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Ce n'était qu'une simple soirée

Chapitre 18

Hétéro
Soudain, la porte d’entrée des caves s’ouvre. Vanessa se redresse, baisse sa jupe et remonte les bretelles de son débardeur. Je me reboutonne en vitesse. Murmures.— C’est le voisin du troisième. L’homme discute avec un autre, qui lui, n’est pas dans les caves. Vanessa prend ma main et la serre.— Il parle avec mon père. Je l’entends déglutir.— Si mon père entre, nous sommes morts.La discussion entre les deux hommes semble durer une éternité. Quand la porte se referme, nous respirons à nouveau et nous embrassons. Sans bruit.— Tu as eu peur ?— Je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie.— Et maintenant ?— Mon cœur bat encore à mille pulsations minutes.— Suce-moi.— Quoi ? Non ! Le voisin est encore là !— Suce-moi, je te dis.Vanessa ne discute pas et me prend dans sa bouche. Je veux juste durcir à nouveau et lorsque c’est le cas, je tourne Vanessa pour la pénétrer assez vivement.— Mais qu’est-ce que tu fais ? Pas tout de suite !Je la prends très vite mais sans faire claquer mes hanches contre ses fesses. Quand j’entends la clé de la cave du voisin, j’enfonce profondément mon majeur dans le cul de Vanessa. Elle contient tant bien que mal un gémissement. Le voisin passe devant la porte de la cave sans s’arrêter et sort. Je retire mon doigt, m’agrippe alors aux hanches de Vanessa et pilonne son arrière-train. Elle gémit et halète bruyamment. Elle me demande de ralentir. J’obtempère, mais c’est pour alors la prendre plus fort, bien plus fort. Vanessa couine, crie à chacun de mes coups de rein. Je suis au bout. La pénétrant profondément, je macule pour la première fois de sperme le vagin de la brunette.
Il faut plusieurs dizaines de secondes à Vanessa pour se remettre de notre ébat. Elle m’embrasse.— Tu me rends folle quand tu me prends comme ça.Je caresse une dernière fois ses gros seins et les embrasse. Elle rit.— Ils seront toujours à ta disposition, sache-le.— Je doute que cela dure longtemps. Tu vas te mettre en couple et tu ne penseras plus à moi.Elle me fait un clin d’œil.— Tu as certainement raison.
— D’ailleurs, est-ce que tu vas revoir Walter ?— J’ai très envie, oui. Je l’apprécie énormément. J’espère que ça ne te dérange pas.— Pas du tout, non. Mais il faudra mettre une distance entre nous si vous sortez ensemble.Nouveau baiser. Vanessa est brûlante.— Je ne sais pas comment je vais me passer de toi.Je souris et l’entraine vers la porte.
Nous sortons de la cave puis retournons vers ma voiture. Vanessa m’embrasse en caressant mon entrejambe. Elle se recule ensuite dans le box et retire ses vêtements. Je m’approche. — Tu es folle, Vaness’.— J’ai tellement envie de toi, encore et encore. Je la doigte doucement, elle jouit. Je n’en reviens pas. Vanessa se rend compte de ma faiblesse.— Demain matin, je peux passer chez toi avant d’aller en cours ?— Non, Vanessa, c’est fini.— Une petite robe, pas de culotte. Si tu me donnes la clé, je viens te réveiller.— Arrête ! Ça suffit.— Une toute dernière, je t’en prie.Je ne peux pas ne pas en profiter, même si elle va peut-être sortir avec mon pote.— Une fois. Et je fixe mes conditions.Elle me regarde fixement.— Je veux te sodomiser sans capote et je veux être le premier à le faire.Elle sourit et acquiesce de la tête. J’ajoute :— Je choisirai le jour, l’heure, le lieu et ta tenue. — Quand ?— D’ici quelques jours.Dernier baiser. Je ramasse le débardeur et la jupe de Vanessa qui se rhabille. Je monte dans la voiture et m’en vais.
J’arrive chez moi, aussi déboussolé qu’heureux. Walter m’appelle. Je ne lui cache rien, ni le retour chez Vanessa, ni la prochaine fois. Je lui demande ce qu’il pense.— Tu as bien raison, elle est vraiment top au pieu.— Elle a bien envie de te revoir en tout cas.— C’est partagé. Je ne vais pas faire ma vie avec elle, mais actuellement, elle m’aère la tête. Elle est vive, drôle, passionnée, j’ai l’impression de rajeunir de dix ans !Je vais ensuite prendre une nouvelle douche et je mets mon téléphone sous silence. De toute façon, je ne répondrai à aucune des filles.
Lundi matin, je me rends au travail avec entrain. Ce week-end de folie m’a donné un coup de fouet. Comme chaque matin, je me rends au café vers 9h avec la plupart de mes collègues et j’apprends alors que mon boss sera absent quelques jours pour des raisons privées. Je ne peux pas m’empêcher d’y voir un lien avec l’absence de Jessica lors de la soirée chez Jennifer. J’espère juste que quelque chose de grave n’est pas arrivé.
En rentrant chez moi en fin de journée, je me rends compte que j’ai très envie de cette soirée avec Vanessa. Il est clair que je ne ne vais pas attendre trois semaines. Et puis si elle doit sortir avec Walter, le plus tôt sera le mieux. Je réfléchis. Vanessa avait bien ri lorsque j’avais décrit la tenue à Elise. Je décide d’y aller franchement. Et d’en profiter pour réaliser un vieux fantasme. Un autre.
Le lendemain, durant ma pause de midi, je me rends en ville, dans un sex-shop. J’y achète un ensemble en cuir composé d’une minijupe zippée au dos et d’un bustier court lacé entre les seins, auxquels j’adjoins un porte-jarretelles toujours en cuir et des bas résilles. Je trouve également des sandales noires, compensées. A la caisse, la vendeuse me fait remarquer que la jupe est très courte que qu’on verra le porte-jarretelles si ma partenaire le porte dessous. Je joue la naïveté :— On ne le verra qu’un peu, non ?— Cette jupe est très, très courte. On verra bien 10 centimètres de jarretelles.
J’en salive déjà. En fin de journée, j’emballe mes achats dans un carton. J’écris à Vanessa. — "salut. notre soirée aura lieu demain"— "trop heureuse! suis impatiente!"— "tenue, lieu et heure du rdv dans un paquet à ton nom chez mon concierge"— "troooop curieuse! je peux le prendre quand ?"— "dès 9h demain"J’ai volontairement indiqué une heure après son entrée en classe. Elle ne pourra venir qu’à midi.
Mercredi matin, je me rends au travail où j’apprends que le boss doit revenir le lendemain matin. La matinée passe très lentement, c’est affreux. Lorsque je reviens de ma pause de midi, j’ai trois messages de Vanessa :— "tu es fou !?! je vais pas mettre ça !"— "rdv ds 1 rue??!?"— "j vais vraiment passer pour 1 pute"C’est le but, ma grande, c’est le but. Mais je ne serai pas loin et je te surveillerai. Je ne réponds pas. Je repasse chez moi en fin de journée, prends une douche et change de costume.
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