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l'été dernier

Chapitre 2

Voyeur / Exhibition
Nous remontons dans la voiture et prenons la route de l’intérieur. Je cajole Anne au gré des virages tout en dégageant son sexe petit à petit. — Tu peux retrousser ta tunique?. Anne s’exécute: elle retrousse le vêtement et le bloque sur la ceinture de sécurité. Elle met en plus les pieds sur le tableau de bord comme j’aime. Le fait de mettre les jambes en l’air fait apparaître son minou ouvert, je vois ses petites lèvres sortir. Je suis aux anges.La route est quasi déserte sur le plateau. Je prends la main d’Anne et la mets sur son minou.— Tu veux que je me caresse?.— Oui,Anne me regarde, puis doucement commence sa masturbation. Elle se laisse aller, les yeux fermés. Son sexe est luisant, tout rouge d’excitation.Et c’est ainsi que nous arrivons devant le restaurant prévu pour notre étape.Après un temps de silence Anne se tourna vers moi, me sourit et me dit:— Ça t’a plu?— Oui, bien sûr (comment ne pas être heureux du spectacle que ma femme me donnait, il y a un instant?).
Nous sortîmes de la voiture après qu’Anne eut un peu arrangé sa tenue.Le repas se déroula dans une ambiance de plénitude pour notre couple. Nous étions en harmonie, le spectacle devant nous était grandiose car la terrasse dominait la mer et une partie de la côte en enfilade. Le repas était simple mais savoureux. Le chant des cigales et la brise légère nous berçaient. Je notai juste avec un certain amusement que le serveur s’attardait volontiers sur le corsage d’Anne. Nous décidâmes d’amorcer le retour à l’embarcadère distant d’une trentaine de kilomètres par les petites routes de l’intérieur pour essayer de découvrir ce qui pouvait rester d’authentique dans cette île.Nous traversâmes plusieurs villages endormis par la chaleur de ce milieu d’après-midi. Anne, passionnée de photos, ne manquait pas de me faire arrêter à chaque fois que cela lui paraissait nécessaire. Elle était toujours cul nu. J’eus des sueurs lorsqu’elle photographia en plein village un clocher à dix mètres de trois hommes de la soixantaine attablés alors que les bras levés, les voitures qui passaient risquaient de faire monter le tissu de sa robe et laisser apparaître ses fesses. Je lui proposai de mettre son short. Elle me regarda et me dit :— Tu m’as voulue cul nu, assume!— Nous nous arrêtâmes ensuite à quelques kilomètres de là, au pied d’une tour moyenâgeuse, située à la sortie d’un village au bout d’une petite route. Anne toujours l’appareil photo à la main voulut faire quelques prises. Nous attendîmes le départ de la seule voiture de touristes. Elle s’approcha pour effectuer une contre plongée de la tour. En levant les bras, elle releva sa robe et un souffle d’air fit le reste!.Elle était nue sous mes yeux jusqu’au nombril!. Son sexe lisse était légèrement ouvert. Heureusement, personne aux alentours. C’était déjà çà!. Elle continua et s’appuya contre une rambarde. Pour mieux se pencher, elle mit sa jambe gauche sur un muret pour se stabiliser, comme si de rien n’était, avec le vent qui lui remontait la robe jusqu’en haut du ventre!. Elle continua ainsi ses prises.— Monsieur s’est bien rincé l’œil?. Allez emmène moi à la plage, j’ai chaud.
Nous repartîmes vers la côte. Au bord de la première plage qui nous plût, nous nous changeâmes pour nous baigner. Après plus de deux heures de barbotages, et de bronzage, nous décidâmes d’aller boire un verre pour, ensuite, reprendre le chemin du bac qu’il ne fallait surtout pas rater. Anne s’entoura de son paréo blanc cassé avec des fleurs beiges et marron. Elle enleva son soutien gorge et nous nous installâmes en face de la mer dans une terrasse déserte. Je la caressai. Elle vit mon regard sur le pli du paréo au niveau de sa culotte de maillot. D’un regard, elle vit le serveur tourné vers son bar. Elle me regarda et dans un geste écarta le pan de tissu, mit ses pouces entre elle et le slip, le baissa le plus discrètement possible. Me le donna.
— C’est çà que tu voulais?. Je lui souris et mis le maillot sur la table. Anne dont le paréo n’était plus tenu par la culotte laissait voir sa cuisse de mon côté et montrait qu’elle était à poil sous l’étoffe. Le serveur s’approcha. Anne tira sur le paréo pour se couvrir au mieux. L’homme nous présenta la note. Je remarquai que son regard allait de la table à Anne. J’avais oublié de ranger la culotte dans le sac à dos!Nous payâmes et partîmes rapidement alors que le serveur nous suivait du regard.Devant la voiture, je dénouai le paréo et le rattachai en plaçant le nœud à gauche.— Pourquoi fais tu cela? — Surprise!— Il faut que je me change. Mince, j’ai oublié mon short, je vais devoir conduire avec ce maillot de bain mouillé que j’ai depuis ce matin sur moi. — Tu n’as qu’a l’enlever, et le mettre à sécher sur la plage arrière. Mets toi une serviette autour de la taille, il sera sec dans moins d’une demi-heure et tu pourras voyager et conduire au sec.Je m’exécutai, pas certain que conduire comme cela soit idéal, mais bon!Nous reprîmes la route. Bien sûr, rapidement je fis remonter le paréo sur le ventre d’Anne. Et c’est sur une ligne droite, qu’elle comprit pourquoi j’avais noué son vêtement autrement: J’écartai les pans du paréo au niveau du sein gauche et commençai à la caresser.— Tu es fou? les fesses, je veux bien car j’ai vu que sauf les camions on ne peut pas me voir mais là, j’ai le sein à l’air!.— Tu as un paréo assorti à ta peau, ton aréole se confond avec les fleurs de l’imprimé et puis c’est un petit plus pour moi.— Si çà continue, on va avoir un problème, je suis presque à poil et tu as la main sur mon minou.— Tu es jalouse?.— Qu’entends tu par là?— Tu n’aimerais pas faire de même pour une fois? Et d’un regard je lui montrai mon entrejambe avec mon gland qui sortait d’entre les pans de la serviette qui glissait petit à petit.— Ce n’est pas dangereux?— Non, on roule presque au pas sur ces routes de bord de mer. C’est limité à trente et il n’y a quasiment pas de circulation ici.Sans me regarder, Anne tendit sa main gauche et m’attrapa le sexe. Elle commença un va et vient doux. J’écartai les cuisses au mieux. Elle glissa ses doigts entre mes jambes et dégagea mes testicules pour bien mettre ma verge dehors. Le gland touchait le volant. Elle le décalotta doucement reprit mon membre et les va et vient, mais plus fermement cette fois. Son regard allait maintenant de la route ou elle surveillait les voitures qui venaient d’en face, à mon sexe en érection. Dans un virage, le nœud de la serviette se défit et je me retrouvai nu, puisque je n’avais pas encore remis de chemise avec la chaleur. Je voulus m’arrêter pour refaire le nœud.— Non, je te veux comme çà, nu comme moi, la bite en érection, ton gland à l’air.Je repris la route et la laissai faire avec mon joujou qui devenait le sien. Je continuai mes caresses de son sexe à son sein. Mon sexe était très dur et gros, tendu par l’excitationUn cabriolet vint en face, je voulus rabattre la serviette, mais Anne refusa:— Laisse, je veux te voir gros, bien dur. Anne, en regardant les occupants de la voiture d’en face tira sur la peau de ma verge, comme si elle voulait la faire sortir plus encore.Heureusement, la carrosserie cachait mon érection. — J’ai envie, dit-elle.Et sans prévenir, elle se pencha et prit mon gland dans sa bouche. Je compris que même sur une route quasi déserte, en roulant au pas, je ne pouvais pas continuer ainsi. Je tournai dès que je pus sur un petit chemin de terre, à droite entre des oliviers. Anne continuait à me caresser. Au bout de deux cent mètres au milieu des arbres et des broussailles, le chemin s’arrêtait devant une maison qui était en construction, face à la mer. Visiblement les travaux avaient été suspendus et l’endroit semblait désert. Sans un mot, j’ouvris la portière, Anne leva la tête pour voir ou nous étions.J’en profitai pour me dégager et sortir de la voiture, complètement à poil, le sexe tendu, luisant, tout juste sorti de la bouche de ma femme.Anne comprit de suite, et après avoir jeté un regard alentours, elle sortit elle aussi, dégrafa le nœud du paréo qui tomba, elle était entièrement nue.Je la pris dans mes bras et commençai à la caresser, ma verge entre ses cuisses.— Viens, dit elle j’ai envie. Elle se rassit sur le fauteuil, recula et baissa le dossier de celui ci, puis mit sa jambe gauche en l’air, le pied en appui sur le tableau de bord. Je me mis entre ses cuisses et m’appuyant contre le fond de la voiture, je la pénétrai complètement, d’un coup. — Oui, comme çà, tu es gros!.J’allai et venais dans son ventre rapidement, jusqu’au fond d’elle. Rapidement, elle entoura mes reins avec ses jambes, se tendit et jouit dans un râle. Il était temps, n’y tenant plus j’explosai dans son vagin, aussi loin que possible, prolongeant son orgasme..— Oui, oui, c’est çà donne moi tout chéri, me dit-elle.Nous restâmes ainsi quelques instants, l’un dans l’autre, hors du temps et hors du lieu.Puis elle desserra ses cuisses et regarda autour.— Tu crois qu’il n’y a personne?— Je ne crois pas mais en fait, j’en sais rien, je n’ai pas eu le temps de vérifier.— Il vaudrait mieux qu’on parte, tu ne vois pas qu’une personne sorte de la maison? Tu es encore dans mon ventre. Partons, vite! Anne avait parfois de ces peurs peu contrôlables avec lesquelles il fallait composer. Je retournai au volant, encore nu et après un demi-tour, nous reprîmes le sentier. Anne renoua son paréo et mit une serviette entre ses cuisses. Pour ma part je nouai la sortie de bain qui me servait de pagne et sans un mot, nous repartîmes en direction de l’embarcadère. Il était temps car la navette arrivait. Heureusement, l’embarquement se faisait lentement et nous eûmes le temps de nous isoler au bout du quai pour une petite toilette et pour nous mettre dans une tenue décente.Sur le pont nous échangeâmes avec des retraités grecs sur nos impressions de cette île. Ils étaient enchantés d’entendre Anne parler leur langue, malgré quelques difficultés liées au manque de pratique. Elle leur conta notre journée, traduisant pour moi. Je notai tout de même et fort heureusement dans son récit quelques « blancs » qu’elle combla pour moi par un sourire entendu.
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