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Un été au soleil

Chapitre 1

Erotique
Nous sommes deux couples dans la fin de la vingtaine d’années. Nous sommes de bons amis même si quand nous étions plus jeunes, Karim et moi Julien, nous avions assez fréquemment échangé nos conquêtes féminines : il n’y avait aucune rivalité. Nous comparions les performances des unes et des autres...

La rencontre avec les deux sœurs Camille et Cécile a tout changé. Elles étaient un peu plus jeunes que nous et avait un peu plus d’un an d’écart. Certes, ce n’était pas des oies blanches car elles se sont laissé facilement convaincre de sortir avec nous lors d’une soirée en discothèque. Cette nuit-là, j’ai sauté Camille dans ma voiture tandis que Karim en faisait autant dans celle des deux sœurs, puis nous sommes retournés danser... ça tombait bien, c’était le moment des danses collées-serrées si bien que j’ai câliné Camille qui se serrait de plus en plus contre moi, en disant qu’elle était bien. Quand nous nous sommes quittés, nous avons promis de nous revoir et quelques mois plus tard, les deux sœurs emménageaient avec nous. Avec Karim, nous avions pu trouver au printemps de l’année passée chacun un petit appartement dans le même immeuble. Un sacré coup de chance !

Lorsqu’il a été question d’organiser les vacances d’été, il y a eu plusieurs propositions de la part de Karim et des deux sœurs mais nous étions unanimes pour souhaiter passer deux semaines au bord de la mer. Mais où ? La Bretagne, le temps est parfois changeant et la mer froide, Les Landes, il y fait un peu plus chaud mais le bord de mer est dangereux avec les Baïnes, La côte méditerranéenne, la mer chaude mais les locations à l’est de Marseille très onéreuses. Finalement, nous avons opté pour la côte languedocienne et je me suis souvenu que mes parents parlaient souvent de la région d’Agde qu’ils avaient trouvée très agréable avec les nombreuses plages naturistes (dont ils étaient de fervents adeptes). Moi, ça ne me gênait pas d’être nu sur la plage. Même si je n’avais plus pratiqué depuis des années, cela ne me dérangerait pas de recommencer...

— Et toi Karim. Qu’en penses-tu ?
— Oh tu sais lorsque je vais au hammam, il y a pas mal de mecs qui se baladent à poil, exhibant leurs attributs virils et espérant faire une rencontre coquine. Mais personnellement, je n’ai jamais été tenté. Tu le sais, je préfère les filles !
— Et vous les filles, vous en pensez quoi ?

C’est Camille l’aînée qui a répondu :
— Moi, je veux bien. Je suis passablement exhib’ et j’ai l’habitude des seins nus sur la plage. On verra bien. Et toi Cécile ?

Cette dernière est devenue rouge comme une pivoine et a répondu :
— Je n’oserais jamais, je n’ai pas envie de montrer mes petits seins et mes fesses à tout le monde ! Tu sais très bien que je suis complexée !


C’est vrai que bien que sœurs, Camille et Cécile sont très différentes morphologiquement. Camille est pourvus d’attraits féminins qui même habillée, attiraient les regards des hommes : Elle a une jolie poitrine juste un peu opulente et des fesses rebondies et cette coquine sait se mettre en valeur : elle porte toujours des vêtements ajustés qui lui font comme une seconde peau. Avec un peu plus d’un mètre soixante dix comme sa sœur, Cécile est un peu plus banale. C’est vrai que ses seins sont nettement moins développés et ses fesses sont plutôt plates. Un jour où je chinais les deux sœurs à ce sujet, elles m’ont avoué que l’une ressemblait à sa mère et l’autre à son père : ‘’un grand échalas dégingandé’’ comme disait Camille.

Finalement la proposition d’Agde a été acceptée et nous avons trouvé à louer un appartement avec deux chambres à proximité immédiate des hébergements naturistes...

Le premier week-end d’août, nous avons pris la route dans ma voiture (plus récente que celle de Karim) et tous les quatre, nous étions d’humeur joyeuse : c’étaient nos premières vacances tous ensemble. Pendant le trajet, que je conduise ou me trouve aux côtés de Camille sur la banquette arrière, je posais distraitement ma main droite sur sa cuisse dès que je le pouvais. Elle s’installait en remontant sa jambe gauche afin de me laisser libre accès au fruit de mon désir
De relai en relai, nous sommes arrivés en début de soirée et notre installation a été rapide. Lorsqu’on va sur la côte méditerranéenne, il ne faut pas beaucoup de vêtements. Les Tee-shirts, Polos, shorts et autres ne prennent guère de place...

Comme prévu, nous avions un grand appartement avec un séjour donnant sur une terrasse d’où on apercevait la mer et chacun une chambre avec un grand lit. Le pied ! Pendant que nous observions les alentours de l’immeuble, les deux sœurs étaient passées dans la salle de bains et bientôt, ce furent de grands éclats de rire qui fusèrent au travers de la porte. Quand elles ressortirent, elles étaienyt hilares et Camille nous interpella :
— Vous ne croirez jamais ce que Cécile a fait avant notre départ ?

Nos regards étaient plein d’incompréhension, et Cécile avoua :
— J’ai rasé les poils de mon pubis hier soir mais il en restait quelques uns que Camille a achevé d’enlever et ça me chatouillait !!!
— Oui. Cécile commence à se dessaler ! Vous verrez que dans deux jours elle se baladera sur la plage complètement à poil !
— On n’en est pas encore là, mais ma toison me tenait vraiment trop chaud...
— Bon, on va se chercher un petit resto’, les kilomètres, ça creuse !

Les filles nous précèdent :
— On est prêtes !!!

Sur le trottoir, les deux filles marchaient côte à côte devant nous. Elles semblaient savoir où aller. Elles s’étaient changées. Camille portait une sorte de saharienne ceinturée à la taille et une minijupe ‘’ras la touffe’’ et se sœur Cécile avai enfilé une robe bain de soleil très courte et échancrée dans le dos. Visiblement, elle ne portait pas de soutif’. Toutes les deux étaient perchées sur des sandales à talon compensé très haut qui les obligeaient à se déhancher pour marcher à peu près correctement. Elles avaient troqué les vêtements de la parisienne pour ceux des vacancières. Je m’adressai à Karim :

— Regarde moi ces coquines qui tortillent des miches. On croirait qu’elles le font exprès pour nous allumer !
— Tu n’crois pas si bien dire. Quand nous étions dans l’ascenseur, Camille frottait ses fesses contre mon ventre et masturbais mon sexe avec sa main droite par-dessus mon pantalon !
— Ah ah ah, la petite sœur se dessale !
— On est arrivés !

Effectivement Camille et Cécile montaient les quelques marches de la terrasse d’un restaurant de plage et s’adressaient à un garçon qui nous dirigea vers une table située dans un angle. Il précisa que nous y seriont bien et tranquilles. Camille s’installa sur la banquette et je me mis à ses côtés tandis de Cécile et Karim s’installaient en face de nous, tournant le dos à la plage quasi déserte. Quand je regardai Camille, je me rendis compte que sa jupe était remontée par la position assise et (heureusement la table fait écran) et dévoilait le haut de ses cuisses presque jusqu’à sa fourche. L’effet a été instantané : nous nous étions bien chauffés en cours de trajet et j’avais envie de la sauter. Ma bite était bandée à m’en faire mal mais je glissai ma main gauche entre ses cuisses et je la remontai vers son intimité que j’ai trouvé humide au travers du tulle de son string...

— Coquine. Tu es mouillée !
— Oui, l’arrachage des derniers poils de la toison de Cécile, ça m’a émoustillé ! En plus, son Mont de Vénus dépourvu de sa pilosité, je ne te dis pas l’effet que cela m’a fait !
— Bah, quand nous irons sur la plage, tu en verras de toutes les sortes...

Notre premier repas a été vite avalé... accompagné d’une carafe de vin rosé de pays il a donné de belles couleurs aux joues des filles, et qui, en regagnant l’immeuble, se firent chattes : Camille,  pendue à mon bras,  me dit des choses grivoises dans l’oreille :
— T’es un coquin. Tu m’as laissée sur mon envie au resto’. Je veux que tu me sautes tout de suie !
— Tu n’veux quand même pas faire ça dans la rue ?
— Si. J’ai envie de me conduire comme une salope !
— Tu l’auras voulu !

Il ne nous faut pas longtemps pour trouver un bosquet de lauriers propice au projet de Camille, qui, dès que nous avons été dissimulés, s’agenouilla devant moi et avala mon sexe d’un seul coup...
— Dis donc. Tu avais faim !
— Oui, l’idée de passer deux semaines ici m’a ouvert l’appétit ! Mais maintenant que tu es bien dur, c’est ma chatte qui a faim et soif !
— Une levrette debout... ça te dit !
— Oh oui. Vas-y ! Le principal c’est que tume baises...

Camille se relèva, me tourna le dos, remonta sa jupe courte sur ses reins et prit appui le long du tronc d’un palmier. A quel moment avait-t-elle ôté son string car son sexe était nu et dans le clair obscur du début de nuit, je voyais son cul bien fendu qui s’offrait à moi d’une manière impudique. Je me glissai entre ses cuisses et d’une poussée violente, je m’introduisis dans son sexe en allant caresser son bourgeon d’une main. Nous avons coordonné nos mouvements mais j’avoue que c’est Camille qui a fait l’essentiel du travail, précipitant ses fesses contre mon pubis quand elle trouvait que mes va-et-vient n’étaient pas assez rapides à son goût, si bien qu’elle ne tarda pas à me faire jouir en comprimant le bout de ma bite avec ses muscles intimes. Dès qu’elle sent mes giclées au fond de sa chatte, elle jouit en poussant un grand cri :
— Enfin, c’est boooon !!!

Nous avons rajusté nos vêtements et en moins de cinq minutes nous étions devant l’immeuble quand elle me dit :— MERCI !!! Ce n’était que l’apéro’ ! Montons-vite, j’ai encore envie !
— OK ma belle, ce soir c’est toi qui pilote !

Mais où étaient passés Cécile et Karim ??? L’appartement était vide !!! Tant mieux !!! Comme pris de frénésie, Camille et moi, nous nous sommes débarrassés de nos vêtements et bras et jambes emmêlés, nous nous sommes écroulés sur notre lit.
— Laisse-toi faire. Tu vas voir ce dont une fille un peu partie est capable !

Elle me disposa sur le lit, bras et jambes écartés et se pencha sur mon vit à moitié bandé. Elle l’avala à nouveau d’un seul coup et le fit aller et venir entre ses lèvres gourmandes. Certes ce n’est pas la première pipe que Camille me faisait, mais elle y mettait toute sa science, si bien qu’en peu de temps, j’étais à nouveau bien rigide...
C’est à ce moment que Camille me rejetta et se mit à ramper sur mon corps jusqu’à ce que mon sexe soit à la hauteur de ses seins qu’elle presse aussitôt autour de mon mat pour le masturber dans une cravate de notaire très jouissive au point que j’étais prêt à larguer mon foutre entre ses seins.

Je ne sais pas quel signe avant coureur elle avait pu percevoir, toujours est-il qu’elle se relèva, se mit à quatre pattes sur le lit, prosternée et offrant à nouveau la vue de sa croupe largement fendue. Comment ne pas répondre à cette sollicitation ? J’ai saisi la taille de Camille entre mes mains et, sans qu’il soit besoin de la guider, j’introduisis ma bite dans la conque baveuse de mon amie. Nous avons accordé nos mouvements mais je veillais à ne pas me répandre rapidement tant j’étais excité... Je voulais faire jouir Camille en même temps que moi, et j’y parvins assez vite... Elle était excitée elle aussi...

Encore imbriqués l’un dans l’autre, nous nous sommes endormis immédiatement. La fatigue de la route et ces joutes amoureuses avaient eu raison de nous.
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