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L'étalon aiguille (Tome 3)

Chapitre 4

Les pleurs du mâle

Travesti / Trans
"Sea, sex and sun"

C’est sur une chanson du groupe antillais Malavoi que Patrice me parla de son job. Il était photographe et travaillait en free-lance dans le milieu de la mode. C’est par ce biais qu’il avait fait la connaissance de Chantal (et de sa boutique) un an auparavant. Il ajouta, presque comme un aveu, que quand les contrats n’étaient pas au rendez-vous, il faisait des piges pour des soirées en boite de nuit, "genre élection de Miss Parfum, soirée d’inauguration d’une boutique ou même concours de T-shirts mouillés", et que comme cette facette là ne lui plaisait pas trop, il avait l’intention de monter (avec l’aide de Tiffanny, "enfin, si elle voulait bien lui donner un coup de main") un site Internet de photos "un peu sexy mais absolument pas vulgaire".Tout en continuant à danser, il me proposa "de nous revoir pour faire des photos de moi, au bord de la piscine, par exemple".— C’est flatteur, mais je ne suis pas un top model !— Je ne te parle pas d’en faire ton métier, Sam, mais ça serait juste une bonne occasion de se revoir.— Tu veux dire une bonne occasion de me voir à moitié à poil !— C’est vrai que, vu comment t’es gaulée, ça ne me déplairait pas de te voir… moins habillée ! Je suis sûr par exemple que c’est à toi je donnerai le premier prix dans un concours de T-shirts mouillés… Ou bien que je t’élirai Miss Parfum de l’année !— Désolée, mon vieux, mais je n’ai pas envie de me déshabiller, ni sur le Net, ni au bord de la piscine.
Son comportement changea soudain du tout au tout et sa voix se durcit.— Me fais pas ce numéro là, hein, Sainte Nitouche de mon cul ! Si tu crois que je n’ai pas vu comment tu dansais avec Philippe tout à l’heure ! Alors pourquoi lui et pas moi, hein? En plus, il est marié, lui, et sa femme est là, en plus ! Moi, je suis célibataire, je ne trompe personne !— Patrice, je crois que tu as un peu trop bu…— C’est ça, c’est ça ! Tiens, je l’aurai quand même mon concours de T-shirt mouillé. Salope, va !
Avant que je n’aie le temps de réaliser ce qui se passait, il me poussa dans la piscine. Je fus aussitôt saisie par la froideur de l’eau. Il faut dire que je suis incapable de me baigner si l’eau n’avoisine pas les trente degrés ! J’avais le souffle coupé, ma robe serrée et mes bottes gorgées d’eau me gênaient pour nager, mais je réussis quand même à rejoindre les marches pour sortir de ce bain imprévu. Dégoulinante, tremblante de fureur autant que de froid, je me dirigeai vers Patrice, dézippai ma robe et la lui jetai à la figure. J’exhibais mes seins dont les tétons avaient été durcis par le froid.— C’est ça que tu voulais voir, connard? Alors regarde bien, parce que je te jure que c’est la première, mais bien la dernière fois que tu me vois !
Philippe accourut et m’entraîna quelques pas plus loin. Puis il posa sa veste sur mes épaules et m’aida à m’asseoir afin que je me déchausse. Chantal qui arrivait à ce moment précis me tendit une serviette et saisit mes bottes.— Tiens, essore tes cheveux et essuie-toi un peu. Et explique-moi, j’ai pas compris ce qui s’est passé, là.— Oh trois fois rien ! Patrice a juste pété un câble et poussé Sam dans la piscine !— Non mais ça va pas ! Qu’est-ce qui lui a pris? — Je sais pas, mais, en tous cas, il devient vraiment grave en ce moment !— Je crois qu’il est surtout un peu bourré et que ça ne lui a pas plu que je refuse sa proposition de faire des photos de charme.
— D’accord, je vois un peu mieux ! Allez, Sam, tu grelottes ! Viens avec moi te changer. Dès qu’on aura fini, je reviens lui dire un mot.— Ça sera pas la peine, parce que moi, je vais lui en dire deux tout de suite : "casse-toi" !

Drapée dans ce qui me restait de dignité et dans la veste de Phil, j’embrassai Philippe en le remerciant et suivis Chantal dans la salle de bains. Après avoir posé mes bottes dans la baignoire, elle me retira la veste et l’accrocha sur la patère derrière la porte, puis saisit un grand drap de bain et le posa délicatement sur mes épaules.— Pour tes bottes, mouillées pour mouillées, je préfère carrément les rincer à l’eau douce. Je ne voudrais pas que le chlore contenu dans la piscine laisse une marque, ça serait trop dommage !— Merci Chantal…— Je t’en prie, c’est normal… Tiens, prends ça. Pendant que tu te sèches les cheveux, moi, je vais t’essuyer, tu veux bien?
Elle commença par me frictionner le dos, puis elle s’interrompit et, le plus naturellement du monde,  s’agenouilla pour m’enlever ma petite culotte. Un peu surprise, je marquai un temps d’arrêt, mais elle me dit simplement "de me détendre". Elle reprit alors la serviette et le frottement de celle-ci sur ma peau tourna bientôt à la caresse. Quand elle frôla ma poitrine, j’arrêtai le sèche-cheveux. Quand elle insista longuement entre les deux globes de mes fesses, je le posai sur la tablette. Quand elle s’attarda plus que de raison sur ma toison pubienne, je poussai un gémissement de plaisir…A brûle-pourpoint, elle me susurra à l’oreille :— Tu as déjà couché avec Tiffanny?
Je marquai un temps d’hésitation, avant de lui répondre par l’affirmative.— Je m’en doutais… Et vous étiez juste toutes les deux, ou Phil était là?— Les deux.— Et il regardait juste ou il participait aussi?— Les deux…
Son regard s’assombrit un instant. Elle murmura "Je vois…" et m’entraîna dans sa chambre pour me prêter des vêtements secs. Elle me tendit une petite culotte en polyamide noire toute simple, ainsi qu’un ensemble identique à celui qu’elle portait, mais en daim et non en cuir. Il se composait d’une minijupe très courte et très moulante, associée à un soutien-gorge bustier qui s’attachait entre les seins par une courte fermeture éclair. — Apparemment, tu as les mêmes mensurations que Tiffanny, donc mes sapes t’iront aussi bien qu’à elle. Oh, tiens, je sais ! Je vais te passer mes bottes "shar-pei" ! Je te parie que quand il va voir ça, Phil va tomber raide dingue !!!— C’est quoi, "des bottes shar-pei"? Des bottes réservées aux chiennes?— Ah, ah ! Elle est bonne, celle-là, je la ressortirai ! Non, tu vas tout de suite comprendre pourquoi je les appelle comme ça quand tu les verras… Tiens…
Pendant que je m’habillais, elle fouilla dans un placard et en sortit une paire de cuissardes noires à talons lames hauts (9 centimètres au bas mot) et très fins. Le qualificatif à connotation canine venait de l’effet plissé du cuir sur toute la hauteur de la tige.Si les bottes étaient parfaitement à ma taille, le top était un peu grand car Chantal avait plus de poitrine que moi. Quand je lui en fis la remarque, elle posa sa main dessus et fit rouler la pointe de mes seins entre ses doigts, puis elle m’expliqua en riant qu’elle voulait ainsi "me gonfler les lolos". Elle s’arrêta soudain et posa son autre main contre ma joue tout me fixant intensément du regard. Devinant ce qu’elle hésitait à faire, j’approchai lentement ma bouche de la sienne et nous échangeâmes un baiser langoureux.

Quand nous rejoignîmes la fête, Philippe et Tiffanny étaient en pleine discussion avec Coralie et Michel. Tiffanny les abandonna et vint vers nous. Elle nous expliqua que Catherine et Lionel avaient décidé de ramener Patrice chez lui (sans le laisser conduire toutefois) et qu’ils s’excusaient de ce départ précipité. Brigitte et Serge avaient attendu le retour de la "maîtresse de maison" mais s’en allaient eux aussi. Seuls sur la piste, Jean-Luc et Pascal dansaient un slow, accompagnés par Aurélie et Viviane à deux mètres d’eux.Nous rejoignîmes Coralie et les deux garçons qui discutaient toujours. Elle n’arrivait pas à admettre ce que son mari avait fait.— Non franchement, vous pouvez dire tout ce que vous voulez, vous ne me ferez pas changer d’avis. Moi, je trouve ça anormal, malsain même, oui, c’est ça, malsain qu’un mec profite de l’absence de sa femme pour s’habiller en nana et se masturber. En plus, je trouve ça très dégradant pour moi : c’est quand même moi la "vraie" femme dans le couple, non?
Elle finit par dire à Chantal qu’elle était crevée, la remercia elle, pour son invitation et Phil et Tiff’ pour leur attention. Après nous avoir embrassé tous les quatre, ils allèrent saluer les deux couples qui dansaient toujours et s’en allèrent.

Chantal nous proposa d’aller les rejoindre sur la piste et nous prolongeâmes ainsi un peu la soirée. C’est avec un plaisir accentué par le fait qu’elle se montra très sensible à ma nouvelle tenue que je me retrouvai dans les bras de ma belle anglaise. Je n’avais qu’une envie, rentrer et faire l’amour avec Philippe et Tiffanny. C’est pourquoi j’entendis avec plaisir les deux autres couples annoncer leur intention de rejoindre leurs pénates. A en juger par les caresses de moins en moins retenues qu’ils échangeaient, ils étaient tenaillés par le même désir animal. Peut-être une solution aurait-elle été de faire évoluer la soirée en partouze, mais cette option ne semblait pas être à l’ordre du jour !Arrivés devant nos voitures, nous échangeâmes de grosses bises. Nous étions prêts à nous installer dans la nôtre quand Chantal s’adressa à nous après avoir hésité un long moment.— Eh ! Vous auriez deux minutes avant de partir? J’aurais voulu montrer un truc à Phil…— Ah que quoi ça c’est?— Vous voulez bien ? Alors, venez avec moi dans la chambre, c’est là-bas.
Nous pénétrâmes à nouveau tous les quatre dans la maison. Chantal semblait nerveuse…— Dis, Phil, tu chausses bien du 43?— Oui, pourquoi ?— Bon, et bien voilà… Tu sais qu’il n’y a pas qu’aux femmes que je vends des pompes ou des sapes?— Je crois qu’effectivement, Tiff et moi sommes bien placés pour le savoir… Et alors?— Et bien, un mec est venu au magasin il y a deux mois maintenant et m’a commandé des bottes. Il m’a filé les arrhes que je lui demandais, moi, je les ai reçu un peu après, mais il n’est jamais repassé. Quand j’ai enfin réussi à le contacter, il m’a dit qu’il ne "pouvait" plus les acheter, que je n’avais qu’à garder le fric mais qu’il ne fallait surtout pas que je rappelle sur son portable, qu’il comptait sur ma discrétion et tout et tout ! Encore un petit cachottier !!! Bref, ne crois surtout pas que je veuille te forcer la main, mais j’ai pensé que, peut-être…
Les yeux brillants de Philippe firent tomber son inquiétude. Rassérénée, elle sortit alors d’une grande boite cartonnée une paire de cuissardes absolument époustouflantes. Le pied, effilé, était en cuir noir, mais le corps de la botte lui-même surmontait des talons aiguilles de dix centimètres et était intégralement recouvert de fourrure à partir de la cheville. Un fin et long lacet de cuir, noir lui aussi, était prévu pour venir s’enrouler et s’attacher autour du mollet comme sur une spartiate.— Le seul hic, c’est que c’est du 42. Et malheureusement pour toi, pour une fois, ce n’est pas de la botte italienne, donc ça risque d’être juste pour toi ! Tu veux les essayer quand même?— Tu oses le demander? Putain, mais même si il faut que je me coupe les doigts de pied, je veux les essayer, ces merveilles… Et je te promets que je vais rentrer dedans !
Philippe ôta fébrilement ses cuissardes à talons plats et déboutonna son jean en cuir. Pendant ce temps, Chantal s’approcha de moi et passa son bras droit autour de ma taille. Il posa le pantalon sur une chaise et se saisit de la botte gauche tandis qu’elle posait sa main sur mon sein.Assis sur le rebord du lit, il dut forcer un peu pour que le coup de pied passe. Tiffanny se colla derrière Chantal et, du bout des doigts, elle attira son visage vers elle. Philippe passa le deuxième pied au moment où elle collait ses lèvres contre celles de Tiff’. Pendant qu’il enroulait le lacet de cuir autour de son mollet, sa main à elle jouait avec ma poitrine. Quand il se releva quelques instants plus tard, épanoui, la langue tendue de Chantal fouillait ma bouche tandis que Tiffanny lui mordillait l’oreille et lui léchait le cou.— Ça va? Je vous dérange pas trop, non? Vous pourriez quand même vous occuper un peu de moi !— Te fâche pas ! Bon, alors, dis-moi, comment tu te sens dedans? Je les ai amenées pour toi en me disant que une pointure, c’est jouable, mais bon, c’est toi qui vois, hein !— C’est vrai que je suis un peu serré dedans, mais c’est trop bon ! Putain, qu’est-ce qu’elles en jettent !— Tu l’as dit, mon amour ! Hein, Sam, qu’est ce que t’en dis, toi?— Y a pas photo, je suis d’accord avec vous : elles sont vraiment belles. Je veux les mêmes.— Par contre, je sais pas ce que vous en pensez, les filles, mais sa chemise, ça ne le fait pas trop avec.
A peine Chantal avait-elle terminé sa phrase, qu’elle se détacha de nous et commença à le déshabiller le plus naturellement du monde. Je constatai que son slip ne masquait qu’à peine l’excitation de Philippe. Tiffanny lui en fit la remarque.— Dis-moi, mon chéri, c’est notre petit spectacle ou tes nouvelles cuissardes qui te mettent dans cet état? Je dis " nouvelles - car je suis prête à parier que tu vas vouloir les prendre, hein?— Si tu les veux, je te les laisse pour trois fois rien. … Waôw ! C’est vrai que ça semble prometteur, ça.
Chantal avait reculé d’un pas et matait sans aucune retenue la déformation en question.— Oh, mais ça non plus, ça ne le fait pas. Enlève ton slip, Phil, tu vas voir, j’ai ce qu’il faut.
Elle fouilla un court instant dans la commode et en ressortit une culotte fendue en dentelle noire qu’elle lui tendit. Il hésita un instant, regarda sa femme droit dans les yeux et se décida brutalement. Nu comme un ver, le sexe fièrement dressé, il s’approcha de Chantal et enfila la culotte en prenant appui de l’épaule contre le mur. Je la vis avaler avec difficulté sa salive : manifestement, elle ne pensait pas que Philippe aurait osé. Elle tenta un baroud d’honneur.— J’aurais vraiment aimé te voir dans une jupe bien sexy, histoire que tu fasses femme jusqu’au bout, mais tu ne pourras jamais rentrer dans les miennes. Oh attends ! … Sauf peut-être dans celle-là…
Elle replongea dans la penderie et en sortit une mini à volant en tissu multicolore.— Regarde, c’est juste un élastique à la taille, ça va peut-être aller. Tu veux bien, dis?— Ma parole, ma vieille, on croirait que tu ne le connais pas ! Il a l’habitude de s’habiller comme ça à la maison, pourquoi veux-tu qu’il n’ose pas le faire ici?— Et puis attends, ça fait quand même un bail que je t’achète des fringues ou des cuissardes ! Je veux dire à ma taille à moi, pas que pour Tiff’.— Mais… Tu ne l’as jamais fait devant moi ! Tu trouves pas ça gênant?— Et bien, ce soir, je l’aurai fait devant toi ! Et puis tu sais, de mon coté, avant ce soir, je ne t’avais jamais vu non plus caresser une femme ou l’embrasser sur la bouche…— Ding ! Un partout, balle au centre et on recommence… Oh oui, tiens, après tout, ça pourrait devenir la soirée des premières. Ça vous dit?— Qu’est-ce que tu entends par là, Tiff’?— "La même chose que toi", dirait Sam ! Non, je veux juste dire qu’on pourrait commencer par trouver un soutif pour Marie-Thérèse, et puis qu’on pourrait passer au salon et recommencer à s’amuser, toi, Sam et moi.— Mais… Et… Marie-Thérèse?— Elle nous regardera bien sagement, n’est-ce pas? Allez, venez.
Nous quittâmes donc tous les quatre la chambre. Philippe s’assit dans un fauteuil face au canapé. Tiffanny se plaça à gauche de Chantal et me demanda de me mettre de l’autre coté et "de faire tout exactement comme elle". Elle fit glisser le zip qui fermait le bustier de son amie et libéra sa poitrine. Elle la caressa un instant en faisant rouler le cuir sur le coté de son sein. Je fis pareil sur l’autre. Quand nous commençâmes à en lécher les extrémités, celles-ci durcirent instantanément. Chantal renversa la tête en arrière et exhala un long soupir. Elle retroussa alors elle-même sa minijupe et son majeur s’activa doucement, provoquant une réaction immédiate de Philippe qui avait une vue imprenable :— J’y crois pas ! Tu as passé toute la soirée à poil sous ta jupe? Je n’ai rien remarqué. Merde alors, si j’avais su !— Non, je… Je l’ai enlevée…  juste après avoir aidé Sam à se changer.
Nous reprîmes un instant nos caresses sur Chantal, puis Tiffanny me fit asseoir sur le canapé. Sous le regard on ne peut plus intéressé de Philippe, elles se positionnèrent chacune d’un coté, un genou posé sur la banquette, l’autre jambe assez tendue pour mettre en valeur leur superbe cul. Puis Tiff’ fit un rapide clin d’œil à son amie et toutes deux cherchèrent simultanément à baisser la fermeture éclair qui fermait mon bustier de daim. Elles me firent écarter les cuisses en plaçant chacune une de leurs jambes contre les miennes. Je me raidis une fraction de seconde, juste avant que Tiff’ ne plonge sa main sous ma jupe. Elle me caressa alors le visage de l’autre main, tout en me disant de me détendre. Quand mes petits seins jaillirent fièrement, je vis que Philippe sortait sa verge raidie à travers la fente de sa culotte noire. Chantal commença par me lécher lascivement l’épaule tandis que Tiff’ s’agenouillait juste à coté de moi.Pendant qu’elle promenait sa langue sur le haut de ma cuissarde, Chantal insinuait la sienne entre mes dents. Elle avait pris soin juste auparavant de remonter, en toute innocence bien sûr, sa minijupe sur le haut de sa cuisse, dévoilant ainsi sa chatte aux yeux de Philippe. Il commença aussitôt à se branler lentement, mais en silence, car il connaissait trop bien les règles édictées dans ces moments-là par sa femme !Ses yeux bleus plantés dans les miens, Tiffanny fit glisser sa bouche depuis mon nombril jusqu’à ma poitrine, sans cesser un instant de caresser ma botte. En voyant le manège de Philippe, Chantal lui demanda :— Dis, Philippe, la quelle t’excite le plus?— De quoi?— Je te demande la quelle de ces trois superbes poitrines exhibées devant toi tu préfères !— D’abord, je n’en vois que deux, et ensuite, pourquoi veux-tu que je décide. Elles sont différentes !

Il hésita un instant et reprit.— Quoi que ! … Après tout, tu as bien dit que c’était la soirée des premières, n’est-ce pas, chérie? Alors, je vais te dire un truc à propos de poitrines : il y a un truc que je n’ai jamais pu faire avec Tiff’, que je ne pourrais pas non plus faire avec Sam, mais que je crois que je pourrais faire avec toi, Chantal, enfin, si tu voulais bien, c’est une cravate de notaire. Tu es la seule de vous trois à en avoir assez pour que je puisse y glisser Popaul ! Alors? Qu’est ce que tu en dis?— Mais, je ne sais pas, je…— OK, je vois ce que c’est ! J’aurais du m’en douter : rien que de la gueule…
Piquée au vif, Chantal se redressa et jeta un regard à son amie d’enfance. Tiffanny hocha la tête en souriant.— Très bien, tu vas voir si c’est que de la gueule ! Viens ici !
Elle me demanda de lui céder ma place. Quand Phil fut à sa hauteur, elle l’arrêta en tendant le bras. Elle prit en main la verge raide et gonflée qui saillait à travers la dentelle, la porta un court instant à sa bouche et sembla apprécier "en connaisseuse" avant de se coucher sur le dos.— Hum ! Bel objet, ma foi…— Tu n’as encore rien vu, ma belle !
Il se positionna à califourchon au dessus de son ventre et, lentement, entama un mouvement des reins qui faisait glisser son phallus entre les seins de Chantal. Au bout de quelques instants, elle les prit entre ses mains afin de resserrer l’étau. Philippe n’était pas le seul à laisser transparaître son excitation : Chantal émettait sans arrêt des séries de "Oh oui, oh oui !" en agitant la tête sur le coté. A un moment, elle lâcha sa poitrine pour caresser les cuissardes de Phil qui lui enserraient les hanches. Privée de guidage, son gland alla heurter le téton de Chantal qui poussa un nouveau cri. Elle se tordit le cou pour essayer de se redresser et de le sucer tout en continuant de faire jouer ses mains sur les jambes de l’homme qui la chevauchait. Devinant ce qu’elle essayait de faire, il se redressa un peu à son tour et fourra lui-même sa pine dans sa bouche. Tiffanny se blottit tout contre moi.— Oh Sam ! Embrasse-moi…
Je ne me fis pas prier pour enfourner aussitôt ma langue entre ses lèvres. Nous avions toutes les deux fermé les yeux, mais nous les rouvrîmes au même moment en entendant Philippe soupirer plus fort encore que sa partenaire.Ce qui avait attiré notre attention, c’est qu’il s’agissait là des râles caractéristiques qu’il avait l’habitude de pousser quand il atteignait l’orgasme. Il se raidit tellement que la pointe de son gland sortit du sillon formé par les deux seins de Chantal au moment où il laissa exploser son plaisir. Une giclée de sperme inonda violemment son cou avant qu’elle n’ait eu le temps de refermer sa poitrine sur la verge turgescente.
Je savais déjà que Phil avait des éjaculations particulièrement puissantes et fournies, mais là, il semblait ne vouloir jamais s’arrêter ! Le liquide blanc suintait maintenant par dessus les deux globes de chair refermés sur son chibre. Je suppose que c’était le résultat d’une excitation poussée à son paroxysme du fait qu’il vivait une première avec une fille sur laquelle il avait souvent et depuis longtemps fantasmé, même si jusqu’à ce jour, cela avait toujours été "en tout bien, tout honneur, par respect pour Tiffanny".Ses mains relâchèrent un peu l’étau dans lequel il emprisonnait depuis deux minutes les épaules de la jeune femme. Lorsqu’il se redressa, sa verge encore droite dégoulinait de sperme. Quant au thorax de Chantal, il était carrément inondé !— Je retire ce que j’ai dit, ça n’était pas que de la gueule !— C’est pas pour dire, mais j’ai l’impression que ça t’a plu. Mais, dis-moi, tu te montres toujours aussi… prolifique?— Je voudrais pas me vanter, demande à Tiff’… En tous cas, j’ai beaucoup aimé ! Et toi, ça va?— Ça va très bien, oui. Merci… Dis, je voudrais savoir… Ce que tu as aimé, c’est ma poitrine ou ce que tu as fait avec?— Les deux, Chantal ! Oui, c’est ça, les deux… Eh ! Tu sais quoi? J’ai envie de me coucher sur toi, là, histoire d’atterrir en douceur, tu veux bien?— OK, mais alors attends, je vais enlever ma jupe.— Non, non, laisse… Je te la nettoierai ! Demande à Tiff’ comment je fais, ça te plaira, je parie…— Il fait ça comment?— Avec sa langue…
Il s’allongea sur elle et se frotta contre son corps après avoir retroussé la minijupe qu’il n’avait pas quittée. Il prenait un plaisir manifeste à étaler par ses mouvements le sperme sur celle de Chantal ainsi que sur le soutien-gorge dont lui était toujours affublé. Sa queue avait gardé toute sa rigidité et glissait sans heurts sur le cuir noir. Je crus même un instant que cette double masturbation (qui faisait autant d’effet sur elle que sur lui) allait le faire éjaculer à nouveau, mais cela ne se produisit pas.
Sans pour autant arrêter de se frotter sur Chantal, Phil nous demanda à Tiffanny et moi d’aller chercher deux gants de toilette humides afin de procéder à leur toilette. A notre retour, il s’installa, moitié assis, moitié allongé sur le dos à coté de sa partenaire et distribua les tâches : Tiff’ s’occuperait de son amie d’enfance, et moi de lui.Je passai d’abord le gant tiède et humide sur sa poitrine tandis que Tiffanny faisait de même à ma gauche. Pendant qu’elle retournait à la salle de bains pour rincer le gant, il me demanda si je voulais bien utiliser ma bouche au lieu du tissu éponge pour nettoyer sa verge. Je m’exécutai tout en regardant les yeux brillants d’excitation de Chantal. Quand j’eus fini, il me remercia, se tourna sur le coté et entreprit comme il l’avait promis de faire disparaître de la jupe de cuir de sa partenaire les résidus de sperme.Pendant que Tiffanny finissait d’essuyer la poitrine de son amie, sa langue à lui s’activait sur la peausserie en agneau plongé. Quand sa main s’insinua par en dessous, Chantal se cambra en gémissant. Avant qu’il n’ait pu fouiller de son majeur l’intimité de notre hôtesse, Tiffanny le rappela à l’ordre.— Je te signale, mon chéri, que nous avions commencé à nous amuser "entre filles". Ça amusait Chantal que tu prennes ton pied à te branler entre ses nibards, mais maintenant, la récréation est terminée… Tu retournes te poser dans ton fauteuil et tu regardes, c’est tout… et c’est déjà pas mal ! C’est clair?— Oui… Maîtresse.— Vu comment tu dis ça, je ne te fais qu’à moitié confiance sur ce coup là ! Chantal…— Oui, Tiff’?— Trouve-moi de quoi l’attacher, s’il te plaît.
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