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Etape routière

Chapitre 1

Trash
Il y a quelques années je suis tombé sur cette histoire, récit pour le moins troublant. Je n’en suis pas l’auteur, mais je pense qu’il est de mon devoir de la partager avec vous...
Nous nous rendons assez souvent dans notre résidence secondaire, et ce, d’autant plus que nos enfants sont grands et que nous pouvons les laisser sans crainte à la maison. Nous aimons bien y aller, la région est belle mais surtout cela nous permet de nous détendre et nous permet de mieux récupérer de notre vie un peu trop stressante. Nous partons en général en fin de matinée, nous nous arrêtons dans un petit resto le midi pour arriver gentiment en début d‘après-midi. Nous essayons à chaque fois de trouver un nouvel endroit pour manger quitte à sortir du parcours normal et à allonger un peu le trajet. Nous n’avions pas prévu d’y retourner avant trois ou quatre mois, mais j’avais décidé d’avancer la balade, mon épouse n’étant pas très en forme: une pré ménopause mal vécue qui avait doucement dégénéré en début de déprime. Le médecin de famille venait de lui prescrire des médicaments, les uns contre la dépression et les autres pour dormir. Cela faisait une semaine qu’elle avait commencé le traitement mais je prévoyais déjà de retourner consulter avec elle pour une médicamentation plus douce. Elle n’arrivait pas à émerger et à avoir toute sa tête avant le début d’après-midi et encore... Le seul point positif était que ces médicaments provoquaient un effet secondaire, ils levaient ses inhibitions. Cela retentissait sur son activité sexuelle et elle était beaucoup plus disponible, consentante et coquine. Cela restait bien-sûr à confirmer, vu la prise récente de ces médicaments, mais je n’avais guère de doute étant donné l’évolution spontanée de sa libido. Attention, je ne dis pas qu’en temps normal Annie soit du type ‘frigidaire’, mais il lui faut de longs préliminaires, un cadre sécurisant et beaucoup de tendresse pour qu’elle puisse exprimer librement sa sexualité. Malgré tout, une fois bien excitée, elle me donnait satisfaction. Annie, bien que nouvelle quinquagénaire est très séduisante. Elle fait encore détourner le regard des hommes sur son passage. Petite et menue avec des formes là où il le faut, les années l’ont relativement épargnée et elle parait facilement dix ans de moins. Ses seins sont fermes et denses, son fessier bien galbé, le ventre est musclé et plat, son sexe bombé est accueillant et cerise sur le gâteau, elle a un visage d’ange. Elle peut comparer sans aucun complexe son corps à des femmes beaucoup plus jeunes. De plus elle s’habille, à ma demande il est vrai, de façon franchement sexy, ce qui me plaît beaucoup. Trêves de gaudrioles, mon but est de l’aider un peu à reprendre le dessus et ce week-end ne pourra que lui être bénéfique.Se rendre à notre résidence était assez facile, il faut dire que le trajet était principalement composé de routes à 4 voies, ce qui me permettait de rouler en bonne sécurité et dans un temps relativement court. Et nous voilà partis, Annie s’endormit à côté de moi dès les premiers kilomètres. Elle était très belle dans sa robe. C’était une robe courte classique en soie, boutonnée par devant, de couleur ‘vert pâle’. Elle n’avait pas boutonné la partie basse de la robe qui s’était largement ouverte et laissait voir ses cuisses, le haut de ses bas, son porte-jarretelles et son minuscule string blanc qui rentrait dans le sillon de son sexe épilé. Pour le haut, c’est moi qui, d’une main habile, tout en conduisant, ôta deux autres boutons et écarta un pan de tissu afin d’admirer un sein blanc, bien aréolée qui ressortait de son soutien gorge ou plus exactement redresse seins puisqu’il ne cachait pas les mamelons. Je la laissais dans cette position et continuais ma route en rehaussant le chauffage de sorte qu’elle n’attrape pas froid. Cette demi nudité n’avait pas échappé à certains conducteurs car chemin faisant, quelques routiers, forts de leur position surélevée et de leur vue dominante m’envoyaient quelques appels de phares certainement pour m’inviter à me garer et pour combler madame. Cela m’excitait un peu et je décidais de m’en amuser. Je les doublais donc très lentement afin de leur faciliter la tâche pour admirer ma femme et ses attributs les plus charmants. J’imaginais leur émoi et leur frustration, mais comme disent souvent les plus jeunes: C’est pour le fun. Je n’avais jamais trompé ma femme et la réciproque était vraie, nous nous aimions depuis plus de trente ans et faisions la majorité de nos activités ensemble. Jaloux d’un côté comme de l’autre nous n’avions jamais laissé approcher quiconque, qui puisse mettre notre couple en péril. Annie avait de plus une morale judéo-chrétienne qui avait toujours mis des limites à toutes aventures et jeux sexuels non conventionnels. Alors faire jouer un peu à son insu l’exhibitionniste à ma femme ne me déplaisait pas, mais sans aller plus loin, je ne tenais pas à voir ma femme se faire patouiller par d’autres hommes.Midi se profilant, je quittais l’axe routier principal afin de trouver, comme à notre habitude, un petit resto sympa. « Réveille toi » dis-je à mon épouse Petit à petit Annie sortit de son sommeil mais elle était toujours sous l’emprise de ses médicaments. Nous roulions quatre à cinq kilomètres et découvrions une petite auberge en « bois et pierres » tout à fait typique. Seuls, quelques voitures et quelques camions étaient garés à côté, le long de la route. « On s’arrête ici? » Dis-je. « Si tu veux » me répondit Annie. Je garais la voiture, aidais ma femme à sortir de la voiture, refermais un peu le haut et le bas de la robe de sorte à cacher le string et les seins avant d’arriver devant l’auberge. Le menu était affiché à l’extérieur sur une ardoise protégé par un plastique. Il était simple mais séduisant: « Menu du jour unique: TOUT COMPRIS: Apéritif, terrine de canard, blanquette de veau, fromage, dessert et café / vin à volonté: 13 € » Après consultation réciproque, nous décidions que cela semblait correct, menu et prix et décidions de nous restaurer ici. En entrant nous aperçûmes quelques hommes, cinq à six représentants et autant de routiers d’après mes suppositions quand à leurs métiers, fort des véhicules garés devant l’auberge. « Bonjours messieurs » dis-je poliment. « M’sieur dame » fut la réponse tout aussi polie de la plupart des personnes. La plupart d’entre eux était servi et mangeait. Nous voyant, l’aubergiste arriva, nous salua, nous proposa une table, se rinça copieusement l’œil sur la poitrine de ma femme via l’ouverture de sa robe, nous proposa l’unique menu, son apéritif maison et nous laissa. J’aurais dû boutonner et le haut et le bas de la robe avec plus de célérité car à la moindre rotation, de ma femme, dévoilait sa poitrine et si son sexe était à peu prés caché, le haut des bas et le porte-jarretelles étaient visibles une fois ma femme assise, les bords de la robe tombant de chaque côté. Enfin qu’importe, cette situation continuait de m’amuser et me procurait même un certain plaisir. Sans tenir une forme olympique, Annie reprenait ses esprits, petit à petit et commençait à discuter un peu. L’apéritif arriva, il s’agissait d’un punch créole plutôt corsé. « Fais attention ma chérie, ce n’est pas recommandé avec tes médicaments » Mais sans me répondre, elle sirota son verre. Annie rit et me fixa: « Je suis bien mon amour, tu as bien fait de me proposer ce week-end, je me sens déjà mieux » Nous discutions de tout et de rien, des enfants, de leurs études, des petits travaux que nous aurions à faire sur notre maison et bien d’autres choses encore. Voyant l’aubergiste revenir avec le repas, elle prit mon verre et finit l’apéritif que j’avais laissé (conduite oblige). Je ne dis rien, heureux à mon tour de la voir un peu mieux bien que ses yeux soient trop brillants et la voix encore pâteuse et hésitante. Le repas servi, Annie mangea de bon appétit et bu du vin rouge raisonnablement. Pour ma part, je mangeais mais ne buvais plus, si je trouve certaines mesures qui touchent l’automobiliste, scandaleuses et une atteinte grave à la liberté individuelle, le fait de ne pas boire, notamment lorsque l’on prend la route pour de nombreux kilomètres tient plus du bon sens que de la répression. Plusieurs personnes étaient arrivées depuis et l’auberge commençait à se remplir et chacun ou presque se rinçait l’œil sur les seins et sur ses cuisses ou plus de mon épouse. Nous finissions tranquillement notre dessert, notre résidence n’était plus très éloignée et personne ne nous attendait. « Je vais aux toilettes avant de partir » me dit-elle. Si au début l’alcool lui a donné un petit coup de fouet, l’effet s’est inversé et Annie donnait l’impression de « quelqu’un qui a bu un petit coup de trop », pas saoule, mais plutôt apathique. Elle prit son sac à main, traversa la salle sans trop tituber et se dirigea vers le panneau « TOILETTES ». Je me disais qu’Annie était vraiment belle et sexy. Et l’intellect n’était pas en reste: forte d’un diplôme universitaire et d’une situation professionnelle correcte, elle amenait une contribution financière au couple qui nous permettait de vivre sans trop de soucis. La vie est une loterie et j’avais vraiment tiré le gros lot. Le repas terminé, je commandais un petit café en l’attendant. J’en profitais pour lire le journal qui était à disposition. Dix minutes plus tard ne la voyant pas revenir et désireux moi aussi d’alléger un peu ma vessie, je me levais à mon tour, traversais la salle et arrivais dans un couloir avec deux portes. Sur celle du fond on pouvait lire « wc », l’autre à côté était vitrée et donnait à l’extérieur. La porte était entrouverte mais Annie n’était plus là. Le local était spacieux et comprenait un évier, des serviettes bien pliées, rangées sur une étagère et le bidet. Le tout était très propre à l’image de l’auberge. La chasse d’eau étant en train de se remplir, je supposais qu’elle venait juste de sortir et qu’elle avait pris la porte sur l’extérieur, soit volontairement pour prendre un peu l’air, soit involontairement, ce que je pensais étant donné son état. Quoiqu’il en soit, un peu d’air l’aiderait à retrouver ses esprits. Je pris donc le temps de faire mes petits besoins puis sortis pour emprunter à mon tour la porte vitrée. Elle donnait sur une grande cour non fermée qui elle-même donnait sur des champs dans lesquels gambadaient quelques poneys et chevaux. Un petit hangar était situé sur la gauche, formant un « L » avec l’auberge. Sur la droite, dans le hangar, une partie neuve était visible. Elle représentait environ un tiers de la largeur totale. Le reste du hangar, à gauche donc, s’étendait sur les deux tiers restants. J’avançais, curieux de visiter l’endroit mais surtout soucieux de trouver ma femme en supposant qu’elle soit entrée dans le bâtiment. J’entendis des voix d’hommes, hésitais, puis me décidais à m’approcher quand même pour demander s’ils l’avaient vue. J’avançais malgré tout discrètement. J’aperçus Annie qui discutait avec eux ou plutôt l’inverse. Ils étaient debout, à l’entrée du hangar. « Vous voyez bien que je ne vous avais pas menti » dit l’un d’eux. Ils faisaient partie des gens que j’avais catalogués comme routiers et qui étaient arrivés après nous, l’un était grand et obèse, l’autre plutôt chétif. Le « chétif » tourna un interrupteur qui commandait des projecteurs et ils s’enfoncèrent dans la partie non rénovée, maintenant bien éclairée. « Avant il n’y avait pas besoin d’éclairer mais depuis que la pièce a été faite, on n’y voit plus rien. Même la fenêtre installée à l’intérieur sur le nouveau mur ne suffit pas à laisser passer le jour » dit le chétif Ils lui montrèrent un vieux et volumineux pressoir et expliquèrent qu’avant cet endroit servait à faire du cidre et que la bâtisse avait plus de 200 ans. L’aubergiste était un ancien routier qui avait racheté l’endroit et l’avait transformé. Son épouse s’occupait principalement de la cuisine et lui de la salle. Il avait réhabilité l’ancien matériel tel que le pressoir pour son plaisir mais avait refait à neuf l’intérieur du restaurant et construit cette partie neuve à droite sur toute la profondeur du hangar pour faire des chambres d’étape pour les routiers. Dans l’immédiat une seule chambre occupait toute la partie rénovée, faute de moyen pour construire les autres. Le hangar serait certainement rénové lui aussi, mais pour l’instant il avait uniquement installé des rideaux métalliques à commande électrique pour pouvoir le fermer. Les routiers, dont nos 2 compères, l’avaient aidé à faire cette pièce et lui garantissaient un roulement global plus que suffisant pour qu’il puisse vivre de son investissement. En fait tous les routiers s’arrêtaient manger ici et râlaient même lorsqu’il n’y avait plus de place. En contre partie il louait la chambre pour seulement 10 € la nuit ou la journée et le repas était facturé un peu moins cher que celui affiché pour les personnes de passage: représentants, touristes et gens de la région. En fait, d’où j’étais, je pouvais voir le mur récent muni d’une porte en façade et d’une grande fenêtre en liaison avec l’intérieur. Je m’apprêtais à les rejoindre quand l’un d’eux dit: « Ca ne vous dirait pas de visiter une chambre de routier à tout hasard, vous verrez y’a tout le confort: lits, table, chaises, douche et même un réchaud à gaz et de quoi cuisiner un peu? » « Euh! , je ne sais pas » balbutia Annie Les deux compères s’s’esclaffèrent. Je me rapprochais, toujours en évitant d’être vu. Annie était au milieu, elle tituba un peu et préféra s’asseoir sur une vieille table de ferme et posa ses pieds sur le rebord d’une grosse brouette en bois. Les deux pans de sa robe s’écartèrent et pendirent de chaque côté des cuisses et l’on put admirer une bonne partie de son anatomie. Seul les seins restaient à peu prés recouverts. Elle leurs souriait bêtement. Le plus petit des deux, face au spectacle et au manque de réaction s’encanailla et posa une main sur un genou. « N’ayez pas peur ma petite dame, on ne veut pas vous faire du mal, bien au contraire » dit-il. J’hésitais mais plutôt que d’intervenir et tout arrêter de suite, je laissais les choses se faire. J’arrêterais ce jeu le moment opportun. Je me demandais ce que pensait ma femme à ce moment. Était -elle lucide? Jusqu’où irait-elle? Annie tenta d’enlever la main de son genou. Mais le plus gros s’enhardit aussi et passa une main derrière le cou, sur une épaule, ce qui écarta le haut de la robe et dévoila un sein. D’où j’étais, je pouvais admirer le mamelon rose qui ressortait sur le blanc de la peau laiteuse de la glande mammaire qui avait nourri mes enfants. Je ne le voyais pas d’ici mais j’étais sûr que le téton s’était redressé, Les tétons d’Annie étaient très sensibles. Ma femme ne disait toujours rien et continuait de sourire tout en essayant de se libérer. La main du chétif monta pour caresser l’intérieur des cuisses au-dessus des bas. « T’as vu que j’avais bien vu dans le resto, elle est toute lisse, pas un poil » dit-il. Les 2 gaillards prenaient de plus en plus d’assurance. Bien que ma femme ait saisi son poignet, Chétif s’aidant de l’autre main, avait écarté légèrement le string et frottait lentement et longuement la fente du sexe. De longs va et vient interminables qui s’attardaient à chaque passage sur le clitoris. Annie résistait de plus en plus mollement. Il introduit ensuite son doigt dans le vagin. Elle avait toujours les yeux vitreux mais ses joues s’étaient rosies. Le gros pelotait avec amour le sein qui débordait. Il s’arrêta puis dégrafa tous les boutons de la robe, qu’il ouvrit entièrement. Il se baissa un peu et commença à téter les mamelles en titillant le bout avec sa langue. Ma femme à ce moment cessa complètement toute résistance. « Mets-toi debout » lui dit-il. Toujours sans protester, Annie se leva et Gras-double, lui ôta la robe qu’il lança dans la brouette. Elle était vraiment sublime dans sa petite tenue et ils s’arrêtèrent de la toucher pour mieux la contempler. « T’es vachement bien gaulée ma salope » dit Gras-double. « Profitons en puisque madame est une grosse cochonne et que son mari bouffe pendant qu’on baise sa pute » dit Chétif. « Bande de cons » me dis-je tout bas. Se plaçant derrière mon épouse, gras-double recommença à passer les mains sous les seins. Il les soupesait, les tâtait, les écrasait. Ses doigts boudinés remontèrent peu à peu et titillèrent les bouts, Chétif se mit devant elle et l’embrassa avec fougue sur la bouche, enfonçant sa langue au plus profond. Annie pencha la tête attira Chétif et l’enserrant entre ses bras, lui rendit son baiser. La situation évoluait mais la scène était troublante et je n’intervenais toujours pas. « Attend un peu » dit Gras-double « On va aller dans la chambre, si Dédé voit qu’on baise une de ses clientes pendant que son mec est au resto, il va nous faire un caca nerveux » « T’as raison, d’autant que son mec risque de la chercher, je la tripote encore un peu, juste histoire de bien la faire mouiller ensuite je vais dire à Dédé que l’on se repose un peu dans la piaule et on se la tape » « Ok, fermes un peu les volets extérieurs! Fermes aussi le rideau métallique, que l’on soit tranquille! » Sans attendre, je m’esquivais rapidement profitant du laps de temps inconnu que me laissait Chétif pour ne pas me faire découvrir. J’aviserai plus tard J’arrivais au bar et demandais l’addition. Aussitôt dit aussitôt fait, il est vrai que le menu unique tout compris facilitait la vie. Je réglais, félicitais le patron pour son repas et son auberge, pris la veste d’Annie, la mienne et sortis normalement de l’auberge comme si mon épouse m’attendait dehors. Il fallait rapidement que je me décide. Sans trop prendre le temps de réfléchir, je rentrai dans la voiture, la démarrai et allais la garer devant le camion le plus éloigné afin qu’elle ne soit plus visible du restaurant. Je plaçais mes affaires dans le coffre, fermais la voiture et retournais au hangar par l’extérieur. Ceci ne me posa pas de problèmes particuliers, la bâtisse était en bord de route et aucune barrière n’empêchait de contourner et de passer par derrière. Je dus cependant passer devant la fenêtre extérieure de la chambre qui donnait sur la cour. Je devais faire attention afin de ne pas me faire repérer. Je jetais malgré tout un œil furtif par la vitre mais Gras-double était bien trop occupé pour me voir, il était à quatre pattes, la tête fourrée entre les cuisses d’Annie, en train de lui bouffer la foufoune et le cul. Ses grosses mains lui pelotaient les fesses et ils passait sa langue de l’anus jusqu’au clitoris. « Merde », la situation avait évolué plus vite que je l’avais prévue. C’est contrarié que je quittais la fenêtre. Je passais devant la porte d’entrée qui avait été fermée, pour m’introduire dans le hangar, toujours ouvert (ouf !). La lumière était éteinte mais il faisait suffisamment clair pour ne pas trébucher au premier obstacle venu et je me cachais derrière le pressoir. A peine deux minutes venaient de passer quand Chétif revint. Il actionna un boîtier et les rideaux métalliques se fermèrent. Le noir s’abattit! Chétif avait dû fermer les volets extérieurs car aucune lumière ne filtrait. Sur le coup j’eus peur de ne pouvoir me mouvoir dans la pénombre mais l’ampoule de la chambre s’alluma et la lumière que laissait passer la fenêtre fut suffisante pour pouvoir marcher normalement. Je m’approchai de la fenêtre. Elle était entrebâillée et un rideau en voile blanc la recouvrait au trois-quarts. Ainsi dans le noir, il y avait peu de chance que l’on me repère et je pourrais intervenir pour stopper tout cela dès que je le voudrai. La fenêtre entre-ouverte me permettait d’entendre ce que disaient les occupants de la chambre. Chétif n’avait pas repris ses occupations sur Annie, Gras-double allongé sur le lit focalisait maintenant sur les seins et les suçait avidement, les pointes étaient érigées et Annie commençait à gémir doucement. Il avait quitté le pantalon et son sexe dressé dépassait de son slip, je me demandai si je n’étais pas arrivé trop tard et si ma femme ne s’était pas déjà faite enfiler. « C’est bon, Dédé est d’accord, je lui ai dit que nous étions fatigués et de ne pas nous déranger pendant la sieste. « Y’a pas de lézard » qu’il m’a répondu. « Pour le mari j’ai été discret mais je n’ai pas tout suivi, Dédé m’a dit qu’ils étaient partis tous les deux, il a payé et c’est barré. Sa voiture n’est plus devant le resto » « T’as pas confondu la voiture » répondit Gras-double. « Ben voyons, quand tu m’as prévenu à la CB qu’une gonze à moitié à poil arrivait à ma portée dans une super bagnole, j’ai maté un max. Et j’ai regardé quelle voiture c’était, j’ai même relevé le numéro d’immatriculation des fois que je les aurai revus sur une aire de repos, on ne sait jamais! » « Ecoute, ils se sont peut-être engueulés... Et puis on s’en fout, il s’est barré et on a sa chaudasse » dit Gras-double en conclusion. « Oui t’as raison » Gras-double lâcha les seins de ma femme pour quitter son slip. Il possédait un sexe de bon diamètre et particulièrement long, au-dessus de la moyenne en tout cas. « Viens par-là ma salope » dit-il. Il se leva, s’assit sur une chaise, attrapa Annie et la plaça devant lui, les fesses au niveau de son visage. « Tu m ‘excuseras » dit Gras-double » Je me la suis déjà embourbée, quel panard, c’est une pute de première, elle s’est rebellée un peu au début et a appelé son bonhomme, mais une fois, enfilée, elle a fermé sa gueule et a commencé à gémir de bonheur et à mouiller de plus en plus belle, c’est elle qui s’agitait sur ma queue comme une malade » A ces mots mon cœur ne fit qu’un tour, je n’avais pas su maîtriser la situation et pour la première fois de ma vie, je n’étais pas là pour ma femme. Annie venait de me tromper avec un pur inconnu et moche de surcroît et ce, par ma faute. Je ne savais plus ce que je devais faire, Ce qui ne fut pas le cas de Gras-double. Il prit Annie par la taille, elle écarta les cuisses, il pointa son gland sur la vulve et se l’enfila de nouveau devant moi. Son sexe énorme l’empala en une seule fois, ma femme écartait les cuisses au maximum. Aidée par son amant elle commença un lent va et vient, le membre entrait et sortait de ses chairs roses et humides, une grosse main vint lui écarter les lèvres ourlées et un doigt lui titilla le clitoris. Chétif s’approcha, l’attrapa par les cheveux, lui ouvrit la bouche avec les doigts qu’elle lécha puis il lui enfourna son braquemard dans la cavité buccale. Il s’activa lui aussi avec une ardeur non feinte. Il ressortait son sexe de temps à autre pour le frotter contre le visage et les lèvres afin de l’enfourner à nouveau. Gras-double hurla de plaisir, il venait d’envoyer son foutre chaud dans le ventre de ma femme qui sentant les spasmes avait resserré ses cuisses pour en profiter au maximum et aussi donner plus de plaisir à son amant. « Putain j’en pouvais plus » dit-il « tout à l’heure j’ai pu me retenir en t’attendant mais là, wouahh! » « Merde et remerde » me dis-je « j’aurais pu éviter qu’elle se fasse remplir ». Mais à vrai dire, je me mentais, j’étais en pleine érection et je jouissais de voir ma femme se faire baiser par deux inconnus. Ce fut au tour de Chétif de vider ses couilles dans la bouche et la gorge de ma femme. Elle avala tout le foutre sans en perdre une gorgée et ne lâcha prise que lorsque le phallus fut devenu tout mou. Il ressortit propre et nettoyé, exempt de toute trace de sperme. « Putain on a du mal à suivre » dit Chétif en regardant son ami qui avait lui aussi les couilles vides. « Attend un peu, on va la goder en attendant de retrouver notre vitalité ». Gras-double se leva, alla dans le tiroir de la table et sortit tout un attirail sexuel allant du gode au martinet. « Hé hé, heureusement que les routiers sont prévoyants » dit-il. Et ils allongèrent Annie sur la table la face en avant. Avant même qu’on lui demande de faire quoique ce soit, elle écarta les cuisses afin de laisser à ses deux amants toute latitude. Le sperme dégoulinait de sa chatte et Chétif muni d’un gros gode noir, s’en servit comme lubrifiant. Il remplit rapidement l’orifice avant de commencer de long va et vient. Ma femme continuait de gémir et Chétif décida de passer à la vitesse supérieure, il lui cracha plusieurs fois sur le trou de cul et entreprit une nouvelle pénétration, anale cette fois. Le gros gode entra difficilement dans l’anus et c’est seulement après plusieurs essais qu’il put commencer à introduire le vibro-masseur. C’est en avançant et en reculant l’outil petit à petit que chétif arriva à forcer et à dilater l’entrée et enfin à enfoncer la tête du gode dans le cul. Et comme on dit, quand la tête rentre, tout rentre. Mon épouse se plaignit à peine malgré la douleur, s’écartant au maximum pour favoriser sa sodomie. (Ce fut une journée où Annie écarta beaucoup ses cuisses) Le gode s’enfonçait lentement mais sûrement dans les intestins, Annie se trémoussait le cul et lançait des cris langoureux. Gras-double maintenait les fesses écartées des deux mains pendant que Chétif enfournait. On ne voyait maintenant, plus qu’une petite dizaine de centimètres ressortir de l’anus. « Putain ça bloque, je dois être arrivé au sphincter. Regarde si y’a pas de vaseline ou un truc gras » dit Chétif Gras double lâcha les fesses qui se refermèrent sur le gode et s’exécuta. Après avoir cherché à différents endroits, il trouva son bonheur » « Pain de Végétaline, ça te va » « C’est pour les frites mais ça devrait faire l’affaire, amène! » Il ressortit lentement le gode du fion de ma femme, enduisit copieusement le bout du plastique avec la graisse à frite, enfonça des morceaux de végétaline dans le colon avec ses doigts et frotta l’entrée avec le reste du pain. Puis il reprit aussitôt la sodomie. « Elle n’a jamais dû se faire enculer, c’est tout serré! » Dit Chétif. En effet Annie m’avait toujours refusé son petit trou, arguant que c’était contre nature. C’étaient deux sales cons qui ne la connaissaient que depuis quelques dizaines de minutes qui lui prenaient son pucelage anal. J’en étais malade.
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