’excitation comme avec Marc, je suis heureux de ce que je viens de vivre, aucune culpabilité.
— Alors ça t’a plu Steph ?— Oui, j’avais jamais baisé un mec encore. Toi par contre, c’est pas ta première.
Je lui racontais alors mes aventures avec Marc, la découverte de la sodomie, en tant qu’actif et que passif, sans omettre aucun détail. L’eau chaude sur nos corps rapprochés, l’évocation des pipes sous la douche, dans le lit, etc. tout ça me refait bander. Il prend mon sexe dans la main et me branle doucement tout en continuant de discuter, de me poser des questions. Puis il se baisse et prend mon sexe dans sa bouche. Il suce bien, c’est un vrai plaisir, trop court malheureusement, car rapidement, il se relève.
— Désolé, c’est pas trop mon truc, je voulais réessayer, mais je suis pas fan.— Moi c’est mon truc, lui dis-je en m’agenouillant.
Je le suce donc à nouveau, prenant un plaisir énorme à le faire durcir un peu plus entre mes lèvres, à jouer avec son frein, son gland, bouffant tour à tour ses couilles, léchant chaque centimètre de cette belle bite qui m’a donné tant de plaisir quelques minutes avant.
— Oh oui continue, me dit-il en plaçant ses mains derrière ma tête et en donnant le rythme.
Il me baise maintenant la bouche, utilisant mes lèvres comme une chatte, enfonçant son sexe au plus profond de ma gorge. Je suis à lui, il peut faire ce qu’il veut, rien ne me rebute, j’accepte tout.
— Je peux te dire que tu suces mieux que ma femme, jamais je n’ai pu lui baiser la bouche comme ça !! Relève-toi, j’ai envie de te baiser encore.
Sans attendre, je me relève, me retourne, m’appuie contre le mur et présente mon cul. Il rentre sans problème en moi et je sens rapidement que le plaisir va me faire perdre la tête. Sa queue bute dans ma prostate et je gémis à chaque coup de boutoir de sa part. Il se colle à mon oreille.
— C’est bon. Tu aimes que je te prenne debout comme ça ?— Oui, j’adore. Fais tout ce que tu veux. Prends-moi fort, défonce-moi.
Il accélère et me défonce comme demandé
— Elle me parle jamais comme ça ma femme, j’adore.— Baise-moi, plus fort, j’adore sentir ta queue en moi.— Continue à me parler.
Il alterne les rythmes lents et accélérations qui me coupent le souffle, pendant que je continue de lui dire combien j’aime ce qu’il me fait, de me prendre plus fort, de me défoncer...Le plaisir monte, je bande comme un fou, je ne vais pas tarder à jouir.
— Tu vas me faire jouir avec ta queue, ça vient putain !
Il attrape ma bite et me branle. Quelques allers-retours suffisent pour que je jouisse. J’expulse une quantité de sperme impressionnante après avoir déjà joui deux fois depuis ce matin. Mes jambes flageolent tandis que Stéphane continue de me sodomiser. Rapidement, il se retire.
— Je vais jouir, tu as promis de me finir avec ta bouche.
Je m’exécute, m’agenouille et embouche sa queue que je branle tout en aspirant son gland, je le regarde dans les yeux comme une vraie salope que je suis à chaque fois en sa présence. Ma main lâche son sexe et je vais tirer sur ses tétons pendant que j’accélère le rythme de ma succion, il gémit et rapidement, son sperme gicle sur ma langue, j’avale tout au fur et à mesure sans sortir son sexe de ma bouche. Quand il a fini, je lèche les dernières gouttes en le regardant. Il sourit tandis que ma langue finit le nettoyage de cet engin de plaisir.Avec tout ça, on ne s’était pas nettoyé, on se savonne mutuellement, s’attardant sur nos sexes, nos couilles, moi sur son torse, lui sur mes fesses. Il me retourne et se colle à moi pour me laver le dos, puis prend mon sexe en main, le sien dur contre ma raie.
— Lave-moi bien les tétons.
Il monte ses mains, pince mes tétons, zone très érogène chez moi, et caresse mes pectoraux comme des seins de femme, puis revient vers mes tétons.
— C’est trop bon.
J’ondule, mes fesses frottant contre son sexe. Il m’embrasse dans le cou, envoyant des décharges dans tout mon corps. Je me sens femme, désiré, il est tendre et doux. Ce petit jeu dure jusqu’à ce que mes ondulations amènent son gland contre mon trou. Je pousse, mais son sexe peine à rentrer.
— Je pense que j’ai besoin de lubrifiant à nouveau.— On peut retourner dans le lit, j’ai très envie de te prendre à 4 pattes.— T’es insatiable, tu vas réussir à me prendre encore après tout ça.— Ça se tente.
Nous restons encore un peu sous la douche, lui collé à moi qui ondule et qui profite de ses mains sur mes tétons. Puis nous sortons, je me positionne à 4 pattes sur le lit, remets du gel, il s’en met aussi puis me pénètre. Il me prend ainsi, doucement, tendrement pendant de longues minutes, s’occupant de mon sexe, de mes seins jusqu’à me faire jouir sans que je me touche, juste sa queue en moi et ses mains sur mes tétons. Quelques gouttes de sperme seulement sortent de mon sexe, mais l’orgasme est foudroyant. C’est en moi qu’il jouit une dernière fois.J’ai envie de le garder avec moi encore, j’embrasse son torse, ses tétons, mais il est temps de se séparer. Il repart en taxi prendre son train. Nous retournons à notre vie, mais j’espère qu’il repassera par ici très bientôt, il me l’a promis.
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