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Un été chez mon oncle Daniel

Chapitre 1

Inceste
Un été chez mon oncle Daniel(Co-écrit avec mon mari)

J’avais 40 ans quand nous avons passé, avec mon mari Sylvain, nos vacances dans les Landes chez mon oncle Daniel. Cela faisait longtemps que nous ne nous étions pas vus et c’était également l’occasion de passer des vacances à moindres frais. Mon oncle Daniel 68 ans à cette époque vivait dans une jolie ferme en campagne, avec des dépendances et un superbe potager dans lequel j’aimais y passer du temps, pour flâner, lire...
Avec mon mari, nous passions la majeure partie de nos journées à visiter les environs, balade à cheval, balade à vélo et dégustation des produits du terroir.
Questions sexe, nous profitions de l’absence de mon oncle en journée pour baiser un peu de partout, salon, chambre, salle de bain, cuisine, mais aussi sur la terrasse et dans la piscine hors sol.
Ce soir-là, mon oncle était parti se coucher après le repas. Avec Sylvain, nous étions restés sur la terrasse à déguster une délicieuse liqueur aux plantes. En regardant vers le potager, j’ai eu une envie que je partageai avec mon mari. Nous n’avions pas baisé dans l’immense potager de mon oncle... L’idée nous ravit et c’est rapidement que nous nous sommes dirigés vers le potager. Nous traversions les pieds de tomates qui nous dépassaient en hauteur pour arriver à côté de la fontaine. Je quittais mon string et mon soutien-gorge, et me retrouvais nue sous ma robe blanche. J’étais très excitée, et je sentais déjà ma chatte bouillir d’envie. Sylvain me regarda et m’embrassa en me remontant ma robe.
— Tu me fais bander comme un cochon, me dit-il en l’ôtant complètement.

Ma main caressait sa bite dure à travers son short. Je baissais la braguette pour la sortir et la branler avec ma main pendant que nous nous embrassions à nouveau. Sa mouille coulait dans ma main, ce qui facilitait la masturbation. Mmmm que j’aime ça le faire bander et le faire mouiller.
Il était temps que je la mette en bouche. Maintenant accroupis au pied de mon mari, je léchais le filet de mouille qui coulait de son gland avant de la mettre dans ma bouche pour le sucer goulûment. De temps à autre, j’aime lui caresser les bourses également, les sentir gonflées et bien pleines m’excite, je dois l’avouer.
— mmmm c’est bon continue Delphine.
Au bout de quelques minutes, il reprit en me disant:
— J’ai envie de ta chatte, mets-toi à quatre pattes que je te prenne en levrette.— Mmmmm oui viens, j’ai envie de ta bite, je suis trempée, mais avant, je vais faire pipi, le bruit de l’eau de la fontaine m’a donné envie.

Je me suis éloignée de 3 ou 4 pas, me suis accroupi face à mon mari et j’ai fait pipi devant lui.

Ensuite, je m’exécutais en me mettant en position de levrette. Je regardais vers la ferme au cas où une lumière s’éclairait, mais il était déjà 23h00. Soudain, le doigt de mon mari entra fouiller ma chatte, avant que celui-ci me pénètre avec sa belle verge.
— Mmmmm oui, vas-y mon chéri, baise-moi.
Une mouille abondante coulait de mon vagin, inondant la bite de mon mari et mon entrecuisse. Les allées et venues de cette bite dans ma chatte étaient un délicieux plaisir. Au bout d’un moment, il se retira. Je l’entendais derrière moi, farfouillais dans le potager puis soudain, je sentais contre mon vagin quelque chose de gros et frais.
— mmmm qu’est-ce que c’est mon chéri ? — Je t’ai ramassé un joli concombre, je vais te goder avec.— Oh mon salop, vas-y doucement, mais je le veux avec plaisir.
Mon vagin s’est dilaté et j’ai senti le large concombre me pénétrer. Un cri aigu de plaisir a retenti dans le potager, je prenais un plaisir immense. Mon mari me godait avec ce concombre et j’aimais cela. Mes gémissements et mes cris étaient de plus en plus prononcés, je sentais la jouissance monter en moi.
— mmmm attends, je vais jouir c’est trop bon.
Sylvain n’arrêtait pas, il prenait un malin plaisir à me branler avec le concombre et me voir dans tous mes états.
— Jouis ma chérie, si tu en as envie comme ça.
Je ne m’étais pas fait prier, quelques secondes plus tard, une explosion dans mon bas-ventre accompagnait mon cri de plaisir.Quand mon mari retira le concombre, toute ma mouille et ma jouissance explosèrent hors de moi. Cela dégoulinait. Rien que d’y repenser, ma chatte en est trempée.
Debout contre le mur, j’écartais mes fesses avec mes mains pour offrir mes trous à mon mari.
— Mmmm je vais te prendre la chatte et ensuite je te sodomiserai mon amour.
Sylvain me baisait à présent debout et à chaque coup de bite, de la mouille et de ma jouissance giclait de mon vagin, aspergeant nos cuisses, mes fesses et son bas-ventre. C’est à ce moment-là que j’aperçus à quelques mètres, trois rangées plus loin une ombre qui n’était autre que mon oncle.Je restais figée comme prise de panique, impossible de bouger. Juste la capacité de chuchoter à mon mari :
— Merde, il y a mon oncle qui nous mate.— Où ? Je ne le vois pas, tu es sure.— Sur ta gauche près du figuier.
Je m’attendais à ce que mon mari se retire et j’étais prête à me rhabiller rapidement. D’autant que mon oncle, certainement gêné d’être démasqué, avait reculé de quelques pas, prêt à partir. Mais il n’en fut rien. Sylvain continua à me baiser en accentuant les regards vers mon oncle comme pour lui signifier que nous l’avions vu et qu’il ne dérangeait pas. Les sentiments se mélangeaient en moi, j’étais prise de honte et très gênée, mais à la fois excitée par la situation. Nous pratiquons le nudisme l’été et cela ne me dérange pas de me faire mater j’avoue, mais là par mon oncle et en train de baiser quand même. Et mon mari qui continuait à me prendre avec plaisir, à me caresser les seins.Sylvain prit la parole le premier.
— Cela te plaît, ça t’excites Delphine ? Sinon on arrête et tu te rhabilles vite.
Que faire, arrêter, continuer ?Je regardais mon oncle se caresser la bite. Elle n’était pas très longue, mais elle avait l’air bien large et épaisse et son gland était brillant de mouille. Il me matait mes seins, ma chatte, il me matait en train de me faire baiser et je ne sais pas si c’était la liqueur de plantes, mais je commençais sérieusement à aimer cela.
— Continue mon chéri, cela me plaît.— mmmm d’accord j’espérais que tu dises cela. C’est toi qui commandes maintenant, je te laisse aller à tes désirs.
Je voyais bien où mon pervers de mari voulait en venir.
— Approche-toi, demandais-je à mon oncle.

Plus il venait vers nous, plus j’étais excitée. Arrivé juste à côté de mon je pouvais nettement mieux le distinguer. Il continuait à se caresser et branler le sexe en me regardant.
— Ça te plaît à ce que je vois, viens ça va rester entre nous 3.
Il acquiesça.
Je tendais à présent le bras pour attraper sa verge afin de le branler. Dans ma main durcissait encore plus la bite de mon oncle Daniel et j’éprouvais une excitation rarement égalée. Je me sentais plus chienne que jamais.
Il était temps de me pencher pour le sucer, je savais maintenant que j’allais baiser avec lui aussi. Prendre la bite de mon oncle dans ma bouche, puis ensuite demander à mon mari de lui céder la place pour sentir sa bite entrer en moi, l’idée me ravit.
Dans l’instant, je léchai sa pine pendant que mon mari continuait à me prendre serrant ses mains sur mes fesses et donnant quelques coups plus forts, ce qui faisait entrer la bite de mon oncle entièrement dans ma bouche.
— Alors, elle est bonne la bite de ton oncle Daniel.— mmmm oui mon chéri, je suis aux anges.
Je repris en demandant à mon mari :
— Tu veux bien lui laisser ta place pour qu’il me baise à son tour ? — Oh oui bien sûr ma chérie, fais-moi voir ça.
Sylvain se retira et s’écarta de moi. Mon oncle prit place. J’ai senti tout d’abord ses mains rugueuses sur mes fesses, puis doucement, son gland sur mon clitoris qui glissa légèrement entre mes lèvres. Mon oncle était en train de me pénétrer et j’aimais ça. Sa bite épaisse et large glissa dans mon vagin humide et brulant. Je me donnais à lui avec beaucoup de plaisir.Sa verge sortait et entrait en moi de plus en plus vite, mes seins commençaient à balloter d’avant en arrière quand j’ai eu envie de changer de position.
— Daniel, allonge-toi dans l’herbe pour que je vienne m’empaler sur toi.— Bien sûr avec plaisir.
Je regardais Sylvain avec un regard de cochonne qui en disait long. Lui était ravi également de la tournure des évènements. Nous n’aurions jamais imaginé un tel scénario même dans nos fantasmes les plus fous et pourtant. Je sentais mon oncle se retirer de moi et une fois qu’il eut été allongé par terre, je venais sur lui, pris sa bite dans ma main, la portai à ma chatte et m’empalais sur lui. Le plaisir fut encore plus grand, car à présent, je pouvais regarder mon oncle dans les yeux. Il me baisait, et je me sentais très salope d’aimer ça. Je me frottais sur sa bite, tantôt elle sortait puis me pénétrait. Je me sentais dégouliner comme jamais sur sa bite, cela coulait sur ces couilles. A présent, il caressait mes seins puis il s’est mis à les lécher. Je criais de plus en plus fort de plaisir en disant.
— Ouiiiii Daniel baise-moi, c’est bon mmmmmm.
Ou « Tonton mmmm elle est bonne ta bite, je suis ta salope »
Je n’en pouvais plus, mes cris et gémissements raisonnaient dans la nuit.
Soudain, je me suis rendu compte que je ne voyais plus mon mari. Ce cochon était derrière nous, il regardait la bite de mon oncle entrer et sortir de ma chatte et se branlait, admirant le spectacle.
J’étais au bord de l’épuisement, j’allais jouir à nouveau.
— mmmmm je vais jouir Daniel et toi ? — Je me retiens pour profiter je t’avoue Delphine.— Tu vas jouir dans ma chatte, j’en ai trop envie, t’inquiète, je prends ce qu’il faut.— Et toi mon chéri ? — Je vais venir te sodomiser comme promis.
Mon mari se positionnait derrière moi, le gland sur mon anus. Son gland dur et humide poussait sur mon anus qui se dilatait facilement. La verge dure glissa dans mon cul.
— mmmmm je sens vos deux bites mes cochons, je vais pas tarder à jouir.— Oh putain c’est bon ma chérie, je sens la bite de ton oncle.
Mes deux pervers me baisaient avec plaisir. Je sentais ces grosses queues en moi qui bougeaient dans tous les sens. Parfois, j’avais uniquement la bite de mon oncle dans la chatte, parfois uniquement la bite de mon mari dans le cul et le top s’était bien quand les deux bites étaient en moi. Tout s’est accéléré, mon oncle me regardait toujours quand dans un râle je l’ai senti éjaculer en moi, ce qui m’a fait jouir également dans un râle aussi fort que le sien. J’appréciais de sentir son sperme en moi.Quelques secondes après, mon mari éjaculait dans mon cul en me traitant de salope. Son sperme épais coula hors de mon anus, mais il continuait à me pilonner quelques instants.
Epuisée, je m’allongeais sur mon oncle le temps de reprendre un peu de force.
Remise de mes émotions, et quand j’ai senti mon mari se retirer, je me suis relevée en regardant la bite humide de mon oncle qui avait débandé. Satisfaite de ce que nous avions fait.
Nous nous sommes rhabillés avant d’aller nous coucher sans dire mot, et sans prendre de douche pour ma part.Voilà comment s’est passée ma première fois avec mon oncle Daniel et mon mari.
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