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L'étalon aiguille (Tome 3)

Chapitre 12

Les pleurs du mâle

Travesti / Trans
"More than a woman"

Elle reprit le plus naturellement du monde le cours de son récit :— J’ai juste eu besoin d’un petit coup de main de la "braguette magique" et vingt minutes plus tard, Vanessa et moi pénétrions chez elle. On n’avait pas besoin de parler, nous savions pourquoi nous étions là… On est allé dans sa chambre où un grand matelas trônait à même le sol. Nous nous sommes assis dessus et avons commencé à nous embrasser à pleine bouche. Elle avait une manière de tendre sa langue pour venir caresser la mienne, waôw, ça aussi, c’était chaud de chez chaud ! Ensuite, elle m’a fait enlever mon haut et a commencé à me caresser les seins à travers mon soutif. Très vite, elle l’a dégrafé, très délicatement, puis elle a repris ses caresses. Elle avait déjà enlevé son chemisier et sa longue jupe en jean et elle ne portait plus que ses cuissardes, son tanga noir et un top de la même couleur. Histoire de ne pas être en reste, j’ai à mon tour caressé sa poitrine à travers le satin. Pendant qu’elle embrassait la mienne, ma main descendait vers le tanga et j’ai constaté alors qu’elle était plutôt bien montée. Avec les progrès de la chirurgie esthétique, on peut dire qu’il est loin le temps où les excès d’hormones féminines leur faisaient de toutes petites bizouquettes !!! Bref…  Elle ne tarda pas à baisser le zip de mon pantalon et sa main s’insinua en dessous pour exciter mon clito à travers ma petite culotte. Je mouillais autant qu’elle bandait, c’est dire ! Pendant plusieurs minutes, on a continué à se peloter partout et à s’embrasser, et c’est là que j’ai eu envie de la caresser uniquement avec le cuir. Honnêtement, je ne sais pas comment ça m’est venu à l’idée, mais j’ai remonté ma fermeture éclair et j’ai demandé à Vanessa de se coucher sur le dos. Alors, je … Oh mais tiens, j’en ai une autre d’idée…
Elle dégagea ses seins de l’emprise de Philippe, se releva, planta ses yeux dans les yeux de Tiff’ et fit glisser lentement ses mains jusqu’à son pubis. Puis tout en faisant courir son majeur sur la fermeture éclair du pantalon, elle dit :— Plutôt que de juste raconter, je voudrais que, toi et moi, on rejoue pour eux deux ce qui s’est passé…
Elle lui fit enlever le maxi manteau de cuir et elles s’allongèrent toutes deux côte à côte, puis Lydie frotta sa jambe contre celle de Tiff’. Son genou plié remonta vers les testicules et elle appuya alors un peu plus fort. Tiff’ gémit doucement. Lydie releva sa jambe pliée afin que le talon de ses boots appuie quelques instants sur son mollet, puis elle écrasa sa poitrine contre celle de Tiff’. Elle arqua un peu son bassin et Tiff’ positionna aussitôt sa queue entre ses jambes. Tandis qu’elle posait la main sur ses fesses, la jeune métisse fit onduler son bassin. Sentir cette bite toute dure coulisser sur son entrejambe à travers le cuir l’excitait manifestement autant que lorsqu’elle l’avait vécu avec Vanessa, elles gémissaient aussi fort l’une que l’autre ! A un moment, Tiffanny faillit éjaculer, mais elle sut se contrôler à temps et lui demanda un changement de position. Lydie accepta et reprit le cours de son récit :— Je me suis mise sur le ventre et elle s’est allongée sur mon dos, après avoir, bien entendu remis sa verge entre mes jambes. J’ai plié mes genoux et en les relevant ainsi, je me suis mis à caresser ses fesses et ses cuisses avec mes boots et le bas de mon futal pendant qu’elle se masturbait ainsi sur moi comme sur une poupée gonflable. Une nouvelle fois, nous avons changé de position, je me suis couchée sur elle en position de levrette inversée et tout en promenant ses mains partout sur la peausserie, cette fois, elle est allée jusqu’au bout de son plaisir. Elle a balancé sa purée sur le devant de mon pantalon et l’a nettoyé en le léchant avec délectation.— Tiens, tiens, je ne suis donc pas le seul à aimer le humping…— Comment tu appelles ça?
Sans cesser un instant ses mouvements de va et vient sur le cuir du maxi dont il s’était ressaisi, Philippe répondit :— Ce n’est pas moi qui appelle ça comme ça, ce sont les anglophones; ils appellent "humping" ce que Tiff’ fait avec toi depuis tout à l’heure.— Alors, va pour le "humping"… Vanessa s’est allongé pour récupérer et m’a dit peu après que le "humping", donc, c’était un de ses grands fantasmes, mais qu’elle avait beaucoup de mal à trouver des partenaires avec qui le mettre en œuvre. Ensuite, elle m’a fait me retourner sur le dos et elle a fait glisser mon pantalon par-dessus mes boots. A mon tour, je lui ai ôté son top, puis j’ai dégrafé son soutif et j’ai mordillé ses tétons. Sentant que son plaisir grimpait, elle s’est mise à exciter mon clitoris et à me branler en introduisant son doigt dans ma chatte jusqu’à ce que je jouisse une première fois. Elle s’est alors allongée à côté de moi pendant que j’atterrissais en douceur tout en caressant lentement sa verge gonflée et raide comme de l’acier. Je me suis alors accroupie à côté d’elle et, avec mon autre main, j’ai titillé son anus. Au bout de deux minutes, même pas, elle m’a dit "Attends une seconde" et s’est levée pour aller prendre dans le tiroir d’un placard un vibro. Elle me l’a tendu en me disant "Tu veux bien?". J’ai répondu "Bien sûr !!!" et je me suis positionnée entre ses jambes écartées pour lui faire une feuille de rose. Très vite, j’ai pu l’introduire en elle. Je me suis retournée et accroupie au-dessus de son visage, et tandis qu’elle me léchait et se branlait de la main droite, j’ai fait bouger le gode dans son petit cul tout en me caressant la poitrine avec ma main libre. Elle bandait comme un taureau et moi, je mouillais comme une folle ! J’ai mis le gode en position vibrante tandis qu’elle m’enfonçait son doigt dans l’anus et on a joui toutes les deux en même temps. Comme elle n’avait pas éjaculé, je l’ai prise en bouche et je me suis attelée à réparer ça : je la suçais le plus lascivement possible, je la doigtais; de temps en temps, je délaissais sa queue droite comme un "I’ pour lui mordiller les seins, lécher ses cuissardes ou lui fourrer ma langue dans la bouche. Et finalement, j’ai eu ce que je voulais : elle s’est soudain crispée, a saisi ma tête à deux mains et a balancé sa purée dans ma bouche. Alors, ça a été à son tour de m’introduire le vibro. Le meilleur moment, c’est quand elle m’a fait mettre en appui sur mes jambes, les bras tendus en arrière; elle me limait doucement tout en me caressant avec sa main et sa langue. L’excitation me faisait bouger le bassin d’avant en arrière pour sentir au mieux le gode. Quand elle a senti que j’allais venir, elle l’a enlevé, a enfoncé son index dans ma chatte et son majeur dans mon fion et m’a branlé comme ça en bouffant mon clito ! J’ai pas tenu deux minutes et un nouvel orgasme m’a submergée. Elle recommençait à bander et a voulu conforter son érection en mettant sa queue entre mes seins. Comme cela ne suffisait pas, elle s’est astiqué le manche et me l’a remis en bouche. J’étais allongée sur le dos, la tête un peu relevée, et quand elle m’a soutenu la nuque, j’ai pu agripper mes mains à ses fesses; je gardais les yeux levés vers elle tandis qu’elle bougeait ma tête d’avant en arrière et j’avais en contre-plongée une vue superbe sur sa poitrine. Croyez-moi, cette expérience nouvelle pour moi, ça me faisait kiffer grave ! Malgré tout, bien que sa bite soit redevenue bien raide, j’avais tellement envie qu’elle soit à nouveau au top du top de ses possibilités que j’ai discrètement tendu la main vers mon merveilleux pantalon en cuir… et je n’ai pas besoin de vous faire un dessein, hein?— Effectivement, ce n’est pas nécessaire. Et alors?— Et alors? Et ben, je me suis retrouvée les jambes carrément à l’équerre, les genoux légèrement pliés, et au lieu de sentir ses cuissardes sous mes aisselles, je les ai senties au niveau de l’aine ! Vanessa s’était mise en appui sur ses bras et me besognait en gardant le haut de son corps immobile, elle bougeait juste son bassin. Histoire de me pénétrer encore plus profondément, elle a redressé son torse et pris appui en arrière sur un bras. J’ai poussé un cri, je sentais sa queue toucher le fond de mon vagin, c’était de la folie ! Elle s’est alors complètement allongée sur moi, histoire de calmer un peu le jeu, car il faut dire qu’elle aussi était sérieusement excitée et qu’elle voulait retarder l’explosion finale ! Mais moi, quand même, histoire de me venger, j’ai profité de sa nouvelle position pour lui enfoncer mon doigt dans le cul. Ça a été à son tour de pousser un cri… Elle a rigolé avec moi et sa langue s’est frayée un chemin entre mes lèvres. Je lui ai rendu son baiser et après, nous avons toutes les deux léché le doigt que je lui avais mis deux secondes plus tôt. On a un peu repris des forces comme ça toutes les deux. Sans rire, elle s’était retirée de moi et pendant quelques minutes, on a juste échangé des caresses… Et puis, elle m’a demandé de m’allonger sur le dos sur elle et elle m’a prise en levrette. Elle m’a à nouveau pistonnée, tout en douceur et puis sa main droite s’est d’abord posée sur ma poitrine, puis elle a glissé jusqu’à mon pubis en me caressant le ventre au passage. Ça m’a comme électrisée et je me suis raidie d’un coup. Elle a soutenu mon dos pour m’aider à me redresser et je me suis mise à me branler ; ça l’excitait, alors elle a accéléré le rythme. Au bout d’un moment comme ça, j’étais complètement à bout, alors, une fois de plus, elle a changé le tempo et n’a plus bougé en moi que tout doucement. Sentant que je redécollais, elle m’a dit "je voudrais profiter de cette superbe érection pour te prendre par derrière, tu veux bien?". J’ai répondu oui dans un souffle et tandis qu’elle murmurait "ne bouge pas, laisse-moi faire", elle me l’a enfoncée dans le cul, comme ça ! Vous vous rendez compte, j’étais tellement excitée, je mouillais tellement de partout qu’elle m’a enculé sans aucun préliminaire ! Mais comme tout ce qu’elle faisait me rendait folle, j’ai écarté encore plus mes grandes lèvres avec mes doigts et je me suis allumée à fond. J’ai joui et me suis tordu le cou pour lui rouler une pelle et alors, alors seulement, elle s’est lâchée : elle a soulevé très légèrement mon bassin avec ses mains et m’a pistonnée à toute vitesse pendant quelques secondes pour finalement me balancer sa purée dans les entrailles. Je venais à peine de me faire jouir, mais ça m’a fait remonter illico au septième ciel. De la folie, je te dis, Sam, ce pantalon, c’est de la folie !!!
Elle fit une courte pause avant de dire "Et maintenant, action !".— On va faire comme au cinéma, mais en vrai…— Quoi?— Eh bien, oui, je vous offre la possibilité de revivre en "direct live" toute la scène. C’est comme si je vous invitais au cinéma, mais au lieu de voir un film, vous allez voir les choses en vrai ! Alors, elle est pas belle, la vie?
Le sortilège de "la braguette magique" opéra une fois de plus et le scénario qu’elle venait de raconter prit effectivement vie devant nos yeux ébahis.Voir sa femme monter au ciel comme ça avec Lydie déchaina instantanément Philippe. Il déposa le manteau qui lui assurait depuis plusieurs minutes une érection sans faille et s’offrit lui aussi une séance de "humping" sur mon micro-short de cuir blanc.
Il était près de vingt heures quand nous finîmes tous les quatre par une superbe partie carrée…

Lydie continua néanmoins à dérouler la soirée telle qu’elle la planifiait.— Bon, allez, on se fait une bouffe vite fait sur le gaz… On n’est pas loin de l’Italie, alors,Elle renfila en tout et pour tout "le" pantalon de cuir et ses boots à talons lames.— … Pasta pour tout le monde ! Ça vous va? Bon, toi, Sam, tu gardes ces bottes, tu remets l’ensemble en cuir blanc et tu prends la paire de gants assortis que tu trouveras dans le premier tiroir de la penderie. Et je veux pas savoir si Philippe a souillé le short, tu me fais trop d’effet comme ça. Toi, Tiffanny… Toi, je veux que tu mettes ma minirobe et mes bottes, celles qui lui faisaient tant d’effet quand c’est moi qui les portais en boite !— Et moi alors? C’est comme d’hab’, je compte pour du beurre?— Comment ça?— Ben oui, Sam et Tiff’, tu les habilles avec tes fringues, et moi, moi, tu me proposes rien !— Tu veux mettre mes fringues???— Ben pourquoi pas? Ça te choquerait?
Il marqua une courte pause tandis que nous marchions tous les quatre vers la chambre et reprit aussitôt :— Eh oui, je suis comme Sam… Remarque, c’est vrai que tu pouvais pas le savoir, mais tu pourrais proposer quand même…— Oups ! Euh… Là, c’est vrai que je m’y attendais pas !!!  …  Ecoute, pour les bottes, j’ai peur que ça soit un peu dur pour toi de rentrer dans du 40. Par contre, pour les sapes… Attends, attends ! Eh, les filles, magnez-vous et filez vous occuper des pâtes. On va voir ce qu’on peut faire !
Ils nous rejoignirent à la cuisine cinq minutes plus tard. Phil avait dû remettre ses propres cuissardes à talons plats, mais il avait pu les agrémenter d’une paire de bas blancs surmontée d’un fin porte-jarretelles en velours noir et d’un shorty bouffant en satin blanc nacré. Enfin, Lydie avait fini par trouver dans ses armoires une veste 3/4 en cuir noir dans laquelle il avait réussi à rentrer -pour son plus grand plaisir-. Elle-même avait parachevé sa tenue par une paire de gants opéra en cuir et un genre de bustier noir en polyamide et dentelles.
Au moment de nous proposer un dessert, Lydie ouvrit la porte du réfrigérateur et n’hésita qu’un instant :— Vous aimez la mousse au chocolat?— Tu as préparé un dessert spécialement pour nous?— Non, Philippe, c’est pas de la mousse maison, mais par contre, on peut l’améliorer en la dégustant avec des grains de lavande. Vous avez déjà essayé?
Nous répondîmes tous trois par la négative.— Et bien c’est donc la soirée des premières ! Mais je vais vous dire, moi, ce qui va améliorer par-dessus tout ces bêtes petits pots de mousse au choc’… C’est la manière dont on va les déguster. Allez, tout le monde à poil !
Joignant le geste à la parole, elle se déshabilla complètement. Philippe protesta :— Ah non, pas d’accord ! Tu viens à peine de me prêter tes sapes et je suis trop bien dedans, je veux pas. Et pourquoi tu veux qu’on se déshabille, d’abord?— Pour pouvoir manger la mousse au choc’ comme vous ne l’avez jamais fait ! Enfin, bon… A la rigueur, toi tu peux rester comme ça, il faut juste que…Elle passa sa main dans l’entrejambe du shorty que portait Philippe et en sortit la verge à peine débandée.— … tu me mettes ça bien en vue ! Par contre, vous deux, je ne vous autorise que les bottes !
Elle décapsula alors deux des petits pots de plastique qu’elle venait de sortir du frigo, en garda un en main et s’approcha de Tiff’. Elle aussi avait conservé durant le repas une petite érection. Elle poussa un petit cri au moment où Lydie trempa sa verge dans le pot rempli de mousse froide.— Voilà… Maintenant, Sam, tu peux y gouter ! Alors? Vous comprenez pourquoi je voulais que vous soyez à poil? Elle me fit un signe de tête et je m’agenouillai aussitôt devant Tiffanny. J’approchai doucement mes lèvres ouvertes du phallus gonflé et commençai à lécher la mousse brune qui ornait le gland. Lydie se saisit d’une petite cuillère; voyant que j’avais englouti ma première bouchée, elle enduisit entièrement le membre que je venais de nettoyer et réitéra l’opération sur celui de Philippe. Sous les assauts langoureux de nos langues, Phil et Tiff’ gémissaient doucement à l’unisson, et pour une fois, ils n’étaient pas eux-mêmes la cause des soupirs de l’autre. Lydie finit le premier pot en tartinant à nouveau les deux verges et me dit :— On change de cavalier, Sam, et on pimente un peu le jeu : il faut toujours tout manger, mais on commence par le gland, et ne triche plus en léchant la bite par le coté, maintenant, on fait ça juste en l’enfonçant de plus en plus au fond de la gorge…
Obéissante aux injonctions de la jolie métisse, j’avalai peu à peu le pieu de chair de Philippe. Il était déjà naturellement bien monté, mais son excitation était telle qu’il me semblait impossible de pouvoir l’engloutir en entier sans m’étouffer.Malgré tout, j’étais largement partie prenante dans cette spirale de désir et de plaisir qui nous entrainait tous les quatre, tant et si bien que même après avoir nettoyé intégralement la verge de Philippe, je continuai la fellation. Il se mit à geindre doucement et posa ses mains sur mon crâne. Voyant ce qui se passait, Lydie se dépêcha de "terminer son dessert"; puis  elle se positionna au-dessus de moi, debout, jambes écartées et se mit à mordiller les lèvres de Philippe. Pendant ce temps, Tiffanny s’accroupit, comme moi, mais derrière son mari, et elle titilla son anus et ses bourses avec sa langue. Elle entreprit ensuite de lui lécher sensuellement d’abord la raie fessière, puis le bas du dos tout en lui enfonçant son majeur dans le fondement. Ce qui devait arriver arriva et c’est dans ma bouche que Philippe s’abandonna une nouvelle fois à son plaisir. Je sentis de grosses giclées de sperme chaud s’écraser contre mes joues. Dans la mesure où il me bloquait la tête de ses mains, je n’avais d’autre solution que d’avaler, et aussi vite que possible !Satisfaite du résultat obtenu par cette collaboration, Tiff’ se redressa et me dégagea de l’emprise de son mari; puis elle enfonça sa langue dans ma bouche pour y grappiller quelques gouttes de "sirop d’homme". Le corps tout entier de Phil était parcouru de tremblements nerveux.— Oh putain, Sam, tu as fait des progrès pas possibles ! Sans déc’, ça fait quoi, à peine huit jours que tu es une nana, et tu fais déjà des pipes d’enfer !!!— C’est sûr qu’elle semble nettement plus à l’aise et surtout plus douée ce soir que dans la chambre du "Bout de la nuit"… Mais bon… Allez, maintenant, à votre tour à tous les deux.
Tiff ouvrit le deuxième pot de mousse au chocolat; Phil y trempa la petite cuillère et en tartina le mont de Vénus glabre de Lydie après avoir fait glisser au sol le pantalon de cuir noir. Quand il eut fini, Tiff’ enduisit à son tour ma toison pubienne. Il avait fait asseoir Lydie dans le canapé et se régalait de son dessert, et j’étais restée debout devant ma belle anglaise ; elle  avait posé ses deux mains sur mes fesses pour me retenir et sa langue fouillait mon intimité. De temps en temps, les deux époux se passaient la petite cuillère et nous ré-enduisaient de mousse au chocolat. Ils surent tous deux se montrer aussi adroits que Lydie et moi l’avions été et nous permirent à notre tour d’atteindre ainsi le septième ciel.
C’est sur ce dessert "maison" que s’acheva finalement cette folle soirée. Après quelques minutes passées à récupérer, nous nous déshabillâmes tous une dernière fois. Lydie tint parole et nous rendit à chacun notre identité sexuelle d’origine.

Le lendemain midi, Philippe et Tiffanny me raccompagnaient l’aéroport. Le Lundi matin, je reprenais le chemin de mon bureau, mais pas tout à fait ma vie d’avant : "LE" pantalon en cuir restait désormais rangé chez moi, dans une armoire, à l’abri des regards, sauf quand il était à Valbonne.

La morale de cette histoire, si toutefois il doit y en avoir une, c’est que si vous croisez un jour quelqu’un qui porte un pantalon en agneau plongé et que cette personne porte discrètement la main à son entrejambe, sachez que votre vie peut basculer. Car en matière de fantasme sexuel –et je ne suis pas le seul à le penser-, un simple pantalon en cuir ouvre tout le champ des possibles…

                                                                                                                             F I N
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