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été 2022

Chapitre 1

Erotique
Été 2022, c’est la canicule, chacun cherche de la fraîcheur. Heureusement pour nous, nous habitons un château, oui un château du 18ème en Anjou, ancien donc avec l’essentiel du confort moderne. Un château me direz-vous ! Vous faites partie des gens aisés... eh bien non, car les frais sont énormes et les assurances, les taxes et impôts encore plus.
C’est pourquoi cette année nous décidons de louer temporairement l’Annexe pendant les mois d’été. Pour la première semaine de juillet, nous recevons un couple d’un certain âge avec lequel les échanges cordiaux. Ils veulent surtout connaître la région. Ils partent en milieu de matinée et ne reviennent qu’en fin d’après-midi se prélasser une heure à la piscine puis rentrent dans l’annexe pour leur dîner.
Il faut avouer qu’habiter une grande et vieille bâtisse ne présente pas que des inconvénients, mais présente certains avantages et tout particulièrement la fraîcheur dans les pièces intérieures, car l’épaisseur des murs nous protège de la canicule en conservant la température du printemps.
Avoir une piscine est un atout important, c’est à ce prix que nous avons nos enfants qui viennent passer une partie de leurs vacances avec nous. Nous avons convenu avec les locataires saisonniers qu’ils avaient accès à la piscine, élément devenu presque indispensable pour toute location.
Le premier samedi d’août arrivent pour quinze jours M et Mme Durofon avec un enfant. Nous les attendons vers seize heure. Ils sont ponctuels. Les parents ont une petite cinquantaine d’années, Monsieur présente une calvitie naissante parmi ses cheveux bruns. Physique et présentation de cadre dynamique, polo bleu et jean noir. Sa femme, qui nous demande de l’appeler par son prénom Catherine est une jolie blonde, un peu décolorée peut-être. Bien bâtie, se tenant très droite, avec un superbe sourire. En bermuda rose, petit haut blanc légèrement transparent laissant deviner un soutien-gorge blanc, chaussée de basket, elle a une démarche souple sous ses airs de princesse très adaptée au cadre où nous vivons et qu’elle nous dit tout de suite apprécier. La surprise, c’est leur enfant qui n’est pas un garçon ou une fille dans l’adolescence. En réalité c’est une superbe rouquine aux yeux verts. Un charme absolu que lui confèrent son corps de rêve et ses 18 ans, portant fièrement une poitrine libre sous un haut court laissant son nombril prendre l’air. Alexandra, puisqu’elle se prénomme ainsi, doit avoir 1m75, une taille de guêpe et des jambes interminables, idéalement bronzées et se terminant en bas avec des chaussures à talons plats et vers le haut dans un short relativement court.
Après leur avoir offert un verre d’accueil, je les conduis à l’Annexe dont la visite les satisfait pleinement. Le grand séjour donne d’un côté sur une cuisine ouverte et de l’autre sur une salle à manger. La chambre des parents est au premier niveau avec une grande salle de bains équipée d’une baignoire et d’une douche. Au niveau supérieur trois chambres d’enfants avec également une salle d’eau avec douche.
Nous avons tout fait refaire il y a trois ans lorsque nos enfants ont souhaité un logement adapté à leurs amis de passage. Dans le château, tout est compliqué au niveau des évacuations d’eau et la solution de retaper l’Annexe est la plus simple et la moins onéreuse.
En fin d’après-midi, nous entendons du bruit dans la piscine et avec mon épouse Delphine nous décidons d’aller leur tenir compagnie.
Nous nous approchons, ils sont tous les trois dans l’eau. À notre approche, ils sortent et oh surprise, oh horreur, ils sont nus, totalement nus tous les trois. J’avoue ne pas être trop gêné, mais plutôt intéressé alors que ma Delphine, prude comme il n’existe pas, pousse un petit cri et tourne la tête.
— J’espère que l’on ne vous choque pas, nous dit le bel homme avec des abdominaux musclés surplombant une queue flasque et pendante.— Non bien sûr, réponds-je, mais vous nous avez surpris.— Nous sommes naturistes depuis toujours et puisque nous étions seuls, nous sommes permis de nous mettre à l’eau selon nos habitudes.
Je constate que ma femme ne se détourne plus, mais regarde plutôt en hauteur pour ne pas voir les outils du monsieur. Bien équipé même si la température de l’eau ne met pas en valeur sa verge qui de fait cache que peu des bourses qui paraissent relativement petites. Madame, Catherine pour les intimes, ne cherche pas à dissimuler ni ses seins qui se tiennent encore très bien et dont de petites aréoles entourent les pointes ni son pubis blond non épilé dont les poils frisés tentent vainement de dissimuler ses lèvres.

Quant à Alexandra, elle est vraiment superbe. Sa toison pubienne est frisée, rousse également et soigneusement taillée en cœur, pointe vers le bas.Elle s’éloigne rapidement pour s’allonger sur un transat sur lequel elle croise les jambes pour dissimuler un peu son intimité. Je l’observe au long de son parcours et je peux vous dire que de dos elle a une structure de déesse avec un fessier ferme et bien tentant.
Pour notre part, nous n’avons jamais imaginé cette situation et n’y avons donc fait aucune allusion dans le contrat de location. Nous n’avons donc aucun reproche à leur exprimer, moi je me rince l’œil tandis que ma Delphine essaie de paraître naturelle. Jacques sentant le problème se dirige vers le siège où est posée sa serviette et s’en enveloppe sous la ceinture et revient vers nous.
— Voulez-vous partager notre apéritif ce soir ? Nous avons apporté tout le nécessaire.
Nous ne pouvons pas refuser et sans même nous concerter nous acceptons.
Non sans avoir jeté un dernier coup d’œil aux deux beautés, je tourne le dos et nous repartons vers notre chez nous en ayant convenu de les retrouver à l’Annexe à dix neuf heure trente. Dès que nous sommes hors de leur vue, Delphine me questionne : dans quelle tenue y va-t-on ? Je me retiens de lui répondre "à poil", car je sais que ce n’est pas son type d’humour. Nous convenons d’y aller en style décontracté chic : polo de grande marque et bermuda pour moi, chemisier fleuri et jupe longe de type gitane pour Delphine.
Ils nous attendent sur la terrasse, là où nous avons positionné une table métallique d’extérieur et six fauteuils en fer forgé. Jacques est en slip de bain, un moule bite comme diraient mes enfants, et Catherine en robe rose légère qui met en valeur ses formes et ses courbes. Sur la table des verres, des biscuits apéritifs et deux bouteilles de punch. Excellent choix pour ce début de soirée sous une température toujours élevée. Nous évoquons l’origine de la propriété, du château et de l’Annexe, ancien garage hippomobile au rez-de-chaussée pour les calèches alors que dans les étages vivait le personnel de maison.
Puis nous parlons de nos carrières respectives. Moi-même ex-industriel de la métallurgie maintenant retraité depuis peu. Lui, Jacques patron fondateur d’une boîte de services informatiques, entreprise qui fournit à ses clients du personnel qualifié de type cadre intérim longue durée. C’est une activité très prenante et d’ailleurs il peut être amené à repartir à Angers dans la semaine. Nos femmes évoquent brièvement leurs carrières puis Delphine et Catherine échangent idées et conseils sur le shopping dans la région. Alexandra s’est couverte d’un pareo vert vif qu’elle porte sur un short minimaliste. On devine le haut comme le bas et cela fait espérer un rapprochement ultérieur. Elle ne se départit pas d’un sourire énigmatique et nous écoute sans prendre part à la conversation.
Pour la faire participer, je lui demande ce qu’elle compte faire plus tard.
— Comment cela plus tard ? me répond-elle abruptement. J’ai 18 ans, je suis majeure et autonome financièrement.— Bravo, mais comment gagnez-vous votre vie ?— Je suis influenceuse en mode bijouterie et maquillage.
Pour les gens de ma génération, c’est un nouveau métier qui m’étonne.
— Combien avez-vous de followers pour arriver à capter la publicité qui vous fait vivre ?— À ce jour, j’ai dû dépasser cent trente mille, mais cela progresse chaque matin.
À ce moment, Catherine se lève :
— J’ai préparé des petits toasts chauds. Qui vient m’aider ? dit-elle en effleurant mon dos lorsqu’elle passe derrière moi.
Bien évidemment, je me lève et je la suis dans la cuisine. Celle-ci est étroite au niveau du four et je me trouve obligé de l’effleurer lorsqu’elle me demande d’aller chercher un plat dans le placard du fond. Sensation d’autant plus forte qu’il me semble qu’elle ne fait rien pour éviter ce contact, bien au contraire. Et lorsque je reviens avec l’objet demandé, elle me regarde droit dans les yeux et me demande :
— Vous me ferez visiter votre château ? Et elle m’embrasse sur une joue pour appuyer sa demande.— Je me ferai un plaisir de vous montrer les huit salons et les vingt-huit chambres... si vous ne vous en lassez pas avant qu’on les ait toutes vues.— Vues et testées j’espère, me répond-elle avec un regard coquin qui ne me laisse pas indifférent et qui provoque quelques agitations au bas de mon ventre.
Lorsque nous revenons sur la terrasse, Jacques s’est nettement rapproché de Delphine et ils discutent tennis, coupe Davis plus précisément, une passion qu’ils ont en commun. Alexandra n’est plus là. Je m’en étonne.
— Elle préfère toujours laisser les adultes entre eux. — Mais elle est adulte ! — Enfin disons qu’elle est majeure au sens de la république et de ses lois, mais c’est toujours notre enfant. Elle passe sa vie sur son ordinateur. D’ailleurs elle a un problème de prise près de son bureau. Pourriez-vous voir de quoi il s’agit ?
Je connais le problème : la prise du bureau ne fonctionne que lorsque le plafonnier est allumé.
— Allez donc le lui dire Maxime, car si elle n’arrive pas à se connecter, vous découvrirez la furie qui est en elle !
Je me lève donc et monte au niveau des chambres. Le tapis d’escalier amortit les bruits de pas et lorsque je m’approche du deuxième niveau, j’entends des bruits étranges. Je m’approche de sa porte restée entrouverte et je la vois nue qui danse en se caressant aux sons de son ordinateur qui manifestement diffuse un film coquin. Alors que j’hésite à repartir discrètement, elle me fait un signe montrant qu’elle m’a vu d’une part et m’imposant le silence d’autre part. La séquence dure quelques minutes encore, l’ordinateur s’arrête et Alexandra toujours nue s’approche de moi en passant langoureusement sa langue sur ses lèvres. J’essaie de ne pas fixer ses seins, mais comment résister à de tels obus. Je me retourne donc pour me diriger vers l’escalier et redescendre lorsque, par derrière, mon bermuda est brusquement tiré vers mes genoux. La surprise laisse le temps à Alexandra de m’entourer de ses bras et de saisir ma verge qui n’en revient pas et le manifeste. Elle commence à me branler et, ne sachant plus vraiment comment réagir, je la laisse faire avec un plaisir non dissimulé par l’ampleur que prend l’organe en question. Les autres doivent s’impatienter en bas, que dois-je faire ? Ma bite répond pour moi alors qu’Alexandra l’a maintenant engloutie profondément sans me demander mon avis.
— Arrêtez, vos parents m’attendent.— Pensez-vous, je parie qu’ils ont déjà passé les préliminaires et entraîné votre femme avec eux.— Cela n’est pas possible, vous ne connaissez pas encore bien mon épouse. Elle n’a eu qu’un homme dans sa vie et considère le sexe uniquement comme un moyen de reproduction.— Ne vous inquiétez pas, mes parents savent déniaiser n’importe quelle bourgeoise, même la plus coincée.— Mes mains se posent sur sa tête pour accompagner ses mouvements.— Elle a les genoux écartés, je me courbe pour caresser ses deux seins, fermes à la peau douce et tendre et dont les tétons se dressent énergiquement au centre de petites aréoles sur sa peau de rousse.
Rapidement je n’en peux plus, car elle a une technique irrésistible d’enroulement de sa langue autour du gland et j’éjacule longuement dans sa bouche. Elle avale et me pompe jusqu’à la dernière goutte. Remettant en place mes outils dans mon bermuda, je m’apprête à descendre non sans lui avoir posé la question :
— Que faisiez-vous devant ce film ? — Mes parents croient que je vis comme influenceuse. Ce n’est qu’en partie exact. En fait j’arrondis largement mes fins de mois avec des clips érotiques. Surtout ne leur dites pas, je suis leur fille unique et ils m’adorent et ont une confiance absolue en moi.
Au moment de redescendre, elle me dit :
— Allez-y seul, j’arrive dans quelques minutes, une fois présentable. 
Arrivé en bas, stupéfaction !Delphine est serrée entre Jacques toujours en slip de bain et Catherine dont le chemisier est largement ouvert, et ils regardent des photos sur une tablette.
— Maxime venez voir notre croisière du mois de juin en Corse sur un voilier.
Je m’approche et reste debout derrière Delphine, les mains sur ses épaules. Les photos défilent, très beaux paysages, et parmi elles des photos de nos navigateurs en tenue d’Adam et Eve qui ne paraissent pas choquer ma douce épouse, que je sens cependant frémir quand apparaît Jacques le membre dressé. Alexandra arrive pile à ce moment, voit la photo et s’exclame :
— Oui Papa, c’est vrai que tu en as une belle queue, mais si tu veux te mettre en valeur, passe nous la vidéo avec Maman.— Non ma chérie, il ne faut pas exagérer, nous nous connaissons à peine avec nos hôtes.— C’est vrai, répond ma femme, et il est l’heure de rentrer dîner.
Au moment où elle se lève, passe un grand jeune homme brun avec une brouette.
— Je vous présente Marco, notre jardinier - garde-chasse.— Bonjour Marco, voilà la famille qui réside à l’Annexe pour deux semaines.— Bonjour M’sieurs Dames, dit-il en ne s’arrêtant pas, mais son regard s’est attardé sur Alexandra.— Allez, on y va, merci pour l’apéro et bonne soirée.

Le lendemain dimanche, nous allons déjeuner chez une de nos filles et n’avons pas de contact avec les Durofon.
Lundi, c’est le jour du marché régional, Delphine propose à Catherine de l’y emmener, ce qu’elle accepte bien volontiers. Au moment de partir, elle arrive avec son mari. Les voilà donc partis tous les trois pour deux heures environ, sachant qu’en plus des commerces maraîchers, il y a beaucoup de vêtements, chaussures et stands de produits régionaux. J’en profite donc pour aller à la piscine seul, faire des longueurs tranquillement sans être perturbé ou éclaboussé par des enfants. J’en suis à ma huitième longueur quand arrive Alexandra, elle me sourit, se déshabille totalement et se met à l’eau avec un plongeon parfait. En crawl, elle va deux fois plus vite que moi et elle nage bien en ligne parallèlement à moi. Lorsqu’elle sort, elle s’allonge sur un transat, le dos au soleil. Quelques minutes plus tard, c’est à mon tour d’émerger. Et alors que je m’essuie, Alexandra me demande :
— Vous pouvez me passer de la crème sur le dos, car cela chauffe ?
Je m’exécute, en commençant par les épaules et descendant jusqu’aux chevilles puis en remontant, je ne peux m’empêcher de m’attarder sur ses deux fesses, dont la fermeté m’épate et je les masse lentement, puis mes mains les écartent légèrement et tout doucement mon doigt suit la raie qui mène à son œillet. C’est à ce moment précis que j’entends un bruit de voiture. Je stoppe donc immédiatement cette activité, et ayant une trique bien visible, je rentre en vitesse au château pour ne pas être surpris dans cet état par ses parents et par ma femme.
Effectivement, je les vois arriver par la fenêtre de ma chambre. Les deux femmes marchent bras dessus bras dessous en plaisantant alors que Jacques se coltine une multitude de paquets. La curiosité me pousse à y retourner, mais il faut que je me change, car mon arrivée en maillot de bain trempé peut interroger. C’est donc en bermuda que j’arrive. Elles déballent devant Alexandra leurs emplettes. Celle-ci m’interpelle :
— Où étiez-vous, vous auriez pu venir profiter d’un bain bien agréable sous ce soleil et me tenir compagnie ?— J’ai fait des rangements et du tri, mais je compte bien maintenant en profiter. Mais vous commencez à brûler. Il faut mettre de la crème anti solaire.— Papa, tu m’étales de la crème s’il te plaît.
Jacques s’exécute et reproduit les mêmes gestes que j’avais faits quelques dizaines de minutes auparavant, si ce n’est qu’il s’attarde moins sur les fesses et n’effleure pas leur trésor caché. Ensuite, assez prestement, il se dénude et se jette à l’eau, mais nous avons eu le temps de remarquer qu’il n’avait pas été insensible au massage effectué sur sa propre fille. Seule cette dernière, sur le dos, n’a pas pu le voir bander. Son membre est long et fin, de belle taille sans être exceptionnel, non circoncis. En fait nos proportions sont assez similaires si ce n’est qu’il est totalement épilé ce qui n’est pas mon cas. Par contre du côté des abdominaux il n’y a pas photo. Je commence à bedonner et quand je suis debout je ne vois plus ma bite si elle est au repos.
Catherine ôte alors tous ses vêtements alors que ma Delphine enlève timidement son chemisier et son soutien-gorge, ce qu’elle n’a pas fait en public depuis quinze ans lorsque nous étions dans les gorges de l’Allier. J’hésite sur l’attitude à adopter puis finalement, à mon tour, je me dénude et me jette à l’eau. Qu’il est agréable de sentir l’eau glisser sur la totalité de son corps, cela donne une impression de liberté. Et les deux femmes viennent nous rejoindre. Delphine a toujours son bas de maillot. Elle semble également apprécier la douceur de l’eau sur ses seins. Ils sont restés superbes malgré ses deux grossesses et les années. Certes ils se tiennent un petit peu moins fièrement, mais assez pour que leur vue m’émoustille encore. Je remarque le manège de Jacques qui la frôle souvent, de plus en plus dirais-je, puis s’approche d’elle, lui susurre quelque chose à l’oreille, ce qui la fait rougir. Et il l’embrasse sur une joue. Alors que je les observe de loin, Catherine vient contre moi alors que je suis les deux bras sur la margelle, elle glisse un bras dans l’eau, me prend la bite en mains et me dit :
— Ne vous inquiétez pas, on va vous la décoincer en douceur.
Delphine a dû nous voir et semble se venger en effleurant le membre de Jacques avant de se remettre à la nage, ce que finalement nous faisons tous. Je m’interroge la façon de sortir de la piscine avec mon organe en érection, alors que leur fille nous observe. Sans hésitation, Jacques sort de l’eau, tenant sa femme par la main, et ils vont s’allonger côte à côte sur le carrelage, la verge pointée vers le ciel. Pour ma part, j’ai un peu débandé et je sors en même temps que Delphine et nous nous allongeons à notre tour sur le dallage à un mètre d’eux où nous avons étendu nos serviettes.
— Tu peux enlever ton maillot maintenant, il n’y a plus que toi à masquer quelque chose.— Tu crois que j’ose ?— Vas-y, lâche-toi.
Ce qu’elle fait lentement, mais en se mettant sur le côté, en me regardant, un sourire un peu figé sur ses lèvres. Sa toison brille au soleil et je ne peux pas m’empêcher d’y passer les doigts puis de lui embrasser un bout de sein. Retournant sur ma serviette, je réalise alors que Catherine s’est rapprochée de Delphine et lui passe sa main sur la hanche, puis sur le ventre. Les yeux fermés, elle ne se dérobe pas et semble même apprécier ce qui lui arrive, son corps réagit, elle se laisse faire. Le doigt de Catherine s’aventure entre ses lèvres intimes et je devine que ma femme si prude commence à prendre goût à ces caresses. Elle écarte les jambes, ce qui permet à sa nouvelle amie de s’immiscer plus profondément jusqu’à ce qu’on perçoive un doux gémissement.
Le temps passe et nous nous profitons tous des rayons du soleil. Tous, non pas vraiment, car, des chuchotements me parviennent alors, et en me tournant sur le côté je vois Jacques qui pénètre Catherine avec douceur. Cela m‘excite fortement, je me dirige vers Delphine, commence à la caresser, introduis avec douceur un doigt dans sa grotte qui est déjà bien mouillée. Les activités de nos voisins l’ont excitée. Je m’allonge sur elle, positionne mon gland où il veut aller. Elle saisit alors ma verge et l’aide à pénétrer dans son fourreau bien lubrifié puis elle me caresse les couilles et me donne le tempo. Je suis tellement excité, que ce n’est qu’après une dizaine d’allers et retours que j’éjacule comme j’ai rarement éjaculé, la bite arquée jusqu’à la douleur, propulsant une quantité de sperme que j’imagine abondante alors qu’elle jouit elle-même sans retenue.
Alexandra nous interpelle tous.
— Alors les parents vous vous amusez bien alors que je suis seule.— Ma pauvre chérie, il n’y a ici personne de ta génération et les vieux que nous sommes pour toi, n’y peuvent rien.
Elle me regarde avec un sourire en coin.
— Il y a bien Marco le garde-chasse, dis je alors sans réfléchir.
Rentrés chez nous, nous discutons peu de ce qui s’est passé, mais Delphine est gaie, probablement libérée d’un carcan qui a sauté. La nuit est calme, avec l’âge mes réservoirs ont besoin de temps pour se ressourcer. Et c’est en se réveillant le lendemain matin qu’elle me dit :
— Tu te rends compte de ce que l’on a fait ?— Oui, dis-je, l’amour sans contrainte.— D’accord, mais face à un autre couple et une vraie jeune fille.— Si tu veux, mais je la crois moins sage qu’elle n’y paraît.— Elle ne me paraît pas non plus innocente si tu veux mon avis.— Probable qu’elle n’est pas vierge et doit s’y connaître en sexe, ne serait qu’en voyant ses parents faire, rappelle-toi les photos du bateau.— Sans oublier qu’elle a parlé d’une vidéo... d’ailleurs, il faut arriver à la visionner ! — Que penses-tu qu’il y a dessus ?— Probablement une séance de baise. Mais y participe-t-elle comme caméra woman ou comme actrice ?— Un inceste et je n’y crois pas. Franchement, au marché, Catherine m’a fait l’effet d’une femme bien à laquelle on donne le bon Dieu sans confession.
En sortant du lit, elle reste en chemise de nuit courte sans mettre immédiatement sa robe de chambre ce qu’elle fait habituellement.
Elle se dirige vers la glace murale et me dit :
— Est-ce que je fais encore autant d’effet qu’elle ?— Comme cela non, mais enlève tout que je puisse te donner franchement un avis d’homme.
Aussitôt dit, aussitôt fait...
— Et bien ma petite chérie tu n’as rien à envier à personne.— Tes seins sont toujours magnifiques et se tiennent encore bien. Certes un peu moins arrogants que quand tu avais vingt ans, mais ils sont plus matures. Dommage que tu les enfermes toujours dans un soutif. Lâche-les un peu pour qu’ils vivent libres.— Je te vois venir, je vivrais torse nu si je t’écoutais.— Non, tu serais carrément à poil, car tu as gardé des hanches fines et des fesses qui se tiennent bien.— Bon je te crois, car cela me fait plaisir.
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