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Ai je été entendue près de la rivière ?

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Avec la collaboration de Yanos :
Aujourd’hui, c’est repos ! Et c’est cool. Il fait beau, il fait chaud et je ne compte pas rester enfermée toute la journée. On a eu notre lot d’enfermement ces derniers mois. Il 10h30 et je décide d’aller faire un tour à la rivière. J’ai un petit coin favori que j’aime beaucoup. Petit bikini blanc et par dessus une jolie robe rouge et blanche et toujours mes petites baskets blanches. Je n’oublie pas ma serviette de plage, mes lunettes de soleil et zou ! C’est parti ! Dans la voiture il fait encore plus chaud mais mon petit coin de paradis n’est pas très loin donc je supporte aisément le peu que j’ai à parcourir. Une fois garée, je descends de ma bagnole et je marche tranquillement en pleine nature jusqu’à arriver à l’endroit idéal pour faire bronzette. Il y a quelques arbres et rochers mais la "plage" est plutôt bien exposée au soleil ; à cet endroit, la rivière est profonde ici et là, je n’ai même pas pieds partout. En semaine et le matin, c’est assez tranquille. Par contre, en cette saison, dès la fin de journée et les week-end, il peut vite y avoir beaucoup de monde ici.
Je pose mon sac et en tire ma serviette que j’étale. Je retire ma robe et les chaussures puis je m’allonge tranquillement. Je sors ensuite mon enceinte connectée et je mets de la musique avec mon téléphone, en fond. Assez rapidement, vu que je suis seule je me décide à retirer entièrement mon maillot de bain. Me voilà entièrement nue sur la rive. J’en profite pour vous décrire le spectacle que j’offre : je suis une brune aux cheveux très noirs, longs et ondulés, j’ai de jolis yeux gris qui changent suivant la lumière et j’ai une bouche pulpeuse et douce au baiser. Je mesure 1m62 pour 66kg. J’ai une poitrine plutôt généreuse comme on dit : un superbe 95 D/E. Des seins fermes et bien ronds avec de belles aréoles bien dessinées et des tétons sensibles ni trop petits ni trop grands. J’ai un ventre assez plat. Pour le bas, je fais un 44 avec des fesses imposantes et rebondies. Ma minette est toute lisse, impeccablement épilée. Voilà ainsi, vous avez une image plus nette de la scène.
Après avoir bronzé, allongée sur le ventre, je me décide à profiter de la rivière pour me rafraîchir. Je pénètre doucement dans l’eau qui s’avère un peu frisquette, d’autant plus que le contraste avec la température de l’air est saisissant. Mais je m’enfonce doucement mais sûrement dans l’eau douce et fraîche de la rivière. Je fais quelques brasses et longueurs et je profite d’être seule pour savourer le contact de l’eau sur ma peau entièrement dénudée. Je ressors de l’eau après quelques minutes, la brise légère fait naître un peu de chair de poule sur ma peau tandis que mes tétons agacés par la fraîcheur pointent fièrement et outrageusement. Je sors de la rivière pour rejoindre la berge, nue, pratiquement au ralenti, on dirait presque une scène de film. Je ne vais pas m’embêter à m’essuyer avec ma serviette, je vais me contenter de sécher au soleil et au vent. La musique m’accompagne toujours alors que je me rallonge sur le tissu étendu sur la rive.
C’est sur le ventre que je m’installe, histoire de faire dorer un peu mon dos et mes fesses. Le soleil tape toujours aussi fort et je savoure ce moment de plaisir nudiste et solitaire. Je savoure tellement que peu à peu, une envie s’insinue en moi… Ainsi, je me retourne et je m’allonge sur le dos. Je saisis mes lunettes de soleil pour cacher mes yeux de la lumière accablante. Un regard à droite, un regard à gauche : personne. Je commence donc à caresser ma poitrine, prenant mes seins imposants dans mes mains et jouant avec mes tétons. J’en laisse s’égarer une sur mon ventre à la peau soyeuse. Et puis, lentement, presque de manière automatique, instinctive, mes doigts finissent par atteindre mon pubis glabre. J’écarte un peu les cuisses puis mes grandes lèvres et je fais glisser mon majeur dans la fente ainsi exposée. Je titille gentiment mon clitoris. J’aime cette idée de me toucher en pleine nature. En plus, avec la musique qui tourne toujours, si quelqu’un approche je ne l’entendrai sûrement pas. Vous le savez, c’est exactement le genre de situation qui m’excite et il n’est donc pas étonnant que je me mette à mouiller. Après cinq minutes de jeux de mains (jeux coquins) et de jeux de doigts (jeux grivois) sur mes seins et mon petit bouton gonflé de désir, je tends mon bras pour m’en venir plonger la main dans mon sac afin d’y trouver mon compagnon de plastique, mon jouet favori, mon joujou extra… Oui, toujours le même : mon godemichet long, vibrant et de couleur violette.
Je le prends, l’extirpe de son écrin et je le dirige vers mon bas ventre. J’écarte un peu plus les cuisses pour placer au mieux mon fidèle ami (et amant). Sans plus attendre je le présente à l’entrée de ma chatte et je commence à pousser afin de le laisser me pénétrer enfin. Je ne le mets pas encore en entier, préférant démarrer par de courts va et vient. J’enclenche rapidement les vibrations, histoire de décupler le plaisir. Les jambes légèrement relevées, une main sur le gode et l’autre posée au dessus de ma chatte, mon majeur jouant habilement avec mon clitoris. Mon corps brûle doublement : de l’extérieur, par ce soleil estival et de l’intérieur, par l’excitation qui m’habite. Je fais à présent coulisser mon sex-toy en profondeur et avec plus de force. J’ondule d’extase sur ma serviette et ma cyprine s’écoule sur à l’intérieur de mes cuisses et trempe le tissu.
Il ne me faut pas longtemps pour déclencher le mode de vibration le plus élevé et ces vibrations sont un véritable bonheur. Ajoutez à cela, les allées et venues du jouet en moi, que je fais plus prononcées encore ainsi que mon doigt qui frotte énergiquement mon clito. En plus de cela, il y a aussi le côté risqué de la chose qui m’émoustille énormément et le fait que je sois en extérieur. Bref, tout ça réuni fait que je sens rapidement monter en moi un orgasme qui risque d’être très très fort.
Je ne retiens pas mes gémissements cette fois ; je suis en pleine nature, nue, prise par un plaisir intense et sauvage. Je ne veux et ne peux pas me retenir de crier ma jouissance. À ce moment là, mes gémissements couvrent même la musique qui tourne toujours… Et si un ou des passants se baladent sur le sentier au dessus, alors il est sûr qu’ils peuvent m’entendre et attirés par les bruits, ils pourraient tout aussi bien venir me voir me toucher en se dissimulant. Je ne les verrai nullement ; je suis totalement aveuglée par mon orgasme. En effet, ma jouissance est puissante : mon corps se tend et tremble, ma bouche n’expulse que grognements et gémissements, la sueur s’écoule en même temps que ma mouille, mon bassin semble réclamer les coups de boutoir… C’est un régal. J’enfonce une dernière fois le gode tout au fond de ma chatte, m’arrachant un ultime cri de plaisir. Mon corps se relâche enfin, et je peux retirer le jouet.
Après avoir nettoyé et rangé l’objet du coquin délit, je me redresse doucement. Cette petite séance m’a donné encore plus chaud. Juste le temps de me remettre de mes émotions et je me lève pour retourner me baigner, toujours dans le plus simple appareil. Je rentre dans l’eau et je me laisse porter tranquillement par le courant de la rivière, y dispersant les dernières gouttes de ma cyprine.
Quelle douce matinée d’été...
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