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Un été au soleil

Chapitre 2

Erotique
Ce sont des bruits domestiques qui nous tirent du sommeil. Karim et Cécile devaient être réveillés depuis quelque temps et préparaient le petit-déjeuner. Nous enfilons  rapidement un vêtement et nous passons dans la salle de séjour où une table bien garnie nous attend ! Mais la surprise, c’est Cécile qui nous l’a donne : Elle officiait les seins nus et une serviette de toilette nouée autour de la taille !

Après quelques minutes, Cécile et Camille se sont mises à bavarder entre elles :
— Comme hier soir vous avez disparu brusquement, Karim et moi, nous sommes allés jusqu’à la plage. La mer avec le reflet de la lune, c’était génial !
— Autrement dit, vous avez fait une promenade romantique ?
— Oui, mais il y avait pas mal de couples qui se tenaient enlacés comme nous...
— Et ça ne vous a pas inspiré ?
— Si, ce coquin de Karim nous a entraînés peu à peu à l’écart et nous nous sommes retrouvés dans la réserve naturelle où l’ambiance était beaucoup plus chaude si vous voyez ce que je veux dire !
— Raconte...
— Au bout de quelques mètres nous avons entendu des gémissements et des soupirs, puis en continuant, nous sommes tombés sur un couple entièrement nu qui sortait des buissons. La fille ne devait pas avoir plus de 20 ans mais le mec, j’avoue que c’était un beau quinqua’ bronzé comme un pain sortant du four et avec un sexe, j’ne vous dis pas, largement plus de vingt centimètres et aussi gros que mon poignet !
— Il y en a qui ne se privent de rien !
— Oui, mais ça a donné des idée à Kamel, qui m’a demandé d’ôter ma robe sous laquelle je n’avais qu’un string très réduit...

Ce dernier se mêle à la conversation des deux sœurs :

— Oh oui. Cécile était belle ainsi, le corps nimbé par les rayons de la lune ! Et comme elle m’avait déjà chauffé dans l’ascenseur, j’étais dans d’excellentes dispositions.

Je repris alors :
— T’as pas besoin de nous faire un dessin ! Tu bandais et t’avais envie de la sauter ?— Oui. Nous avions à peine commencé à baiser dans un bosquet qu’un autre couple est arrivé en nous demandant s’ils pouvaient participer.
— Waouh, et tu as dis OUI je suppose ?
— NON. Cécile a dit qu’elle voulait bien regarder mais il n’était pas question de se mélanger.
— C’est tout ? Décidément ma petite belle sœur progresse vite ! Elle est devenue voyeuse !
— Oui, quand tous les quatre nous avons terminé notre affaire, les deux filles se sont galochées comme deux gouines puis nous sommes rentrés à plus d’une heure du mat’ !
— Je lui avais vidé les couilles...
— Bon. Ce matin, visite des lieux et quelques achats de vivres ? ça vous va ?

Nous profitons de notre promenade à pieds pour faire un peu de repérage c’est ainsi que nous avons découvert quelques lieux certainement coquins dans le village naturiste comme le Glamour ou le Tantra, ou même l’Extasia qui est à quelque distance du Cap mais qu’on nous recommande vivement. Bien que légèrement vêtus, nous faisons un peu tâche au milieu de toutes ces personnes qui déambulent à moitié nues. Camille et Cécile ouvrent de grands yeux étonnés si bien que Karim et moi, nous les chinons et chambrons gentiment :
— On croirait que vous débarquez sur la lune. Ici, la nudité est la règle. Ce que tu as découvert avec Kamel hier soir, ça se passe aussi en plein jour. D’après ce dont je me souviens, les couples se font et se défont sur la plage naturiste et quand le moment est venu de s’envoyer en l’air, il y a toujours un creux de dune à l’abri des regards...
— Mais nous n’avons pas envie de nous mélanger à tous ceux gens !
— C’est à nous de vous protéger. Si on vous demande, dire NON suffira à écarter les importuns !
— On n’en est pas encore là, il y a certainement d’autres plages moins risquées ?
— Oui. Ce n’est pas ce qui manque...

Le dimanche s’écoule lentement. Après une sieste réparatrice, nous allons nous baigner en nous installant sur la plage Richelieu qui d’après le guide vert est bien renommée. Entre bronzette et baignades, le temps passe et nous profitons tous les quatre de cet après-midi prolongé pour établir notre plan de bataille : Il y a des choses intéressantes à voir aux alentours comme les ruines des châteaux cathares. Vacances... ça ne signifie pas « bronzer idiot » !

A 22 heures, nous quittons notre appartement pour aller danser. Nos deux cavalières se sont mises en frais. Une robe que nous ne connaissons pas encore, largement décolletée et arrivant à ma moitié des cuisses. Elles ont aussi un peu forcé sur le maquillage mais qu’est-ce qu’elles sont jolies. Et lorsque nous entrons au Tantra, elles deviennent immédiatement l’attraction du moment. La soirée n’étant qu’à son début, nous trouvons assez facilement une table et aussitôt, nous nous retrouvons sur la piste de danse. Peu à peu, la discothèque se remplit et bientôt la piste de danse est sérieusement encombrée au point que nos copines regagnent la table en disant qu’elles en ont assez de se faire frôler et même peloter les fesses pendant que nous dansons. Je leur réplique :
— Mais mes jolies, n’oubliez pas que vous êtes dans un club libertin. Vous n’empêcherez jamais les travaux d’approche de mecs qui ont envie de vous draguer !

Camille répond :
— Il n’empêche. Nous on est là pour danser et nous éclater !
— Certainement, c’est ce qu’on fait mais moi aussi, j’ai eu des travaux d’approche de la part d’une quinqua’ qui avait l’air de bien s’éclater ! En plus, sa robe était tellement légère qu’on aurait dit qu’elle était nue...
— Oui, je l’ai remarquée moi aussi. Elle n’avait pas l’air farouche !
— Et vous êtes restés sages ?

Devant cette réflexion ingénue de Cécile, nous éclatons de rire :
— Mais bien sur !

Ce n’est qu’après une série de slows vers 3 heures du matin que nous quittons cette boîte que je recommanderai tant le DJ est bon : il n’y a aucune coupure dans la musique et il y en a pour tous les goûts et il sait mettre de l’ambiance ! Nous rentrons à pieds à l’appartement et Cécile et Kamel marchent devant nous à quelques mètres, enlacés, ils échangent des caresses et des baisers. La main de Kamel est au creux des reins de sa compagne et bientôt elle descend sur les fesses. Ce coquin est en train de peloter Cécile dont le rire monte dans les aigus quand il relève le bas de la robe et nous découvre le cul de Cécile. Camille me dit :
— La nuit semble bien partie pour ces deux là !
— Oui, ils ont l’air bien chaud ! Ta petite sœur se met vite au diapason !
— Oui. Elle me surprend, mais on est là pour s’amuser et prendre un max’ de soleil !
— Tout à fait, mais en attendant le soleil, notre lit nous attend !

Les premiers jours passent sans grand chamboulement dans nos habitudes (vite prises). Le matin consacré au farniente et à la récupération après une nuit mouvementée (danse et coquineries), plage, bronzette et baignade les après midi et le soirée, on remet ça au Tantra où décidément la musique est bonne...

Cécile se laisse enfin convaincre d’aller sur la plage naturiste mais elle pose ses conditions : Pas question qu’elle retire le string de son maillot de bain ! La réponse unanime achève de la convaincre : on ne la forcera pas si elle n’en a pas envie. Dès que nous entrons sur cette fameuse plage, nous ôtons nos Tee-shirt et bermuda sous lesquels nous avons un maillot de bain très réduit mais bientôt nous imitons les autres estivants qui se promènent ou lézardent entièrement nus. Seule Cécile conserve son bas de maillot mais elle en roule la ceinture pour le réduire au maximum...

Les deux filles, qui visiblement ne sont pas au parfum, sont étonnées de voir ces couples, parfois avec de jeunes enfants, qui sont entièrement nus et de tous les âges, et bien évidemment, il n’y a pas que des premiers prix de beauté : Hommes et femmes après un certain âge offrent des corps un peu fatigués. Mais ils ne semblent pas s’en soucier. J’imagine mes parents qui n’ont pas abandonné la pratique du naturisme, mon père avec une petite brioche que ma mère trouve bien confortable alors qu’elle, elle a su conserver un corps de jeune femme svelte avec des formes agréables à contempler !

De temps à autre, je montre aux filles des conciliabules entre les personnes exposées au soleil :
— Vous allez voir que la femme va suivre cet autre homme dans les bosquets où que les deux hommes vont partir avec elle. Ne vous voilez pas la face. Ils vont baiser puis ils reviendront comme si rien n’était !
— Pourquoi certaines partent avec deux hommes ?
— Cécile. Ne sois pas naïve. Certains sont des voyeurs, d’autres participent en prenant la femme en même temps...
— Comment ça ?
— Décidément, tu as tout à apprendre. Tu n’as jamais sucé Kamel avant de te faire prendre la chatte ?
— Si bien sûr. Mais deux hommes en même temps...
— Eh bien, pendant que l’un d’entre eux se fait sucer, l’autre est certainement déjà en train de baiser la fille ! Il y a de multiples manières de baiser à trois ou plus !!! N’est ce pas Kamel ?— Oui !!! Ce qui est sûr, on prend beaucoup de plaisir ainsi !

Cécile se rebiffe brusquement :
— A t’entendre, tu as déjà pratiqué !
— Oui, mais c’était avant de te rencontrer !

L’après-midi s’achève et soudain, Cécile nous surprend en disant :
— Il faut que je ressente ce que cela fait de se montrer nue à tout le monde !

Elle fait glisser le string de son maillot et au bout de quelques minutes nous l’interrogeons :
— Oh, j’ai l’impression que tout le monde me regarde !
— Mais NON, c’était avant qu’on te regardait !
— Pourquoi ?
— Parce que tu étais la seule à avoir un string !

Camille complète :
— Tu vois, ce n’est pas le bout du monde...

Le samedi soir, nous prenons la voiture pour aller voir ce que cache cette boîte dont on nous a vanté la convivialité : l’Extasia. Rien que le nom est très évocateur et le couple qui nous a vanté cet établissement nous a adressé un clin d’œil coquin en nous disant de bien nous amuser. Nous cherchons un peu car nous n’avons que le nom à entrer dans le navigateur, mais quand enfin, nous arrivons, nous sommes guidés au travers de la pinède par des lampes tempête rouge du plus bel effet. Nous entrons dans la première salle, qui est en fait une ancienne cave immense, nous avons un choc. Il y a un monde pas possible et beaucoup de filles sont les seins nus alors que d’autres se trémoussent sur la piste de danse, simplement vêtues (si on peut dire) d’un string réduit à sa plus simple expression. Camille et Cécile ouvrent de grands yeux interrogateurs, et je réponds :
— Le nom aurait du vous mettre sur la voix. L’Extasia, ça veut tout dire...
— Bon, puisqu’on est là, profitons-en, la musique a l’air bonne !!!

Effectivement, la musique est bonne et dès que nous avons trouvé une table, nous nous retrouvons tous les quatre sur la piste de danse. Je m’amuse à voir les travaux d’approche de deux mecs qui semblent particulièrement intéressés par ma copine, qui elle, ne se rend compte de rien. Ce n’est qu’au moment de regagner la table que les deux mecs lui emboîtent le pas et s’assoient de part et d’autre de Camille qui me jette des regards désespérés quand à mon tour, je m’approche de la table. Celui qui est à droite de Camille a passé une main autour de sa taille pendant que l’autre cherche à embrasser la bouche de ma copine qui se détourne. L’un des deux me demande :
— C’est ta copine ? Elle est bien jolie. Tu nous la prête pendant quelque temps, moi je te prête ma femme !
— Oh Julien, dis leur que je ne veux pas...
— Laisse toi faire, il sera temps d’arrêter si tu le veux. Ça vous va comme ça ?
— Oui. C’est toujours la femme qui décide ! Maddee, approche-toi ! Au fait, tu t’appelle comment ?
— Julien !!!
— Enchantée. Moi c’est Maddee !

Et là, j’en tombe sur le cul ! Maddee est une asiatique très jolie avec des formes menues et très sensuelles. Ses seins nus en forme de petit chapeau chinois pointent agressivement sur son buste et elle porte autour de la taille une sorte de pagne fait d’une multitude de lanières de tissu. Quand elle tourne sur elle-même, je m’aperçois qu’elle ne porte rien d’autre. Les deux garçons se rapprochent encore de Camille et Maddee s’adresse à elle :
— Laisse-moi ton homme. On vous a repérés sur la plage de la Baie de cochons et ton homme a un sexe qui me convient bien. On troque ton homme contre les deux miens !

Que va répondre Camille ? La surprise est totale lorsqu’elle dit :
— S’ils mettent des capotes, je veux bien et je te laisse Julien pendant une heure ! ça te va comme deal ? Julien qu’en dis-tu ?
— C’est toi qui décide !
— OK... ça marche pour moi. J’espère qu’ils ont de bonnes munitions !— Sois tranquille. Ce sont des bons. Julien, suis moi, je sais où aller !

Je suis Maddee qui monte dans les étages où se trouve une mezzanine qui domine la piste de danse mais dessert aussi une enfilade de portes dont elle détient la clé de l’une d’entre elles. Dès qu’elle a verrouillé la porte, Maddee se tourne vers moi, fait descendre son pagne et s’agenouille devant moi. Il ne lui faut pas très longtemps pour faire descendre et ôter mon pantalon et mon boxer pendant que mon sexe érigé et bandé se dresse sur mon pubis...

— Waouh. Maintenant que je la vois de près, je sens que ta bite va me faire du bien...

Et je lui ai fait du bien, la première fois Maddee a voulu que je la baise ‘’à la missionnaire’’ et la seconde fois, c’est elle qui s’est mise en ‘’amazone’’ en face moi, et j’avoue que cette belle asiatique a su me faire cracher d’abondantes giclées de sperme dans les capotes dont elle détenait un véritable chapelet avec un minuscule téléphone portable qui bientôt a sonné.
— Mes copains nous attendent au bar avec ta femme. On les rejoint !

Nous nous retrouvons tous les cinq devant une bouteille de champagne. Camille a les yeux brillants et elle me dit discrètement qu’elle me racontera plus tard...

— Moi aussi ! C’était bon ?
— Oui...

Nous bavardons longuement et nous apprenons un peu l’historique de la boîte : ils sont bien informés puisqu’ils se prétendent les neveux des créateurs du site, qu’ils l’ont créé après avoir arraché les vignes et replanté des bosquets de lauriers et de bambous qui désormais offrent des ‘’bons lieux de baise’’. Soudain Kamel et Cécile nous rejoignent :

— Où étiez-vous passés ?
— Vous avez disparu soudainement !
— On vous racontera ! N’ayez crainte...
— Nous aussi !

Après avoir récupéré nos affaires au vestiaire, nous rentrons au Cap d’Agde. Nous faisons à peine quelques kilomètres que les deux filles sont endormies sur la banquette arrière...
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