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L'étalon aiguille

Chapitre 6

Tome 1 : L'objectif et la Fée Tiff'

Travesti / Trans
"Les  filles  du  Mercredi"

Philippe passa le portail au moment où Tiffanny mit la clef dans la serrure. Je poussai la porte et m’effaçai pour la laisser passer en lui disant :
— Ladies first…...— Alors, si c’est "Ladies first", s’il te plaît Sam, passe devant moi !
— Tu sais quel droit cela me donne si je rentre le premier?
— Ah c’est vrai, j’avais oublié ce détail ! Et bien tant pis pour moi, je prends le risque.

Lorsqu’il pénétra dans la pièce, j’étais en train d’ôter le long manteau de cuir. Il masqua encore plus en voyant sur moi le pantalon de sa femme, mais resta silencieux. Je me sentis soudainement mal à l’aise, et une fois de plus, c’est Tiffanny qui me sortit de l’embarras.
— Bon, Sam, tu y vas?
— Où ça?
— C’est lui qui a pénétré le premier à l’intérieur, Phil. Tu vois ce que je veux dire?
— Ah, OK ! Il a décidément tous les avantages, ce soir….
Je me rendis dans leur chambre et ouvris la penderie dans laquelle j’avais vu Tiffanny fouiller l’avant-veille. Je distinguai sans peine la partie dévolue aux habits de Philippe et celle réservée à son épouse. La grande armoire contenait des dizaines de tenues plus sexy les uns que les autres et j’eus du mal à faire un choix, surtout pour la maîtresse des lieux !
Je choisis pour Philippe une minijupe en cuir noire (toute droite et toute simple, mais néanmoins très sexy), des cuissardes à talons hauts de la même couleur et un top satiné sans manches vert clair. Après avoir longuement hésité, je décidai de faire porter à Tiffanny la tenue qu’elle m’avait choisie le lundi soir, à savoir le chemisier en soie blanc à jabot, la longue jupe évasée et les cuissardes rouges.
Je revins dans le salon pour leur dire qu’ils pouvaient passer se changer.
— Tiffanny, tes affaires sont dans ma chambre.
— Eh, Sam ! Tu me prives du plaisir de voir ma femme se déshabiller devant moi…
— Certes, mon ami, certes ! Mais ainsi, vos sens exacerbés par l’attente n’en apprécieront que plus intensément la surprise !
— Oh là, mon ami, tout doux ! Gardez vos beaux discours pour les autres… Dis plutôt que tu veux me frustrer, oui !
— Et toi, Sam, tu ne te changes pas?
— Tu ne me trouves pas assez sexy?
— Le bas, c’est OK, mais le haut, "ça ne le fait pas trop" comme tu dis. Enfin, on s’en contentera puisque c’est toi le maître de cérémonie ce soir….
Elle rit et me mit la main aux fesses au moment de quitter la pièce. Elle revint la première, alors que je finissais de préparer l’apéritif au salon.
— Putain, qu’est-ce que tu es belle !
— Merci, Sam, c’est gentil.

Elle s’approcha de moi et déposa une grosse bise sur ma joue. Je la saisis par les hanches et caressai son corps à travers la jupe de cuir. Je collai ensuite mon bassin contre le sien afin de lui faire sentir directement mon érection. Elle colla sa bouche contre mon oreille et me susurra :
— Cool, Sam ! La nuit nous appartient ….— Alors, qu’elle soit longue… elle aussi !

Je ris de ma propre plaisanterie.
— Au lieu de dire des bêtises, tu vas venir avec moi. Il faut que tu te remaquilles…."… Et que tu retrouves un peu plus de poitrine" ajouta t’elle en plaquant ses mains sur mon torse et en se collant dans mon dos.

Philippe finissait de cerner ses yeux au khôl dans la salle de bains.
— Je vous laisse la place, j’ai fini… Là… Voilà.
— Waôw ! Super fringues. … Non, sans déc’ !

Il parût surpris de ma réaction, mais elle était sincère. Sa jupe et ses cuissardes étaient vraiment de qualité, on voyait qu’elles avaient été achetées dans une "vraie" boutique et non pas dans un sex-shop….Tiffanny passa ensuite plusieurs minutes à m’appliquer délicatement sur le visage ombre à paupières, khôl et rouge à lèvres. Puis elle me demanda de la suivre dans sa chambre. Elle ouvrit le tiroir d’une petite commode et en sortit un soutien-gorge assorti au string que je portais depuis maintenant plus d’une heure.
— Tiens, enlève ton pull et passe-le. Et puis, tant que tu y es, rembourre-le avec ça.
— Merci.

À nouveau, elle se colla dans mon dos, faisant glisser dans un doux crissement le cuir de sa jupe contre celui de mon pantalon, puis laissant sa main droite traîner sur ma hanche, elle caressa ma fausse poitrine de la gauche. Emoustillé par le spectacle, Philippe quitta l’encadrement de la porte où il stationnait pour venir peloter sa femme. La soirée commençait bien !
Lorsque Tiffanny se dégagea sans nous avoir prévenus, il se retrouva en perte d’équilibre et s’accrocha instinctivement à mes épaules pour ne pas trébucher. Elle fût manifestement ravie de la situation et son rire clair emplit la pièce. Alors que j’allais renfiler le pull, elle me le prit des mains et me donna à la place un blouson sans col et très court, en cuir noir lui aussi. Elle remonta elle-même la fine fermeture éclair en l’arrêtant juste en dessous des seins.
— Alors, cet apéro, c’est pour quand?
— Tout de suite, ma belle, j’ai fini de le préparer pendant que tu maquillais notre petite Sam.

Pendant que nous sirotions nos cocktails, Tiffanny brancha Philippe.
— Allez, Phil, dis-moi ce qui te travaille.
— Rien.
— Arrête, je te connais, tu as quelque chose sur le cœur, alors dis-le !
— …
— C’est quoi? Tu es jaloux, c’est ça !
— Non, il n’y a rien, je te dis….— Phil, je te connais ! Attends, on en avait parlé, non? On était d’accord….— Oui, mais… Et puis d’abord, comment ça se fait que le pantalon que tu portais ce matin se retrouve ce soir sur les fesses de Sam? Tu vas me faire croire que vous êtes allés dans les toilettes des filles et que vous avez échangé vos habits par-dessus la porte des chiottes, peut-être, hein?
— Non. Il est venu dans mon bureau et il m’a prise là, sur le bureau après m’avoir fait jouir en léchant mon pantalon et en me caressant. Et il m’a prise à mon propre piège en me disant que ce soir, il ne se contenterait pas de mes bottes comme la veille, et qu’il porterait TOUS mes vêtements. Voilà.
— Philippe, je, euh…...— Non, non, Sam. Tu n’as pas besoin de t’excuser ou quoi que ce soit… Ça fait partie de nos règles, et Tiff’ est toujours aussi directe que ça avec moi. C’est parfois un peu dur à avaler, mais, là, c’est mon tour, un autre jour, ce sera le sien, donc… Bon, c’est comme ça  c’est tout !
— A propos d’avaler, on passe à table, les filles?

Nous avalâmes le repas assez rapidement, car manifestement, après cette discussion, tout le monde n’attendait que de passer aux choses sérieuses.
— Vous savez quoi, les gars? Pendant que je nous sers le café, j’aimerais assez que vous corrigiez chacun un petit truc dans votre tenue. Je ne sais pas si tu as vu, Sam, mais j’ai exactement la même jupe et les mêmes cuissardes que Philippe, et ça me plairait vraiment beaucoup de vous voir habillés toutes les deux exactement pareil. Mettez un chemisier rouge, on en a chacun un, OK Phil?
— OK. Allez, viens avec moi ma poule, on va faire plaisir à la miss !

Quand nous revînmes dans le salon, une lueur gourmande passa dans les yeux de Tiffanny. Elle avala rapidement son café et s’agenouilla au pied du canapé, puis elle commença à lécher lascivement nos cuissardes à tour de rôle. En même temps, ses mains s’aventuraient de plus en plus haut, passant bientôt carrément sous nos minijupes.
Elle nous fit alors nous lever face à face. Elle embrassa d’abord le phallus de Philippe à travers le cuir, puis retroussa la jupe, écarta sa petite culotte et le prit en bouche. Elle se recula et commença à le branler très lentement, pendant que sa bouche vint se poser sur ma jupe à moi. Quand ses lèvres entrèrent en contact avec mon string, elle s’écria, faussement outrée :
— Ma parole, Sam ! Je n’en crois pas mes narines ! Quand est-ce que tu as joui ?

Interloqué, Philippe scruta le polyamide à la recherche de traces de sperme, avant de réaliser que Tiffanny ne voulait que l’exciter encore plus en lui avouant à nouveau, mais de manière indirecte, le plaisir que je lui avais procuré au bureau. Sa main reprit son lent va et vient sur le sexe de son mari pendant qu’elle me suçait à mon tour. Elle tira alors Philippe pour le rapprocher de moi, jusqu’à ce que le bout de nos deux verges se  touche et nous gratifia d’une fellation … "en stéréo" !
Elle tenait le phallus de Philippe dans sa main droite et la gauche enserrait le mien. Sa bouche allait de l’un à l’autre, sauf quand elle suçait les deux en même temps.
A ce petit jeu, Philippe, qui n’avait pas eu une fin d’après-midi aussi … "intense" que la mienne, atteint le premier le point de non-retour. Tiffanny engloutit alors autant qu’elle le put sa queue grossie par le désir tout en continuant néanmoins à me masturber à la main. A en juger par les mouvements de ses joues et de sa glotte, Philippe dut lui envoyer de sacrées rasades lorsqu’il se vida dans sa bouche !
Elle me lâcha pour se relever et l’embrasser goulûment afin de lui faire partager les dernières gouttes de foutre qu’elle n’avait pas avalées. Je me plaçai alors dans son dos, retroussai sa longue jupe et fit glisser ma verge contre la petite culotte noire et grise tout le long de sa raie fessière. En même temps, je remontai petit à petit le zip qui fermait sa jupe sur le devant.
Constatant qu’elle mouillait sérieusement, j’attendis que Philippe cesse de l’embrasser pour la faire s’allonger sur le canapé. J’embrassai la pointe de ses cuissardes et entrepris de remonter ainsi méthodiquement jusqu’à son pubis. J’avais complètement défait la fermeture éclair de sa jupe qui ne tenait plus maintenant sur elle que grâce à la ceinture. Pendant les quelques minutes que dura ma série de baisers sur ses jambes, Philippe s’était installé à la tête du canapé et avait dégrafé aux trois quarts le chemisier à jabot, dénudant sa poitrine (toujours sans soutif) qu’il caressait à pleines mains et à pleine bouche.
Je fis ensuite glisser sa petite culotte et me mis à fouiller sa toison avec ma langue. Je sentais dans ma bouche le goût un peu acide de son plaisir.
Je m’agenouillai sur le canapé à l’autre bout et positionnai mes mains sous ses mollets, soulevant très légèrement ses chevilles. J’avançai un peu mon bassin vers le sien et, pour ce faire, écartai et soulevai ses jambes au niveau des genoux. Je me rapprochai ensuite un peu plus d’elle en refaisant la même manœuvre, tant et si bien que je finis entre ses jambes, mes mains sous ses cuisses. Quand elle replia son genou droit pour s’ouvrir encore un peu plus, je positionnai mon gland au bord de ses grandes lèvres, et d’une légère poussée, m’introduisis facilement en elle. Je me mis à aller et venir en la tenant par les hanches, puis mes mains allèrent vers l’arrière caresser le cuir de ses cuissardes. Ma position me donnait une vue plongeante sur sa chatte et me permettait de voir distinctement ma queue entrer et sortir de son ventre. Je voyais également le haut de ses bottes dont le cuir rouge ressortait nettement sur la doublure noire et cela m’excitait profondément. Tout en haletant sous mes coups de boutoir, elle se mit à sucer Philippe pour réactiver son érection. Je ne pus me retenir plus longtemps et explosai en elle. Je continuai un peu mes mouvements, jusqu’à ce que Philippe bande à nouveau complètement. Je me retirai et il prit ma place. Elle releva ses jambes et les posa sur ses épaules, puis elle retourna la tête et nettoya mon sexe avec sa langue.
Quand elle m’eut rendu ma liberté de mouvement, je finis de déboutonner son chemisier et entrepris de mordiller ses tétons afin de maintenir son excitation au plus haut. En même temps, ma main agaçait son clitoris gonflé.
Elle atteint à nouveau l’orgasme avant même que Philippe n’ait éjaculé et remonta au ciel quelques instants plus tard quand il jouit à son tour. Il se retira d’elle et entama un long cunnilingus tandis que ma bouche à moi revint se coller à ses lèvres. Il posa ses deux mains sur ses seins et la caressa. Ne voulant pas être en reste, je glissai ma main sous sa jupe et lui titillait l’anus. Elle était complètement trempée, et mon doigt put s’introduire en elle. Ma langue enfoncée dans sa bouche étouffait ses cris de plaisir.

Lorsque nous la délivrâmes de notre emprise, elle resta pantelante. Philippe planta ses yeux clairs dans les miens et me demanda :
— Alors, elle n’est pas belle quand elle est comme ça?
— Si tu me permets d’être franc avec toi, je vais te dire, il n’y a pas que comme ça qu’elle est belle. Tu as une femme merveilleuse, Philippe : elle est sexy, elle a une classe d’enfer et en plus, elle fait très bien l’amour !
— Je te permets, Sam, je te permets.

Nous avions tous trois besoin de reprendre des forces et nous fîmes une courte pause en buvant un nouveau café. Philippe s’agenouilla aux pieds de Tiffanny et lui demanda :
— Chérie, je voudrais te demander une grande faveur.
— Vas-y.
— Bien, voilà, je voudrais réaliser un de mes fantasmes, mais j’ai besoin de vous deux…
— Waôw ! Je crains le pire, là… C’est quoi?
— Eh bien, je voudrais qu’on te fasse une double pénétration Sam et moi.
— Tu as vu trop de films pornos, chéri, c’est plus de l’amour, ça, c’est de la gymnastique !
— Peut-être, oui, mais je voudrais essayer, tu veux bien?
— Je veux bien, enfin, je sais pas… Tu comptes faire comment?
— Ben, tu te couches sur Sam, et moi, au bout du canapé, je m’agenouille et je te prends par derrière.
— C’est bien ce que je craignais… Phil, je … Non, ça ne pourra pas aller comme ça, elle est trop grosse pour que je la prenne dans le cul si j’ai déjà Sam qui me prend par devant. La sienne est aussi longue, mais plus fine, je préférerais faire l’inverse.
— Bon, OK, comme tu veux. Merci d’accepter. Et toi, Sam, tu es d’accord?
— Oh oui !
— Mais tu feras doucement, hein, tu me jures? J’ai quand même un peu peur…
— Ne t’inquiète pas, Tiff, on va s’y mettre tous les deux pour te préparer, et je te promets que je serai très doux.

Pour lui montrer sa gratitude, Philippe se pencha en avant et lui embrassa le sexe. Il défit ensuite le ceinturon qui attachait encore sa magnifique jupe et je mis à profit le mouvement qu’elle fit pour m’asseoir derrière elle et lui enlever son chemisier. J’avais du retrousser ma minijupe pour pouvoir rester là, collé contre son dos, les jambes largement écartées. Tandis que Philippe lui léchait les cuissardes, je me remis à malaxer ses seins hauts plantés. En embrassant son épaule, je constatai que la main de Philippe avait commencé la "mise en condition" de notre partenaire. Cela ne tarda pas à porter ses fruits et elle se cambra en poussant un long gémissement de plaisir. J’en profitai pour soulager mes abducteurs et la fit se rasseoir sur moi en m’excusant auprès de Philippe qui retira sa main. Il se mit alors à sucer ses doigts avec gourmandise en regardant Tiffanny droit dans les yeux. De sa main libre, il retroussa sa minijupe, sortit son phallus de son slip satiné et se caressa lascivement. Sans cesser ses mouvements, il lui fit remarquer :
— Tiens, tu as vu? Toi aussi, tu as une queue maintenant ! Tu veux faire comme moi?

Effectivement, le bout de mon gland émergeait de la toison pubienne de la jeune femme. Elle reprit son souffle et regarda son ventre, puis sourit, amusée. Sa main l’enserra et elle calqua ses va et vient de la main sur ceux de son mari. Je me mis alors à faire jouer entre mes doigts la pointe de ses deux seins sur le même rythme en mordillant sa nuque.
Philippe lui demanda ensuite de se mettre à quatre pattes sur la banquette afin que je puisse commencer à préparer son petit trou pendant qu’il allait chercher un tube de gel lubrifiant. Je ne me fis pas prier et activai ma langue avec application autour de son anus. De temps en temps, ma bouche remontait au sommet de sa raie fessière. J’introduisais alors doucement, mais avec de plus en plus d’insistance, mon majeur dans son fondement. Je bénissais la souplesse de nos trois paires de bottes qui nous permettaient tous ces mouvements sans nous faire souffrir ni nous gêner.
Lorsque Philippe revint me demander la place, je la lui cédai et me déplaçai à la tête du canapé. Je caressai le visage de Tiffanny et l’embrassai avec tendresse en lui répétant de me faire confiance et de continuer à se détendre.
Elle poussa soudain un long hululement de jouissance : Philippe avait complètement introduit son doigt en elle et il le faisait aller et venir rapidement. Elle poussa vivement sur ses bras pour se redresser, mais la main de Philippe suivit son mouvement. Je m’agenouillai juste devant elle et elle se laissa retomber sur ma poitrine. Pendant que je caressai sa nuque de la main, elle enfonça sa langue dans ma bouche. Ma queue entra en contact avec la main de Philippe, car Tiffanny s’était complètement collée à moi.
— Je crois que tu es prête ma chérie. Viens, n’aies pas peur…

Il ressortit doucement son doigt, la fit se retourner et la prit dans ses bras pour la faire s’allonger sur son ventre en même temps que lui. Il la serrait fort contre son corps, couvrait son cou de baisers et ses mains semblaient vissées sur les épaules bronzées de la jeune femme.
J’admirais sa chute de reins, ses fesses luisantes de sueur, ses longues jambes légèrement écartées et gainées "jusques en haut des cuisses" comme disait si bien Gainsbourg. Elle était vraiment très belle, abandonnée ainsi sur lui afin de récupérer du violent orgasme qu’elle venait de vivre.

Voyant qu’ils restaient enlacés sans bouger ni l’un ni l’autre, je me décidai à écarter avec deux doigts les grandes lèvres de Tiffanny tandis que de l’autre main, je pris le sexe de Philippe et l’alignai sur l’ouverture ainsi mise à jour. Lorsqu’il s’introduisit en elle, je lâchai sa queue et, tout en caressant de ma main droite le pubis de Tiffanny, je me masturbai de la gauche.
Serrant toujours sa femme dans ses bras, il se contorsionna afin de se rapprocher de l’extrémité du canapé. En m’appuyant moi-même sur le bout de la banquette, je pus vérifier qu’il m’était possible de pointer mon gland sur l’anus de Tiffanny. Lorsqu’elle le sentit, elle poussa un petit cri apeuré.
— Attends, n’aies pas peur, c’est juste un essai de positionnement. Je veux vérifier qu’on ne va pas se casser la gueule tous les trois!
— Fais attention, Sam, je t’en prie, fais très attention.
— Ne crains rien, je vais faire ce qu’il faut pour faciliter la pénétration, tu n’auras pas mal, je te promets.

J’enduisis le bout de ma verge avec du gel et la positionnai sur sa petite rondelle rose foncée après avoir écarté ses fesses avec mes mains. Elle bloqua sa respiration. J’entamai alors un mouvement circulaire du bassin qui, l’action lubrifiante du gel aidant, me permit de lui dilater un peu les sphincters.
— Bouge sur Philippe, Tiffanny, bouge et ne t’occupe pas de moi. Tu vas voir…

Elle continua à pousser de faibles gémissements, mais s’exécuta, docile. Chaque fois qu’elle décollait son bassin du ventre de Philippe, mon sexe faisait son trou en elle, si j’ose dire.
Au bout de deux minutes, ce fut à mon tour de ne pouvoir retenir un cri d’extase lorsque mon gland tout entier entra en elle. Bien qu’en équilibre un peu précaire, je la saisis par les hanches. J’accompagnais maintenant chacun de ses mouvements d’une nouvelle pression, et centimètre par centimètre, la sodomisais de plus en plus profondément.
Bientôt, elle fut pénétrée à fond par nos deux phallus et se retrouva bloquée entre nous deux. Elle se pâmait tellement qu’elle avait du mal à respirer, et elle se mit à crier sa jouissance de manière désordonnée lorsque Philippe et moi recommençâmes à la limer doucement. L’atmosphère était chauffée à blanc et la pièce était emplie de nos cris à tous les trois. Nous explosâmes finalement en elle à peu près en même temps.
— Je ne sais pas pour toi, Sam, mais je débande déjà ! Merde…
— Non seulement je crois que ça tient encore, mais je ne veux pas m’arrêter là. Je veux continuer. Oh oui, Tiff’, je veux recommencer.

Décidément doué pour les acrobaties, Philippe se retira d’elle et réussit à se dégager sans briser notre étreinte. Nous la fîmes alors mettre à quatre pattes, moi la tirant par les hanches, et lui l’aidant à pousser sur ses bras.
Dès qu’elle fut en position, je recommençai à la pistonner. Je crois que j’avais rarement vécu une telle excitation. Mes soupirs et les "Oui" sonores que je laissais échapper répondaient comme un écho à ceux de Tiffanny. Profitant largement de l’espace laissé libre par le "départ" de Philippe, mon sexe glissait sans résistance et elle semblait accepter beaucoup mieux ce qui devenait de véritables coups de boutoir. Il enleva les cuissardes, la minijupe et le chemisier qui lui collaient à la peau et se laissa tomber dans un fauteuil face à nous pour profiter du spectacle.
Après un passage à vide d’une petite minute, mon érection redevint sans faille et à ma grande surprise, je réussis même à éjaculer une deuxième fois au creux de ses reins avant de m’écrouler sur elle, anéanti par la vague de plaisir qui venait de nous submerger à nouveau elle et moi !
Emoustillé par ce qu’il venait de voir et d’entendre, Philippe aussi retrouvait un peu de vigueur, mais à son grand dam, pas suffisamment pour réussir à la sodomiser à son tour.
— Ne regrette rien, mon amour, de toutes façons, même si toi tu avais pu, je ne sais pas si moi, j’aurais pu tenir le coup une nouvelle fois ! Je te jure, je n’en peux plus de plaisir.
— Alors, finalement, mon idée n’était pas si mauvaise que ça?
— Moi, j’ai trouvé quand même que c’était limite, tu sais. C’est surtout que je ne voulais pas lui faire mal, tu vois. Enfin,  on sait maintenant que si on se retrouve au chômage, on pourra toujours se faire engager tous les trois dans un cirque !
— Ouh là, pas si vite, Sam. Moi, c’est comme dans la pub, tu sais, "je f’rais pas ça tous les jours" ! C’est pas franchement naturel d’avoir deux sexes dans le ventre, on n’est pas faites pour ça, y a pas assez de place à l’intérieur du ventre d’une femme !
— Mais toi, tu n’es pas une femme ordinaire. Tu te rends compte de ce que tu as réussi à me faire faire? Jamais je n’avais éjaculé deux fois comme ça sans débander ! Merci. C’était grand, vraiment grand !
— Merci à toi aussi, Sam. Oh, et tu sais quoi? Je n’ai pas eu mal du tout. C’est vrai que j’ai aimé ce que tu m’as fait, oui, j’ai aimé… Beaucoup…
— Et moi, alors? Merde, décidément, tu n’en as plus que pour Sam !
— Ne sois pas jaloux, chéri. C’est juste que toi, j’ai l’habitude que tu me fasses merveilleusement l’amour. Finalement, je suis contente d’avoir pu te faire réaliser ton fantasme, car tu l’as réalisé, hein?
— Oui, et j’ai pris un pied d’enfer, même si j’aurais bien aimé t’enculer moi aussi.

Vers minuit, épuisés tous les trois, nous allâmes dormir ensemble dans le grand lit après avoir pris rapidement une douche…...
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