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L'étalon aiguille

Chapitre 1

Tome 1 : L'objectif et la Fée Tiff'

Travesti / Trans
AVANT-PROPOS :

Bonjour.

Sam est de retour avec une nouvelle aventure…

"L’étalon aiguille" a beau être un pur produit de mon imagination, "toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n’est pas forcément fortuite".

Je tiens à remercier Ryoko qui a suggéré le point de départ "fantastique" de l’histoire ainsi que le rêve de Sam à la fin du Tome 2 et Bérengère qui est à l’origine de la dernière soirée de Sam avec Lydie dans le Tome 3.
Enfin, j’ai également une pensée particulière pour Phil et Domi sans qui ce récit n’aurait jamais vu le jour…

"L’étalon aiguille" est une histoire que j’ai scindé en trois tomes pour l’aérer un peu :
— Tome 1 : "L’objectif et la fée Tiff’" décrit la rencontre de Sam avec Tiffanny et son mari Philippe;
— Tome 2 : "La braguette magique" raconte comment Sam va vivre l’aventure la plus incroyable de sa vie;
— Tome 3 : "Les pleurs du mâle" explique comment Philippe et Tiffanny vont aider Sam à se sortir de sa situation improbable.

Le titre de chaque chapitre du récit est aussi celui d’une chanson; ce n’est pas un hasard, on pourrait presque dire que c’est un jeu.
À chaque fois, le titre ou les paroles de la chanson sont en rapport avec le contenu du chapitre.
Si cela vous tente, vous pouvez même prolonger la lecture en essayant de retrouver l’interprète de la chanson en question, voire de la découvrir (ou la redécouvrir) à l’aide de votre mémoire ou de votre moteur de recherche Internet préféré…
Et tiens, pourquoi ne pas en faire une sorte de concours par le biais des commentaires sur chaque chapitre?
Petite précision : vu que le Tome 1 est un flash-back, le premier chapitre du tome 2 a le même titre que celui du tome 1. Donc, pour le concours, il faudra trouver un deuxième interprète de la chanson…

Bonne lecture.

SAM

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L’ÉTALON AIGUILLE,Tome 1 : L’objectif et la Fée Tiff’

"One fine day…"

En m’éveillant ce matin-là, je me sentis de bonne humeur : on était samedi, je n’avais rien prévu de spécial pour la journée et un beau soleil d’automne pointait déjà à travers les rideaux de ma chambre.
Machinalement, je fis courir mes mains sur ma chemise de nuit. Tandis que la droite caressait ma poitrine dont les tétons commençaient à durcir, la gauche se posa sur mon genou puis glissa doucement pour remonter vers mon bas-ventre. Comme à chaque fois, je profitai avec bonheur de la sensualité de cette caresse sur ma peau. Au bout de quelques minutes, l’excitation aidant, je retroussai le satin noir pour pouvoir écarter largement mes cuisses et titiller mon anus avec mon majeur.
Je décidai finalement de me lever. J’enfilai le déshabillé assorti à la longue chemise de nuit et descendis à la cuisine prendre mon petit déjeuner. Tout en sirotant mon café, je me demandai ce que j’allais faire aujourd’hui : j’hésitais entre une séance de lèche-vitrines et une ballade en montagne.

C’est en remontant à la salle de bains que je me souvins avoir vu la veille à la boulangerie une affiche annonçant une bourse aux vêtements pas très loin de chez moi. Ma décision était prise, j’irai voir là-bas si je ne pouvais pas trouver un  "petit truc sympa" comme disent toujours les filles.
J’y avais fait un tour par hasard l’année précédente et j’avais eu un énorme coup de chance. J’avais en effet trouvé une paire de bottes en cuir dans un état irréprochable. La tige était constituée de bandes de cuir velours noires et bleues entrelacées, le pied et le sommet de la botte étaient en cuir noir.
En les essayant, j’avais pu constater qu’elles étaient tout à fait à ma taille. La marque d’un grand fabricant parisien (Adige, pour ne pas le nommer) était imprimée sur le haut de la doublure en peau, et bien que valant en magasin au bas mot deux mille francs, j’en fis l’acquisition pour moins de cent francs !
Il faut dire que cette manifestation se déroulait dans un quartier aisé et que les bénéfices étaient destinés à une association caritative. Du coup, on y trouvait aussi facilement des cuirs ou de la fourrure que des jeans ou des santiags !

Je repensai à tout cela en sortant de ma douche.
Je pris dans la commode un mini slip gris orné de dentelles et une paire de collants noirs. Je terminai de m’habiller en rabattant sur mon jean tube un pull beige à col en V enfilé à même la peau.
Restait à décider ce que j’allais mettre à mes pieds. J’avais très envie de chausser les bottes en question, mais je ne pouvais décidément pas. Le problème n’était pas de réussir à les glisser sous mon jean, il tenait en fait à la hauteur des talons aiguilles (huit centimètres). A regret, je les reposai.

Il est vrai que j’ai oublié de mentionner un petit détail : je m’appelle Sam, mais ce n’est hélas pas le diminutif de Samantha, je dispose de certains … attributs qui ne laissent aucun doute à ce sujet !
Je me suis constitué au fil des années une garde-robe féminine, mais elle est très restreinte (deux ensembles slips/soutien-gorge dont un avec porte-jarretelles, cinq petites culottes plus douces et sexy les unes que les autres, un top en tissu satiné rose, trois jupes en cuir et deux paires de bottes) et elle reste avant tout à usage "interne". Je veux dire par-là que si je peux mettre de la lingerie fine sous mon pantalon sans que personne ne s’en doute, je pense que peu de gens admettraient de me voir porter une jupe en public !
Malgré tout, l’envie de me "sentir femme" m’avait pris au ventre. Je rangeai donc dans la penderie les camarguaises que je venais de sortir et saisit une paire de bottes qui  "passaient mieux" : elles n’avaient que cinq centimètres de talon, mais elles étaient moins pointues et se remarquaient beaucoup moins que celles à talons aiguilles.

Et surtout, elles avaient une histoire, et quelle histoire ! C’étaient les premières bottes de femme dont je sois devenu propriétaire, même s’il m’était arrivé très souvent auparavant d’essayer les bottes de mes copines à leur insu, ou parfois, mais plus rarement, d’avoir pu en emprunter après leur avoir demandé…
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